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Die Terra Sigillata im römischen Flottenlager an der Alteburg in Köln : das Fundmaterial der Ausgrabung 1998Düerkop, Antje Eschbaumer, Pia January 2007 (has links)
Teilw. zugl.: Köln, Univ., Diss., 2006 m.d.T.: Düerkop, Antje: Die glatte Terra Sigillata der Ausgrabungen im römischen Flottenlager an der Altenburg im Köln im Jahre 1998 / Zsfassung in engl. Sprache
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Arretinische Reliefkeramik ein Beitrag zur geschichte des antiken Kunstgewerbes /Hähnle, Karl, January 1915 (has links)
Thesis--Tübingen. / Vita. Includes bibliographical references.
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Die Terra Sigillata im römischen Flottenlager an der Alteburg in Köln das Fundmaterial der Ausgrabung 1998Düerkop, Antje Eschbaumer, Pia January 2006 (has links)
Teilw. zugl.: Köln, Univ., Diss. A. Düerkop, 2006
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Římsko-germánské vztahy a kontakty ve světle nálezů předmětů římské provenience v Čechách, zvláště TERRY SIGILLATY / Roman-germanic relationship and contacts in roman age in the light of finds from roman provenance in Bohemia, maily TERRA SIGILLATA fingsHalama, Jakub January 2012 (has links)
Jakub Halama - anglický abstrakt dizertace Roman-germanic relationship and contacts in roman age in the light of finds from roman provenance in Bohemia, mainly TERRA SIGILLATA finds Abstract Dissertation thesis in particular are based on terra sigillata finds in Bohemia. In the first part of catalogue (certain finds) there are 103 pieces of terra sigillata from 52 localities (together 112 fragments and whole vessels). And in the second part of the catalogue (unsure or non-filed finds) other 23 - 24 pieces from 15 localities. Generally terra sigillata comes from German settlements, those are spread through all the main settlement areas of the Roman period. Records from the southwest Bohemia are also interesting. Main part from the datable 1st - 3rd century terra sigillata have goods from Rheinzabern (41 %) and from the central Gallia (35,9 %); ceramics from Westerndorf is less represented (7,7 %) and there are only few terra sigillata finds from the south Gallia, Trier, Heiligenberg and Pfaffenhofen. This combination of the finds is approximate to localities in Norikum province. Sigillata of this origin came through south Bohemia and Moravia, other direction went from Raetie through southwest Bohemia. Artifacts from 1st century and 1st half of the 2nd century appears in Bohemia very rare. The largest supply...
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A Multi-scale Study of Ancient Ceramics Using a Series of Analytical Techniques / Une étude multi-échelle de céramiques anciennes à l'aide d'une série de techniques analytiquesWang, Tian 14 December 2016 (has links)
Les artefacts en céramique ont une longue histoire et ont été récupérés dans presque toutes les régions du monde. La conservation n’est que rarement impactée par le milieu d’enfouissement. Donc, ils sont des matériaux idéaux pour comprendre l'histoire et la culture de homme. Les principales études archéologiques sur les céramiques anciennes concernent la provenance (datation, atelier, commerce), les matières premières (identification, origine), le processus de fabrication et l'utilisation (analyse des résidus de contenu). Mon travail porte plus précisément sur le processus de fabrication. Les principales étapes du processus de fabrication sont: la sélection des matières premières, la préparation, le façonnage, salle de bains, sur deux possibilités. Soit le vase est cuit avant l'étape de décoration, soit la décoration est appliquée sur le vase cru. Pour finir, l'ensemble est cuit. Mon objectif est d'obtenir des informations sur le procédé de fabrication en analysant la structure des céramiques anciennes, et en particulier, la structure des couches décoratives. La structure des céramiques anciennes est une structure complexe en couches avec des hétérogénéités à différentes échelles (mm à nm). Une céramique décorée est généralement composée d'une pâte et d'un revêtement, y compris de la décoration. Le revêtement peut contenir des natures différentes. L'épaisseur peut être variable de mm à nm. La couche décorative peut être une partie ou du tout la revêtement. La couche décorative peut être constitutive d'une phase vitrifiée amorphe et divers cristaux, tels que cristaux colorants, feldspath, quartz, etc., dont la taille varie de plusieurs microns à nanomètre. La description de cette structure nécessite l'analyse à haute résolution (nm) avec grande zone représentative (souvent plusieurs mm3). C’est difficile à réaliser. Dans mon travail, j'ai proposé une autre approche. L'approche est basée sur trois étapes. Premièrement, les analyses rapides (principalement microscopie optique) à faibles résolutions sont effectuées pour analyser et sélectionner la zone nécessitant une analyse à haute résolution. Ensuite, la zone sélectionnée est analysée à haute résolution par des techniques appropriées en tenant compte des informations recherchées. Troisièmement, on essaie de construire la structure de l'objet sur la base des données partielles, et d’en déduire le processus de fabrication. Je vais illustrer cette approche par trois exemples. La première concerne le pigment jaune de la terre sigillée marbrée romaine (chapitre III). Le second concerne le processus de cuisson des poteries attiques (chapitre III). Le troisième concerne les variations de couleur de la décoration bleue des porcelaines Qinghua (chapitre IV). / Ceramic artifacts have a long history and have been discovered worldwide. Their conservations are rarely impacted by the burial sites. Thus, they are ideal materials for understanding the human history and culture. The main archaeological studies concerning ancient ceramics contains provenance (dating, workshop, trade), raw materials (identification, origin), manufacturing process and utilization (analysis of content residues). For my work, I focused on