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Explaining why survey respondents answer 'I don't know' : an analysis of missing data and data quality on the general social survey /Young, Clifford Alexander. January 2001 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Chicago, Dept. of Sociology, 2001. / Includes bibliographical references. Also available on the Internet.
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Achievement, locus of control, self-concept, social problem solving training and the acquisition of prosocial skills in children /Russomano, Laura. January 2000 (has links) (PDF)
Thesis (Ed. D.)--Seton Hall University, 2000. / Includes bibliographical references (leaves 105-115). Also available online from the Seton Hall University web site. Address as of 7/24/02: http://library.shu.edu/dissertations/Russomano-Laura.pdf.
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Fee charging as a policy principle and its implication to social service development in Hong Kong /Lui, Daisy. January 1982 (has links)
Thesis (M.S.W.)--University of Hong Kong, 1982.
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An inquiry into some of the reasons for the necessity and delays in the implementation of a contributory social security scheme in Hong Kong /Tso, Yeung, Arthur. January 1982 (has links)
Thesis (M.S.W.)--University of Hong Kong, 1982.
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Bowling online : smartphones, mobile messengers, and mobile social games for Korean teen girlsSeo, Hogeun 16 February 2015 (has links)
Due to their arduous schedules, Korean high school students have little time to socialize with their peers face-to-face. Because of this, socializing in online environments is important to them. Using smartphone applications, Korean high school girls are creating their own cultural practices as they socialize. However, media repeatedly report concerns about adolescents’ excessive use of smartphones, and the public has begun to worry about children’s media dependence. In exploring these phenomena, I pose four research questions: 1) what do smartphones mean to South Korean high school girls? 2) How do South Korean high school girls socialize through mobile messengers, such as Kakao Talk, and how are these activities related to their social capital and social networks? 3) How do South Korean high school girls socialize through mobile social games connected to mobile messengers, and how are these activities related to their social capital and social networks? 4) How is Korean high school girls’ attachment to smartphones related to smartphone addiction? For this research, I conducted focus group interviews with 23 Korean high school girls about their smartphone use. The findings of this research revealed that 1) South Korean high school girls established an exceptional attachment to smartphones; 2) interviewees were complementing the deficiency of offline socializing by establishing alternative online communities through smartphone messengers, and these social behaviors were increasing their bonding social capital; 3) Korean high school girls were interacting with their strong ties through mobile social games, and the interactions with their weak ties were limited and superficial; and 4) Korean high school girls were at risk for smartphone addiction in accordance with the existing criteria for media addiction. / text
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The role of the social worker in the Veterans Administration Guidance Center, Atlanta University, Atlanta, GeorgiaHill, Hugh Ravaue 01 June 1952 (has links)
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Le rôle des aidants familiaux en fonction de différents milieux de vie des personnes âgées en perte d'autonomie : point de vue des intervenants rémunérésAllaire, Marjorie January 2006 (has links) (PDF)
La présente étude a comme objectif général de connaître le point de vue des intervenants rémunérés sur le rôle des aidants familiaux en fonction de différents milieux de vie où vivent des personnes âgées en pertes d'autonomie. Cinq rencontres de groupes réunissant quatorze intervenants ont eu lieu. Deux groupes étaient formés d'intervenants sociaux travaillant dans des centres locaux de services communautaires (CLSC), un groupe d'intervenants provenait de centres hospitaliers de soins de longue durée (CHSLD), un groupe de répondants ?uvrait dans des résidences intermédiaires et un dernier groupe réunissait des intervenants travaillant dans des résidences privées à but lucratif ou sans but lucratif. Le contenu des rencontres de groupe ont permis de répondre à trois grandes questions : 1) Comment les intervenants perçoivent-ils le rôle des aidants familiaux ? 2) Comment, à partir de cette perception, les intervenants conçoivent-ils leur rôle et leur fonction d'aide auprès des aidants familiaux ? 3) Quelles sont les différences dans les perceptions des intervenants en fonction des milieux de vie des personnes âgées ?
