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Hierarchies and rank orders in distinctive features /Van Den Broecke, Marcel Peter René. January 1976 (has links)
Proefschrift--Letteren--Utrecht, 1976. / Bibliogr. p. 178-194.
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Deutsche Phonologie und Morphologie : Merkmale und Markiertheit /Van Lessen Kloeke, Willem Ubbo Siewert. January 1900 (has links)
Proefschrift--Taalwetenschap--Leiden, 1981. / Bibliogr. p. 307-315. Index. Résumé en anglais.
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La saisie de l'audible : étude lexématique de l'allemand /Dupuy-Engelhardt, Hiltraud, January 1990 (has links)
Texte remanié de: Th. doct. Etat--Université des sciences humaines de Strasbourg, 1987.
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Predictions on markedness and feature resilience in loanword adaptationStoltzfus, Daniel Paul 20 April 2018 (has links)
Normalement, un emprunt est adapté afin que ses éléments étrangers s’intègrent au système phonologique de la langue emprunteuse. Certains auteurs (cf. Miao 2005; Steriade 2001b, 2009) ont soutenu que, lors de l’adaptation d’une consonne, les traits de manière d’articulation sont plus résistants au changement que les traits laryngaux (ex. : le voisement) ou que ceux de place. Mes résultats montrent cependant que les traits de manière (ex. : [±continu]) sont impliqués dans les adaptations consonantiques aussi fréquemment que les autres traits (ex. [±voisé] et [±antérieur]). Par exemple, le /Z/ français est illicite à l’initiale en anglais. Les options d’adaptation incluent /Z/ → [z] (changement de place), /Z/ → [S] (changement de voisement) et /Z/ → [dZ] (changement de manière). Contrairement aux prédictions des auteurs précités, l’adaptation primaire en anglais est /Z/ → [dZ], avec changement de manière (ex. français [Zelatin] gélatine → anglais [dZElœtIn]). Plutôt qu’une résistance des traits de manière, les adaptations étudiées dans ma thèse font ressortir une nette tendance à la simplification. Mon hypothèse est que les langues adaptent les consonnes étrangères en en éliminant les complexités. Donc un changement impliquant l’élimination plutôt que l’insertion d’un trait marqué sera préféré. Ma thèse innove aussi en montrant qu’une consonne est le plus souvent importée lorsque sa stratégie d’adaptation primaire implique l’insertion d’un trait marqué. Les taux d’importation sont systématiquement élevés pour les consonnes dont l’adaptation impliquerait l’insertion d’un tel trait (ici [+continu] ou [+voisé]). Par exemple, /dZ/ en anglais, lorsque adapté, devient /Z/ en français après l’insertion de [+continu]; cependant, l’importation de /dZ/ est de loin préférée à son adaptation (89%). En comparaison, /dZ/ est rarement importé (10%) en germano-pennsylvanien (GP) parce que l’adaptation de /dZ/ à [tS] (élision du trait marqué [+voisé]) est disponible, contrairement au cas du français. Cependant, le /t/ anglais à l’initiale, lui, est majoritairement importé (74%) en GP parce que son adaptation en /d/ impliquerait l’insertion du trait marqué [+voisé]. Ma thèse permet non seulement de mieux cerner la direction des adaptations, mais repère aussi ce qui favorise fortement les importations sur la base d’une notion déjà établie en phonologie : la marque. / A loanword is normally adapted to fit its foreign elements to the phonological system of the borrowing language (L1). Recently, some authors (e.g. Miao 2005; Steriade 2001b, 2009) have proposed that during the adaptation process of a second language (L2) consonant, manner features are more resistant to change than are non-manner features. A careful study of my data indicate that manner features (e.g. [±continuant]) are as likely to be involved in the adaptation process as are non-manner [±voice] and [±anterior]. For example, French /Z/ is usually not tolerated word-initially in English. Adaptation options include /Z/ → [z] (change of place), /Z/ → [S] (change of voicing) and /Z/ → [dZ] (change of manner). The primary adaptation in English is /Z/ → [dZ] (e.g. French [Zelatin] gélatine → English [dZElœtIn]) where manner is in fact the less resistant. Instead, during loanword adaptation there is a clear tendency towards unmarkedness. My hypothesis is that languages overwhelmingly adapt with the goal of eliminating the complexities of the L2; a change that involves deletion instead of insertion of a marked feature is preferred. Furthermore, my thesis shows for the first time that a consonant is statistically most likely to be imported if its preferred adaptation strategy involves insertion of a marked feature (e.g. [+continuant] or [+voice]). For example, the adaptation of English /dZ/ is /Z/ in French after insertion of marked [+continuant], but /dZ/ is overwhelmingly imported (89%), instead of adapted in French. I argue that this is to avoid the insertion of marked [+continuant]. This contrasts with Pennsylvania German (PG) where English /dZ/ is rarely imported (10%). This is because unlike in French, there is an option to adapt /dZ/ to /tS/ (deletion of marked [+voice]) in PG. However, English word-initial /t/ is heavily imported (74%), not adapted, in PG because adaptation to /d/ involves insertion of marked [+voice]. Not only does my thesis better determine the direction of adaptations but it also establishes the circumstances where L2 consonants are most likely to be imported instead of being adapted, on the basis of a well-known notion in phonology: markedness.
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Le portugais du Brésil : des liens linguistiques avec les créoles du golfe de GuinéeBouchard, Marie-Ève 19 April 2018 (has links)
Plusieurs auteurs ont noté dans le portugais populaire du Brésil (PPB) des traits non conformes aux règles grammaticales de la norme culte du portugais brésilien et du portugais européen. Les liens historiques, économiques, politiques et sociaux entre le Brésil et les îles du golfe de Guinée portent à croire que les créoles de cet archipel ont eu un impact sur le parler des Brésiliens. L'objectif de notre recherche est de vérifier si certains traits linguistiques du PPB sont des vestiges des créoles du golfe de Guinée. Pour ce faire, nous avons analysé l'absence de la marque du pluriel -s, le manque d'accord verbal, la double-négation et l'absence de cas de déclinaison dans les pronoms personnels du PPB. Les résultats de notre recherche nous mènent à croire que les traits linguistiques étudiés du PPB sont des vestiges du proto-créole formé sur l'île de Sâo Tome à la fin du 15e siècle.
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