• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 7
  • 1
  • Tagged with
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 6
  • 4
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Land use patterns in the Laurentides between the Saint-Maurice and Rouge valleys (Québec).

Clibbon, Peter Brooke 25 April 2018 (has links)
Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, l'utilisation du sol, les paysages et l'économie régionale de vastes sections des petites Laurentides du Québec ont été radicalement transformés. Aujourd'hui, 160 ans après l’arrivée des premiers bûcherons et des premiers colons dans la région, la période agricole tire définitivement vers sa fin; les chantiers remontent de plus en plus vers le nord, à cause principalement de l'épuisement des ressources commerciales de la forêt; enfin, la région est devenue, en grande partie, un hinterland récréationel très développé pour Montréal, Québec, Hull-Ottawa, Trois-Rivières, Shawinigan-Grand’Mère, et les autres villes des vallées du Saint-Laurent et de l’0utaouais. La région du bouclier qui s'étend entre les vallées de la rivière Rouge et du Saint-Maurice (comprenant la plus grande partie des comtés d'Argenteuil, de Terrebonne, de Montcalm, de Joliette, de Berthier, de Maskinongé et de Saint-Maurice), largement comprise dans la zone a-i influence de Montréal, est peut-être le secteur des Laurentides qui évolue le plus rapidement. Le "pattern" actuel de l'utilisation du sol de ce secteur et son évolution - c'est le thème de cet essai - présentent donc un intérêt particulier. On a divisé le secteur en six méso-régions: Mauricie, rivière du Loup, Maskinongé, Mattawin, Assomption-Ouareau, et enfin, la région "laurentienne", cette dernière s'étendant au nord-ouest de Montréal le long de l'axe fourni par la route 11. Le "pattern" actuel de l'utilisation du sol de chacune de ces ré6ions est décrit en détail. À cela s'ajoute une analyse des facteurs: roche-mère, topographie, matériaux de surface, climat, historique du peuplement, exploitation forestière, tourisme, communications et urbanisation, qui expliquent le mieux ce "pattern" de même que son évolution. Les autorités coloniales britanniques commencèrent à établir des plans de colonisation de la région des Laurentides à la fin du dix-huitième siècle. Aux environs de 1790, leurs arpenteurs divisèrent t la région en cantons de 100 milles carrés portant des noms comme Rawdon, Kilkenny, Chilton et Brandon. Parmi les premiers colons, outre quelques éléments canadiens français, fissuraient une poignée de Loyalistes, d'Américains, et d'officiers et de soldats britanniques à la retraite . Cependant, le gros des colons d'expression anglaise était composé d'immigrants irlandais et écossais, qui arrivèrent dans la région entre 1820 et 1840, attirés par des offres alléchantes: terres, instruments, rations alimentaires, transports offerts gratuitement. Les attributions considérables de terres et les concessions accordées aux compagnies forestières et aux spéculateurs anglophones pendant la même période, ont concouru également à l'ouverture de l'arrière-pays à la colonisation, principalement dans la région de Maskinongé, de la rivière du Loup et de la Mauricie. La vague de colonisation britannique prit fin vers l'année 1840, mais à cette époque, les Canadiens français, venant des seigneuries surpeuplées des basses terres, commencèrent à se déverser dans la région . S'appropriant d'abord des fermes du rebord du bouclier abandonnées par les Britanniques, ils gagnèrent par la suite les hautes terres légèrement ondulées et les plaines alluviales encore non - cadastrées de l'intérieur (par exemple, la région de la Mattawin et la haute vallée de la rivière Rouge). Cette poussée vers le nord, fortement encouragée par le gouvernement provincial, l'Église catholique romaine et les sociétés de colonisation de Montréal, se prolongea durant cinquante a ' soixante -dix ans, et fut suivie par une période d'abandon des terres qui s'est poursuivie jusqu'aujourd'hui. Le rétrécissement de l'écoumène agricole (lequel est passé de 110 000 à 26 000 acres dans la seule région "laurentienne" entre 1921 et 1961) et la substitution des exploitations agricoles marginales à des usages plus profitables ont eu pour résultat l'établissement de rapports plus rationnels entre la "capacité" du sol et son utilisation dans l'ensemble de la région. Cependant, des améliorations apportées au réseau de communications et le développement continuel du tourisme d'été et d'hiver, la spéculation sur les terres et l'urbanisation menacent maintenant même les zones d ' agriculture pros pères. Depuis 1945, dans la vallée de la rivière du Nord en particulier, et dans d'autres régions, les facteurs ci-haut mentionnés se sont combinés pour amener la disparition de l’agriculture. Les projets d'extension de l'Autoroute des Laurentides et de l'Autoroute 40 (laquelle suit le côté nord de la vallée du Saint-Laurent entre Montréal et Berthierville ) aura sans nul doute pour résultat la création éventuelle de nouveaux développements récréationnels et urbains dans des rég ions telles que les bassins de Saint-Jovite et de Saint-Gabriel . Ces projets devraient aider à l'ouverture prochaine au tourisme de vallées peu développées comme celle de la Maskinongé, de la rivière du Loup et de la Mauricie. L’annulation des baux des clubs de pêche et de chasse dans les régions qui connaîtront un développement imminent serait souhaitable. D'ici peu (vingt ou trente ans, peut-être ), on verra que l'utilisation du sol à des fins urbaines et récréationnelles prédominera presque partout dans les Laurentides entre la vallée de la rivière Rouge et celle du Saint-Maurice. L'agriculture, jadis activité économique de base ici, ne sera plus qu’un souvenir. / Since the end of World War II, the land use, landscapes, and regional economy of large sections of Québec’s Laurentide hills have been radically transformed. Now, 160 years after the arrival of the first colonists and lumbermen in the area , the death knell is finally sounding for farming, the "chantiers" are moving farther and farther north, mainly because of the depletion of the commercial forest resources, and the region has become, in large part, a highly-developed recreational hinterland for Montréal, Québec, Hull-Ottawa, Trois-Rivières, Shawinigan - Grand'Mère, and the other towns of the Saint Lawrence and Ottawa valleys. The Shield area between the Rouge and Saint-Maurice valleys, lying largely within the orbit of Montréal and comprising most of Argenteuil, Terrebonne, Montcalm, Joliette, Berthier, Maskinongé and Saint-Maurice counties, is perhaps the most rapidly evolving sector of the Laurentides, and so the evolution and present pattern of its land use, the theme of this dissertation, is of particular interest. The area has been divided into six regions - the Mauricie, rivière du Loup, Maskinongé, Mattawin, Assomption-Ouareau, and 11 Laurentian" zones (the latter lies northwest of Montréal a long the axis provided by Route 11). The present patterns of land use in each of these regions are described in detail, along with an analysis of the factors and elements bedrock·and topography, surface materials, climate, history of settlement, forest exploitation, tourism, communications and urbanization which best explain them. British colonial authorities began to plan the settlement of the Laurentide region in the late eighteenth century, and during the 1790s their surveyors broke the area up into 100 square mile townships with names such as Rawdon, Kilkenny, Chilton and Brandon. The first settlers were a handful of Loyalists, Americans, and retired British army officers and enlisted men, but the bulk of the English- speaking colonists were Irish and Scotch immigrants who arrived in the area between 1820 and 1840) attracted by offers of free passage) land, tools and rations. The large land grants and timber concessions which were made to English lumbermen and speculators during the same period also helped to open the interior to settlement, notably in the Maskinongé, rivière du Loup and Mauricie regions. The wave of British settlement died out around 1840, but at this time French-Canadians from the overcrowded lowland seigneuries began to spill over into the area, first appropriating many of the Shield-edge farms abandoned by the British, and later moving onto the gently rolling highlands and flat alluvial plains of the unsurveyed interior (Mattawin region, upper Rouge valley). This push toward the north, strongly encouraged by the provincial government, the Roman Catholic church, and Montréal-based colonization societies, lasted from fifty to seventy years, and was followed by a period of land abandonment which has continued until the present. The shrinking of the agricultural ecumene (which dropped from 110,000 to 26,000 acres in the "Laurentian" area alone between 1921 and 1961), and the transfer of marginal farmland to more profitable uses, has brought about a more rational relationship between land capability and land use throughout the area. However, improvements to the communications network, and the continuing development of summer and winter tourism, land speculation and urbanization, now threaten even the areas of good farmland, and since 1945, have combined to bring about the virtual disappearance of farmland in the Nord river valley and other areas. Projected extensions to the Autoroute des Laurentides and Autoroute 40 (which follows the north side of the Saint Lawrence valley between Montréal and Berthierville) will undoubtedly stimulate additional recreational and urban growth in areas such as the Saint-Jovite basin and the Saint-Gabriel lowland, and should help to open up to tourism hitherto lightly-developed valleys such as the Maskinongé, rivière du Loup and Saint-Maurice. Cancellation of fishing and hunting club leases in these areas of imminent development would be desirable, and now seems likely. It would now appear that within a very short time, perhaps twenty or thirty years, urban and recreational land use will predominate almost everywhere in the Laurentides between the Rouge and Saint-Maurice valleys, and farming, once the basic economic activity here, will be no more than a distant memory. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2016
2