Les résultats de l'étude, qui repose sur la typologie de Twigg(1988), révèlent que les intervenants rémunérés, compte tenu de leurs spécificités professionnelles, s'accordent un rôle prédominant au niveau décisionnel et dans la mise en ?uvre du plan d'intervention. Par ailleurs, ils attribuent aux aidants familiaux un rôle d'exécutant des tâches prédéterminées par le réseau formel, fondées sur la connaissance personnelle qu'ils ont de leurs parents âgés. Il appert également que les caractéristiques propres aux aidants formels et informels rendent difficiles l'harmonisation des services dans la prestation des soins aux personnes âgées, principalement en regard d'un partage inéquitable des tâches entre ces acteurs. De plus, n'étant pas considérés comme des clients par les organisations formelles, les aidants informels se voient octroyer très peu de services.
L'analyse du discours des intervenants issus de divers milieux révèle que ceux-ci reconnaissent que la participation des aidants familiaux à la prestation des soins à leurs parents âgés en perte d'autonomie est actuellement essentielle dans un objectif commun de soutien aux aînés. Les répondants, à l'exception de ceux qui ?uvrent dans un CLSC, ont plusieurs attentes envers les aidants familiaux. Ces attentes surpassent les tâches auxquelles on s'attend habituellement des aidants, telles que les visites occasionnelles, l'accompagnement lors de sorties, l'achat de biens personnels ou le soutien affectif. Les intervenants souhaitent que les aidants s'impliquent également dans la prestation des soins d'hygiène et des soins de santé. Selon la théorie de Litwak (1985), ces tâches vont au-delà des habiletés naturelles des aidants familiaux. Selon les répondants, la totalité des milieux de vie ont pour préoccupation première la personne âgée en perte d'autonomie. Les aînés et ce sont ces derniers qui sont considérés comme les clients ayant droit à des services. Ces considérations uniques de la part des employeurs et des dirigeants envers les personnes âgées dépendantes font en sorte que les établissements négligent, bien souvent, les familles aidantes. Cette perception unanime qui transcende les milieux de vie a comme conséquence qu'une proportion infime, sinon nulle, des services est formellement destinée aux aidants.
En ce qui concerne les difficultés vécues dans la prestation des services, tous les intervenants insistent principalement sur le manque de crédits en raison des nombreuses coupures budgétaires ainsi que sur l'insuffisance du personnel qualifié. Ces contraintes se font davantage sentir avec l'augmentation constante de la clientèle. De plus, les participants considèrent que leur clientèle est de plus en plus lourde, qu'elle éprouve davantage de besoins et qu'elle nécessite des soins de plus en plus complexes. Les intervenants des différents milieux de vie estiment avoir très peu de moyens pour soutenir les aidants. Seuls les milieux de vie naturels (CLSC) ont la possibilité d'offrir le service de répit gardiennage, lequel demeure limité. Les trois autres milieux de vie (CHSLD, ressources intermédiaires et résidences privées) n'ont pour leur part aucun service formel à offrir aux aidants familiaux.
Les participants souhaitent, à l'unanimité, une augmentation des budgets afin d'accroître le nombre d'intervenants dûment qualifiés et de services offerts. Cette mesure est essentielle aux yeux des participants afin de répondre adéquatement aux besoins des aînés. Ces besoins ne cessent d'augmenter en termes de demandes et de complexité des soins. Tous s'entendent également sur la nécessité de mettre en place des programmes particuliers à l'intention des aidants familiaux. Enfin, les répondants considèrent que les tâches effectuées par les aidants auprès de leurs parents en perte d'autonomie et dans le besoin devraient être considérées comme un travail rémunéré avec des droits de vacances et des congés de maladie. Selon les répondants, il importe que les établissements développent des liens plus étroits en partenariat avec les autres organismes qui poursuivent des fins similaires ou d'autres fins utiles tels les organismes communautaires, les centres de jour, les services de loisir, les associations, etc. De plus, ces intervenants souhaitent que les établissements publics soient moins structurés pour permettre plus de souplesse et d'individualité dans la prestation de soins plus humanisés aux personnes âgées.
