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L'inhibition binoculaire dans la dégénérescence maculaire liée à l'âge

Renaud, Judith January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Dépouillement partiel : No binocular inhibition for fast moving stimuli in the elderly with age-related macular degeneration -- Less binocular inhibition for larger stimuli in the elderly with age-related macular degeneration.
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Le champ visuel temporel lors du vieillissement normal et du glaucome

Miron, Héloïse January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La cécité à la répétition : les visages et les expressions faciales

Labrecque, Manon 01 November 2021 (has links)
La cécité à la répétition (Kanwisher, 1986, 1987) est définie comme une incapacité de voir ou de se rappeler le deuxième de deux éléments similaires ou identiques présentés visuellement, d'une façon séquentielle rapide dans une même séquence. Plusieurs mécanismes ont été proposés pour expliquer ce phénomène. Nous proposons d'utiliser les visages et les expressions faciales pour savoir si ce phénomène est relié à l'attention. Nous allons d'abord tenter de répéter certains résultats antérieurs afin de nous assurer que les techniques requises pour la présentation rapide de visages sont adéquates pour ce genre d'étude. Dans la première expérience, il est plus facile pour les participants de se rappeler les images répétées. Alors que les mots répétés ou non (Expérience 2) n'affectent aucunement le rappel immédiat de ces derniers. Finalement, la cécité à la répétition fut observée pour les phrases avec répétition (Expérience 3). Les résultats inattendus et les problèmes techniques lors de notre expérimentation sont les facteurs qui pour l'instant limitent l'étude de la cécité à la répétition avec des visages comme stimuli.
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Différences individuelles et traitement visuel des fréquences spatiales

Tardif, Jessica 10 1900 (has links)
La courbe de sensibilité au contraste – la façon selon laquelle la sensibilité diffère selon les fréquences spatiale – a été mesurée pour la première fois en 1956 (Schade, 1956). Elle diffère d’individu en individu et, quoiqu’elle ait été observée pour la première fois il y a plus de 60 ans, certains facteurs ayant un impact sur ces différences individuelles sont mal compris. La figure de Campbell-Robson est une grille sinusoïdale dont la fréquence spatiale varie sur l’axe des x et le contraste varie sur l’axe des y, de sorte que l’observateur perçoit une courbe directement sur la figure. Si cette figure contenait de l’information sur la courbe de sensibilité au contraste d’un individu, elle aurait pu être utilisée pour développer une méthode rapide permettant de mesurer la courbe de sensibilité au contraste. Or, les résultats de l’article 1 montrent qu’il n’existe que peu d’information à propos de la courbe de sensibilité au contraste dans la figure de Campbell-Robson. La maturation de la sensibilité au contraste n’est pas bien comprise. Puisque les études antérieures ont utilisé, entre autres, des méthodes et des tâches différentes, les résultats rapportés par ces études sont contradictoires. Nous nous sommes penchés sur la question dans l’article 2 en utilisant une méthode objective pour mesurer la sensibilité au contraste pour une grande étendue de fréquences spatiales (0.5 à 30 cycles par degré) et une grande étendue d’âges (4 à 27 ans). Au lieu d’utiliser l’âge comme variable catégorielle en séparant les participants en groupes, nous avons utilisé une méthode de régression locale (LOESS) pour utiliser l’âge comme variable continue et ainsi obtenir plus de précision sur l’âge de maturation. Les résultats montrent que la sensibilité devient semblable à celle d’un adulte autour de 12 ans pour les fréquences spatiales basses et hautes, et autour de 17 ans pour les fréquences spatiales moyennes. Après l’âge, la culture dans laquelle une personne grandit est un autre facteur pouvant avoir un impact sur la sensibilité au contraste. Dans l’article 3, nous avons vérifié l’effet de la culture sur la courbe de sensibilité au contraste en la mesurant de deux manières différentes chez des participant.es chinois.es et canadien.nes. Les résultats montrent que la courbe de sensibilité au contraste ne semble pas être différente chez les deux cultures. Compte tenu de différences interculturelles dans les fixations oculaires sur les visages, nous avons vérifié s’il existe des différences dans les fréquences spatiales contenues dans la représentation interne des visages chez les deux cultures. Nos résultats montrent que les participant.es chinois.es utilisent de plus basses fréquences spatiales et les participant.es canadien.nes utilisent de plus hautes fréquences spatiales pour reconnaître les visages. En somme, les résultats présentés dans cette thèse permettent de mieux comprendre les différences individuelles dans la sensibilité au contraste. / The contrast sensitivity function – the curve defining the way in which sensitivity differs according to spatial frequencies – was first measured in 1956 (Schade, 1956). The contrast sensitivity function differs from person to person and, although it was observed over 60 years ago, some factors which have an impact on these individual differences are not well understood. The Campbell-Robson figure is a sinusoidal grating on which the spatial frequency varies on the x axis and contrast varies on the y axis, resulting in a perceived curve, between the grating and the perceived gray area of the grating, directly on the figure. If this figure contained information on the contrast sensitivity function, it would have been useful to develop a quick method to measure it. However, the results of article 1 show that there is little information on the contrast sensitivity function contained in the Campbell-Robson chart. The way in which contrast sensitivity matures is not well understood. Because anterior studies used, among other things, different methods and tasks, the results they report vary greatly and are often contradictory. We have studied the question in article 2, using an objective method to measure contrast sensitivity for a large array of spatial frequencies (0.5 to 30 cycles per degree) and a large span of ages (4 to 27 years). Instead of using age as a categorial variable by separating the participants in age bins, we used a local regression technique (LOESS) in order to use age as a continuous variable and obtain a more precise estimate of the maturation age of contrast sensitivity. Results show that sensitivity becomes similar to an adult’s around 12 years old for low and high spatial frequencies, and around 17 years old for mid-range spatial frequencies. Other than age, the culture in which a person grows up is another factor that could have an impact on contrast sensitivity. In article 3, we verified the effect of culture on the contrast sensitivity function by measuring it using two different methods in Chinese and Canadian participants. Results don’t show that the contrast sensitivity function differs between the two cultures. Because of intercultural differences in ocular fixations on faces, we further verified if there are differences in the spatial frequencies contained in the internal representations of faces in the two cultures. Our results show that Chinese participants use lower spatial frequencies and Canadian participants use higher spatial frequencies when identifying faces. In sum, the results presented in this thesis help better understand individual differences in contrast sensitivity.
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Rôle des neuromodulateurs dans les fonctions visuelles : l'angiotensine II et la dopamine

