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L' "e-démocratie " : un renouvellement des modes d'exercice du pouvoir et / ou une redéfinition des modes d'expression des citoyens ?

Le Rudulier, Stéphane 15 December 2011 (has links)
S’interroger sur la place des nouveaux médias dans le renouvellement des figures de la démocratie notamment dans le cadre d’une réflexion sur la crise de la représentation et du décentrement des formes de la démocratie, amène a fortiori beaucoup de réponses très diverses et contradictoires. Néanmoins, la forme politique des nouveaux médias, lorsqu’elle n’est pas négligée, est souvent considérée comme un trouble fait encombrant. La manière dont les nouveaux médias sont évoqués à travers le débat public rend parfois peu justice à certaines de leurs propriétés fondamentales. De façon « paresseuse » sans doute, le symptôme y est souvent pris pour la cause : ce sont alors la crise de la presse, la qualité de l’information, la « peopolisation » de la vie politique, la défiance des citoyens qui sont couramment imputées au développement des nouveaux médias.Outre le fait, qu’elles voient une concurrence là, où, à notre sens, il faudrait analyser les interdépendances par une approche systémique, certaines représentations s’intéressent beaucoup plus aux effets des nouveaux médias, qu’aux profondes raisons de chacune des crises dont ils sont faits responsables. Or, ces crises ne sauraient être expliquées par des outils techniques aussi singulières que soient leurs architectures. Il convient néanmoins de s’interroger sur la nature des usages qui ont rendu aussi désirable que populaire ce nouvel ensemble de technologies regroupées sous le terme de « nouveaux médias ».C’est tout l’intérêt de notre démarche que d’explorer les fondements de la crise de représentation que traverse notre démocratie en élargissant le questionnement sur les normes du Politique bien au-delà de ses formes consacrées. Et nous semble-t-il, c’est en tout cas le chemin argumentatif que nous avons essayé de parcourir, les nouveaux médias désignent une forme politique spécifique, qui peut s’avérer être un soutien essentiel de la démocratie représentative, notamment au niveau local. / S’interroger sur la place des nouveaux médias dans le renouvellement des figures de la démocratie notamment dans le cadre d’une réflexion sur la crise de la représentation et du décentrement des formes de la démocratie, amène a fortiori beaucoup de réponses très diverses et contradictoires. Néanmoins, la forme politique des nouveaux médias, lorsqu’elle n’est pas négligée, est souvent considérée comme un trouble fait encombrant. La manière dont les nouveaux médias sont évoqués à travers le débat public rend parfois peu justice à certaines de leurs propriétés fondamentales. De façon « paresseuse » sans doute, le symptôme y est souvent pris pour la cause : ce sont alors la crise de la presse, la qualité de l’information, la « peopolisation » de la vie politique, la défiance des citoyens qui sont couramment imputées au développement des nouveaux médias.Outre le fait, qu’elles voient une concurrence là, où, à notre sens, il faudrait analyser les interdépendances par une approche systémique, certaines représentations s’intéressent beaucoup plus aux effets des nouveaux médias, qu’aux profondes raisons de chacune des crises dont ils sont faits responsables. Or, ces crises ne sauraient être expliquées par des outils techniques aussi singulières que soient leurs architectures. Il convient néanmoins de s’interroger sur la nature des usages qui ont rendu aussi désirable que populaire ce nouvel ensemble de technologies regroupées sous le terme de « nouveaux médias ».C’est tout l’intérêt de notre démarche que d’explorer les fondements de la crise de représentation que traverse notre démocratie en élargissant le questionnement sur les normes du Politique bien au-delà de ses formes consacrées. Et nous semble-t-il, c’est en tout cas le chemin argumentatif que nous avons essayé de parcourir, les nouveaux médias désignent une forme politique spécifique, qui peut s’avérer être un soutien essentiel de la démocratie représentative, notamment au niveau local.
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Médias et conflits en RDC :Analyse des déterminants du traitement de l’information par les radios locales, nationales et internationales

N'Sana Bitentu, Pierre 29 October 2019 (has links) (PDF)
La présente recherche examine la couverture médiatique du conflit armé qui a opposé les Forces armées de la RDC à la rébellion du 23 mars dans la province du Nord Kivu, entre mai 2012 et novembre 2013. Au regard des stratégies diverses d’enrôlement des médias et de contrôle des contenus journalistiques mises en place par les belligérants, (pressions, intimidations, séductions, menaces, etc.), la thèse s’intéresse, en particulier, à la manière dont ces différents facteurs propres au système médiatique congolais ou générés par le contexte spécifique de ce conflit ont déterminé la construction des récits journalistiques diffusés par des radios locales, nationales et internationales sur le déroulement de cette guerre. Il s’est agi de voir les contenus journalistiques auxquelles les auditeurs congolais ont été confrontés et de cerner les dynamiques et logiques qui ont conduit à leur élaboration. L’étude s’appuie sur une démarche triangulatoire qui a permis d’analyser, de manière complémentaire, deux types de matériaux :des corpus radiophoniques, prélevés auprès d’un échantillon de cinq radios (Kivu One et VBR de Goma, Top Congo FM et Radio Okapi de Kinshasa, RFI émettant depuis Paris) et des entretiens semi-directifs réalisés avec dix-neuf journalistes, explorant les conditions dans lesquelles les récits diffusés ont été produits. Elle croise un axe géographique, les implantations des médias étudiés étant différentes, et un axe diachronique, en se focalisant sur trois phases distinctes (début, milieu et fin du conflit). L’examen effectué sur le corpus radiophonique a mis en lumière l’existence d’une multiplicité des pratiques journalistiques que la recherche s’est attachée à qualifier :journalisme « surveillé », « assiégé », « occupé », « effacé », « embarqué », « distancié », « patriotique », « de paix », « du vainqueur » « de communication » … Les entretiens ont permis de mieux comprendre les déterminants qui ont conduit les journalistes à ces pratiques, c’est-à-dire un ensemble de facteurs, ancrés à la fois dans l’environnement sociétal, dans des dynamiques internes aux entreprises médiatiques, dans des commodités professionnelles ou dans des expériences personnelles de vie. L’analyse combinée des récits journalistiques diffusés et des discours des journalistes actualise, dans le contexte congolais, un ensemble d’interrogations portant sur la couverture journalistique des conflits :tension entre responsabilité professionnelle et responsabilité citoyenne ;limitations liées aux moyens disponibles et aux conditions sécuritaires ;poids des connexions financières ou politiques au sein des rédaction ;interventions directes des belligérants dans le secteur médiatique ;possibilité et modalités de la neutralité du journaliste, en particulier lorsque ce dernier est originaire du pays en conflit et qu’il réside dans la région où se déroulent les combats. Journalistes et radios ayant développé des réponses pratiques différenciées à ces interrogations, la thèse en souligne et examine l’impact sur les récits médiatiques diversifiés proposés au public congolais. / Doctorat en Information et communication / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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