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Malformations artério-veineuses pulmonaires congénitales revue de littérature à propos d'un cas /

Redon, Pierre Eugène, François. January 2004 (has links) (PDF)
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Université de Nantes : 2004. / Bibliogr. f. 117-127 [87 réf.].
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Étude exploratoire du contrôle d'efforts graduels isométriques uni-, bi- et tri-axiaux

Vachon-Gee, Alexandre January 2012 (has links)
La lombalgie a été identifiée comme étant un problème d'importance dans notre société. La capacité des muscles du tronc à contrôler la stabilité lombaire est réduite lors d'efforts couplés ou asymétriques. La baisse du contrôle moteur, affectée par l'intensité et par la complexité de l'effort, est potentiellement associée à un risque accru de lombalgie. La présente étude avait comme objectif d'évaluer les combinaisons d'efforts réalisables par des sujets sains et comment le contrôle des moments de force diffère selon la nature de la tâche (efforts uni-, bi- et tri-axiaux) et selon son intensité. Dix hommes en bonne santé ont réalisé des efforts isométriques graduels sous-maximaux, variant entre 0% et 55% de la force maximale volontaire. Les efforts (6 uni-axiaux (1D), 10 bi-axiaux (2D), 4 tri-axiaux (3D)) ont été réalisé[i.e.réalisés] en position debout à cinq reprises randomisées. Une rétroaction visuelle tridimensionnelle affichait les moments cibles en plus des moments réalisés au niveau de L5/S 1. Les différences, exprimées en pourcentage, entre les moments cibles et les moments réalisés ont été extraite[i.e.extraites] aux intensités d'efforts 10%, 30% et 50%, pour les trois composantes du moment, (Mlat, Mext et Mrot) et analysées avec des ANOVA bi-factorielles (ESSAI, SESSION, INTENSITE, TACHE) avec mesures répétées. Les résultats démontrent que le contrôle des efforts isométriques du tronc est affecté par l'intensité, la nature et la complexité de la tâche. Le pourcentage d'erreur entre le moment cible (rétroaction visuelle) et le moment exercé est quasiment triple entre 10% et 50% de FMV. Les tâches réalisées dans plus d'un plan (bi-axial et tri-axial) contiennent plus d'erreur sur les trois composantes du moment à L5/S1 (Mlat, Mext, Mrot) que celles réalisées dans un seul plan (uni-axial). Les patrons comprenant une rotation axiale, qu'ils soient uni, bi ou tri-axial, semblent être les plus difficiles à exécuter, menant à un pourcentage d'erreur plus élevé. L'analyse des efforts isométriques du tronc les plus complexes (bi- et tri-axiaux) a besoin d'être approfondi, puisque leur impact sur le risque de lombalgie reste peu documenté. L'inclusion de personnes souffrant de lombalgie est de mise dans des études futures, afin d'évaluer la différence de contrôle des muscles du tronc entre sujets sains et lombalgiques.
