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Théorie de l'esprit et lobe frontal contributions de la neuropsychologie clinique /

Thomassin-Havet, Valérie. Le Gall, Didier January 2007 (has links)
Reproduction de thèse : Thèse de doctorat : Psychologie : Angers : 2007. / Titre provenant de l'écran titre. Bibliogr. p. 217-246.
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Une approche intégrative en psychothérapie EMDR du trauma complexe et des troubles dissociatifs auprès des adultes / An Integrative Approach about EMDR Psychotherapy for Complex Trauma and Dissociative Disorder in Adults

Dellucci, Hélène 14 November 2016 (has links)
Ce travail de thèse raconte un cheminement de clinicienne, avec des allers retours entre une pratique psychothérapeutique et une réflexion conceptuelle, tentant de cheminer vers une démarche intégrative permettant d’aborder les situations psychotraumatologiques complexes. Guidée par l’envie d’apprendre, mais aussi par la mise à l’épreuve du terrain, nous avons élargi pas à pas notre démarche psychotraumatologique, pour aboutir à la proposition d’un modèle intervention intégratif et original. Nous espérons que ce modèle puisse permettre au clinicien de s’adapter, sans se perdre, à la réalité complexe des personnes souffrant de traumatisations complexes et chroniques. La présentation de différentes publications et de cas cliniques illustrera ce cheminement de pensée et de pratiques pour arriver à un modèle rigoureux pouvant être soumis à l’épreuve scientifique et au terrain. / This thesis tells a journey of a clinician, with back and forth between a psychotherapeutic practice and conceptual thinking, trying to move towards an integrative approach for addressing complex situations in psychotraumatology. Guided by the desire to learn, but also examining field practice, we have expanded, step by step, our psychotraumatologic approach, coming to a proposal of an integrative and original treatment model. We hope this model may allow clinicians to adapt to the complex reality of complex and chronic traumatized persons, without getting lost. The presentation of different publications and clinical cases illustrate this line of thought and practices in order to achieve a rigorous model that can be subjected to scientific testing as well as put to the proof of the psychotherapy field.
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Processus associatifs en mémoire épisodique dans le vieillissement normal et dans le trouble cognitif léger de type amnésique

Tardif, Sarah 20 April 2018 (has links)
La présente thèse vise la caractérisation des processus mnésiques associatifs dans le vieillissement normal et le trouble cognitif léger amnésique (TCLa). Dans la première étude (Chapitre II), les performances de groupes de jeunes adultes (groupe contrôle) et d’adultes âgés en bonne santé sont évaluées à l’aide d’une tâche expérimentale sollicitant la mémoire d’items, de localisations et d’associations spatiales ou temporelles. Les résultats révèlent que les participants âgés obtiennent de moins bonnes performances que les jeunes adultes dans toutes les conditions de la tâche. Une interaction révèle toutefois que dans la condition impliquant des associations spatiales, les participants âgés présentent un déficit accru par rapport aux autres conditions. Des analyses des patrons d’erreurs confirment les difficultés des adultes âgés à mémoriser des associations spatiales. Ces analyses révèlent aussi que malgré leurs difficultés à mémoriser des associations temporelles, les sujets âgés peuvent utiliser l’information sur l’ordre de présentation des items pour reconstruire les associations dont ils se souviennent. Dans la deuxième étude (Chapitre III), les performances de groupes d’adultes âgés en bonne santé (groupe contrôle) et de gens présentant un trouble cognitif léger de type amnésique (TCLa) sont évaluées à l’aide de la même tâche expérimentale. Les participants du groupe TCLa montrent de moins bonnes performances que le groupe contrôle dans les conditions sollicitant la mémoire d’items, de localisations ou d’associations spatiales. Toutefois, lorsque des associations temporelles doivent être mémorisées, les deux groupes sont comparables. Par ailleurs, aucune interaction n’est obtenue entre les groupes et les conditions de la tâche. Enfin, l’analyse des patrons d’erreurs révèle que les participants contrôles parviennent à utiliser implicitement l’information sur l’ordre de présentation