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Les zouaves pontificaux et la diffusion de l'ultramontanisme au Canada français, 1860-1870

Hardy, René 11 April 2018 (has links)
Les zouaves pontificaux canadiens ont servi à Rome du 11 mars 1868 au 20 septembre 1870. Dès l'annonce de l'organisation du mouvement, ses panégyristes le présentaient comme un élan spontané de la jeunesse canadienne volant au secours du pape dont le pouvoir temporel était menacé par les garibaldiens et les libéraux européens. Mais quiconque avait suivi la longue polémique, commencée avec la révolution romaine de 1848, entre le clergé et la presse ultramontaine d'une part, et les rares représentants canadiens-français de la presse libérale et les membres de l'Institut canadien d'autre part, devait penser que cette interprétation avait pour but de discréditer la thèse libérale en présentant les Canadiens français comme naturellement dévoués au Saint-Siège. D'ailleurs, les journalistes et les clercs qui qualifiaient le mouvement zouave d'élan spontané n'étaient pas sans savoir que l'évêque de Montréal, Mgr Ignace Bourget, tentait sans succès depuis 1860 d'envoyer des Canadiens combattre à Rome. Voilà qui justifie amplement les questions que nous nous posons, en introduction à cette étude des zouaves pontificaux et de la diffusion de l'idéologie ultramontaine dans la province de Québec, sur l'enjeu politique et social que représente la question romaine au Canada et sur l'ampleur de la propagande en faveur du pouvoir temporel du pape entre 1848 et 1868. Notre analyse des répercussions canadiennes de cet événement en apparence si lointain permettra d'identifier les forces sociales en présence, de définir les idéologies antagonistes et de cerner les divers moyens de transmission de ces idéologies durant cette période. Dès lors ressortiront les éléments qui justifient les objectifs de cette étude. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Le chrétien au Québec : à la recherche d'une pratique politique

Rousseau, Jean-Yves 11 January 2022 (has links)
Au Québec, les chrétiens cherchent à vivre une pratique politique cohérente avec les valeurs de leur foi. Une étude de l'histoire du Québec révèle le passage d'un engagement politique institutionnel et idéologique de l'Église à une responsabilité personnelle des chrétiens en solidarité avec les personnes et les groupes qui luttent pour la justice sociale. Le rappel des pratiques politiques des chrétiens au Québec nous apprend à tirer les leçons de l'histoire permettant de situer les chances et les handicaps d'un chrétien engagé en politique. Enfin, nous ouvrons quelques chantiers où les chrétiens d'aujourd'hui peuvent agir en cohérence avec leur foi et en solidarité avec les personnes qui luttent pour la justice sociale dans le cadre d'un projet de société.
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Mgr Elzéar-Alexandre Taschereau et le catholicisme libéral au Canada français (1820-1898)

Dupuis, Jean-Claude 11 April 2018 (has links)
Archevêque de Québec (1871-1898) et premier cardinal canadien (1886), Mgr Elzéar-Alexandre Taschereau (1820- 1898) neutralisa l'action politique du clergé pour pacifier les relations entre l'Église et l'État dans un difficile contexte de majorité anglo-protestante. Il pensait que le libéralisme canadien était de nature strictement politique (forme élective de l'État) et qu'il ne se rattachait pas au libéralisme doctrinal (laïcisme de l'État), alors condamné par l'Église. Il s'opposa victorieusement aux catholiques intransigeants (Mgrs Bourget et Laflèche) qui cherchaient, au nom de l'esprit antilibéral du Syllabu s (1864), à restaurer la suprématie de l'Église sur l'État. Par réalisme, Mgr Taschereau entendait plutôt établir un régime d'autonomie mutuelle et de collaboration pratique entre les deux puissances. Ses adversaires lui reprochaient de défendre mollement les droits de l'Église et même d'ouvrir la porte à un certain laïcisme en séparant la religion de la politique. Mais le Saint-Siège approuva son attitude pragmatique et modérée, qui heurtait moins l'esprit du temps et qui épargna peut-être au Canada un grave conflit entre la majorité anglo-protestante et la minorité franco-catholique. Notre problématique est de savoir si la politique de Mgr Taschereau s'inscrivait dans l'école de pensée catholique libérale de la seconde moitié du XIXe siècle, telle que représentée notamment en France par Charles de Montalembert et Mgr Félix Dupanloup. À partir de la correspondance officielle de l'archevêché de Québec et des écrits polémiques du temps, nous essayons de voir si les prises de position de Mgr Taschereau reposaient sur une vision catholique libérale des rapports entre l'Église et l'État. Nous étudions les thèmes suivants: la nature du libéralisme canadien, l'action électorale du clergé, les rapports entre le droit civil et le droit canon, le rôle de l'Église en éducation, les enjeux de la querelle universitaire Québec-Montréal, et les interventions de Rome en faveur de l'archevêque. La pensée de Mgr Taschereau se conformait à l'orthodoxie doctrinale de l'Église de son temps, marquée par l'esprit du Syllabus. Mais son action dénotait certaines caractéristiques du catholicisme libéral montalembertien. Mgr Taschereau était, en ce sens, un "catholique modéré" qui, suivant ses propres mots, "prenaient les hommes tels qu'ils sont, et non tels qu'ils devraient être".

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