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Les mystères de l'expansion accélérée de l'univers

Gannouji, Radouane 08 July 2008 (has links) (PDF)
Plusieurs étapes furent nécessaires à la construction du modèle standard de la cosmologie, de la vision de notre Univers, de la représentation de l'infiniment grand. De l'année 1915 avec l'élaboration de la relativité générale aux différentes observations de l'Univers, celles-ci ont permis d'imaginer un univers en expansion décélérée. Cependant, en 1998, deux équipes américaines mirent en lumière son accélération. Ce fait fût largement confirmé depuis lors. Ce pose alors une question simple, quelle en est la raison ? Pour cela de très nombreux modèles d'énergie noire furent élaborés. J'aborde ainsi dans cette thèse deux grands modèles. D'une part les théories scalaire-tenseur où l'on a pu construire différentes contraintes sur la viabilité du modèle; et d'autres part les théories dites f(R), où une modification de l'action par des termes géométriques entraîne une accélération de l'univers. La construction dans ces modèles de la fonction m(r) nous a permis par une méthode simple et élégante de rendre compte de l'évolution cosmologique de l'univers décrit par de tels lagrangiens. Ainsi de nombreux modèles jusqu'alors étudié furent rejeté, car ils ne possèdent pas de phase de matière. Enfin nous avons étudié la croissance des perturbations. En effet les perturbations à l'origine des grandes structures vont croitre différemment selon les modèles, selon l'Univers considéré. Nous avons ainsi mis en évidence une importante distinction entre les modèles d'énergie noire en relativité générale et les théories scalaire-tenseur. Des observations plus précises permettront alors de distinguer les théories de gravitation modifiée et les modèles d'énergie noire en relativité générale.
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Science, technologie, et théories économiques de la croissance des années 50 à aujourd’hui / Science, Technology and Economic Growth Theories in the Post-War Era

Ballandonne, Matthieu 21 November 2014 (has links)
Cette thèse a pour objectif d’étudier la façon dont les économistes ont théorisé la relation entre science, technologie et croissance économique des années cinquante à aujourd’hui. Nous identifions deux approches des liens entre science, technologie et croissance : une approche « néoclassique » et une approche « évolutionniste ». L’approche « néoclassique » considère les progrès scientifiques et technologiques comme exogènes aux processus économiques et analyse les processus de croissance comme étant soumis à des rendements constants. L’approche « évolutionniste » défend quant à elle une représentation interactionniste des liens entre science et technologie, considère les progrès technologiques et scientifiques comme étant endogènes aux processus économiques et analyse les processus de croissance comme étant soumis à des rendements croissants. Nous analysons l’émergence de ces deux approches dans les années cinquante et soixante et expliquons leur opposition avec une domination de l’approche « néoclassique » jusque dans les années quatre-vingt (Partie 1). Nous montrons ensuite que l’approche « évolutionniste » devient dominante à partir des années quatre-vingt (Partie 2). / The aim of this thesis is to examine the way economists theorized the links between science, technology, and economic growth in the post-war era. We identify two approaches of the links between science, technology, and economic growth : a “neoclassical” approach and an “evolutionary” approach. The “neoclassical” approach considers scientific and technological progress as exogenous to economic processes and makes the hypothesis of constant returns to scale. The “evolutionary” approach defends an interactive representation of the links between science and technology, considers scientific and technological progress as endogenous to economic processes, and makes the hypothesis of increasing returns to scale. We study the development of the two approaches in the fifties and sixties, and explain their opposition and the dominance of the “neoclassical” approach up to the eighties (Part 1). We then show that the “evolutionary” approach has been the most influential since the eighties (Part 2).

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