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La céramique architecturale des "Maîtres de Tabriz" dans les édifices ottomans des 15ème et 16ème siècles / Architectural ceramics of “Masters of Tabriz” in the Ottoman buildings of the 15th and 16th centuries

Mahi, Khalida 15 December 2015 (has links)
Les « Maîtres de Tabriz » ont suscité un vif intérêt chez les chercheurs. Ces céramistes, qui ont orné des édifices ottomans au 15ème et 16ème siècle, demeurent pourtant mystérieux à bien des égards. L’absence de biographies rend leur identification incertaine et engendre par conséquent de nombreuses théories sur leur origine historique et géographique. Concrètement, ces maîtres ne sont connus qu’à travers leur nom figurant dans les inscriptions monumentales ou dans les archives ottomanes. Une investigation dans les textes anciens a alors été essentielle pour combler le manque d’indices. Cependant, certaines de ces sources écrites ont fait l’objet d’extrapolations et de spéculations aléatoires. Pourtant, elles sont considérées comme des éléments probants, ce qui fausse évidemment l’identification de ces céramistes. Il a été primordial de revenir sur les éléments d’identification. La relecture des sources primaires permet en effet de dégager les notions concrètes et d’écarter les hypothèses infondées. Tel est l’enjeu de la première partie de cette étude qui met en évidence les connaissances que l’on possède des « Maîtres de Tabriz ». La deuxième partie est consacrée à l’analyse technique et ornementale des céramiques architecturales. Les œuvres des « Maîtres de Tabriz » sont relativement bien connues. Elles ont fait l’objet de nombreuses publications, mais ont souvent été abordées de manière transversale. Cette étude propose une nouvelle approche en mettant en relation la production de chacun des quatre groupes de céramistes. Cette démarche permet ainsi de saisir l’évolution de cette production tout en mettant en avant les corrélations et les disparités artistiques. / The « Masters of Tabriz » generate high interest among researchers. These ceramists, who decorated ottoman buildings in the 15th and 16th centuries, remain mysterious in many respects. The absence of biographies makes their identification uncertain and hence leads to many different theories about their historical and geographical origins. In reality, these masters are only known for their names found on monumental inscriptions and from ottoman chancery documents. Thus, investigation into ancient texts became essential to fill in the lack of evidence. However, some of these written sources have led to extrapolations and uncertain speculations. Yet these have been accepted and considered as conclusive elements, which obviously misrepresent these master ceramists. It is thus essential to return to the elements of identification. Rereading primary sources written in Arabic, Persian and Ottoman gives evidence to concrete notions and dismisses unfounded suppositions. As the shadow zones round them tend to lead to myths, the objective of the first part of this study is to rectify the knowledge in our possession of the “Masters of Tabriz”.The second part consists of a technical and ornamental analysis of the architectural ceramic tiles. The productions of the “Masters of Tabriz”, principally found in Bursa, Edirne, Istanbul and Jerusalem, are relatively well known. They have been the subject of many publications, but have often been treated transversally. This study offers a new approach, comparing the productions of the four groups of ceramists. This procedure brings to light the progression of this production as it focuses on the artistic correlations and disparities.
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Evaluation de l'aléa sismique pour les villes de Téhéran, Tabriz et Zandjan dans le NW de l'Iran. Approche morphotectonique et paléosismologique.

Solaymani, Shahryar 28 April 2009 (has links) (PDF)
L'objectif de ce mémoire de thèse est l'étude de la tectonique récente et l'évaluation de l'aléa sismique pour trois villes importante, Téhéran, Tabriz et Zandjan, situées dans le nord-ouest de l'Iran. Dans la capitale de l'Iran, Téhéran, nous nous sommes concentrés sur le système de faille active de Mosha-Nord Téhéran. Nos travaux démontrent que ce système est essentiellement décrochant sénestre. Nos analyses paléosismologiques sur la portion est de ce système (dans la vallée de Tar) montrent au minimum les évidences de sept grands événements sismiques (M>7) pendant les derniers 10000 ans (l'intervalle de récurrence est de 1100 à 1400 ans). Les études que nous avons mené dans la partie centrale de ce système (région d'Abali) révèlent qu'il pourrait être la source du dernier événement sismique ayant affecté la ville de Téhéran en 1830 AD. Dans la région de Tabriz, nous nous sommes intéressés au segment SE de la faille décrochante dextre de Nord Tabriz où nous avons trouvé les évidences de trois grands séismes pendant les derniers 33500 ans. Nos études montrent que la faille Nord Tabriz qui est la portion centrale d'un système de faille (TFS) est constituée par deux segments NW et SE dextres. Notre étude paléosismologique suggère une variation de la vitesse qui diminue du NW vers SE le long de ces segments. Les extrémités ouest (Mishu) et est (Bozghush) de ce système correspondent à des zones compressives qui absorbent les déplacements horizontaux sur les segments NW et SE. D'un point de vue général la TFS est une partie d'un système de failles régionales (GSKT) qui relie une zone d'extension active dans la partie centrale de la collision Arabie-Eurasie et une zone de compression active à l'Est. Enfin, à Zandjan qui est une ville située dans une région de lacune sismique, nous avons découvert un important réseau de failles actives. Le tracé sud-est de ce réseau de failles passe par la ville de Zandjan. En conclusion, les localisations et les cinématiques des systèmes de faille étudiés sont discutées dans le cadre géodynamique général de la collision Arabie-Eurasie. On remarquera que la faille majeure de Nord Tabriz qui correspond essentiellement à un décrochement dextre a la même direction NW-SE que les décrochements sénestres présents dans la chaîne de l'Alborz (les failles de : Mosha, Talaghan et Manjil). Cette observation nécessite une variation de la direction de compression entre ces deux régions.
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Les zones de décrochement et les virgations structurales en Iran . Conséquences des résultats de l'analyse structurale de Qom.

