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Les monuments publics de Raymond Delamarre (1890-1986) / Raymond Delamarre's public monuments (1890-1986)

Haurie, Béatrice 29 June 2012 (has links)
Premier grand prix de sculpture en 1919, le parisien Raymond Delamarre se positionne dans le nouvel ordre plastique néo-classique du groupe des prix de Rome des années 20 (peintres Dupas, Roganeau, Billotey, Pougheon et Despujols, sculpteurs Foucault, Janniot, Martial et Vézien, graveur Decaris, architectes Carlu, Roux-Spitz et Azéma). Porté par nature au colossal, il se libère de l’académisme de l’école des Beaux-Arts et concilie sa spécificité de médailleur et d’artiste-décorateur avec celle de la monumentalité. Recevant ses commandes d’architectes souvent prix de Rome, il est avant tout un sculpteur élégant aimant les allégories. Ses œuvres complexes se situent entre tradition décorative, hyperréalisme et modernité classicisante. Il puise sa plasticité volumétrique et ses simplifications aux sources de l’art grec archaïque et ses modèles techniques et stylistiques à la toreutique romaine. Sensible aux maniéristes italiens, il se réfère aussi à l’art français sous toutes ses formes. Il emprunte leurs sinuosités à Ingres, Burne-Jones et l’Art nouveau, au synthétisme de Bourdelle et au style Art déco. La théorie des profils de Rodin lui apprend sa gymnastique de la vue. Janniot lui inspire les étagements des figures dans ses reliefs monumentaux. Sa recherche de références fiables donne une valeur historiciste, didactique et symbolique à ses œuvres qui, après guerre, deviennent parfois trop systématiques. Il excelle dans l’expression de formes lisibles, aux lignes poétiques originales, qui doivent aux audaces des cubistes. Il affirme la continuité d’une identité nationale de l’art et montre qu’elle peut donner naissance à des créations puissantes, rythmées et inventives.italiens, il se réfère aussi à l’art français sous toutes ses formes. Il emprunte leurs sinuosités à Ingres, Burne-Jones et l’Art nouveau, au synthétisme de Bourdelle et au style Art déco. La théorie des profils de Rodin lui apprend sa gymnastique de la vue. Janniot lui inspire les étagements des figures dans ses reliefs monumentaux. Sa recherche de références fiables donne une valeur historiciste, didactique et symbolique à ses œuvres qui, après guerre, deviennent parfois trop systématiques. Il excelle dans l’expression de formes lisibles, aux lignes poétiques originales, qui doivent aux audaces des cubistes. Il affirme la continuité d’une identité nationale de l’art et montre qu’elle peut donner naissance à des créations puissantes, rythmées et inventives. / A first prize winner for sculpture in 1919, parisian-born Raymond Delamarre belongs to the neo-classical plastic order of the prize winners of the 20’s : painters Dupas, Roganeau, Billotey, Pougheon and Despujols, sculptors Foucault, Janniot, Martial et Vézien, engraver Decaris, architects Carlu, Roux-Spitz et Azéma. Attracted by colossal works, Delamarre gets free from the academic teachings of Beaux-Arts and reconciles his art as a medal-maker /decorator with a monumental one. Commissioned by architects, often Rome winners too, he is first and foremost a learned, elegant sculptor, with a liking for allegories, creating intricate works, half way between a decorative tradition, a high degree of realism and modern art. Volume plasticity and simplification of lines are derived from archaic Greek art and his technical and stylistic models from Roman toreutics. Influenced by Italian mannerists, he refers to French art in its various forms. The sinuous lines are borrowed from Ingres, Burne-Jones and Art nouveau, from Bourdelle’s synthetic art and Art Deco style. His agile mind’s eye is ensured by Rodin’s theory of profiles. The arrangement of his figures at various levels in his monumental reliefs are inspired by Janniot. His search for reliable references lend a historical, didactic and symbolical value to his work which, after the war, sometimes become too systematic. He is at his best when expressing very readable forms in original, poetic lines, akin to the daring attempts of cubists. However, he reasserts the continuity of a national identity of art, and shows that it can thus give birth to powerful, rythmic and greatly inventive plastic creations.
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Les monuments publics de Raymond Delamarre (1890-1986)

Haurie, Béatrice 29 June 2012 (has links) (PDF)
Premier grand prix de sculpture en 1919, le parisien Raymond Delamarre se positionne dans le nouvel ordre plastique néo-classique du groupe des prix de Rome des années 20 (peintres Dupas, Roganeau, Billotey, Pougheon et Despujols, sculpteurs Foucault, Janniot, Martial et Vézien, graveur Decaris, architectes Carlu, Roux-Spitz et Azéma). Porté par nature au colossal, il se libère de l'académisme de l'école des Beaux-Arts et concilie sa spécificité de médailleur et d'artiste-décorateur avec celle de la monumentalité. Recevant ses commandes d'architectes souvent prix de Rome, il est avant tout un sculpteur élégant aimant les allégories. Ses œuvres complexes se situent entre tradition décorative, hyperréalisme et modernité classicisante. Il puise sa plasticité volumétrique et ses simplifications aux sources de l'art grec archaïque et ses modèles techniques et stylistiques à la toreutique romaine. Sensible aux maniéristes italiens, il se réfère aussi à l'art français sous toutes ses formes. Il emprunte leurs sinuosités à Ingres, Burne-Jones et l'Art nouveau, au synthétisme de Bourdelle et au style Art déco. La théorie des profils de Rodin lui apprend sa gymnastique de la vue. Janniot lui inspire les étagements des figures dans ses reliefs monumentaux. Sa recherche de références fiables donne une valeur historiciste, didactique et symbolique à ses œuvres qui, après guerre, deviennent parfois trop systématiques. Il excelle dans l'expression de formes lisibles, aux lignes poétiques originales, qui doivent aux audaces des cubistes. Il affirme la continuité d'une identité nationale de l'art et montre qu'elle peut donner naissance à des créations puissantes, rythmées et inventives.italiens, il se réfère aussi à l'art français sous toutes ses formes. Il emprunte leurs sinuosités à Ingres, Burne-Jones et l'Art nouveau, au synthétisme de Bourdelle et au style Art déco. La théorie des profils de Rodin lui apprend sa gymnastique de la vue. Janniot lui inspire les étagements des figures dans ses reliefs monumentaux. Sa recherche de références fiables donne une valeur historiciste, didactique et symbolique à ses œuvres qui, après guerre, deviennent parfois trop systématiques. Il excelle dans l'expression de formes lisibles, aux lignes poétiques originales, qui doivent aux audaces des cubistes. Il affirme la continuité d'une identité nationale de l'art et montre qu'elle peut donner naissance à des créations puissantes, rythmées et inventives.
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Le processus de stylisation : le cas de l'illustration éditoriale