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La relation de soins et de services : entre le lien social de don, le lien d'autorité et le lien de sacrificeCôté, Andrée January 2003 (has links) (PDF)
Une préoccupation qui existe chez l'humain est de savoir comment on produit et on reproduit la vie. Plusieurs auteurs scientifiques ont parlé d'une soupe quantique qui serait à la base de tout ce qui existe. Jacques T. Godbout et Alain Caillé, dans L'Esprit du don, 1992 parlent de cette soupe quantique qui se situe au plan éthérique (subtil) du lien social, en tant que « liant social », ce que nous utiliserons tout au long de ce mémoire.
Se préoccuper du liant dans un mémoire de maîtrise, c'est faire une étude audacieuse sur le lien qui existe, à tous les plans possibles entre les humains et leur environnement, et qui procure les échanges nécessaires à la production et à la reproduction de la vie. Nous avons choisi de réduire volontairement l'étude en tentant de comprendre comment s'entretient la vie, pour les personnes en situation de dépendance. Parce qu'elles dépendent des soins et des services, nous avons voulu rencontrer des personnes handicapées, qui habitent une ressource alternative d'hébergement, afin de leur donner la parole sur leur réalité concernant la relation de soins et de services qui entretiennent la vie.
Nous tentons de faire ressortir les types de liens possibles de l'expérience humaine composant le liant social qui émergent après le passage de la famille à la ressource alternative d'hébergement. Cela nous amène à faire la différence entre ce qui relève d'un lien social de don et ce qui relève de tout autre chose. Entre autres, nous comprenons qu'il existe trois registres de l'expérience humaine. D'abord, il y a tout ce qui relève du lien d'autorité. Dans un deuxième temps, il y a tout ce qui relève du lien de sacrifice. Enfin, il y a l'expérience du lien social de don qui, par-delà l'autorité et le sacrifice, laisse à l'être humain toute son intégrité, son identité, son individualité et sa liberté d'être ce qu'il est, en lien avec autrui.
C'est par des éléments que nous appelons des conditions de don que nous tentons de comprendre le lien entre soi, l'autre et l'environnement Ces conditions sont reliées à un lieu, un espace et un temps donné, mais aussi à l'ambiance qui dépend en partie de l'attitude des intervenantes. Toutes ces conditions disposent l'être humain à l'échange social. Parmi ces conditions de don, il faut mentionner l'importance des attitudes comme le respect, la gentillesse, l'écoute, le sourire (ouverture à autrui), la discrétion et la confidentialité, qui prédisposent l'humain à la confiance, la sécurité et l'intimité nécessaires au lien social de don. Toutes ces conditions de lien nous amènent à comprendre comment le lien social de don s'établit et de quelle manière il se manifeste. Nous pouvons voir également de quelle façon le lien social de don se retrouve en opposition aux deux autres types de lien (autorité et sacrifice) dans le liant social, mais également à quels plans il se crée. À partir de cela, nous pouvons mieux comprendre le liant social, ainsi que le processus complexe qui remet l'humain au c?ur même de son intégrité, de son identité, de son individualité et de sa liberté de demeurer en lien avec autrui ou de se retirer à l'intérieur de lui-même, afin de demeurer en contact avec la création, le cosmos.
Enfin, atteindre le lien social de don, qui fait partie du liant social, c'est recentrer l'être humain dans un lien où il a la liberté et le pouvoir de solutionner ses différents problèmes, en lui-même ou avec autrui. L'étude du lien social de don, permet la différenciation des échanges humains qui peuvent mener à la définition d'un nouveau paradigme social. Le lien social de don éclaire le liant social. Le lien social de don, qui est tout autre chose que la gratuité, risque de faire capituler l'idéologie patriarcale et capitaliste, et cela, de façon à remettre à l'humain toute la dignité et le respect auxquels il a droit dans l'échange. D'où l'importance de comprendre la profondeur des échanges et le sens qu'on leur donne.
