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Rôle des légumineuses sur la fertilité des sols ferrugineux tropicaux des zones guinéenne et soudanienne du Burkina Faso

Bado, Boubié Vincent 11 April 2018 (has links)
Les cultures légumineuses fixatrices d'azote constituent une alternative pour améliorer la nutrition azotée. Cette recherche avait pour objectif d'évaluer les contributions en azote de l'arachide (Arachis hypogea) et du niébé (Vigna unguiculata) et leurs impacts sur la nutrition azotée et les rendements du sorgho (Sorghum bicolor) et du cotonnier (Gossypium spp) subséquents. Les expérimentations ont été conduites au Burkina Faso dans les zones guinéenne à Farakô-Ba et soudanienne à Kouaré de 1993 à 2001. La fixation symbiotique de l'azote a été mesurée par la méthode de la dilution isotopique. L'arachide fixait 8 à 23 kg N ha-1 dans l'atmosphère, couvrant 27 à 34 % de ses besoins en azote. Le niébé fixait 50 à 115 kg N ha-1, soit 52 à 56 % de ses besoins en azote. Comparativement à l'engrais minéral seul, les rendements et l'azote fixé par les deux légumineuses augmentaient lorsque l'engrais minéral était associé avec le phosphate naturel, la dolomie ou le fumier. Les précédents légumineuses augmentaient l'azote minéral du sol de 13 à 40 % et le sorgho prélevait 2 à 3 fois plus d'azote, entraînant des augmentions de rendements de 60 à 300 % par rapport à la monoculture. À Kouaré, les sols des rotations Jachère-Sorgho et Niébé-Sorgho fournissaient plus d'azote au sorgho que ceux de la monoculture de sorgho et augmentaient les coefficients d'utilisation de l'engrais azoté de 9 et 5 unités respectivement. À Farakô-Ba, les sols des rotations Jachère-Sorgho, Arachide-Coton-Sorgho et Coton-Arachide-Sorgho fournissaient plus d'azote au sorgho que ceux de la monoculture de sorgho et augmentaient les coefficients d'utilisation de l'engrais azoté de 13, 25 et 32 unités respectivement. Comparativement au sol initial, toutes les rotations diminuaient le carbone organique à Kouaré et à Farakô-Ba de 52 à 56 % et de 29 à 34 % respectivement. Le sol ainsi que le sorgho des rotations comportant l'arachide étaient moins infectés par les nématodes alors que ceux des rotations Niébé-Sorgho étaient plus infectés comparativement à la monoculture de sorgho. Les résultats ont montré que les rotations comportant des légumineuses améliorent la nutrition azotée et les rendements en augmentant l'azote disponible dans le sol et le recouvrement de l'azote apporté par l'engrais. Un précédent niébé ou arachide équivaut à une application de 25 Kg N ha-1 d'engrais minéral pour la culture succédant à la légumineuse. Les précédents arachide et niébé augmentent le potentiel de rendement du sorgho subséquent. Après l'arachide et le niébé, les doses d'engrais azoté nécessaires pour atteindre les rendements optimums de sorgho étaient de 51 et 58 kg N ha-1 respectivement. La nutrition azotée et la productivité des systèmes traditionnels peuvent être améliorées à moindre coûts par les rotations avec les cultures légumineuses en utilisant les amendements organiques, la dolomie et les phosphates naturels. / The N2-fixing-legume crops and local agro-mineral resources like rock phosphates (PR) or dolomite are some cheaper means to improve smallholder's system productivity. This research aims to evaluate the N contribution of groundnut (Arachis hypogea) and cowpea (Vigna unguiculata) and their impacts on the succeeding sorghum (Sorghum bicolor) and cotton (Gossypium spp) yields. Isotopic dilution method was used for biological nitrogen measurement. Groundnut fixed 8 to 23 kg N ha-1 and the percentage of N derived from the atmosphere varied from 27 to 34 %. Cowpea fixed 50 to 115 kg N ha-1 and the percentage of N derived from the atmosphere varied from 52 to 56 %. Compared to the mineral NPK fertilizer alone, the legumes fixed more nitrogen from the atmosphere when PR, dolomite or manure were applied with mineral fertilizer. Compared to continuous sorghum, Legume-Sorghum rotations increased sol mineral nitrogen and N absorption by sorghum. Legume-Sorghum rotations increased sorghum grain yield from 60 to 300 % compared to continuous sorghum. The N fertilizer equivalencies of cowpea and groundnut were 25 and 35 kg N ha-1 respectively. At Kouaré, the soils of Fallow-Sorghum and Cowpea-Sorghum rotations provided more nitrogen to sorghum and increased fertilizer N use efficiency from 9 and 5 units respectively compared to continuous sorghum. At Farakô-Ba, the soils of Fallow-Sorghum, Groundnut-Cotton-Sorghum and Cotton-Groundnut-Sorghum rotations provided more nitrogen to sorghum and increased fertilizer N use efficiency from 13, 25 and 32 units respectively compared to continuous sorghum. Compared to the original soil, all rotations decreased soil organic carbon at Kouaré and Farakô-Ba from 52 to 56 % and from 29 to 34 % respectively. Groundnut decreased soil and sorghum roots infection by nematodes but cowpea increased nematode infection. The results showed that crop rotations with groundnut or cowpea increased N nutrition, N fertilizer use efficiency, leading to a better use of the small doses of fertilizers used by smallholder farmers. Legume crop, PN, dolomite and organic amendments are cheaper means to increase BNF, N nutrition and traditional system productivities.