des items pour reconstruire des associations temporelles, mais ce n’est pas le cas dans le groupe TCLa. Dans l’ensemble, les résultats obtenus dans l’Étude 1 suggèrent la non-universalité du déficit associatif attribuable au vieillissement. Dans l’Étude 2, les résultats suggèrent: 1) que le TCLa n’est pas caractérisé par la présence d’un déficit associatif en comparaison au vieillissement normal; mais 2) contrairement aux adultes âgés, les gens avec TCLa n’ont pas la capacité d’associer implicitement des éléments d’information. Autrement dit, l’analyse raffinée des patrons d’erreurs dans les tâches de mémoire associative pourrait représenter une nouvelle façon d’identifier la MA prodromique et cette question mérite d’être investiguée dans le futur. Enfin, cette thèse suggère de nouvelles pistes de recherche pour l’étude raffinée des processus mnésiques associatifs au cours du prodrome de la MA. / The present thesis aims to characterize associative memory processes in normal ageing and in amnestic mild cognitive impairment (aMCI). In the first study (Chapter II), performances of younger (control group) and healthy older adults were compared using an experimental task that measures item memory, location memory, and spatial or temporal associative memory. Results indicate that heatlhy older adults performed worse than young adults in all task conditions. A significant interaction revealed a greater age-related difference regarding spatial associative memory compared to item memory. Analyses of the pattern of errors confirmed the difficulty of older adults to memorize associations with a spatial context. The analyses also revealed that despite their difficulty to memorize associations with a temporal context, older adults can use information regarding the temporal order of items at study phase in order to reconstruct temporal associations. In the second study (Chapter III), performances of healthy older adults (control group) and people with amnestic mild cognitive impairment (aMCI) were compared using the same experimental task described above. Participants from the aMCI group performed worse than healthy older adults in all task conditions except the one measuring temporal associative memory. In addition, no interactions were found, indicating that the magnitude of differences between groups was comparable between task conditions. The analysis of the pattern of errors revealed that healthy older adults can implicitly use temporal information in order to reconstruct associations with a temporal context, but not participants with aMCI. In sum, results from Study 1 suggest that associative deficit hypothesis is not universal. Results from Study 2 suggest 1) that aMCI is not characterized by an associative memory deficit when compared to healthy older adults; but 2) contrary to healthy older adults, aMCI subjects do not have the capacity to implicitly bind pieces of information. In other words, the analysis of the pattern of errors in associative memory tasks might represent a novel way to identify prodromal Alzheimer’s disease (AD) and this question needs to be investigated in future work. To conclude, the present thesis suggests directions for future research on associative memory in the prodromal phase of AD.
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La schizophrénie dissociative : nouvelle entité clinique, trouble comorbide ou autres considérations nosographiques

Laferrière-Simard, Marie-Christine 03 1900 (has links)
L’existence d’un sous-type dissociatif de schizophrénie a été suggérée par plusieurs auteurs pour rendre compte des présentations symptomatologiques d’un groupe de personnes dont le diagnostic principal est dans le spectre de la schizophrénie mais qui présentent aussi des symptômes dissociatifs (Ross, 2004; Şar et al., 2010; Van der Hart, Witztum, & Friedman, 1993). D’origine traumatique, ce type de portrait clinique où symptômes psychotiques et dissociatifs s’entremêlent aurait été décrit il y a déjà plus d’un siècle (Janet & Raymond, 1898) mais serait disparu dans les années ’30, assimilé au concept de « schizophrénie » (Rosenbaum, 1980). C’est dans un nouveau contexte nosographique que le concept de schizophrénie dissociative refait surface. En effet, la nosographie psychiatrique a pris un tournant en 1980 lorsque l’approche préconisée par le DSM est devenue descriptive plutôt que basée sur des conceptualisations psychanalytiques. Du coup, les affections d’alors ont été divisées en troubles