En effet, comprendre le liant social, c'est voir enfin que le lien social de don peut servir au maintien de l'intégrité, de l'identité et de l'individualité, dans un système plus vaste et plus profond que l'humanité, soit dans son lien avec autrui et l'Univers. Dès lors, il faut tenter de comprendre comment il peut être un facteur de choix moral, de développement social et d'évolution des collectivités. Par-delà les soins que nous nous portons, en tant qu'êtres d'une même société et en assurant protection et secours aux plus démunis, nous manifestons notre façon d'assurer notre survie, mais également notre lien à autrui et à ce qui nous entoure. Nous manifestons notre façon de produire et de reproduire la vie, d'où l'importance d'examiner la manière dont nous accordons les soins.
Dans un contexte où l'État tente de redonner la responsabilité des soins et des services aux collectivités, il est important de tenter de comprendre comment le liant social ou le lien social de don peut participer au développement des collectivités, à des changements de système de soins comprenant des changements matériels, relationnels (verbal et psychologiques), organisationnels, éthiques, idéologiques et de changements de valeurs concernant la manière de donner les soins. Pour cela, nous avons rencontré un groupe de personnes qui habitent une ressource alternative d'hébergement de soins et de services, afin de comprendre le changement au coeur de la relation de soins et de services. Nous avons parlé du passage des soins et services assurés par la famille à ceux de la ressource alternative d'hébergement, ce qui nous a fait comprendre les choix sous-jacents au changement de système de soins. En plus, cela nous a fait comprendre le processus, la profondeur et la manifestation du liant social.
D'une part, nous avons différencié le lien social de don des liens sociaux d'autorité et de sacrifice. D'autre part, nous avons identifié les différents plans de liens sociaux dans l'expérience de ceux qui reçoivent les soins et services au sein d'une ressource alternative d'hébergement et de services. Enfin, toute cette recherche nous a permis d'identifier non seulement les différents plans de liens sociaux et les différents types de liens, mais également de comprendre de quelle manière l'éducation, la socialisation et la culture d'une société influence la prise de contact entre les différents membres d'une collectivité.
Cette étude sert à comprendre également de quelle manière le lien social de don peut participer à la nouvelle négociation sociétale. En effet, au départ, le lien social de don a permis de libérer les personnes dépendantes des liens d'autorité et de sacrifice au sein des familles. Ainsi, il s'est avéré que les personnes dépendantes ont plus de pouvoir de négociation du lien social dans la relation de soins avec les intervenantes des ressources alternatives d'hébergement. Ensuite, le lien social de don, dans le passage des soins invisibles
de la famille aux soins visibles de la ressource alternative, permet aux femmes de faire reconnaître leur force de travail, puisque ce sont entièrement des femmes qui travaillent au sein de la ressource alternative étudiée, ce qui amène l'idée d'une nouvelle forme de participation des femmes au développement des collectivités.
De plus, l'apparition de nouveaux lieux de soins et services comme les ressources alternatives d'hébergement, qui relèvent d'un organisme communautaire mis sur pied par l'OMH qui se nomme Hébergement Plus, ainsi que de l'organisation communautaire du CLSC, permet de mettre les personnes dépendantes en relation avec le secteur public, communautaire, et marchand, tout en demeurant au sein de leur domicile privé. Des lieux qui permettent une nouvelle négociation du lien social, au sein de structures qui sont porteuses de différentes idéologies. Le croisement des secteurs marchand, public et privé pourrait amener une opportunité de complémentarité et de partenariat face au développement des ressources qui dispensent les soins et les services au sein des collectivités. Toute la question de la cohabitation des différentes idéologies permet une nouvelle négociation sociale au sein des collectivités. Les ressources alternatives d'hébergement pour les personnes handicapées, avec leur idéologie à multiples facettes, devraient permettre la prise en charge des problèmes collectifs que sont la maladie et la dépendance. Cette nouvelle négociation, plus proche du développement social, comprend tous les secteurs de développement, mais aussi tous les aspects de développement.