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Neurophysiologie du contrôle moteur des muscles érecteurs du rachis : caractérisation des circuits de neurones

Desmons, Mikaël 10 August 2023 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles / Introduction : Les muscles du tronc participent au maintien de la posture, ils s'activent pour rigidifier et/ou mouvoir la colonne vertébrale. Il est possible de distinguer deux types de contrôle moteur pour ces derniers: un contrôle volontaire (e.g., extension du dos) et un contrôle postural pour conserver la posture (involontaire). Les patients souffrant d'états de santé tels que les accidents vasculaires cérébraux, les lésions de la moelle épinière et les lombalgies présentent des altérations du contrôle moteur du tronc. Ces altérations peuvent être dues à une lésion du système nerveux central (SNC) (e.g., accident vasculaire cérébral) ou à une réorganisation des circuits neuronaux (e.g., lombalgie) en présence de douleur. Bien que la lombalgie chronique soit à l'origine du plus grand nombre d'années vécues avec incapacité dans le monde, la neurophysiologie du contrôle moteur des muscles paravertébraux lombaires est méconnue. Par exemple, les études sondant les représentations des muscles paravertébraux lombaires avec la stimulation magnétique transcrânienne (TMS) chez l'humain se sont concentrées sur une seule région : le cortex moteur primaire (M1). Pourtant, d'autres circuits de neurones tels que l'aire motrice supplémentaire (SMA) semblent impliqués. Dépendamment de la direction du courant électrique utilisée (postéro-antérieur [PA] vs. antéro-postérieur [AP]), la TMS pourrait activer différents circuits de neurones qui pourraient être impliqués différemment dans le contrôle des muscles du tronc. Il a été suggéré que les circuits recrutés par le courant AP pourraient refléter l'action des structures prémotrices (prémoteur et SMA) sur le M1. L'objectif général de la thèse est d'explorer, à l'aide de techniques de neurophysiologie (TMS et réflexe d'étirement (SR)), le fonctionnement de différents circuits de neurones impliqués dans le contrôle moteur des muscles paravertébraux lombaires chez des individus en santé. Méthode : Une revue systématique de la littérature a été réalisée pour examiner systématiquement les études portant sur le contrôle neuronal des muscles paravertébraux lombaires chez l'homme testé par la TMS. Puis, la TMS a été utilisée dans deux études pour mesurer l'excitabilité corticospinale des muscles érecteurs du rachis lombaire (LES) chez des individus en santé. Dans l'étude 2, l'effet de différentes directions de courant de la TMS (PA- vs. AP-TMS) sur la mesure du contrôle corticomoteur des LES et sur la cartographie de la représentation corticale des LES ont été réalisé pendant une tâche statique de maintien postural. Dans l'étude 3, l'excitabilité des circuits de neurones PA- et AP-TMS ainsi que l'excitabilité spinale (SR) ont été testés lors de la préparation et de l'exécution de tâches posturale et volontaire des LES. Les potentiels moteurs évoqués (MEPs) et SR ont été mesurés à plusieurs intervalles de temps avant l'exécution d'une bascule du bassin (activation volontaire des LES) et d'une flexion bilatérale des épaules (activation posturale des LES). Résultats : Les résultats obtenus dans l'étude 1 suggèrent des projections bilatérales à partir de chaque M1 vers un muscle lombaire et la présence de circuits inhibiteurs et excitateurs intracorticaux dans M1. Dans l'étude 2, l'utilisation du courant AP-TMS a entraîné une latence de réponse plus tardive, une inhibition plus importante avec un protocole de stimulations pairées, et un seuil moteur plus élevé qu'avec le courant PA-TMS. Les résultats de l'étude 3 ont révélé (i) dans la tâche posturale, un changement de l'excitabilité corticospinale et motoneuronale plus élevé pendant l'exécution par rapport à la préparation motrice, quelle que soit la direction du courant et (ii) dans la tâche volontaire, une augmentation de l'excitabilité corticospinale pendant l'exécution par rapport à la préparation motrice uniquement avec le courant AP-TMS. Conclusion : Les connaissances des structures neuronales sous-jacentes du contrôle moteur des muscles paravertébraux lombaires sont influencées par les études menées en neurophysiologie sur le contrôle moteur des muscles distaux (e.g., main). Les résultats de la thèse supportent l'existence de différences entre le contrôle moteur des muscles paravertébraux lombaires et des muscles distaux, notamment par une plus grande contribution des voies descendantes bilatérales. De plus, les résultats soutiennent l'existence de deux circuits de neurones sous-jacents du contrôle moteur des LES recrutés par les courants PA- et AP-TMS. Ces