Nogole Sadate, M. 22 November 1978 (has links) (PDF)
Les principales directions structurales de l'Iran peuvent être regroupées en trois grandes orientations fondamentales : NW-SE, NE-SW et N-S. Toutes les zones ainsi définies comportent des structures élémentaires caractéristiques de comportements en décrochement. Ces mouvements décrochants sur les grands accidents d'un domaine composite peuvent être reliés aux déplacements des grands blocs cratoniques adjacents. Les composantes de déplacement tangentiel (~) ou de serrage (a) de chacune des zones de décrochement, sont conditionnées par la valeur de l'angle (~) entre la direction de déplacement des grands blocs et celle des failles initiales limitant les bassins de sédimentation (dont les dispositions sont elles-même sous la dépendance de ce régime de déplacements dans un domaine fracturé). Il s'ensuit que selon leur orientation vis à vis des déplacements, dans un régime pourtant équivalent, les différentes zones structurales iraniennes sont plus ou moins sujettes à l'aplatissement. L'une des plus longues zones structurales de l'Iran et des plus fracturées est la cicatrice éruptive de Tabriz-Bazman. C'est celle qui a été choisie pour servir d'exemple dans l'étude du role des décrochements en Iran. L'analyse à l'échelle régionale des structures de cette cicatrice, a été faite à l'aide des documents actuellement disponibles dans la littérature et de quelques travaux personnels ponctuels. Parmi ceux-ci on insiste sur l'exemple particulièrement instructif de la virgation de Qom qui a été analysée en détail. En effet les fractures majeures de la zone de Tabriz-Bazman correspondent à un réseau d'un système en décrochement allant jusqu'aux accidents de troisième ordre. Quoique la zone soit actuellement décalée par ces failles d'ordre inférieur selon une direction moyenne N 145, elle s'organise en fait en un grand couloir de décrochement dextre d'orientation N 125-130. Les virgations d'axes de plis, les lentilles de cisaillement élémentaires, les failles courbes ... sont les structures les plus démonstratives de ce système. La virgation de la région de Qom est exemplaire à cet égard. Toutes ces structures indiquent un cisaillement dextre accompagné d'un aplatissement. Le modèle cinématique interprétatif ainsi défini, a été vérifié par des essais sur modèle analogique. Le dispositif expérimental est décrit, qui permet d'envisager les différents cas où la valeur de l'angle (-) , entre direction de déplacement et limites des bassins intervient. On tente en conclusion de généraliser ce modèle à l'ensemble de l'Iran et on montre que l'état de déformation de chaque zone structurale est sous la dépendance desgrandes directions fondamentales et de l'orientation des déplacements des plaques adjacentes.
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La céramique architecturale en Iran sous les Turkmènes Qarâ Qoyunlu et Âq Qoyunlu (c. 1450-1500) / Iranian tiles from the Turkman Qarâ Qoyunlu and Âq Qoyunlu’s dynasties (c. 1450-1500)

