• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 4
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

The sanctuary of Aphaia on Aigina in the Bronze Age

Pilafidis-Williams, Korinna January 1987 (has links)
No description available.
2

The Iconographic Program of the Architectural Terracotta Relief Plaques from Zone F at Acquarossa

Beyer, Jennifer Marie 17 April 2003 (has links)
No description available.
3

Le théâtre en Égypte aux époques hellénistique et romaine : architecture et archéologie, iconographie et pratique / Theatre in Egypt in Hellenistic and Roman times : architecture and archaeology, iconography and practice

Le Bian, Adeline 08 December 2012 (has links)
Cette étude concerne le fait théâtral dans ses dimensions matérielles, éclairé par les textes relatifs au fonctionnement et à la place du théâtre dans la société de l'Égypte hellénistique et romaine. Foyer d'expression et de diffusion de la culture gréco-romaine, la pratique théâtrale apparaît comme un élément fondamental au sein du processus d'hellénisation qui se met en place en Égypte à partir de la conquête d'Alexandre le Grand. Trois grands axes de recherche ont été définis : en premier lieu, le théâtre est étudié en tant qu'ouvrage architectural. Cette approche, essentiellement archéologique, est également mise en relation avec la notion de cadre urbanistique et de parure monumentale des villes d'Égypte à cette période. Nos recherches s'orientent ensuite plus spécifiquement sur le rayonnement de la pratique théâtrale en Égypte, à travers l'étude des productions d'objets issus de l'univers théâtral et dionysiaque. Ces représentations témoignent non seulement de la diffusion et de l'adaptation d'une composante essentielle de la culture grecque et romaine en Égypte, mais également de l'attachement royal à Dionysos, considéré comme l'ancêtre de la dynastie lagide. En troisième et dernier lieu, les activités et les diverses manifestations associées à l'édifice théâtral sont développées ; il s’agit d’aborder non seulement les spectacles, les auteurs et les acteurs, mais également les questions d'entretien, de maintenance et de gestion du bâtiment. L'apport de la documentation textuelle et archéologique constitue un outil précieux dans le développement de cette problématique. / This study deals with theatre in his material dimensions, enlightened by the texts relating to the operation and place of theatre in the society of Hellenistic and Roman Egypt. Centre of expression and diffusion of Graeco-Roman culture, theatrical practice appears as a fundamental element in the process of Hellenization which implements in Egypt from the conquest of Alexander the Great. Three main areas of research were identified : first, the theatre is discussed as in his architectural dimension. This approach, mainly archaeological, is also in relation with the notion of urban planning framework and set of monumental cities of Egypt at this time. Then our research focuses specifically on the influence of theatrical practice in Egypt, through the study of the production of objects associated to theatrical and Dionysiac world. These images reflect not only the diffusion and adaptation of an essential component of Greek and Roman culture in Egypt, but also the royal attachment to Dionysus, considered the ancestor of Ptolemaic dynasty. Third and finally, the various activities and events associated with the theatre building are developed ; we deal not only dramatic shows, authors and actors, but also maintenance and building management issues. The contribution of textual documentation is an invaluable tool in the development of these notions.
4

Les terres cuites figurées de la collection Raffaele Gargiulo au Musée National de Naples : recherches sur le goût et le marché de l'art dans la première moitié du XIXe siècle / The figured terracottas of Raffaele Gargiulo’s collection in the National Museum of Naples : research on the taste and the art market in the first half of the 19th century / Le terrecotte della collezione di Raffaele Gargiulo al Museo Archeologico Nazionale di Napoli : ricerche sul gusto e sul mercato d’arte nella prima metà del XIX secolo