circuits semblent contribuer différemment au contrôle moteur des LES dépendamment du type de tâche à réaliser (posturale ou volontaire) chez des individus en bonne santé. De futures études seront nécessaires pour explorer si ces circuits sont modulés différemment en présence de douleur expérimentale (e.g., stimulation électrique) et clinique (e.g., lombalgie). / Introduction: The muscles of the trunk are essential for maintaining posture, they are activated to stiffen and/or move the spine. Two types of motor control can be distinguished for them: voluntary control (e.g., back extension) and postural control during which the motor system is activated to maintain posture. Patients suffering from various health conditions such as stroke, spinal cord injury and low back pain show alterations in the trunk motor control. These alterations may be due to damage to the central nervous system (CNS) (e.g., stroke) or to a reorganisation of neural circuits (e.g., low back pain) in the presence of pain. Although chronic low back pain accounts for the largest number of years lived with disability in the world, the neurophysiology of motor control of the lumbar paraspinal muscles is poorly understood even in healthy individuals. For example, studies probing trunk muscle representations with transcranial magnetic stimulation (TMS) in humans have mainly focused on a single region: the primary motor cortex (M1). However, evidence suggests the major involvement of other neural circuits such as the supplementary motor area (SMA). Depending on the direction of the electrical current used (posterior-anterior [PA] vs. antero-posterior [AP]), TMS could activate different neural circuits that might be differently involved in trunk muscle control. It has been suggested that the circuits recruited by the AP current may reflect the action of premotor structures (premotor and SMA) on the M1. The general objective of the thesis is to explore, using neurophysiological techniques (TMS and stretch reflex (SR)), the functioning of different neural circuits involved in the motor control of lumbar paraspinal muscles in healthy individuals. Methods: A systematic review of the literature was conducted to systematically examine studies of the neural control of lumbar muscles in humans tested by TMS. Then, TMS was used in two studies to measure the corticospinal excitability of lumbar spinal erector spinae (LES) muscles. In Study 2, the effect of different TMS current directions (PA- vs. AP-TMS) on the measurement of corticomotor control of the LES muscles and on the mapping of the cortical representation of the LES muscles were performed during a static postural maintenance task in healthy individuals. In Study 3, the excitability of PA- and AP-TMS neural circuits as well as spinal excitability via the stretch reflex were tested during the preparation and execution of postural and voluntary LES muscle tasks. MEPs and SR were measured at several time intervals before the execution of a pelvic tilt (voluntary activation of the lumbar muscles) and a bilateral shoulder flexion (postural activation of the lumbar muscles). Results: The results obtained in Study 1 suggest bilateral projections from each M1 to a lumbar muscle and the presence of intracortical inhibitory and excitatory circuits in M1. In Study 2, the use of AP-TMS current resulted in a later response latency, greater inhibition with a paired pulses stimulation protocol, and a higher motor threshold than with PA-TMS current. The results of Study 3 revealed (i) in the postural task, a higher modulation of corticospinal and motoneuronal excitability during execution than during motor preparation, regardless of the direction of the current and (ii) in the voluntary task, a modulation of corticospinal excitability that was present only with the AP-TMS current. Conclusion: Knowledge of the neural structures underlying motor control of lumbar paraspinal muscles is greatly influenced by neurophysiological studies of motor control of distal muscles (e.g., hand). However, the results of the thesis support the existence of differences between the motor control of the lumbar paraspinal muscles and the distal muscles, notably through a greater contribution of bilateral descending pathways. Furthermore, the results support the existence of two underlying neuronal circuits of LES muscle motor control recruited by PA- and AP-TMS currents. These circuits also appear to contribute differently to LES motor control depending on the type of task being performed (postural or voluntary) in healthy individuals. Future studies are needed to explore whether these circuits are active differently in the presence of experimental (e.g., electrical stimulation) and clinical (e.g., low back pain) pain.
