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Die Heilige Familie : ein Tugendvorbild der Gegenreformation im Wandel der Zeit : Kult und Ideologie /

Erlemann, Hildegard. January 1993 (has links)
Diss.--Münster--Universität, 1991. / Bibliogr. p. 254-267.
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La confrérie de la Sainte-Famille à Québec, 1663-1763

Cliche, Marie-Aimée 11 April 2018 (has links)
Le XVIIe siècle français connut un renouveau remarquable dans le domaine de la vie religieuse. Le rôle grandissant des laïcs à l'intérieur de l'Eglise, la place plus importante accordée aux femmes, la création de nombreuses associations de dévots comme la Compagnie au Saint-Sacrement et les congrégations de la Vierge en furent quelques-unes des principales manifestations. Cet essor religieux consécutif au Concile de Trente devait faire sentir ses effets jusqu'au Canada. Terre d’évangélisation, la Nouvelle-France attira l'attention des communautés missionnaires comme les jésuites, les sulpiciens, les ursulines. Les laïcs dévots de cette époque, hommes et femmes, fournirent généreusement des subsides pour seconder l'action des missionnaires. Dans la Société de Notre-Dame de Montréal, notamment, on compte au moins une vingtaine de membres de la Compagnie au Très-Saint-Sacrement de l'autel. De l'Ermitage de Caën où se rassemblaient à la fois des membres de cette compagnie et de la congrégation mariale, devaient sortir plusieurs dévots appelés à jouer un rôle important dans l'histoire religieuse de la colonie: François de Laval, Jean Dudouyt, Henri de Bernières, Louis Ango Des Maizerets. Pour des gens très pieux comme Mgr de Laval, les religieux missionnaires et les fondateurs de Montréal, le Canada représentait l'endroit idéal pour se sanctifier en supportant les privations imposées par la dureté du pays et en travaillant à la conversion des Indiens. Lors de la dissolution de la Société de Notre-Dame de Montréal, en 1663, les ex-membres de cette société, décidés à rester au Canada, manifestèrent le désir de fonder une nouvelle association de dévots dans le genre de celles qu'ils avaient connues en France. Barbe de Boullonge, femme de Louis d'Ailleboust (tous deux membres de la Société de Notre-Dame de Montréal) exposa cette idée à son confesseur, le jésuite Joseph-Marie-Pierre Chaumonot. En accord avec le père Gabriel Souart, sulpicien, Marguerite Bourgeois, Jeanne Mance et Judith Moreau de Brésoles, supérieure de l'Hôtel-Dieu de Ville-Marie, ils fondèrent une confrérie dédiée à la sainte Famille. Le choix de la sainte Famille pour patronner la nouvelle confrérie s'explique par le fait que les membres de la Société de Notre-Dame de Montréal lui avaient toujours manifesté une dévotion particulière. En 1632, Jérôme Le Royer de La Dauversière, l'un des membres fondateurs de la Société, avait fondé une confrérie de la Sainte-Famille à Laflèche. Dix ans plus tard, lors de la fondation de la Société de Notre-Dame de Montréal, c'est à la sainte Famille que la future ville fut dédiée. Les Montréalais répondirent si bien à l'appel au père Chaumonot, que lors au fameux tremblement de terre de 1663, tandis que tous les prédicateurs interprétaient le séisme comme un châtiment du Ciel, le père Chaumonot était le seul à rassurer ses ouailles en leur affirmant que "c'était le diable qui enrageait de ce que Dieu était bien servi". Pour assurer un succès durable à leur entreprise, le père Chaumonot et Mme d'Ailleboust demandèrent à Mgr de Laval de bien vouloir approuver leur projet de confrérie. Ce dernier, non seulement donna son approbation, mais il invita les deux innovateurs à venir fonder la même confrérie à Québec. C'est à la suite d'une collaboration étroite entre ces deux dévots de Montréal, le père Chaumonot de Mme d'Ailleboust, Mgr de Laval et un prêtre de son Séminaire, l'abbé Louis Ango Des Maizerets, que devait s'élaborer sous sa forme définitive la confrérie de la Sainte-Famille que Mgr de Laval érigea solennellement par son mandement au 14 mars 1664. Les règlements longs et détaillés rédigés par Mgr de Laval attestent l'importance qu'il attachait à cette confrérie. La lecture de son mandement et des autres écrits de M. Des Maizerets nous permet de reconstituer l'esprit de la confrérie de la Sainte-Famille et, d'une façon plus large, le climat religieux que l'évêque voulait faire régner en Nouvelle-France. Les registre s de la confrérie de la Sainte-Famille (et des confréries au Rosaire et au Scapulaire) nous aident à suivre et comparer l'évolution au recrutement des trois confréries depuis leur fondation jusqu'en 1760. Les témoignages des contemporains, enfin, nous éclairent sur les sentiments de la population envers la confrérie de la Sainte-Famille, l'influence qu'elle a pu exercer sur la société canadienne. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les portraits de famille vénitiens au 16e siècle : du profane au religieux

Dussoulier, Anne 08 1900 (has links)
Le 16e siècle est une époque de changement où la famille se restreint et devient une projection d’idéal, symbolisant aspirations dynastiques et prestige pour les familles vénitiennes. Parallèlement dans l’iconographie religieuse, la Sainte Famille s’impose comme motif iconographique autour d’une cellule familiale succincte constituée de Marie, de Joseph et de l’Enfant Jésus. La famille et la Sainte Famille deviennent des sujets de choix dans la peinture, et ce tout particulièrement dans la production artistique vénitienne. La valorisation visuelle de la femme est un point commun entre ces représentations, aspect plutôt surprenant si l’on pense à la société et la religion catholique qui sont éminemment patriarcales. Le présent travail s’intéresse à cette position féminine névralgique et au constat que l’on en établit, et s’appuie sur un corpus d’œuvres vénitiennes du 16e siècle. / The 16th century was a time of change where the family decreases and becomes an ideal projection, symbolizing the dynastic aspirations and prestige to the Venetian families. Meanwhile, in religious iconography the Holy Family stands out as ideal iconographic motif, around a brief family unit constituted by Mary, Joseph and Jesus. The family and the Holy Family became prime subject in painting, and especially in Venetian artistic production. The visual promotion of the women is common point between these representations, aspect rather surprising if we think of the society and the catholic religion, which are highly patriarchal. This work is interested in this feminine position and what can be deduct from it, and lean on a corpus of Venetian works of the 16th century.

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