dont les symptômes ont tendance à se manifester ensemble (Cooper, 2004) et la comorbidité entre les troubles a augmenté. Étant donné la comorbidité fréquemment rapportée entre les troubles psychotiques et dissociatifs, la similarité phénoménologique de leurs symptômes, ainsi que leur possible étiologie traumatique, Ross (2004) a proposé une série de critères permettant de diagnostiquer une schizophrénie dissociative. L’objectif principal de cette thèse est donc d’établir si la schizophrénie dissociative, telle que définie par Ross (2004), existe. Le premier article porte sur la problématique et le contexte théorique ayant mené à la question de recherche. Il vise à faire un survol des enjeux entourant la question de la schizophrénie dissociative et rend compte des écrits scientifiques sur la symptomatologie similaire entre les troubles psychotiques et dissociatifs, sur leur étiologie traumatique et sur les études sur la dissociation et la schizophrénie. Le deuxième article est quant à lui un article empirique rendant compte de la méthodologie utilisée pour répondre à la question de recherche. En effet, aucune étude jusqu’ici n’a testé systématiquement les critères de la schizophrénie dissociative. Nos résultats démontrent que 24% de notre échantillon (N=50) pourrait recevoir le diagnostic de schizophrénie dissociative avec les critères proposés par Ross (2004). Toutefois, ces critères posant problème, une modification a été proposée et une prévalence de 14% a alors été trouvée. Des vignettes cliniques sont présentées afin de comparer nos participants avec ceux rapportés ailleurs. Les liens entre symptômes psychotiques et dissociatifs sont discutés en essayant de conceptualiser la schizophrénie dissociative de différentes manières, soit comme une nouvelle entité clinique, comme un trouble comorbide ou dans un contexte nosographique psychodynamique. / The existence of a dissociative subtype of schizophrenia has been suggested by several authors to account for the symptomatology of a group of people whose primary diagnosis is in the schizophrenia spectrum but have in addition dissociative symptoms (Ross, 2004; Sar et al, 2010; Van der Hart, Witztum, & Friedman, 1993). Of traumatic origin, this type of clinical picture where psychotic and dissociative symptoms are intertwined was first described more than a century ago (Janet & Raymond, 1898) but disappeared in the 30’s, having been incorporated to the concept of "schizophrenia" (Rosenbaum, 1980). It is in a new nosographic context that the concept of dissociative schizophrenia resurfaced. Indeed, psychiatric nosography took a turn in 1980 when the approach advocated by the DSM became descriptive rather than based on psychoanalytic conceptualizations. The psychiatric conditions of the time were divided into disorders whose symptoms tended to occur together (Cooper, 2004). Consequently, the presence of comorbid disorders increased. Given the frequently reported co-occurrence of psychotic and dissociative disorders, the phenomenological similarity of their symptoms and their potential traumatic etiology, Ross (2004) proposed a criteria set for the diagnosis of dissociative schizophrenia. The main objective of this thesis is to determine whether the dissociative schizophrenia, as defined by Ross (2004), exists. The first article focuses on the problem and the theoretical background that led to the research question. It aims at providing an overview of the issues surrounding the question of dissociative schizophrenia. It also reports on the literature pertaining to symptoms found in both psychotic and dissociative disorders, their traumatic etiology and studies on dissociation and schizophrenia. The second article is of empirical nature and reports the methodology used to answer the research question. Indeed, no study to date has systematically tested the criteria for dissociative schizophrenia. Our results show that 24 % of our sample (N = 50) could receive a diagnosis of schizophrenia with dissociative criteria proposed by Ross (2004). However, the criteria set was problematic so a modification was proposed and a prevalence of 14% was then found. Clinical vignettes are presented to compare our participants with those reported elsewhere. The links between psychotic and dissociative symptoms are discussed in trying to conceptualize dissociative schizophrenia in different ways, either as a new clinical entity, as a comorbid disorder or in a psychodynamic nosographic context.