Coudé, Gino January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les impacts du récepteur GPR55 sur les fonctions visuelles

Bachand, Ismaël 12 1900 (has links)
Il est connu que le cannabis, par son action sur le système endocannabinoïde, affecte de multiples paramètres de la vision. Les fonctions de GPR55, un récepteur associé au système endocannabinoïde, ont moins été étudiées que celles des récepteurs cannabinoïdes les plus importants, CB1 et CB2. Nous savons cependant que GPR55 est présent dans la rétine de la souris et qu’il module la croissance et le guidage axonal des cellules ganglionnaires rétiniennes durant le développement. Le but de cette étude est d’étudier les effets de GPR55 sur la vision en utilisant un modèle de souris avec une délétion du gène Gpr55. Des électrorétinographies (ERG) plein champ scotopique et photopique ont été effectuées dans le but d’étudier le rôle du récepteur sur les fonctions rétiniennes. Nous avons trouvé que les souris Gpr55-/- ont, en ERG scotopique, une amplitude réduite de l’onde-b et des potentiels oscillatoires qui ont aussi une latence plus longue. Chez ces animaux, l’onde-a photopique a aussi une amplitude plus basse. Par la suite, pour vérifier les conséquences des déficits de fonction rétinienne sur les fonctions visuelles, le modèle de réflexe optomoteur a été utilisé sur des souris knock-out ou avec des injections systémiques d’un antagoniste et d’un agoniste de GPR55. L’absence de GPR55 retarde le développement de l’acuité visuelle, mais la délétion de Gpr55 ou l’action pharmacologique sur le récepteur ne change pas l’acuité visuelle chez les adultes. La délétion de Gpr55 et l’administration d’un antagoniste du récepteur diminuent la sensibilité au contraste. Ces observations suggèrent que GPR55 peut modifier l'activité des cônes, des cellules bipolaires et des cellules de la rétine interne avec des conséquences comportementales. / The observations on how cannabis affects multiple properties of vision have fostered the interest in the study of the functions of cannabinoid receptors CB1 and CB2 in the visual system. However, other non-classical cannabinoid receptors are thought to be involved in mediating the actions of cannabinoid ligands in the eye. One of these candidate receptors is GPR55, a receptor that modulates the growth and axonal guidance of retinal ganglion cells during development in mice. The purpose of this study was to investigate the effects of the deletion of the Gpr55 gene and the pharmacological modulation of GPR55 on retinal function and visual behavior. Full-field scotopic and photopic electroretinography (ERG) were used to functionally assess the state of the retina. Recordings obtained from Gpr55-/- mice revealed a diminution of the scotopic b-wave and the photopic a-wave responses. These animals also had reduced and delayed oscillatory potentials. The optomotor reflex method was used to evaluate the consequences of Gpr55 deletion on visual acuity and contrast sensitivity. The absence of GPR55 delayed the developmental trajectory of visual acuity in Gpr55 knockout mice without affecting the maximum visual acuity reached in adulthood. Pharmacological manipulation of GPR55 in adult wild-type mice did not alter visual acuity. Both the deletion of Gpr55 and the administration of a receptor antagonist decreased contrast sensitivity while an agonist of GPR55 increased contrast sensitivity. These observations suggest that GPR55 can modify the activity of cones, bipolar cells, and cells in the inner retina with behavioral consequences.

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