the investigation of the manufacturing process. The main steps of fabrication process of ancient ceramics is composed of selection of raw materials, preparation (leaching, purification, body, glaze or slip, pigments), shaping (the plastic paste is shaped to the lathe or using the molds). Then, there are two possibilities: either the vase is fired before the decoration stage, or the decoration is applied to the raw vase. To finish, the whole is fired. My objective is to obtain information on the manufacturing process by analyzing the structure of ancient ceramics, and in particular the structure of decorative layers. The structure of ancient ceramics is complex with heterogeneities at different scales (mm to nm). A decorated ceramic generally is composed of a body and a coating, which including of the decoration. The coating could contain different natures. The thickness can be variable from mm to nm. The decorative layer can be a part of the coating or the whole coating. The decorative layer can be constituent of an amorphous vitrified phase and diverse crystals, such as colorant crystals, feldspar, quartz, etc., of which the size varies from several microns to nanometer. The description of such structure requires the analysis at high resolution (nm) with large representative zone (often, several mm3). It is difficult to realize. In my work, I proposed an alternative approach. The approach is based on three stages. Firstly, the rapid investigations (principally, optical microscopy) at low resolutions are effected to analyze and select the zone requiring analysis at high resolution. Secondly, the selected zone is analyzed at high resolution by appropriate techniques according to the information sought. Thirdly, I try to construct the structure of the object based on the partially data, and therefore deduce the manufacturing process. I will illustrate this approach through three examples. The first one concerns the yellow pigment of the Roman marbled terra sigillata (Chapter III). The second one is about the firing process of Attic potteries (Chapter III). The third one concerns the color variations of blue decoration of Qinghua porcelains (Chapter IV).
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Recherches méthodologiques sur la céramique sigillée les vases estampillés de Glanum /Bémont, Colette. January 1976 (has links)
Thesis--Paris IV, 1971. / Includes indexes. Includes bibliographical references (p. [275]-279).
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Les importations de sigillées gauloises en Cisalpine occidentale : le cas de la Transpadanie / Importations of Gaulish terra sigillata in Western Cisalpina : the case of TranspadanaGabucci, Ada 03 December 2015 (has links)
La présence de la sigillée gauloise en Transpadanie occidentale est connue de longue date par les chercheurs locaux, mais cela reste peu connu à la fois aux niveaux national italien et international. On en ignore surtout la portée. Un pourcentage de sigillée gauloise très important découverte dans chantiers de fouille immédiatement à l’intérieur de l’enceinte romaine de Turin, a modifié cette perspective. Il est apparu que les sigillées gauloises ne pouvaient plus être considérées comme une présence sporadique, ni comme le résultat de réapprovisionnements destinés exclusivement aux classes les plus aisées, mais constituaient un indicateur économique important. De cette constatation est née la nécessité de reprendre l’examen des attestations de sigillées gauloises en Transpadanie occidentale dans leur ensemble, y compris par comparaison avec la situation d’autres réalités de l’Italie du Nord, avec l’objectif d’établir non seulement la provenance du vaisselle, mais aussi des routes commerciales empruntées. La voie principale d’approvisionnement de toute la Cisalpine a été le Pô. Huile, vin et garum, atteignent les marchés transpadanes et de la Ligurie interne par voie fluviale, partant des côtes adriatiques et orientales et aussi depuis la péninsule ibérique. Le choix d’utiliser la diffusion des sigillées de la Gaule centrale en tant que fossile directeur pour reconstituer l’existence d’une voie de circulation commerciale en Cisalpine d’ouest en est naît de l’idée que l’on est en présence de produits qui ne disposent plus d’un réseau de distribution méditerranéen, alors qu’ils se concentrent en revanche en Europe continentale et en Bretagne. / The presence of the Gaulish Terra Sigillata in Transpadana has been well known for a very long time by local researchers, but on an Italian national and an international level, it is hardly known. Most importantly, its extent has been ignored. A very important amount of Gaulish Terra Sigillata, discovered on an excavation site immediately close to the city wall, inside and outside the Roman settlement of Turin, radically modified this idea. It has very quickly become apparent that the Gaulish Terra Sigillata cannot be considered as a random find any more, nor the result of supplying intended exclusively to the upper classes, but constituting a rather important economic indicator. From this observation, the need to re-examine the evidence of Gaulish Terra Sigillata in western Cisalpine is clear, including the need to compare the situation with others in northern Italy, with the aim to establish, not only the provenance of the crockery, but also, above all, the trade route that was used. The main trade route in the whole of Cisalpine Gaul was the river Po. Oil, wine and garum reached the markets of Transpadana and internal Liguria by waterway from the Adriatic and eastern coasts and, probably also, from the Iberian Peninsula. The decision to use the Terra Sigillata of central Gaul as a type fossil to reconstruct a circulation route from the west to the east of Cisalpine, with more or less distant provenances, was based on the consideration that these products didn’t use the Mediterranean distribution network any more, but actually they concentrated on continental Europe and Brittany.
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