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La schizophrénie dissociative : nouvelle entité clinique, trouble comorbide ou autres considérations nosographiques

Laferrière-Simard, Marie-Christine 03 1900 (has links)
L’existence d’un sous-type dissociatif de schizophrénie a été suggérée par plusieurs auteurs pour rendre compte des présentations symptomatologiques d’un groupe de personnes dont le diagnostic principal est dans le spectre de la schizophrénie mais qui présentent aussi des symptômes dissociatifs (Ross, 2004; Şar et al., 2010; Van der Hart, Witztum, & Friedman, 1993). D’origine traumatique, ce type de portrait clinique où symptômes psychotiques et dissociatifs s’entremêlent aurait été décrit il y a déjà plus d’un siècle (Janet & Raymond, 1898) mais serait disparu dans les années ’30, assimilé au concept de « schizophrénie » (Rosenbaum, 1980). C’est dans un nouveau contexte nosographique que le concept de schizophrénie dissociative refait surface. En effet, la nosographie psychiatrique a pris un tournant en 1980 lorsque l’approche préconisée par le DSM est devenue descriptive plutôt que basée sur des conceptualisations psychanalytiques. Du coup, les affections d’alors ont été divisées en troubles dont les symptômes ont tendance à se manifester ensemble (Cooper, 2004) et la comorbidité entre les troubles a augmenté. Étant donné la comorbidité fréquemment rapportée entre les troubles psychotiques et dissociatifs, la similarité phénoménologique de leurs symptômes, ainsi que leur possible étiologie traumatique, Ross (2004) a proposé une série de critères permettant de diagnostiquer une schizophrénie dissociative. L’objectif principal de cette thèse est donc d’établir si la schizophrénie dissociative, telle que définie par Ross (2004), existe. Le premier article porte sur la problématique et le contexte théorique ayant mené à la question de recherche. Il vise à faire un survol des enjeux entourant la question de la schizophrénie dissociative et rend compte des écrits scientifiques sur la symptomatologie similaire entre les troubles psychotiques et dissociatifs, sur leur étiologie traumatique et sur les études sur la dissociation et la schizophrénie. Le deuxième article est quant à lui un article empirique rendant compte de la méthodologie utilisée pour répondre à la question de recherche. En effet, aucune étude jusqu’ici n’a testé systématiquement les critères de la schizophrénie dissociative. Nos résultats démontrent que 24% de notre échantillon (N=50) pourrait recevoir le diagnostic de schizophrénie dissociative avec les critères proposés par Ross (2004). Toutefois, ces critères posant problème, une modification a été proposée et une prévalence de 14% a alors été trouvée. Des vignettes cliniques sont présentées afin de comparer nos participants avec ceux rapportés ailleurs. Les liens entre symptômes psychotiques et dissociatifs sont discutés en essayant de conceptualiser la schizophrénie dissociative de différentes manières, soit comme une nouvelle entité clinique, comme un trouble comorbide ou dans un contexte nosographique psychodynamique. / The existence of a dissociative subtype of schizophrenia has been suggested by several authors to account for the symptomatology of a group of people whose primary diagnosis is in the schizophrenia spectrum but have in addition dissociative symptoms (Ross, 2004; Sar et al, 2010; Van der Hart, Witztum, & Friedman, 1993). Of traumatic origin, this type of clinical picture where psychotic and dissociative symptoms are intertwined was first described more than a century ago (Janet & Raymond, 1898) but disappeared in the 30’s, having been incorporated to the concept of "schizophrenia" (Rosenbaum, 1980). It is in a new nosographic context that the concept of dissociative schizophrenia resurfaced. Indeed, psychiatric nosography took a turn in 1980 when the approach advocated by the DSM became descriptive rather than based on psychoanalytic conceptualizations. The psychiatric conditions of the time were divided into disorders whose symptoms tended to occur together (Cooper, 2004). Consequently, the presence of comorbid disorders increased. Given the frequently reported co-occurrence of psychotic and dissociative disorders, the phenomenological similarity of their symptoms and their potential traumatic etiology, Ross (2004) proposed a criteria set for the diagnosis of dissociative schizophrenia. The main objective of this thesis is to determine whether the dissociative schizophrenia, as defined by Ross (2004), exists. The first article focuses on the problem and the theoretical background that led to the research question. It aims at providing an overview of the issues surrounding the question of dissociative schizophrenia. It also reports on the literature pertaining to symptoms found in both psychotic and dissociative disorders, their traumatic etiology and studies on dissociation and schizophrenia. The second article is of empirical nature and reports the methodology used to answer the research question. Indeed, no study to date has systematically tested the criteria for dissociative schizophrenia. Our results show that 24 % of our sample (N = 50) could receive a diagnosis of schizophrenia with dissociative criteria proposed by Ross (2004). However, the criteria set was problematic so a modification was proposed and a prevalence of 14% was then found. Clinical vignettes are presented to compare our participants with those reported elsewhere. The links between psychotic and dissociative symptoms are discussed in trying to conceptualize dissociative schizophrenia in different ways, either as a new clinical entity, as a comorbid disorder or in a psychodynamic nosographic context.

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