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Production d'exopolysaccharides par fermentation avec des cellules immobilisées de LB. Rhamnosus RW-9595M d'un milieu à base de perméat de lactosérum

Bergmaier, Dirk 11 April 2018 (has links)
Une méthode de dosage des EPS basée sur l'ultrafiltration (UF) du milieu fermenté a été mise au point. Cette méthode récupère entre 83 et 104% de l'EPS ajouté d'une solution avec une concentration d'EPS connue (40-1500 mg/l). La production d'EPS a été suivie avec la nouvelle méthode lors de fermentations en batch. La méthode d'UF a été rapide (8h), précise et simple, et a requis seulement un petit volume d'échantillon (1 à 5 ml). Des fermentations dans un milieu de perméat de lactosérum supplémenté (SWP) avec 5 ou 8% (w/w) de perméat de lactosérum un poudre (WP), 1% (w/w) d'extrait de levure, des minéraux et du Tween-80 ont été conduites. Des comptes cellulaires (1.3 · 1010 CFU/ml) et une production d'EPS (2350 mg/l) très élevés ont été obtenus lors de fermentations en batch avec des cellules libres dans le SWP. Une méthode de mesure de la biomasse immobilisée, basée sur l'analyse d'ADN microbien a été mise au point. Cette méthode a dosé une biomasse immobilisée très élevée de 8.5 · 1011 CFU/ml lors des cultures en batch répété avec des cellules immobilisées. Une concentration élevée d'EPS (1808 mg/l) a été mesurée après le quatrième cycle, avec un temps d'incubation très court (7 h) résultant en une productivité volumétrique d'EPS élevée de 258 mg/l h. Lors d'une culture continue avec des cellules libres, une production d'EPS de 1808 mg/l et une productivité volumétrique de 542.6 mg/l·h ont été obtenues pour un taux de dilution (D) de 0.3 h-1. Une fermentation continue avec des cellules immobilisées dans un système à deux étages a été conduite pendant 32 jours. L'influence de la concentration en extrait de levure, de la température et du taux de dilution sur les productions de cellules, d'EPS et d'acide lactique a été étudiée. Un effet significatif (P< 0.05) a été trouvé seulement pour la production d'acide lactique mais pas pour la production de biomasse ou d'EPS. Une biomasse immobilisée très élevée et stable, égale à 5.3 ± 1.8 · 1011 CFU/g de support a été mesurée. Un changement physiologique et morphologique de la culture avec une perte de la capacité à produire des EPS solubles (138 mg/l) a été observé, résultant en la formation d'agrégats macroscopiques. Avec le temps, la concentration d'agrégats dans les deux réacteurs a augmenté et les agrégats ont quitté le système par l'effluent avec une productivité volumétrique entre 5.68 et 49.54 g/l·h. Les agrégats contenaient une teneur en biomasse totale de 73.8 % et en EPS non-soluble de 14.2 % (w/w). Un contenu de biomasse viable de 4.32 ± 0.97 · 1012 CFU/g a également été mesuré. Ces agrégats pourraient avoir un grand potentiel d'exploitation comme produit synbiotique, avec des concentrations en cellules actives et en EPS très élevées. / A new method for EPS quantification based on ultrafiltration (UF) of fermented broth was developed. This method recovered between 83 and 104% of EPS in a solution with known concentration (40-1500 mg/l). The EPS production during batch fermentations was followed using the new method. The UF method was fast (8 h), accurate and simple, and required only small sample volumes (1 to 5 ml). Cultures were conducted in a supplemented whey permeate (SWP) medium containing 5 or 8% (w/w) whey permeate, 1% (w/w) yeast extract, minerals and Tween-80. Very high cell counts (1.3 · 1010 CFU/ml) and EPS productions (2350 mg/l) were obtained during batch fermentations with free cells. The cells were immobilized on solid supports and a method for immobilized biomass quantification, based on DNA analysis, was developed. This method measured a very high immobilized biomass of 8.5 · 1011 CFU/ml of support during repeated batch cultures. A high EPS concentration (1808 mg/l) was measured after the fourth cycle, with a very short incubation time (7 h) resulting in a high EPS volumetric productivity of 258 mg/l h. During continuous culture with free