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Caractérisation des mouvements du tronc et du fauteuil roulant manuel pendant le franchissement d’un dénivellement chez les personnes ayant une paraplégie

Bouksani, Ratiba 20 April 2018 (has links)
Le but de cette étude est d’évaluer l’effet de la hauteur d’un dénivellement et du niveau d’une lésion de la moelle épinière sur les mouvements du tronc et du fauteuil roulant manuel lors de l’approche et de la montée de ce dénivellement. Dix-huit hommes ayant une paraplégie devaient franchir avec leur fauteuil roulant manuel une distance de 3 m puis monter des dénivellements de 5 cm, 10 cm et 15 cm. Les résultats montrent que les participants : 1) ont une plus grande vitesse lors de la levée des roues avant peu importe le niveau de lésion, 2) lèvent les roues avant du fauteuil roulant manuel plus loin du dénivellement peu importe le niveau de lésion, et 3) ont une plus grande amplitude de flexion/extension du tronc chez les paraplégiques ayant une lésion basse comparativement à ceux ayant une lésion haute, et ce, plus la hauteur du dénivellement augmente.
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L'utilisation d'un algomètre manuel afin d'évaluer le seuil de la douleur au niveau du tronc et des membres supérieurs chez des jeunes femmes de niveau collégial

Jones, David H. January 2008 (has links) (PDF)
Objectifs: le but de ce projet fut d'utiliser un algomètre manuel afin de pouvoir apprécier l'intensité du seuil de douleur à la pression (appelé PPT pour pain pressure threshold) sur huit locations cutanées différentes au niveau des membres supérieurs et du tronc chez des jeunes femmes en bonne santé, durant quatre jours consécutifs d'évaluation. Les différentes études sur ce sujet à ce jour nous permettaient de croire que les huit locations ne présenteraient pas de "PPT" même intensité. Le fait de noter des variations de "PPT" pourrait alors être une première étape dans le développement d'un protocole diagnostique rigoureux qui aurait un intérêt dans l'approche de différents groupes de patients présentant des maux et souffrances au niveau de la nuque, des épaules et des bras. Méthode: les mesures de l'intensité du "PPT", furent obtenues à partir de huit sites différents sur le bras et le tronc (coté droit seulement) de dix-neuf jeunes femmes. Tous les sujets testés étaient droitières, avaient des cycles menstruels réguliers et n'avaient présenté aucun problème musculo-squelettique relié à l'épaule au cours des six mois précédant la période d'évaluation. Chacune d'entre elle fut recrutée au sein de la population de l'Université Concordia. Deux thérapeutes du sport expérimentés eurent à identifier, valider et marquer les huit différents sites sur la peau de chaque sujet. Les deux thérapeutes du sport palpèrent également les huit sites afin de déterminer la présence ou l'absence d'un nodule musculaire (contracture) pouvant s'associer à un point gachette "trigger point" potentiel à chacun des emplacements. Cette palpation fut effectuée en début et en fin de chaque session de tests, Au cours de quatre jours consécutifs d'évaluation, un algomètre manuel fut employé sur chacun des emplacements marqués afin de mesurer l'intensité du "PPT" sur chaque sujet. Après la collecte des mesures enregistrées par l'algomètre et l'évaluation palpatoire des deux thérapeutes du sport, une mesure des plis cutanés fut également prise pour chacune des huit sites. Résultats: la principale conséquence de cette recherche fut de révéler un abaissement significatif de l'intensité du "PPT" pour les huit emplacements lors des quatre jours d'évaluation. Une différence significative de l'intensité du seuil de douleur fut également démontrée au niveau du bras comparé aux valeurs du tronc. Les emplacements de la partie supérieure du bras et de la partie antérieure de l'épaule montrèrent des valeurs de PPT significativement plus faibles lorsque qu'ils furent comparés aux cinq autres emplacements du tronc et de la partie postérieure de l'épaule. Aucune corrélation ne fut trouvée entre l'épaisseur du pli cutané d'un emplacement et l'intensité du "PPT" de ce même emplacement chez les sujets testés. Les régions ayant une épaisseur du pli cutané plus importante n'ont pas forcément montré d'intensités de "PPT" plus élevées ou faibles. La mesure statistique « interclass correlation scores » qui permet d'évaluer le degré d'accord entre les deux thérapeutes du sport sur la présence ou l'absence d'un nodule musculaire associé à un point gachette fut de 0,54. Cette valeur peut être considérée comme basse statistiquement mais se révèle consistante et en rapport avec les autres valeurs du même type retrouvées dans d'autres études évaluant les habilités manuelles de praticiens à des fins diagnostiques. Cette étude peut donc fournir aux praticiens et chercheurs des indications claires à propos d'un protocole d'évaluation des mesures de "PPT" qui permettrait d'obtenir des valeurs initiales de base au niveau des régions du bras et du tronc de jeunes femmes ne présentant pas de dysfonctions scapulo-humérales. Des études futures auraient donc comme intérêt d'utiliser ce même protocole d'évaluation chez des femmes souffrant effectivement de douleurs à l'épaule ou chez des femmes pouvant présenter des facteurs de risques quant au développement de ces mêmes douleurs lors d'interventions associées au traitement du cancer du sein. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : PPT, Cancer du sein, Point gachette, Douleur à la pression.
