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Indépendantisme et confrontations intra-tchétchènes sous Djokhar Doudaev (1991-1996)

Charlebois, Miguel 12 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / L'analyse du conflit russo-tchétchène est considérablement influencée par les travaux historiques, littéraires et médiatiques qui entretiennent la conception d'une opposition séculaire entre deux nations. En dirigeant leur intérêt vers l'observation des élites russes, identifiées comme étant le parti instigateur de la guerre, les chercheurs ont soulevé l'importance du rôle des individus dans la mise en place du conflit. La dimension proprement tchétchène de cette période cruciale se retrouve donc négligée, laissant croire à une société tchétchène unie derrière le projet indépendantiste. Afin de palier cette lacune, ce mémoire porte sur les principaux groupes et individus qui ont marqué le paysage politique de la république de 1991 à 1996. De l'effondrement de l'URSS jusqu'à la fin de la première guerre, les tendances politiques tchétchènes sont multiples, laissant la société profondément divisée sur la question nationale. Dans ces circonstances, la confrontation d'intérêts individuels provoque une instabilité politique mise à profit par les faucons du Kremlin, menant tout droit vers le conflit le plus meurtrier de l'espace postsoviétique.
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Impact du conflit russo-tchétchène sur les rôles sociaux des femmes tchétchènes

Lafrance, Valérie January 2008 (has links) (PDF)
À l'aide d'un cadre d'analyse féministe de la guerre, nous entreprenons le développement d'une nouvelle perspective sur le conflit russo-tchétchène. Nous cherchons à éclairer l'évolution de la condition des femmes tchétchènes à travers l'analyse des différents rôles sociaux qu'elles occupent dans cette société du Caucase du Nord. Nous utilisons les concepts de sphère privée et de sphère publique pour comprendre l'impact de la guerre sur la situation de ces femmes. Nous soutenons que les deux guerres en Tchétchénie ont bouleversé l'ordre social des rapports de genre entre les hommes et femmes ce qui a eu des effets plutôt négatifs que positifs sur la condition des femmes tchétchènes. En période d'hostilités, ces femmes expérimentent des pressions sociales qui les confinent dans des rôles reliés à leur position dans la hiérarchie familiale. Elles sont aussi actrices des changements sociaux qui s'opèrent et qui les poussent à occuper de nouveaux rôles dans le domaine public. L'avenir de cette petite république demeure incertain tout comme la place des femmes dans cette société. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Tchétchénie, Conflit russo-tchétchène, Féminisme, Femme, Condition des femmes, Rôles sociaux.
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Articulations entre les guerres tchétchènes et la politique étrangère russe dans les discours des présidents Boris Eltsine (1994-1996) et Vladimir Poutine (2000-2003)

Hervouet-Zeiber, Grégoire January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire tente, à l'aide d'un cadre théorique constructiviste, de comprendre les liens qui s'établissent entre la mise en récit des conflits tchétchènes et les discours de politique étrangère dominants sous Boris Eltsine et Vladimir Poutine. Ainsi, premièrement, grâce à l'analyse de discours de Boris Eltsine et de Vladimir Poutine, un ensemble de points de rupture et de marques de continuité dans leurs mises en récit de la guerre en Tchétchénie a été identifié. Le premier conflit, celui de Boris Eltsine, était clairement représenté comme un conflit séparatiste et local. En revanche, la seconde guerre en Tchétchénie, celle de Poutine, sera principalement construite comme une guerre contre le terrorisme et un conflit global. La mise en récit du second conflit sera toutefois plus ambiguë. Tantôt guerre globale contre le terrorisme, tantôt guerre locale contre le séparatisme, souvent les deux simultanément, sa signification n'est pas clairement fixée. Trois positions du sujet, constantes chez les deux présidents, ont été caractérisées: « le peuple tchétchène » qui se voit opposé « au terroriste », et la « Russie ». Par contre, alors que l'Islam jouait un rôle minime dans le discours eltsinien, sous Poutine ces trois positions de sujets sont « islamisées ». Le peuple tchétchène pratique alors un islam traditionnel et les terroristes, un islam fondamentaliste. La Russie est construite comme un pays multicivilisationnel, à la fois chrétien et musulman. Deuxièmement, les liens qui se construisent entre ces représentations de la guerre et les discours de politique étrangère ont été caractérisés. D'abord, deux articulations entre ces deux « variables » ont été identifiées dans ce mémoire: (1) une articulation « étatiste » sous Eltsine -articulant la menace tchétchène à celle des pays dits révisionnistes et interventionnistes et (2) une articulation « occidentaliste de façade » sous Poutine -présentant la menace tchétchène comme faisant partie de la menace du terrorisme international, commune à tous les pays du monde civilisé, dont la Russie. Cette seconde articulation est qualifiée comme étant « de façade » car elle maintient, selon nous, certaines marques de l'articulation « étatiste ». Finalement, la dichotomie construite dans le discours sur la Tchétchénie entre « peuple tchétchène pratiquant un Islam traditionnel » et « terroristes tchétchènes détournant les valeurs de l'Islam » permet de présenter la Russie à la fois (1) comme un pays occidental faisant la guerre contre le terrorisme et, (2) comme un pays du monde musulman. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Tchétchénie, Politique étrangère russe, Boris Eltsine (1994-1996), Vladimir Poutine (2000-2003), Constructivisme critique.
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Misrepresenting Russia : Western perceptions of the Putin years, 1999-2008

Hubert, Laurent A. 04 1900 (has links)
L’ascension de Vladimir Poutine à la présidence de la Russie fut un point tournant dans l’histoire de la Russie et de ses relations avec l’occident. Lorsqu’il est comparé aux politiques plus pro-occidentales de son prédécesseur, Boris Eltsine, le nouveau nationalisme russe de Poutine changea la relation de la Russie avec l’Occident. Ce texte utilise des articles publiés dans quatre journaux influents de l’Occident—le Washington Post, le New York Times, le Guardian et l’Independent—pour montrer comment l’Occident percevait la Russie entre 1999 et 2008. Poutine fut longuement critiqué pour avoir transformé la « démocratie », instauré par l’Occident dans les années postsoviétiques, en autocratie qui reflétait plus le contexte politico-social traditionnel russe. La Russie refusa de se soumettre aux intérêts de l’Occident. Les médias populaires occidentaux, reflétant les intérêts de leurs gouvernements respectifs, ont rondement critiqué la nouvelle direction de la Russie. L’obligation perçue par les médias occidentaux de promouvoir la « démocratie » autour du globe les a menés à condamner Poutine et la Russie, ce qui créa un sentiment de « russophobie ». / The ascension of Vladimir Putin to the Russian presidency was a turning point in the history of Russia. Using articles from four influential western newspapers—the New York Times, the Washington Post, the Guardian and the Independent—this text will show the West perceived Russia during Putin’s between 1999 and 2008. Putin was heavily criticized as he was moving the country away from the “democracy” installed by the West after the Cold War, to a path more in line with traditional Russian principles. Russia refused to be subservient to Western interests. The western mainstream media reflected their government’s interests and critiqued Russia’s new path. The western media’s perceived obligation to promote “freedom” and “democracy” around the world has led it to condemn Russia and Putin and to create a sense of “russophobia” in the West.

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