cells, an EPS production of 1808 mg/l and a volumetric productivity of 542.6 mg/l h was obtained for a dilution ratio (D) of 0.3 h-1. A 32-day continuous fermentation with cells immobilized in a two-stage bioreactor system was conducted. The influence of yeast extract concentration, temperature and dilution rate on the production of biomass, EPS and lactic acid was studied. A significant effect (P< 0.05) was found only for lactic acid but not for biomass or EPS production. A very high and stable immobilized biomass equal to 5.3 ± 1.8 · 1011 CFU/g support was measured. A physiological and morphological change of the culture with the loss of the capacity to produce soluble EPS (138 mg/l) was observed, resulting in the formation of macroscopic aggregates. With time, the aggregate concentration in the two reactors increased and the aggregates left the system in the effluent with a volumetric productivity between 5.68 and 49.54 g/l h. The aggregates contained 73.8% total biomass and 14.2% insoluble EPS (w/w). A viable biomass content of 4.32 ± 0.97 · 1012 CFU/g was also measured. These aggregates could find applications as synbiotic food-ingredients with very high active cell and EPS concentrations.
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The meiotic arrest of bovine oocytes

Mayes, Mario 11 April 2018 (has links)
Les ovocytes bovins incubés in vitro reprennent la méiose alors que ceux incubés en présence de mono-couches de cellules de la thèque demeurent au stade de vésicule germinale (GV). Les présentes expériences ont été menées sur des ovocytes bovins afin de mieux comprendre les facteurs impliqués dans le contrôle de la maturation des ovocytes. Les objectives étaient 1) de déterminer si la morphologie du complexe ovocyte-cumulus (COCs) est corrélée avec les cinétiques de la reprise méiotique suivant une période d’arrêt méiotique induite. 2) Étudier la fonction des inhibiteurs de phosphodiesterase (PDE) spécifiques seuls ou en présence de une monocouche des cellules de la thèque sur l’arrêt méiotique des ovocytes bovins. 3) Étudier le rôle de la voie de signalisation de la protéine kinase A et de la protéine kinase C dans la modulation de la reprise méiotique des ovocytes bovins. 4) Faire une caractérisation plus poussée du facteur d’inhibition sécrété par les cellules de la thèque. Ces études démontrent que les COCs bovins reprennent la méiose plus rapidement après une courte période d’arrêt méiotique que les COCs non traités. Les ovocytes atrésiques ou dénudés sont donc moins nombreux au stage de GV au début de la maturation que les COCs sains ou légèrement atrésiques. Les inhibiteurs de phosphodiesterase (PDE) de type 3 ont maintenu les ovocytes bovins en arrêt méiotique alors que les inhibiteurs de type 4 n’ont eu aucun effet. De plus, la combinaison des inhibiteurs PDE et des cellules de la thèque montre un effet additif. Les COCs incubés avec des cellules de la thèque sont restés en arrêt méiotique alors que ceux incubés en présence de cellules de granulosa ont repris la méiose. Les cellules de la granulosa non traitées ont annulé l’effet inhibiteur des cellules de la thèque sur la maturation des COCs bovins. Par ailleurs, les COCs sont restés en arrêt méiotique lorsque des analogues d’AMPc ont été utilisés en conjonction avec des cellules de granulosa et de la thèque. Finalement, le facteur inhibiteur sécrété par les cellules de la thèque dans le milieu conditionné est (a) insensible à la chaleur, aux enzymes protéolytiques et à un traitement au charbon, (b) sensible à un traitement au chloroforme, (c) concentré dans la fraction plus petite que 1000 daltons du milieu conditionné et (d) les patrons de pics chromatographiques sont différents entre le milieu conditionné et le milieu frais. D’autres études seront nécessaires pour l’isolation complète du facteur(s) inhibiteur(s) sécrété(s) par les cellules de la thèque responsable du maintien de l’arrêt méiotique des ovocytes bovins. / Bovine oocytes incubated in vitro resume meiosis, whereas most of those incubated with theca cell monolayers remain at the germinal vesicle (GV) stage. Experiments were carried out using bovine oocytes to understand the factors involved in the control of oocyte maturation. The objectives were 1) to determine whether or not the morphology of cumulus oocyte complexes (COC) is correlated with the kinetics of meiotic resumption following a period of induced meiotic arrest. 