Berriola, Riccardo 05 December 2014 (has links)
La these analyse la collection de terre cuite de Raffaele Gargiulo (1785-après 1864), céramiste et restaurateur affirmé, personnage de première importance du Musée de Naples, marchand napolitain d'antiquité des années 20 et 30 du XIXe siècle. La proposition de vente de sa collection au Musée de Naples est faite en décembre 1852. Après deux années de dures négociations le 29 mai 1855 la vente se conclut pour 6000 ducats. Pour comprendre le personnage de Gargiulo en tant que marchand d'oeuvre d'art, 315 documents, conservés dans l'Archive d'État de Naples et la Surintendance de Naples, ont èté analysés. L'étude de 11 arrêtés royaux entrés en vigueur entre 1807 et 1852, ont permis de reconstruire le cadre législatif en vigueur de l'époque. La petite plastique, la classe la plus nombreuse, représente environ les trois quarts de la collection de terre cuite. En ce qui concerne les provenances, les Pouilles et la Campanie sont largement dominantes avec 578 objets (95.54% de la collection entière): dans le détail on note que les localités se trouvant aux premières places sont aussi bien les Pouilles (Gnathia, Ruvo et Canosa) que la Campanie (Capoue et Calès), plus célèbres pour les fabrications coroplastiques. Le matériel architectonique va de la fin du VIe s. av. J.- C. au I Ier s. ap. J.-C., le matériel coroplastique se situe entre la moitié du IVe s. et la fin du IIIe s. av. J.-C., la céramique à décoration plastique et polychrome et celle achrome entre le IVe et le IIIe s. av. J.-C., alors que la chronologie des vases modelés va de la fin du VIe et le IIIe s. av. J.-C. Enfin, les lampes à huile sont toutes datées entre la première moitié et le dernier quart du Ier s. ap. J.-C. / The thesis analyzes the collection of terracottas of Raffaele Gargiulo (1785-after 1864), ceramist and restorer, leading figure of the Museum of Naples, neapolitan merchant of antiquity in the twenties and thirties of the 19th century. The proposed sale to the Museum of Naples of his collection is made in December 1852, but only after more than two years of hard deals it comes to the purchase on May 29th, 1855, for 6000 ducats. In order to understand the figure of Gargiulo as merchant of art 315 documents, kept in the State Archive of Naples and in the Historical Archive of the Archaeological Superintendence of Naples, have been analyzed. By the study of 11 royal decrees dated between 1807 and 1852 the legislative framework in force at the time was rebuilt, as part of the trade and export of archaeological and art objects. In the Gargiulo’s collection of terracottas the little plastic (443 specimens, 73.88%) is the most documented class, accounting for about three-quarters of the collection. About the provenances, Apulia and Campania with 578 items, the 95.54%, prevail. At the top lie the towns, both in Apulia (Gnathia, Ruvo and Canosa) and Campania (Capua and Cales), most famous for the coroplastic products. If the architectural material is dated from the end of the 6th century BC to 1st century AD, the coroplastic material lies mostly between the mid-4th century BC and the end of the 3rd BC. The pottery ranges between the 4th century and 3rd century BC, especially the plastic and polychrome decoration and the achromatic ceramic; the chronology of plastic vessels is more varied, between the late 6th and 3rd centuries BC. The lamps, finally, are dated to 1st century AD. / La tesi analizza la collezione di terrecotte di Raffaele Gargiulo (1785-post 1864), ceramista e restauratore affermato, figura di primo piano del Museo di Napoli, grande mercante napoletano di antichità degli anni Venti e Trenta dell'Ottocento. La proposta di vendita al Museo di Napoli della sua collezione viene fatta nel dicembre del 1852, ma dopo oltre due anni si giunge all'acquisto, il 29 maggio 1855, per seimila ducati. Per inquadrare la figura del Gargiulo come mercante di opere d'arte sono stati analizzati 315 documenti custoditi nell'Archivio di Stato di Napoli e nell'Archivio Storico della Soprintendenza Archeologica di Napoli. Attraverso lo studio di 11 regi decreti tra il 1807 e il 1852 si è ricostruito il quadro legislativo in vigore all'epoca nell'ambito del commercio e dell'esportazione di reperti archeologici e oggetti d'arte. Nella collezione Gargiulo di terrecotte la piccola plastica (443 esemplari, pari al 73.88%) è la classe più documentata, rappresentando circa i tre quarti della collezione. Tra le provenienze prevalgono la Puglia e la Campania con 578 oggetti, il 95.54%. Ai primi posti si collocano le località, sia pugliesi (Egnazia, Ruvo e Canosa) che campane (Capua e Cales), più celebri per i prodotti coroplastici. Se il materiale architettonico va dalla fine del VI a.C. al I d.C., quello coroplastico si colloca per lo più tra la metà del IV e la fine del III a.C. La ceramica spazia tra il IV e il III secolo a.C., soprattutto per la ceramica a decorazione plastica e policroma e per quella acroma, più varia è la cronologia dei vasi plastici, tra la fine del VI e il III a.C. Le lucerne, infine, si datano nell'ambito del I secolo d.C.

Page generated in 0.0446 seconds