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Bases neurales de la respiration chez la souris : traçage monosynaptique et dissection génétique des neurones prémoteurs phréniques / Neural Bases of Breathing in the Mouse : Monosynaptic Tracing and Genetic Dissection of Phrenic Premotor Neurons

Wu, Jinjin 28 June 2016 (has links)
Le comportement respiratoire est unique en ce qu’il requiert l’activation permanente de muscles squelettiques. Le contrôle exécutif de la respiration repose sur des groupes d’interneurones connectés par des synapses et formant un réseau ordonné : le générateur central respiratoire (CPG). Nous cherchons à comprendre l’implication de types neuronaux définis dans la logique de l’organisation du CPG respiratoire. Nous avons précédemment démontré que les neurones constitutifs du – complexe preBötzinger (preBötC) – le générateur du rythme inspiratoire, dérivaient de progéniteurs neuraux exprimant le gène à homéoboite Dbx1. J’étudie ici, par traçage viral monosynaptique chez des souriceaux, les neurones prémoteurs à l’interface entre le générateur de rythme et les motoneurones phréniques innervant le diaphragme. Je montre que les principaux neurones prémoteurs formant – le groupe respiratoire ventral rostral (rVRG) – sont aussi des neurones de type V0. Ce travail révèle une organisation des circuits inspiratoires dans laquelle les lignages cellulaires de types V0 sont cruciaux pour établir (i) le preBötC (générateur du rythme) et le rVRG (suiveur du rythme) et (ii) un dessin de connectivité assurant bilatéralement l’amplitude équilibrée et la synchronisation de la commande motrice des nerfs phréniques requise pour respirer efficacement. / Breathing uniquely engages permanent rhythmic contractions of skeletal muscles in a bilaterally synchronized manner. The executive control of respiration imparts on sets of brainstem interneurons synaptically assembled into an ordered network: the respiratory central pattern generator (CPG). We investigate the relationship of defined neuronal subtypes to the organizational logic of the respiratory CPG. We have previously demonstrated that neural progenitors expressing the homeobox gene Dbx1 give rise to V0 neurons that go on forming the – preBötzinger complex (preBötC) -- the inspiratory rhythm generator. I now study, via monosynaptic viral tracing in early postnatal mice, the premotor neurons that interface the rhythm generator to output phrenic motor neurons innervating the main inspiratory pump muscle, the diaphragm. I show that the principal premotor neurons in the – rostral ventral respiratory group (rVRG) – are also V0 interneurons. This work reveals an organization of inspiratory circuits in which V0 cell lineages are crucial for establishing (i) the preBötC (rhythm generator) and the rVRG (rhythm follower) and (ii) a connectivity design that secures the bilaterally balanced amplitude and temporal synchronicity of rhythmic phrenic motor drives necessary for efficient breathing.