Le développement social ne peut se faire autrement qu'en passant par l'être, qui est la principale clé du développement, et cela à tous les plans de liens sociaux et dans tous les secteurs de développement. Il est donc d'une importance capitale de comprendre le processus du liant social. Quelle est la manifestation du liant au c?ur de l'humain? Quels sont les principaux freins de cette manifestation du lien et enfin, comment faciliter la manifestation du lien social de don? Le liant social étant à la base même des échanges qui font partie d'un rapport plus égalitaire entre les êtres, tenter de comprendre le liant social, c'est comprendre la liberté de choix social qui permet de conserver intégrité, identité et individualité entre soi et l'autre, entre soi et l'environnement, entre soi et la collectivité ou encore, entre soi et la création.
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Reasons why people get involved with community organizations: a case study of the Social Justice Committee of MontrealTaylor, Deane Thomas January 2009 (has links)
Volunteers are an integral part of the community organizing movement. This thesis explores the issue of popular involvement in community organizations by examining the reasons why people get involved and what barriers limited participation in the Social Justice Committee of Montreal (SJC). This thesis is based on an exploratory case study. The data is mainly derived from one-on-one interviews with SJC volunteers. The main finding is that factors such as being invited to join by a friend and participating in popular education presentations had a positive impact on volunteer involvement. The thesis argues that community organizers can build trust amongst volunteers by offering them space for dialogue and personal initiatives within the organization. Implications for social work practice, policy and education are also offered. / Les bénévoles font partie intégrante des organismes communautaires. Ce mémoire s'intéresse au phénomène de l'implication bénévole au sein de ces organismes en s'attardant particulièrement aux raisons ayant emmené différentes personnes à s'impliquer auprès du Comité pour la justice sociale (CJS) de Montréal ainsi qu'aux obstacles ayant pu limiter leur implication. Une étude de cas exploratoire a été menée en analysant le contenu d'entrevues réalisées avec des bénévoles du CJS. Les résultats de cette étude ont démontré que des facteurs tels le fait d'être invité par un ami à faire part de l'organisme et la participation à des ateliers d'éducation populaire ont eu un impact positif sur l'implication de ces personnes. Ce mémoire souligne donc l'importance de créer des liens de confiance entre les bénévoles même en leur offrant un espace de discussion et en les invitant à prendre des initiatives au sein de l'organisme. De plus, ces résultats ouvrent la voie à un débat sur les pratiques de service social en général ainsi que sur les implications politiques et éducationnelles de l'engagement communautaire.
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Documented symptoms in children exposed to domestic violenceHopwood-Wallace, Shirley E January 2010 (has links)
Children who experience trauma due to exposure to domestic violence are at risk of both physical and emotional harm and may exhibit symptoms of trauma that impact their functioning. This raises questions regarding the number of children who do exhibit symptoms and whether child protection workers document these symptoms during the post-investigative stage of service delivery. The present study examines the documentation of child symptoms in a review of 70 files in which children were receiving ongoing child welfare services due to exposure to domestic violence. The results of the file review indicate that children who have been exposed to domestic violence continue to exhibit symptoms during the post-investigative stage. However, there were very few cases in which the child protection worker attributed these symptoms to the trauma the child experienced. Practice implications, including the need for increased training for both trauma and assessment, are discussed. / L'exposition des enfants à la violence conjugale constitue une forme de mauvais traitement psychologique, dont certaines manifestations sont reconnues dans les typologies de la maltraitance physique et émotionnel. De plus, ces mêmes enfants évoluent dans un climat violent qui leur occasionne des symptômes reliés au trauma ayant un impact sur leur fonctionnement. Nous nous sommes intéressés à savoir si l'intervenant qui mène une évaluation en protection de la jeunesse tient compte de ces symptômes à la conclusion de son enquête et fait le lien au trauma. Cette recherche dépouille au-delà de 70 dossiers d'enfants exposés à la violence conjugale et passe en revue la documentation des intervenants cherchant spécifiquement la notation des symptômes et le trauma. La recherche conclut en soulignant d'abord que le trauma persiste chez les enfants suivant une exposition à la violence conjugale et qu'il s'avère souvent difficile pour l'intervenant de reconnaître le lien entre les symptômes manifestés et le trauma. Des pistes d'intervention, incluant la nécessité d'une formation plus approfondie au niveau de l'impact du trauma et de l'évaluation sont également discutées.
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