Berger, François 22 June 2021 (has links)
L'illustration éditoriale, définie comme une forme de communication visuelle, a comme principale fonction d'éclairer un sujet d'actualité à l'aide de moyens picturaux. Bien que celle-ci soit, en partie, médiée par ce que Kress et van Leuween (2006) nomment les interactive participants, une grande liberté interprétative est accordée à l'illustrateur et à ce qu'il convient d'appeler son style. À la lecture de différents ouvrages traitant de la notion de style, il est observable que les diverses postures théoriques peinent à s'affranchir de l'habituelle distinction entre conception historique et individuelle du style. En effet, les réflexions portent généralement sur l'objet stylisé et rarement sur le processus par lequel celui-ci prend forme. Se situant davantage au niveau de la pratique que du simple fait de style, l'objectif de cette recherche vise à identifier les différents facteurs favorisant le développement du style de l'illustrateur éditorial. Pour ce faire, quatre entretiens avec des illustrateurs ont été menés. Les résultats obtenus permettent de constater que le développement du style relève principalement d'un système de valeurs collectives sur lequel se surimposent les valeurs individuelles du sujet. Par ailleurs, l'importance de la manière d'être, comme préalable opérationnel d'une manière de faire, est discutée dans l'optique d'enrichir aussi bien la pratique professionnelle de l'illustration éditoriale que les approches pédagogiques s'appliquant aux domaines plus large de la création.
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Books, reading, and knowledge in Ming China

Dai, Lianbin January 2012 (has links)
The art of reading and its application to knowledge acquisition and innovation by elites have been largely neglected by historians of print culture and reading in late imperial China (1368-1911). Unlike most studies, which are concerned more with the implied reader and individual reading experience, the present study assumes that the actual reader and the social, cultural and epistemic dimensions of reading practices are the central issues of a history of reading in China. That is, while the art of reading was internalized by the individual, his learning and application of it had social, cultural and epistemic features. At a time when secular reading practices in Renaissance England were informed by Erasmian principles, Ming literati, regardless of their different philosophical stances, were being trained in an art of reading proposed by Zhu Xi (1130-1200), whose Neo-Confucian philosophy had been esteemed as orthodox since the fourteenth century. Transformations and challenges in interpreting and applying his art did not hinder its general reception among elite readers. Its common employment determined the practitioner’s epistemic frame and manner of knowledge innovation. My dissertation consists of five chapters bracketed with an introduction and conclusion. Chapter One discusses Zhu’s theory of reading and the implied pattern of acquiring and innovating knowledge, based on a careful reading of his writings and conversations. Chapter Two describes the transmission of Zhu’s theory from the thirteenth to the seventeenth centuries. During its transmission, Zhu’s art was reedited, rephrased, and even readapted by both government agencies and individual authors with different intentions and agendas. Chapter Three focuses on the reception of Zhu’s theory of reading by 1500 and argues that the moral end of reading eventually triumphed over the intellectual one in early Ming Confucian philosophy. Chapter Four explores the affinity of Ming philosophers of mind with Zhu’s theory in their reading concepts and practices from 1500 to the mid-seventeenth century. Despite their attempts to separate themselves intellectually from the Song tradition, Ming philosophers of mind followed Zhu’s rules for reading in their intellectual practices. Chapter Five outlines the reading habits and knowledge landscape based on a statistical survey of extant Ming imprints. Despite some deviations, the Ming reading habits and knowledge framework largely accorded with Zhu’s theory and its Ming adaptations. The continuity of reading habits from Zhu’s time to the seventeenth century, I conclude, inspires us to rethink the Ming apostasy from the Song tradition. The particularity of scholarly knowledge acquisition and innovation in Ming-Qing China by the eighteenth century was not invented by Ming-Qing scholars but anticipated by Zhu through his theory of reading. With respect to late imperial China, the history of reading, together with the history of knowledge, is yet to be fruitfully explored. With this dissertation, I hope to be able to make a contribution to the understanding of the East Asian orthodox habit of reading as represented by Zhu’s admirers. By placing my investigation in the context of the history of knowledge, I also hope to contribute to the understanding of the relationship of reading to the way that knowledge evolved in traditional China. Intellectual historians tended to consider the Ming Confucian tradition as having broken off from the Cheng-Zhu tradition, but at least in reading habits and practices Ming elite readers perpetuated Zhu’s theory of reading and the knowledge framework it implied.

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