Les incidences du zonage à Ste Foy

Mercier, Jean 18 March 2022 (has links)
De petite banlieue qu'elle était il y a 25 ans, Ste-Foy est maintenant une ville moderne offrant tous les services possibles à ses résidents, c'est une ville dans la ville. Ayant acquis de plus en plus d'autonomie, Ste-Foy n'est plus une ville de banlieue résidentielle passive, comme c'était le cas avant 1960. Sa population augmente et l'on voit, simultanément, certaines de ses fonctions grandir en importance et venir concurrencer celles de Québec. Grâce à son réseau d'autoroutes très denses et à sa situation avantageuse par rapport au pont Pierre Laporte, chaque année viennent s'établir de nouveaux commerces, de nouveaux édifices à bureaux, de nouvelles industries qui permettent à Ste-Foy de prendre de l'avant. Le phénomène de croissance que représente la ville de Ste-Foy, n'est pas sans exiger une planification et un contrôle rationnel du développement afin d'assurer l'équilibre et l'harmonie entre les diverses fonctions résidentielles, commerciales, industrielles, communautaires. Le schéma d'aménagement permettra aux autorités municipales d'encadrer et de diriger les interventions des promoteurs privés et publics, de telle sorte que les projets de développement ne tiennent pas compte seulement des considérations économiques, mais aussi des facteurs sociaux et du cadre morphologique. Le règlement de zonage traditionnel a été maintes fois dénoncé comme un instrument rigide, non prévisionnel, discriminatoire, ambigu et peu intégré à l'approche planificatrice. L'approche adoptée dans le cadre du Schéma particulier d'aménagement de Ste-Foy, veut tenir compte de ces critiques, et s'orienter vers une politique de développement qui vise à guider plus qu'à interdire et promouvoir une réglementation de l'aménagement. En somme, Ste-Foy doit jouer son rôle de pôle d'équilibre régional en devenant un véritable centre urbain complet, offrant tous les services qui découlent de ce statut. Pour ce faire, elle doit dans une première étape créer un centre-ville intégré. En concentrant et en densifiant les activités économiques centrales dans un secteur délimité, le projet du centre-ville permettra d'assurer une utilisation du sol plus rationnelle et plus rentable, autant pour la ville que pour les promoteurs.
3

