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La traduction collaborative comme stratégie de diffusion de la littérature coréenne en France et dans l'ensemble des pays francophones

Lapointe, Catherine 26 May 2023 (has links)
Cette thèse aborde la traduction collaborative sous un angle nouveau, c'est-à-dire qu'elle l'envisage comme une stratégie employée par la culture source pour diffuser sa littérature dans la culture cible. Notre définition de la traduction collaborative inclut non seulement la traduction en binôme (cotraduction et bitraduction), mais aussi l'apport de ces autres collaborateurs, comme les maisons d'édition et les préfaciers, qui entrent en jeu dans la production d'une traduction, avec une attention singulière portée aux organismes de financement. Se basant sur une étude de cas particulièrement significative, soit la traduction de la littérature coréenne en français - pour laquelle non seulement la majorité des oeuvres sont traduites en tandem biculturel et clairement identifiées comme telles, mais où l'on peut de plus observer l'ascendant de ces autres acteurs tout au long du processus traductif -, ce mémoire examine les paratraductions de 360 oeuvres littéraires coréennes traduites en français et publiées entre 1990 et 2020, pour tenter de répondre aux questions que soulève la traduction collaborative : qui traduit, avec qui, et pourquoi. -- This thesis adopts a new approach to collaborative translation, as a strategy employed by the source culture to disseminate its literature to the target culture. Our working definition of collaborative translation includes not only pair translation (cotranslation and bitranslation), but also the input of those other collaborators, such as publishing houses and prefacers, who come into play in the production of a translation, with a particular focus on funding organizations. Based on a particularly significant case study, namely the translation of Korean literature into French - where not only are the majority of works translated by bicultural tandems and clearly identified as such, but where one can also observe the influence of these other actors throughout the translation process - this paper examines the paratranslations of 360 Korean literary works translated into French and published between 1990 and 2020, in an attempt to answer the questions raised by collaborative translation: who is translating, with whom, and why. -- 이 논문은 원본 문화가 대상 문화에 문학을 보급하는 전략으로 사용되는 협업 번역에 대한 새로운 접근 방식을 시도한다. 협업 번역에 대한 작업 정의에는 쌍번역 (동시적번역 및 공동번역) 뿐만 아니라 번역 작품 제작에 참여하는 출판사나 서문 제작자 같은 다른 협력자들의 의견도 포함되는데 특히 자금 조달 기관의 의견에 중점을 둔다. 본 논문은 한국 문학 작품을 프랑스어로 번역한 중요한 사례 연구를 바탕으로 하는데 대부분의 이들 작품은 원본문화와 대상문화 번역자들에 의해 공동으로 번역되었을 뿐 아니라 이를 뚜렷하게 명시하고 있으며 또한 번역 과정에서 앞서 언급한 번역 협력자들의 영향을 감지할 수 있다. 본 논문은 1990년에서 2020년 사이에 프랑스어로 번역되어 출판된 360여개의 한국 문학작품의 보조텍스트들을 검토하여 누가, 누구와, 왜 번역을 하는지에 대한, 협업 번역에서 제기되는 문제들에 답하고자 한다.
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Aides informatisées à la traduction collaborative bénévole sur le Web

Bey, Youcef 02 June 2008 (has links) (PDF)
Les travaux de recherche présentés dans cette thèse s'inscrivent dans le domaine de la traduction automatique et automatisée. Nous nous intéressons en particulier aux outils d'aide à la traduction sur le Web favorisant la traduction bénévole, non-commerciale et incrémentale. La croissance remarquable de la quantité des documents multilingues disséminés en ligne gratuitement (W3C, Traduct, Mozilla, traducteurs bénévoles de documents en droits de l'homme, etc.) est le résultat d'un travail laborieux de communautés bénévoles qui sont malheureusement technologiquement marginalisées, et privées de toute aide « linguistique » à la traduction. Nous avons effectué une étude approfondie des communautés bénévoles et en avons dégagé les problèmes les plus intéressants et difficiles. Nous avons construit BEYTrans, un environnement collaboratif et non commercial offrant des services linguistiques et répondant aux besoins spécifiques de ces communautés. Les principales composantes logicielles développées sont : un éditeur multilingue Web intégrant des fonctionnalités linguistiques avancées et variées, un module de recyclage des traductions existantes, et la gestion et le traitement d'une masse de données multilingues. Chacun d'eux résout un problème intéressant, et ils sont entièrement intégrés (avec d'autres fonctionnalités) dans un environnement collaboratif complet, qui a été expérimenté avec succès dans des situations concrètes.