2) To investigate the role of type-specific phosphodiesterase (PDE) inhibitors alone or in conjunction with theca cell monolayers on meiotic arrest of bovine oocytes. 3) To study the role of the protein kinase A and protein kinase C signaling pathways in the control of meiotic resumption of bovine oocytes incubated with granulosa cells, theca cell monolayers or both cell types. 4) To further characterize the inhibitory factor secreted by the theca cell monolayers. These studies show that bovine COCs resume meiosis faster following a short period of induced meiotic arrest than untreated COCs. Atretic or denuded oocytes have fewer oocytes at the GV stage at the onset of maturation compared to healthy or slightly atretic COCs. Type 3 phosphodiesterase (PDE) inhibitors maintained bovine oocytes in meiotic arrest, whereas type 4 PDE inhibitors did not have an effect. Furthermore, PDE inhibitors and the theca cell monolayers show an additive effect. COCs incubated with the theca cell monolayer remained in meiotic arrest, whereas those incubated with granulosa cells resumed meiosis. Untreated granulosa cell abrogate the inhibitory effect of the theca cell monolayers on the maturation of COCs. However, COCs remain in meiotic arrest when cAMP analogs are used in conjunction with both granulosa and theca cells. The inhibitory factor(s) secreted by the theca cell monolayers is (a) not sensitive to heat, proteolytic enzymes and charcoal treatment, (b) sensitive to chloroform treatment, (c) has a Mr less than 1000 daltons and (d) the patterns of chromatographic peaks are different in conditioned medium and fresh medium. Further work is needed to fully isolate and identify the factor produced by the theca cells responsible for maintaining bovine oocytes in meiotic arrest.
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Caractérisation et optimisation de la flaveur de jus d'orange non fait de concentré

Dominguez Lopez, Aurelio 11 April 2018 (has links)
Cette étude vise la caractérisation de la flaveur du jus d'orange non fait de concentré (JONFC) et l'analyse de sa relation avec les propriétés chimiques et physico-chimiques de ce produit. La flaveur du JONFC se caractérise par 20 attributs sensoriels parmi lesquels, les attributs Fraîchement pressé et Fruité constituent la variable synthétique sensorielle Arôme . Cette variable représente le meilleur indicateur des variations de la flaveur du JONFC.Deux groupes de composés volatils expliquent majoritairement les fluctuations de la variable sensorielle Arôme . Le premier groupe, constitué par le sabinene, l'ethyl butyrate, le 3-hydroxyethyl hexanoate, l'hexanal, le carvone, le 3-hexen-1-ol, le 1-hexanol et le 2-pentanone, est corrélé positivement à cette variable sensorielle, tandis que le deuxième groupe, composé par le limonène, le g-terpinene, le terpinen-4-ol, le b-cubebene, le linalool et l'a-terpineol, y est corrélé négativement. Une corrélation faible, mais significative, entre les variations de la β Saveur γ du JONFC et les fluctuations de son acidité, de ses solides solubles et de ses acides aminés libres a été observée. Lαindice de viscosité du JONFC, ainsi que le pourcentage dαhuile ont une corrélation positive avec les variables β Arôme γ et β Arrière-Goût γ. À des concentrations ne dépassant pas 11 à 13 mg/l dans le jus, un mélange constitué par des composés aliphatiques pourvus dαun groupement fonctionnel (2-pentanone, hexanal, ethyl butyrate, 3-hexen-1-ol, 3-hydroxy-ethyl hexanoate et d-(+)-carvone) améliore le profil sensoriel du JONFC. Parmi ces constituants, lαhexanal, exhibant une odeur herbacée, et le 3-hydroxy ethyl hexanoate, exhibant une odeur fruitée, contribuent à lαaugmentation de la flaveur β Fraîchement pressée γ du JONFC.

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