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Description anatomique et neurochimique du tronc cérébral et de ses groupes neuroneaux cholinergiques chez le singe et l'humain / Description anatomique et neurochimique du tronc cérébral et de ses groupes neuronaux cholinergiques chez le singe et l'humain

Coulombe, Vincent 12 June 2023 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles. / Titre de l'écran-titre (visionné le 12 juin 2023) / Situé dans le tronc cérébral, le noyau pédonculopontin (PPN) suscite présentement un grand intérêt puisqu'il constitue une cible thérapeutique afin de traiter, par stimulation cérébrale profonde (DBS), l'instabilité posturale et le « freezing » de la marche dont souffrent certains patients atteints de la maladie de Parkinson. Les résultats des études sur la position exacte qu'occupe le PPN dans le tronc cérébral demeurent contradictoires. Face à cette imprécision, nous avons entrepris une étude anatomique et neurochimique détaillée du tronc cérébral des primates, en portant une attention particulière aux deux principaux groupes de neurones cholinergiques qu'il referme soit le PPN et le noyau latérodorsal tegmentaire (LDTg). Ces études comparées ont été réalisées à partir de tissus post-mortem provenant de singes cynomolgus (Macaca fascicularis) et d'humains. Le premier chapitre du présent mémoire contient un atlas topographique du tronc cérébral humain composé de 45 planches anatomiques comprenant chacune une paire de sections adjacentes marquées au Crésyl Violet et au Bleu de Luxol ayant permis la délimitation des noyaux et des faisceaux de fibres qui s'y retrouvent. Cet atlas a été conçu selon un plan de référence appelé jonction ponto-mésencéphalique qui facilite la localisation relative des groupes neuronaux contenus dans le tegmentum mésencéphalique. Le second chapitre porte sur la localisation topographique et la neurochimie des groupes cholinergiques contenus dans le PPN et le LDTg. Des études quantitatives réalisées chez le singe et l'humain à partir de sections immunomarquées pour la choline acétyltransférase (ChAT) et la nicotinamide adénine dinucléotide phosphate diaphorase (Nadph-δ) ont permis d'identifier trois types de neurones selon leur contenu neurochimique et de décrire leur distribution régionale à la jonction ponto-mésencéphalique ainsi que leur densité respective. Dans l'ensemble, les données présentées dans ce mémoire permettent d'améliorer notre compréhension de l'organisation anatomique et neurochimique du tronc cérébral des primates humains et non-humains, plus particulièrement en ce qui a trait aux deux principaux groupes cholinergiques qu'il referme. / Located in the brainstem, the pedunculopontine nucleus (PPN) is currently of great interest since it constitutes a promising target to treat, by deep brain stimulation (DBS), postural instability and freezing of gait that afflict some patients suffering from Parkinson's disease. Studies on the exact position that the PPN occupies in the brainstem remain contradictory. The work presented in this mémoire focuses on the anatomical and neurochemical characterization of the primate brainstem, particularly of its two main groups of cholinergic neurons, namely the PPN and the laterodorsal tegmental nucleus (LDTg). These comparative studies were carried out using post-mortem tissues from cynomolgus monkeys (Macaca fascicularis) and humans. In the first chapter, a topographic atlas of the human brainstem is presented. It is composed of 45 anatomical plates each comprising a pair of adjacent sections stained with Cresyl Violet and Luxol Fast Blue, which allow the delineation of brainstem nuclei and bundles, respectively. This atlas is based on a particular reference plane called the ponto-mesencephalic junction, which facilitates the location of the neuronal groups contained in the mesencephalic tegmentum. The work presented in the second chapter deals with the topographic localization and the neurochemistry of the cholinergic groups contained in the PPN and the LDTg. Quantitative studies were carried out on monkeys and humans using brain sections immunostained for choline acetyltransferase (ChAT) and nicotinamide adenine dinucleotide phosphate diaphorase (Nadph-δ). Three types of neurons were identified according to their neurochemical feature. We also described their regional distribution at the ponto-mesencephalic junction, as well as their respective cell density. Overall, the data presented in this mémoire improves our understanding of the anatomical and neurochemical organization of the brainstem in humans and non-human primates, particularly regarding the two main cholinergic groups that it contains.