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Traduction de fugues-poèmes : une approche intersémiotique

Laporte, Marie Noël January 2015 (has links)
Résumé : Musicienne et traductrice de formation et de métier, je présente ici des traductions de poèmes contemporains qui s’annoncent, par leur titre ou leur forme, comme des fugues. Comme hypothèse de départ, je pose la possibilité du transfert des éléments de fugue musicale à ceux de la fugue littéraire. Ma démarche se décline en deux parties. Dans un premier temps, j’analyse les poèmes en suivant pas à pas la méthode de critique des traductions littéraires d’Antoine Berman. La méthode est adaptée à la traduction intersémiotique et rend compte des éléments de fugue contenus dans chacun des poèmes à l’étude. Dans un second temps, une fois le « projet de traduction » bien établi, je propose une traduction française des fugues-poèmes. Dans l’esprit de ce que Barbara Folkart nomme des « traductions d’auteur », dans le rendu proposé, je m’éloigne des approches dénotatives, tentant de réactualiser en français la démarche compositionnelle des poètes. Que retiendront les poètes pour leur projet de fugue-poème? Une confusion est-elle possible avec d’autres formes répétitives, comme le canon, le thème et variations, le ground, la chaconne, la passacaille, voire des formes de musique minimaliste? Malgré les appréhensions d’un certain nombre de critiques, qui taxent de « vaines » toute expérience intersémiotique ou toute tentative pour en démontrer les correspondances, on trouve quelques exemples probants de fugues littéraires. Bien entendu, la musique ne peut se traduire directement en mots. En s’attardant aux phénomènes perceptuels et créatifs, on accède à un degré correct de pertinence. Je me suis donné pour méthodologie le modèle de critique des traductions littéraires d’Antoine Berman, dont j’ai fait l’ossature des chapitres et auquel j’ai greffé des grilles d’analyse paradigmatique et rythmique. J’ai aussi eu recours à un pense-bête des principaux éléments fugaux (constituants de la fugue musicale, définitions de « fugue » dans la langue courante et critères psychiatriques de la « fugue dissociative »). Un questionnaire maison a été le point de départ de mon travail de collaboration avec les poètes. Dans le cas de Paul Celan (1920-1970), j’ai utilisé le même questionnaire, que j’ai rempli au gré de l’analyse et du dépouillement d’autres recherches. J’explore dans les six premiers chapitres les poèmes « Todesfuge » (1945) de Paul Celan, « Night Thoughts on Clauzewitz’s On War » (1986) d’E. D. Blodgett, « Lives of the Great Composers » (1983) de Dana Gioia, « Domestic Fugues » (2009) de Richard Newman, « Art of Fugue » (2011) de Jan Zwicky » et « Arugula fugues » (2001) d’Adeena Karasick. Dans la conclusion, je discute les résultats de recherche, les choix méthodologiques et le processus de traduction. Un tableau-synthèse des correspondances fugales est aussi présenté et commenté. Le chapitre intitulé « Stretto » vient élargir le corpus des fugues-poèmes analysées et traduites. J’y présente les fugues-poèmes suivantes : « Fugue » et « Round » de Weldon Kees, « Fugue in Cold and Rain » et « Little Fugue of Love and Death » de Richard Newman, « The Praying Mantis » d’Annie Charlotte Dalton Armitage, « The Ballad of the Pink-Brown Fence » de Milton Acorn, « The Children are Laughing » de Gwendolyn MacEwen, « And the Season Advances » d’Herménégilde Chiasson (dans une traduction de Jo-Anne Elder et de Fred Cogswell), « Fugue » de