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Les évolutions du système d'innovation et le marché du travail des jeunes scientifiques<br />The evolutions of the system of innovation and the labour market of young scientists

Moguerou, Philippe 07 October 2004 (has links) (PDF)
En France, comme dans de nombreux autres pays de l'OCDE, la forte augmentation du nombre de diplômés scientifiques de niveau doctoral du milieu des années 80 au milieu des années 90, puis la progressive désaffection pour les études doctorales qui s'en est suivie, se sont combinées à une internationalisation accrue et à des transformations importantes des processus d'innovation. Notre hypothèse est qu'on assiste à l'émergence d'un marché du travail scientifique intermédiaire, à l'intersection du secteur académique et du secteur de la R&D privée, qui permet de répondre à ces évolutions. Une analyse détaillée, essentiellement à la lumière de l'économie du travail, des processus de production des scientifiques et des transformations récentes des carrières des jeunes scientifiques est tout d'abord entreprise. Puis, davantage dans la perspective de l'économie de l'innovation, les caractéristiques de l'emploi et de l'activité de R&D des jeunes chercheurs sont étudiées en fonction de leur appartenance à une des trois communautés scientifiques isolées (enseignants-chercheurs et chercheurs du secteur académique, chercheurs du secteur privé, chercheurs du secteur intermédiaire).
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« Faire cluster » : entre imaginaire de l’innovation et dynamiques de coopération esquivées / « Making cluster » : between innovation’s imaginery and dynamics of cooperation avoided

Vallier, Estelle 29 March 2019 (has links)
Les politiques de clusterisation se présentent comme inédites et porteuses de changement dans un monde, jugé sclérosé, où science et industrie seraient insuffisamment reliées. Regroupant géographiquement laboratoires, entreprises et formations d'un même domaine disciplinaire, les dispositifs de clusters sont, en effet, les produits d'une large rhétorique célébrant leurs bienfaits. Forgée au cœur des instances politiques transnationales par des « chercheurs-experts », venus de la science gestionnaire et économique, la notion de cluster est transposée dans la plupart des politiques publiques des pays industrialisés. Ainsi, dans un cluster français particulier, spécialisé dans les biotechnologies, on observe l'appropriation de cette politique et sa rhétorique. Au-delà de l'attribution d'un label et de services octroyés à ses membres (accompagnement, équipements mutualisés, etc.), le cluster étudié met en mots et en image l'interrelation harmonieuse entre entreprises et laboratoires, productrice d'innovations. Afin d'être conforme à cet imaginaire, il expérimente des formes de mises en relation plurielles. Néanmoins, le procédé de mise en contact reste sensiblement le même : réunir des individus sur des espaces-temps communs et en attendre des coopérations spontanées. Grâce au recours à la méthode d'analyse de réseau, complémentaire des entretiens et observations menés, la thèse montre, qu'à l'épreuve du dispositif, les acteurs manifestent des résistances par leur absence de participation. Au-delà d'un impact limité en termes d'interactions, le processus de clusterisation se révèle même paradoxal. Soumis à des exigences de performance et de confidentialité, propres à leur laboratoire ou à leur entreprise, les individus sont pourtant encouragés à investir les instances de coopération créées par le cluster. Des stratégies d'évitement sont alors à l'œuvre. Les participants esquivent, délibérément, les sujets relatifs à la production scientifique et industrielle, dont l'imbrication est pourtant le fondement du concept de cluster. / Clustering policies appear to be unprecedented and transformative in a world, deemed fossilised, where science and industry are considered insufficiently linked. Clusters, which are geographically based laboratories, companies and training courses in the same disciplinary field, are the products of a wide range rhetoric celebrating their benefits. Forged at the core of transnational political institutions by “expert researchers”, from management and economics science, the concept of cluster is transposed in most public policies in industrialized countries.In that respect, within a specific French biotechnology cluster, we observe an appropriation of such policy and its rhetoric. Beyond the label award and services offered to its members (accompaniment, mutual facilities, etc.), the cluster put into words and images the harmonious interrelation imaginary between companies and laboratories productive of innovations. To comply with such imaginery, the cluster is trying out plural forms of connections and networking. However, the process of contact remains significantly the same: bringing people together in common time spaces and expecting spontaneous cooperation.By using network analysis method, complementary to interviews and observations, the thesis shows that actors resist to cooperation by their lack of participation. Additionally to a limited impact in terms of interactions, the clustering process proves to be contradictory. Subject to performance and confidentiality requirements specific to their laboratory or firm, workers are, paradoxically, encouraged to take part in cooperation institutions created by the cluster. That is when we observe avoidance strategies. Participants deliberately avoid topics related to scientific and industrial production, which interconnection yet is the basis of the cluster concept.
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Le marché du travail des scientifiques : capital humain, incitations, proximité

Bonnard, Claire 29 November 2011 (has links) (PDF)
Cette thèse a comme objectif d'apporter une contribution à l'économie de l'innovation au niveau microéconomique. Elle est composée de trois chapitres portant sur le marché du travail des scientifiques et ingénieurs, les incitations à l'innovation dans le secteur privé et l'existence d'effets de proximité spatiale dans le recrutement des jeunes diplômés en sciences et ingénierie (S&I). Dans le premier chapitre de cette thèse, nous nous intéressons au marché du travail des scientifiques et ingénieurs. Tout d'abord, nous dégageons les différentes caractéristiques de ce marché du travail. Nous analysons ensuite les différents déterminants d'accès aux activités de R&D pour les jeunes diplômés en S&I. Enfin, nous nous interrogeons plus globalement sur la valorisation des activités de R&D au sein des entreprises privées. Nous déterminons s'il est rentable pour un ingénieur d'effectuer sa carrière au sein des activités de R&D. Cette analyse du marché du travail des scientifiques en entreprise montre qu'il n'existe pas de primes aux fonctions de R&D. Ce résultat nous amène à nous interroger dans le second chapitre de cette thèse sur les incitations à l'innovation dans le secteur privé. La mesure de l'innovation choisie est le fait pour un ingénieur de déposer un brevet, indicateur habituellement choisi pour mesurer l'innovation au niveau des entreprises. Nous nous intéressons aux types d'incitations monétaires reçues par les inventeurs au sein des entreprises. De la littérature, deux types d'incitations ressortent : les incitations liées à la performance de l'agent (le salaire) et celles liées à la performance des entreprises (les stock-options). Nous portons une attention particulière à la mobilité inter-entreprise des inventeurs. Dans le dernier chapitre de cette thèse, dans la lignée des travaux de l'économie de la connaissance portant sur le lien innovation-territoire, nous analysons l'existence d'effets de proximité dans le recrutement des jeunes diplômés en S&I par les entreprises pour leurs activités de R&D. Nous cherchons également à déterminer si le capital humain des scientifiques est plus fortement valorisé sur le marché du travail local, remettant dans une certaine mesure en cause la théorie de la prospection d'emploi spatiale. Enfin, nous portons une attention toute particulière à la valorisation du capital humain scientifique au sein des pôles de compétitivité mis en place par le gouvernement français en 2005 à l'image des clusters américains.

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