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L'inhibition au tronc cérébral dans le système sensoriel des vibrisses des rongeurs

Bellavance, Marie-Andrée 24 April 2018 (has links)
Les rongeurs utilisent leurs vibrisses afin de connaître leur environnement. L’information sensorielle captée par les vibrisses est envoyée à chacun des noyaux trigéminaux sensoriels du tronc cérébral, là où l’inhibition détermine les propriétés des réponses des cellules trigéminothalamiques. Nous avons démontré qu’une inhibition rapide de type « feedforward » provenant des cellules GABAergiques et glycinergiques du noyau spinal interpolaire, détermine la préférence angulaire des neurones du PrV. Nos résultats ont également montré que la direction de stimulation de la vibrisse influence systématiquement la latence du premier potentiel d’action, et que cette latence s’avère être un outil aussi robuste que le taux de décharge pour quantifier la préférence angulaire au PrV. Nous proposons que l’inhibition à la première station-relais du système des vibrisses contribue au filtrage des informations redondantes et à la mise en oeuvre d’un code basé sur la latence pour le transfert des informations sensorielles du thalamus jusqu’au cortex. Lors du second volet de cette étude, nous cherchions à comprendre comment une boucle sensorielle rétroactive peut affecter les motoneurones qui contrôlent le mouvement des vibrisses. Nous avons démontré que cette boucle n’est pas exclusivement excitatrice, tel que rapporté précédemment par Nguyen et Kleinfeld (2005) mais qu’elle peut aussi inhiber les motoneurones qui contrôlent la protraction des vibrisses. Nos résultats indiquent que la latence du réflexe dans cette boucle est de 11 à 13 ms, ce qui concorde avec la latence du réflexe estimé chez le rat en exploration libre lorsqu’il touche un objet. Des techniques de marquage rétrograde combinées avec de l’hybridation in situ ont révélé que les motoneurones des muscles intrinsèques des vibrisses reçoivent des informations des prémotoneurones glutamatergiques et GABAergiques/glycinergiques situés dans le noyau trigéminal oralis. Par contre, les motoneurones qui contrôlent la rétraction du coussinet facial reçoivent seulement les entrées excitatrices des cellules glutamatergiques du noyau spinal interpolaire qui projettent au Po. En somme, nos études montrent que l’inhibition d’origine trigéminale joue un grand rôle dans le tri des informations sensorielles et le mouvement des vibrisses. / Rodents use their vibrissae to explore the environment. Sensory information gathered by the vibrissae is forwarded to each of the sensory trigeminal nuclei in the brainstem, where inhibition shapes response properties of trigeminothalamic cells. We found that fast feedforward inhibition of PrV cells by GABAergic and glycinergic interpolaris cells determines the angular selectivity of PrV neurons. Our results also show that stimulus direction systematically influences the latency of the first action potential, and that first spike latency is as reliable as spike counts to quantify the angular tuning of PrV cells. We propose that inhibition at the first relay station of the vibrissa system contributes to filtering redundant information and to the implementation of a latency code for the transfer of sensory information to thalamus and cortex. In a second study, we examined how sensory feedback loops affect facial motoneurons that control vibrissa movements. We demonstrated that this loop is not exclusively excitatory, as previously reported by Nguyen and Kleinfeld (2005), but that it can inhibit motoneurons that drive vibrissa protraction. Reflex latency in this loop is of the order of 11 to 13 ms, which matches that estimated in freely exploring rats when they contact an object. Retrograde labeling combined with in situ hybridization revealed that motoneurons of the intrinsic vibrissa muscles receive input from glutamatergic and GABAergic/glycinergic premotor neurons located in the trigeminal oralis nucleus. In contrast motoneurons that drive retraction of the mystacial pad only receive excitatory input from glutamatergic cells of the spinal interpolar nucleus that project to Po. In sum, our studies show that inhibition at the very first relay stations of the vibrissa system plays a key role in the selection of sensory information and in fine tuning the motion of the vibrissae.