Robyn Sarah, « Fugue » du Kaddish d’Allen Ginsberg, « Fugue » de Neville Dawes, « Seaside Canon » de Julia Galef et « Stretto » de Don MacKay. // Abstract : As a professional musician and translator, I am presenting my translations of contemporary poems that are, either through their titles or their forms, fugue-poems. It is my hypothesis that elements present in a musical fugue can be transferred to a literary fugue. There are two parts to my research. First, I analyze the poems in strict accordance with Antoine Berman’s critical method for literary translation. I adapted the method in order to work with inter-semiotic translation, as well as the fugal elements contained in each of the poems studied. Next, with the “translation project” well established, I propose a French translation of the fugue-poems. Based on Barbara Folkart’s notion of “writerly translations,” I will attempt to capture the essence of the poems and recreate true works of literary art in French, rather than using purely denotative translation methods. Which elements do poets employ in their fugue-poems? Is there a possibility of confusing fugal elements with other repetitive forms, such as a canon, a theme and variations, a ground bass, a chaconne, a passacaglia or even certain forms of minimalist music? Despite the apprehension of some critics, who believe that inter-semiotic work or even the attempt to reveal any form of relationship is in vain, there are a number of clear examples of literary fugues. Naturally, music cannot translate directly into words. However, a study of the perceptual and creative phenomena allows us to make the connection. My research methodology is based on Antoine Berman’s model meant for critics of literary translations, which provides the backbone for the chapters in this presentation, and to which I have added a paradigmatic and rhythmic analysis grid. I also used a memory aid of the principal fugal elements (components of a musical fugue, definitions of a “fugue” in common usage, and the characteristics of the psychiatric disorder referred to as “dissociative fugue”). I designed a questionnaire, which I used as the basis for my collaboration with the poets. In the case of Paul Celan (1920-1970), I used the same questionnaire, which I filled out based on my analysis of his work, as well as analyses put forth by other researchers. In the first six chapters, I explore the following poems: “Todesfuge” (1945) by Paul Celan, “Night Thoughts on Clauzewitz’s On War” (1986) by E. D. Blodgett, “Lives of the Great Composers” (1983) by Dana Gioia, “Domestic Fugues” (2009) by Richard Newman, “Art of Fugue” (2011) by Jan Zwicky and “Arugula fugues” (2001) by Adeena Karasick. In the conclusion, I discuss the research results, the methodological choices and the translation process. I have also included a summary table (with comments) of the corresponding fugal elements. The chapter entitled “Stretto” concludes the corpus of analyzed and translated fugue-poems. It includes: “Fugue ” and “Round” by Weldon Kees, “Fugue in Cold and Rain” and “Little Fugue of Love and Death” by Richard Newman, “The Praying Mantis” by Annie Charlotte Dalton Armitage, “The Ballad of the Pink- Brown Fence” by Milton Acorn, “The Children are Laughing” by Gwendolyn MacEwen, “And the Season Advances” by Herménégilde Chiasson (translation by Jo-Anne Elder and Fred Cogswell), “Fugue” by Robyn Sarah, “Fugue” from Kaddish by Allen Ginsberg, “Fugue” by Neville Dawes, “Seaside Canon” by Julia Galef and “Stretto” by Don MacKay.
