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L’histoire ecclésiastique de Socrate de Constantinople : banque de données et autorité historiographiques pour la création d’œuvres originales au VIè. s. (Théodore le Lecteur, Cassiodore, la première version arménienne / The ecclesiastical history of Socrates of Constantinople : databank and historiographical authority for the creation of original works in the 6th. s. ( Theodore the Reader, Cassiodorus, the first Armenian version )

Delacenserie, Emerance 09 September 2016 (has links)
Cette thèse doctorale a pour objet l’étude de la réception de l’Histoire Ecclésiastique de Socrate de Constantinople dans trois œuvres tardo-antiques : l’Histoire Tripartite (HT) de Théodore le Lecteur, composée en grec en 518, l’Histoire Tripartite (HT) de Cassiodore composée en latin (1re moitié du VIe s.), et la première version arménienne de Socrate (« Grand Socrate ») (VIe-VIIe s.). Les œuvres de Théodore et de Cassiodore sont traditionnellement considérées comme de simples compilations alors que le Grand Socrate n’est perçu que comme une traduction. Une double question a guidé notre recherche : comment et pourquoi les auteurs tardo-antiques ont-ils exploité l’Histoire Ecclésiastique de Socrate de Constantinople ? Pour répondre à ces questions, nous avons examiné quel rôle jouait l’œuvre de Socrate dans chacun des trois témoins ciblés, en déterminant préalablement la fonction de ces œuvres « réceptrices » à leur propre époque. Dans les trois témoins analysés, malgré les différences apparentes entre « compilation » et « traduction », l’auteur a procédé à une déconstruction de l’Histoire ecclésiastique de Socrate – son matériel historiographique est disséqué en notices ou en morceaux – et a ensuite arrangé ce matériel, l’a reconstruit selon des critères méthodologiques et historiographiques propres. L’œuvre de Socrate est avant tout une source d’informations sur l’histoire de l’Eglise dont se servent les trois « récepteurs » en vue de créer leur propre récit, original, des mêmes événements. L’entérinement de leur récit ne repose pas sur le respect de la signification historiographique de l’œuvre de Socrate mais sur l’autorité qui émane de l’invocation du nom de son auteur. / This Ph.D. thesis examines the reception of the Church History of Socrates of Constantinople in three late-antique historiographical texts: the Tripartite History (TH) of Theodorus Lector, composed in Greek in 518, the Tripartite History (TH) of Cassiodorus, written in Latin in the first half of the sixth century, and the first Armenian version of Socrates (the so-called « Great Socrates », 6th-7th c.). The works of Theodorus and Cassiodorus are traditionally considered to be mere compilations whereas the Great Socrates was considered a mere translation. The core research question of this thesis is a double one: how and why did these late-antique authors use the Church History of Socrates of Constantinople? In order to answer these questions, I examine the role of Socrates’ work in each of the three historiographical texts under examination in view of the function that each of these new texts fulfilled in their own context. Notwithstanding the differences between a “compilation” and a “translation”, or the clear differences between the HT of Cassiodorus and Theodore, each of our three witnesses has deconstructed the Ecclesiastical History of Socrates, divided it up in separate notices and pieces, then re-arranged the material to reconstruct it according to his own methodological and historiographical criteria. Socrates is above all a source of information for church history, used by all three witnesses with the aim of creating their own, original narrative of the same events. The validity of their narrative does not derive from a respect for the historiographical significance of the work of Socrates but on the authority evoked by his very name.
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La primauté d'honneur du patriarcat de Constantinople au Ve siècle : l'apport de Jean Chrysostome tel que présenté par ses contemporains

Maltais, Simon 08 1900 (has links)
S’il est généralement reconnu que le processus d’institutionnalisation de l’Église s’est accéléré au IVe siècle, certaines de ses étapes nous sont moins connues. Ce mémoire cherche à évaluer l’importance de Jean Chrysostome dans l’émergence de la primauté d’honneur de Constantinople. Après une étude attentive du troisième canon du concile de Constantinople I mise en relation avec l’opinion de trois auteurs contemporains, c’est-à-dire Palladius d’Hélénopolis, Socrate de Constantinople et Sozomène, il ressort de ce travail que l’épiscopat de Jean Chrysostome a favorisé l’implantation de cette prééminence dans l’Église. L’analyse des modalités de la primauté d’honneur de Constantinople montre bien qu’historiquement, les évêques de l’ancienne et de la nouvelle Rome n’ont pas construit leur primat à l’aide des mêmes arguments. L’explicitation de ces éléments ne se veut pas une prise de position dans les débats oecuméniques actuels, mais plutôt un préliminaire permettant une meilleure compréhension des données du problème. / Even though it is generally accepted that the Church institutionalization process accelerated in the IVth century, some of its steps are less known. This dissertation tries to assess John Chrysostom’s importance in the emergence of Constantinople’s primacy of honour. After a thorough study of the third canon of the council of Constantinople I and of the opinion of three contemporary authors, namely Palladius of Helenopolis, Socrates of Constantinople and Sozomenos, the results of this works are that John Chrysostom’s episcopate fostered the implementation of this preeminence in the Church. The analysis of the terms of the primacy of honour of Constantinople shows that historically, the bishops of Old and New Rome did not build their primacy with the same arguments. Clarifying these elements is not a way to make a stand in the current ecumenical debate, but rather is a preliminary step to a better understanding of the problem.
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La primauté d'honneur du patriarcat de Constantinople au Ve siècle : l'apport de Jean Chrysostome tel que présenté par ses contemporains

Maltais, Simon 08 1900 (has links)
S’il est généralement reconnu que le processus d’institutionnalisation de l’Église s’est accéléré au IVe siècle, certaines de ses étapes nous sont moins connues. Ce mémoire cherche à évaluer l’importance de Jean Chrysostome dans l’émergence de la primauté d’honneur de Constantinople. Après une étude attentive du troisième canon du concile de Constantinople I mise en relation avec l’opinion de trois auteurs contemporains, c’est-à-dire Palladius d’Hélénopolis, Socrate de Constantinople et Sozomène, il ressort de ce travail que l’épiscopat de Jean Chrysostome a favorisé l’implantation de cette prééminence dans l’Église. L’analyse des modalités de la primauté d’honneur de Constantinople montre bien qu’historiquement, les évêques de l’ancienne et de la nouvelle Rome n’ont pas construit leur primat à l’aide des mêmes arguments. L’explicitation de ces éléments ne se veut pas une prise de position dans les débats oecuméniques actuels, mais plutôt un préliminaire permettant une meilleure compréhension des données du problème. / Even though it is generally accepted that the Church institutionalization process accelerated in the IVth century, some of its steps are less known. This dissertation tries to assess John Chrysostom’s importance in the emergence of Constantinople’s primacy of honour. After a thorough study of the third canon of the council of Constantinople I and of the opinion of three contemporary authors, namely Palladius of Helenopolis, Socrates of Constantinople and Sozomenos, the results of this works are that John Chrysostom’s episcopate fostered the implementation of this preeminence in the Church. The analysis of the terms of the primacy of honour of Constantinople shows that historically, the bishops of Old and New Rome did not build their primacy with the same arguments. Clarifying these elements is not a way to make a stand in the current ecumenical debate, but rather is a preliminary step to a better understanding of the problem.

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