Les incidences du zonage à Ste Foy

Mercier, Jean 18 March 2022 (has links)
De petite banlieue qu'elle était il y a 25 ans, Ste-Foy est maintenant une ville moderne offrant tous les services possibles à ses résidents, c'est une ville dans la ville. Ayant acquis de plus en plus d'autonomie, Ste-Foy n'est plus une ville de banlieue résidentielle passive, comme c'était le cas avant 1960. Sa population augmente et l'on voit, simultanément, certaines de ses fonctions grandir en importance et venir concurrencer celles de Québec. Grâce à son réseau d'autoroutes très denses et à sa situation avantageuse par rapport au pont Pierre Laporte, chaque année viennent s'établir de nouveaux commerces, de nouveaux édifices à bureaux, de nouvelles industries qui permettent à Ste-Foy de prendre de l'avant. Le phénomène de croissance que représente la ville de Ste-Foy, n'est pas sans exiger une planification et un contrôle rationnel du développement afin d'assurer l'équilibre et l'harmonie entre les diverses fonctions résidentielles, commerciales, industrielles, communautaires. Le schéma d'aménagement permettra aux autorités municipales d'encadrer et de diriger les interventions des promoteurs privés et publics, de telle sorte que les projets de développement ne tiennent pas compte seulement des considérations économiques, mais aussi des facteurs sociaux et du cadre morphologique. Le règlement de zonage traditionnel a été maintes fois dénoncé comme un instrument rigide, non prévisionnel, discriminatoire, ambigu et peu intégré à l'approche planificatrice. L'approche adoptée dans le cadre du Schéma particulier d'aménagement de Ste-Foy, veut tenir compte de ces critiques, et s'orienter vers une politique de développement qui vise à guider plus qu'à interdire et promouvoir une réglementation de l'aménagement. En somme, Ste-Foy doit jouer son rôle de pôle d'équilibre régional en devenant un véritable centre urbain complet, offrant tous les services qui découlent de ce statut. Pour ce faire, elle doit dans une première étape créer un centre-ville intégré. En concentrant et en densifiant les activités économiques centrales dans un secteur délimité, le projet du centre-ville permettra d'assurer une utilisation du sol plus rationnelle et plus rentable, autant pour la ville que pour les promoteurs.
4

L'impact de Trois-Rivières sur sa zone péri-urbaine

Nobert, Yves 23 February 2022 (has links)
No description available.
5

La spécialisation de l'espace intra-urbain

Pampalon, Robert. 07 June 2022 (has links)
No description available.
6

La spécialisation de l'espace intra-urbain

Pampalon, Robert 07 June 2022 (has links)
No description available.
7

L'impact de Trois-Rivières sur sa zone péri-urbaine

Nobert, Yves 23 February 2022 (has links)
No description available.
8

Coexistence et compatibilité des usages dans les territoires ruraux québécois : étude de cas

Mathis, Marianne 23 April 2018 (has links)
Au cours de la dernière décennie, les espaces ruraux québécois, utilisés principalement à des fins agricoles, ont été mis sous tension par la multiplication des porcheries, le développement de la filière éolienne et l’exploration gazière. Au Québec, le modèle de développement sous-jacent à la Loi sur la protection du territoire et des activités agricoles n’encourage pas la multifonctionnalité de la zone agricole, puisque le régime de zonage n’autorise l’inclusion d’activités non agricoles qu’au cas par cas. Depuis les années 2000, le gouvernement a consenti à une planification d’ensemble pour les usages résidentiels. Mais cet ajustement, dont la valeur reste encore à établir, ne concerne que l’usage résidentiel. Or, cette conjoncture entre la volonté gouvernementale de favoriser l’occupation dynamique du territoire et la demande croissante pour l’exploitation des ressources naturelles engendre un défi de coexistence des usages. Face à cet enjeu d’actualité, le gouvernement du Québec a mis sur pied la Commission sur l’avenir de l’agriculture et de l’agroalimentaire québécois, qui a permis d’identifier une volonté des acteurs de la société civile de mieux encadrer l’expression de la multifonctionnalité des territoires ruraux, ce qui exige maint ajustement. C’est pourquoi il a semblé intéressant de se pencher sur les outils et mécanismes de planification, de réglementation et de consultation découlant des lois en vigueur afin d’examiner s’ils favorisent ou non la coexistence d’usages en milieu agricole à travers l’examen du cas de la MRC de Bécancour. Une matrice est proposée comme outil pouvant optimiser la planification territoriale. Selon l’analyse effectuée, les conflits d’usages répertoriés peuvent être classés en deux catégories. La différence s’opère dans l’objet et dans la manifestation du conflit au sein de l’espace public. Subséquemment, l’échelle des conflits sera déterminante quant aux outils auxquels recourir ou à instaurer, et dans l’évaluation de l’efficacité de ces outils. Mots-clés : coexistence des usages, multifonctionnalité du territoire, conflit d’usage.

Page generated in 0.1544 seconds