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Quality assurance within non-professional translation teams : action research in the non-profit sector

Johnston Grant, Liane 08 1900 (has links)
La traduction bénévole et collaborative, sous ses diverses formes telles que l’initiative Wikipedia, croît de jour en jour et requiert d’être encadrée pour garantir un contrôle de qualité. Et pourtant, la traduction non professionnelle est un domaine encore peu exploré. Dans le milieu de la traduction professionnelle, des critères assez sévères existent en ce qui concerne la formation et l’expérience du traducteur, l’assurance-qualité, les délais, et les droits d’auteur. Néanmoins, dans le cadre de la traduction qui implique la collaboration en ligne et des centaines de traducteurs (souvent bénévoles), ces aspects sont nettement plus flous. Ce projet de recherche aborde la question centrale de l’assurance qualité au sein des équipes de traducteurs non professionnels. Cela se fait sous l’angle de la recherche-action effectuée dans le secteur sans but lucratif, précisément avec le groupe des Traducteurs du Roi que j’ai formé en 2011 pour combler le manque de documentation en français au sein de notre confession religieuse. Il me semblait que nous ne pouvions simplement appliquer à notre équipe les normes et méthodes de la traduction professionnelle pour assurer la qualité. La nature de la traduction non professionnelle exige une approche personnalisée. J’ai décidé d’effectuer des recherches à l’intérieur des Traducteurs du Roi pour élaborer un système d’assurance qualité conçu spécifiquement pour la traduction non professionnelle. En adaptant des modèles professionnels au contexte non professionnel, j’ai été en mesure de créer un processus approprié de sélection des traducteurs, un processus global de révision des traductions et un processus ciblé de formation des traducteurs. Les critères de sélection comprennent les compétences et les traits de caractère qui favorisent la réussite au sein du système d’assurance qualité. Des processus spécifiques de révision sont jumelés aux niveaux de qualité souhaités en fonction de l’objet des documents. La composante de formation se concentre sur les changements de paradigmes encapsulés dans un ensemble de meilleures pratiques pour les traducteurs non professionnels. Ces trois éléments, la sélection, la révision et la formation, se complètent dans un système efficace d’assurance qualité. D’autres équipes de traducteurs non professionnels peuvent intégrer ce système, puisqu’il est spécifiquement adapté aux défis de travailler avec des traducteurs bénévoles et n’est pas spécifique à certaines langues. Mon projet apporte une importante contribution à la traductologie, premièrement en valorisant le domaine de la traduction non professionnelle et en soulignant le besoin d’une approche différente de celle de la traduction professionnelle. Je démontre que l’assurance qualité est possible au sein d’un groupe de traducteurs non professionnels et fournit un système efficace pour y arriver. Plus largement, mes recherches visent à sensibiliser les traductologues à deux idées importantes. D'abord, l'apparition inévitable de nouvelles pratiques de traduction différentes des pratiques traditionnelles, pratiques qu'il conviendra de prendre de plus en plus en compte et dont les leçons pourront être tirées. En outre, les chercheurs pourraient s’efforcer davantage d'assurer que les concepts, les normes et le métalangage de la traductologie soient compréhensibles et applicables dans des contextes non traditionnels. / Volunteer and collaborative translation in diverse forms, such as the Wikipedia initiative, is growing daily and needs direction in order to guarantee quality. And yet, non-professional translation is a field that remains largely unexplored. In the realm of professional translation, there are strict criteria related to translator training and experience, quality assurance, deadlines, and copyrights. However, in a context that involves online collaboration and hundreds of translators (often volunteers), these aspects are much less defined. This research project addresses the crucial issue of quality assurance within non-professional translation teams. This is done through the lens of action research carried out in the non-profit sector, specifically with a group called The King’s Translators which I formed in November 2011 to meet the need for French resources within our church denomination. It was apparent to me that we could not simply apply professional translation norms and methods within our team in order to ensure quality. The nature of non-professional translation requires a customized approach. I decided to conduct research from within The King’s Translators to develop a quality assurance system designed specifically for non-professional translation. By adapting professional models to the non-professional environment, I was able to create processes for appropriate translator selection, comprehensive translation revision/editing, and focused translator training. The criteria for translator selection include skills and character traits that enable a team member to succeed within the quality assurance system. Specific translation revision/editing processes are matched to desired quality levels based on the purpose of the translated documents. The translator training component concentrates on paradigm shifts encapsulated in a set of best practices for non-professional translators. These three elements of translator selection, translation revision/editing, and translator training harmonize in an effective quality assurance system. This system can be implemented by other non-professional translation teams, as it is specifically adapted to the challenges of working with volunteer translators and is not language specific. This project makes an important contribution to Translation Studies, first by highlighting the field of non-professional translation and emphasizing the need of an approach different than what is used for professional translation. I demonstrate how quality assurance is possible within a team of non-professional translators and provide an effective system for achieving it. On a broader level, my research aims to make Translation Studies scholars more aware that while new translation practices running counter to traditional mindsets will inevitably emerge, this should not prevent us from investigating and learning from them. In addition, researchers could make a greater effort to ensure that Translation Studies concepts, norms, and metalanguage are understandable and applicable in non-traditional contexts.

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