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Contrôle de la respiration chez la préparation du tronc cérébral isolé du poisson rouge (Carassius auratus; Linnaeus)

Côté, Éric 19 April 2018 (has links)
Nous avons mené une étude à deux volets sur la préparation du tronc cérébral isolé du poisson rouge (Carassius auratus; Linnaeus). Le premier volet porte sur la chémosensibilité centrale du poisson rouge. Nos résultats nous révèlent qu’une diminution de la PO2 dans le superfusat engendre une augmentation de la fréquence des décharges respiratoires tandis qu’une diminution du pH du superfusat, suite à l’augmentation de sa PCO2, n’influence pas le rythme respiratoire. Le deuxième volet porte sur l’importance relative de l’inhibition réciproque chlore-dépendante dans la rythmogenèse respiratoire. Ici, nos résultats nous indique que la perturbation de ce mécanisme via 1) la superfusion du tronc cérébral isolé avec un superfusat sans ion chlorure aboli le rythme respiratoire, 2) l’activation des récepteurs GABAergiques avec du GABA exogène diminue la fréquence des décharges respiratoires et 3) l’inactivation simultanée des récepteurs GABAergiques et glycinergiques à l’aide d’antagonistes augmente la fréquence et l’amplitude des décharges respiratoires. / We conducted a two-part in vitro study on the isolated brainstem preparation of the goldfish (Carassius auratus; Linnaeus). In the first part, we investigated the central chemosensibility of the goldfish. Our results indicate that decreasing the PO2 of the superfusate increases the frequency of the fictive respiratory bursts. However, decreasing the pH of the superfusate by increasing its PCO2 had no effect on the respiratory rhythm. In the second part, we investigated the relative importance of GABA- or glycine-mediated Cl--dependent reciprocal inhibition for respiratory rhythmogenesis by disrupting this mechanism with three different treatments. Here, our results indicate that 1) bathing the brainstem in a Cl--free superfusate abolishes the respiratory rhythm, 2) activating GABA receptors with exogenous GABA decreases the frequency of the fictive respiratory bursts and 3) simultaneously inactivating GABA receptors and glycine receptors with antagonists increases both the frequency and the amplitude of the fictive respiratory bursts.
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ANALYSE DE L'ENCODAGE DES SIGNAUX DE PAROLE DANS LE TRONC CEREBRAL (SPEECH AUDITORY BRAINSTEM RESPONSE)

Akhoun, Idrick 03 December 2008 (has links) (PDF)
Les Speech ABR sont un outil prometteur d'exploration fonctionnelle auditive, qui pourrait à terme être implémenté en routine clinique afin de dépister la surdité et d'évaluer l'efficacité des techniques de réhabilitation auditive. Dans la Partie 1, nous présentons d'abord (i) une étude paramétrique quantifiant les effets de l'artefact électromagnétique, issu du couplage entre la chaine de stimulation et d'acquisition, sur le Speech ABR. Puis nous discutons (ii) les avantages de la représentation temps-fréquence dans l'analyse des Speech ABR, en particulier dans le cas des stimuli de haute fréquence de l'ordre de 500 Hz ou plus. Enfin (iii), nous tentons de déceler les probables générateurs neurophysiologiques sous-jacents du Speech ABR, d'après son comportement en réponse a des stimuli de différentes structures acoustiques. Dans la Partie 2, nous évaluons en premier lieu (i) la relation entre la structure temporelle d'une syllabe /ba/ et la forme temporelle du Speech ABR. Ensuite (ii), nous confrontons le comportement du Speech ABR en fonction de l'intensité de stimulation aux résultats bien connus pour les clics-ABR. Puis, nous étudions (iii) les effets de la hauteur tonale, ainsi que de la nature du stimulus (parole, analogue non-langagier et musique) sur le Speech ABR. La dernière étude de cette Partie 2 (iv) tente de faire le lien entre la qualité de perception d'un analogue non-langagier et la qualité de synchronisation du Speech ABR.

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