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Optimisation quadratique en variables binaires : quelques résultats et techniquesMbuntcha Wuntcha, Calvin January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Optimisation quadratique en variables binaires : quelques résultats et techniquesMbuntcha Wuntcha, Calvin January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Investigating the expressivity of linear logic subsystems characterizing polynomial time / Exploration de l’expressivité des sous-systèmes de la logique linéaire caractérisant le temps polynomialPerrinel, Matthieu 02 July 2015 (has links)
La complexité implicite est la caractérisation de classes de complexité par des restrictions syntaxiques sur des modèles de calcul. Plusieurs sous-systèmes de la logique linéaire caractérisant le temps polynomial ont été définis: ces systèmes sont corrects (les termes normalisent en temps polynomial) et complets (il est possible de simuler une machine de Turing pendant un nombre polynomial d'étapes). Un des buts sur le long terme est de donner statiquement des bornes de complexité. C’est pourquoi nous cherchons les caractérisations du temps polynomial les plus expressives possible. Notre principal outil est la sémantique des contextes: des jetons voyagent à travers le réseau selon certaines règles. Les chemins définis par ces jetons représentent la réduction du réseau. Contrairement aux travaux précédents, nous ne définissons pas directement des sous-systèmes de la logique linéaire. Nous définissons d'abord des relations -> sur les sous-termes des réseaux de preuves tel que: B -> C ssi ”le nombre de copies de B dépend du nombre de copies de C”. L’acyclicité de -> borne le nombre de copies de chaque sous-terme, donc la complexité du terme. Ensuite nous définissons des sous-systèmes de la logique linéaire assurant l’acyclicité de ->. Nous étudions aussi des caractérisations du temps élémentaire et primitif récursif. Dans le but d’adapter nos sous-systèmes de la logique linéaire à des langages plus riches, nous adaptons la sémantique des contextes aux réseaux d’interaction, utilisés comme langage cible pour de petits langage de programmation. Nous utilisons cette sémantique des contexte pour définir une sémantique dénotationnelle sur les réseaux d’interactions. / Implicit computational complexity is the characterization of complexity classes by syntactic restrictions on computation models. Several subsystems of linear logic characterizing polynomial time have been defined : these systems are sound (terms normalize in polynomial time) and complete (it is possible to simulate a Turing machine during a polynomial number of steps). One of the long term goals is to statically prove complexity bounds. This is why we are looking for the most expressive characterizations possible. Our main tool is context semantics : tokens travel across proof-nets (programs of linear logic) according to some rules. The paths defined by these tokens represent the reduction of the proof-net.Contrary to previous works, we do not directly define subsystems of linear logic. We first define relations -> on subterms of proof-nets such that: B -> C means \the number of copies of B depends on the number of copies of C". The acyclicity of -> allows us to bound the number of copies of any subterm, this bounds the complexity of the term. Then, we define subsystems of linear logic guaranteeing the acyclicity of ->. We also study characterizations of elementary time and primitive recursive time. In orderto adapt our linear logic subsystems to richer languages, we adapt the context semantics to interaction nets, used as a target language for small programming languages. We use this context semantics to define a denotational semantics on interaction nets.
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Aspects algorithmiques des réarrangements génomiques : duplications et ordres partielsThévenin, Annelyse 06 November 2009 (has links) (PDF)
La génomique comparative est une discipline importante pour la compréhension de l'évolution du vivant. Différentes méthodes de comparaison existent, nous nous intéressons ici en particulier aux mesures de (dis)similarités entre les génomes. Dans cette étude, nous étudions 3 mesures : les nombres d'adjacences, de points de cassures et d'intervalles communs. En présence de gènes dupliqués ou lorsque l'ordre des gènes n'est que partiellement connu, calculer ces mesures est un problème connu pour être NP-difficile. D'une part, nous désirons calculer les nombres d'adjacences et de points de cassures pour trois modèles (exemplaire, intermédiaire, maximum) entre deux génomes possédant des duplications. Afin d'obtenir un algorithme exact, nous modélisons ces problèmes en programmes pseudo-booléens. Après expérimentation sur 12 génomes de γ-protéobactéries, nous obtenons suffisamment de résultats pour : comparer les deux mesures et les 3 modèles et évaluer des heuristiques. À ce titre, nous proposons une famille d'heuristiques basée sur une recherche de plus longue sous-séquence commune qui donne de très bons résultats sur ces données. Parallèlement à cela, nous avons étudié, pour différents problèmes de calcul de mesures entre deux génomes avec duplication, l'approximation polynomial. D'autre part, nous calculons les nombres d'adjacences et d'intervalles communs entre deux ordres partiels (avec la possibilité qu'un des ordres soit total). Nous utilisons de nouveau une approche de programmation pseudo-booléenne. À l'aide de près de 800 génomes simulés, nous étudions l'influence de paramètres inhérents aux ordres partiels et nous comparons les deux mesures étudiées.
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