Aube, Sandra 03 December 2010 (has links)
L’art des Turkmènes qarâ qoyunlu (782-873 h./1380-1468) et âq qoyunlu (780-914 h./1378-1508) alongtemps été dédaigné dans l’histoire de l’art du monde iranien. Pourquoi assimiler systématiquement cesoeuvres aux productions timourides ? Ne pourrait-on donc parler d’un « art turkmène » ? À partir d’un corpusde cinquante ensembles décoratifs en céramique, l’objectif de cette étude est de retracer une histoire desproductions turkmènes, de leurs formes, de leurs techniques, et d’en comprendre les articulations artistiques.L’ensemble des monuments qarâ qoyunlu et âq qoyunlu connus est dans un premier temps exploré,regroupés selon une présentation régionale : un parti pris permettant de souligner la force de traditionsartistiques locales autour de centres tels que Tabriz, E½fahân, Yazd ou encore Kâshân. Cette approche liminaireest suivie d’une analyse technique et ornementale des céramiques architecturales. Le dernier axe de cetterecherche s’intéresse à l’organisation de la production. L’enjeu est d’abord de comprendre les confluencesartistiques complexes s’exerçant alors en Iran, avant de s’arrêter sur les acteurs de cette production : lesmécènes et les artisans.Cette étude cherche à apporter un regard nouveau sur certains pans de la céramique architecturaleislamique. La « charnière turcomane » constitue en effet un jalon important de l’histoire de l’art : un point decontact avec les territoires timouride, mamlouk et ottoman frontaliers, et une passerelle vers les Empiresmodernes du siècle suivant. / Qarâ Qoyunlu (782-873 h./1380-1468) and Âq Qoyunlu (782-873 h./1380-1468) Turkman’s art haslong been disregarded in the art history of the Iranian world. This research brings the nature of Turkman art intoquestion, through the example of tiling art. Based on a group of fifty ornamental ceramic groups, this studyattempts to trace the history of Turkman decorative features, their designs, their techniques, and to understandtheir artistic connections.This research first proposes to explore every known qarâ qoyunlu and âq qoyunlu monument, sharedout among regional groups so that the strength of the regional traditions could be underlined around suchartistic centers as Tabriz, E½fahân, Yazd, or Kâshân. This part is followed by a technical and ornamental studyof Turkman tiles. The last component of that research is the organization of the production. It aims to givestatements about artistic confluences in Iran, and then to present actors of tiling production : the patrons andcraftsmen.This study intends to bring a new eye on some groups of Islamic tiles. The Turkman transition makesan important step in history of art: a meeting point between Timurid, Mamluk and Ottoman’s borderlineterritories, and a bridge to Modern Empires of the next century.
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La céramique architecturale en Iran sous les Turkmènes Qarâ Qoyunlu et Âq Qoyunlu (c. 1450-1500) / Iranian tiles from the Turkman Qarâ Qoyunlu and Âq Qoyunlu’s dynasties (c. 1450-1500)

Aube, Sandra 03 December 2010 (has links)
L’art des Turkmènes qarâ qoyunlu (782-873 h./1380-1468) et âq qoyunlu (780-914 h./1378-1508) alongtemps été dédaigné dans l’histoire de l’art du monde iranien. Pourquoi assimiler systématiquement cesoeuvres aux productions timourides ? Ne pourrait-on donc parler d’un « art turkmène » ? À partir d’un corpusde cinquante ensembles décoratifs en céramique, l’objectif de cette étude est de retracer une histoire desproductions turkmènes, de leurs formes, de leurs techniques, et d’en comprendre les articulations artistiques.L’ensemble des monuments qarâ qoyunlu et âq qoyunlu connus est dans un premier temps exploré,regroupés selon une présentation régionale : un parti pris permettant de souligner la force de traditionsartistiques locales autour de centres tels que Tabriz, E½fahân, Yazd ou encore Kâshân. Cette approche liminaireest suivie d’une analyse technique et ornementale des céramiques architecturales. Le dernier axe de cetterecherche s’intéresse à l’organisation de la production. L’enjeu est d’abord de comprendre les confluencesartistiques complexes s’exerçant alors en Iran, avant de s’arrêter sur les acteurs de cette production : lesmécènes et les artisans.Cette étude cherche à apporter un regard nouveau sur certains pans de la céramique architecturaleislamique. La « charnière turcomane » constitue en effet un jalon important de l’histoire de l’art : un point decontact avec les territoires timouride, mamlouk et ottoman frontaliers, et une passerelle vers les Empiresmodernes du siècle suivant. / Qarâ Qoyunlu (782-873 h./1380-1468) and Âq Qoyunlu (782-873 h./1380-1468) Turkman’s art haslong been disregarded in the art history of the Iranian world. This research brings the nature of Turkman art intoquestion, through the example of tiling art. Based on a group of fifty ornamental ceramic groups, this studyattempts to trace the history of Turkman decorative features, their designs, their techniques, and to understandtheir artistic connections.This research first proposes to explore every known qarâ qoyunlu and âq qoyunlu monument, sharedout among regional groups so that the strength of the regional traditions could be underlined around suchartistic centers as Tabriz, E½fahân, Yazd, or Kâshân. This part is followed by a technical and ornamental studyof Turkman tiles. The last component of that research is the organization of the production. It aims to givestatements about artistic confluences in Iran, and then to present actors of tiling production : the patrons andcraftsmen.This study intends to bring a new eye on some groups of Islamic tiles. The Turkman transition makesan important step in history of art: a meeting point between Timurid, Mamluk and Ottoman’s borderlineterritories, and a bridge to Modern Empires of the next century.
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Waqf im mongolischen Iran : Rašīduddīns Sorge um Nachruhm und Seelenheil /

Hoffmann, Birgitt, January 2000 (has links)
Habilitationsschrift--Fakultät Sprach- und Literaturwissenschaften--Universität Bamberg, 1995. / Contient des extraits traduits en allemand du "Waqfnāma-yi Rab-́i Rašīdī" Bibliogr. p. 373-387. Index.

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