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Identification des gènes bactériens indispensables lors d’une infection pulmonaire par Brucella dans le modèle expérimental murin

Potemberg, Georges 16 April 2020 (has links) (PDF)
La brucellose est infection causée par les bactéries du genre Brucella. Cette maladie est répandueà travers le monde entier chez les mammifères et est transmissible aux humains. Causant notammentstérilité, avortement et destruction des articulations, la brucellose représente un risque sanitaire majeur.La chronicité et la récurrence de cette infection provoquent une morbidité importante chez l'hommemalgré des traitements antibiotiques longs et coûteux. Actuellement, les vaccins disponibles ne sont pasconsidérés comme sûrs et efficaces. Le confinement de la maladie repose en partie sur l'identification etl’élimination des troupeaux infectés. La brucellose représente toujours d'énormes pertes économiquespour les pays où la maladie est endémique. Le développement rationnel d'un vaccin atténué efficace etsûr contre les infections à Brucella nécessite l'identification des gènes de virulence indispensables à laréplication in vivo de la bactérie.Dans un modèle d'infection intranasale bien caractérisé chez la souris imitant l'infection naturellepar voie aérienne, nous avons décrit la dynamique de l'infection. En utilisant un marqueur fluorescent,nous sommes en mesure de surveiller la multiplication bactérienne in situ et de déterminer les différentesphases de l'infection. Lors d'une infection intranasale, les macrophages alvéolaires (MA) sont le principaltype cellulaire infecté mais seule une petite proportion de la MA infectée (5 à 15%) est permissive àl'infection. Les bactéries entrant dans la réplication au cours des premières 24 heures sont massivementéliminées, mais cette importante pression sélective peut être partiellement levée par des déficitsimmunitaires génétiques par exemple pour la signalisation de l’IL-17 (réponse immunitaire de type TH17)ou même par une altération de la réponse immunitaire en induisant un phénotype asthmatique (réponseimmunitaire de type TH2).Une identification approfondie de tous les gènes essentiels nécessaires à la croissance sur desmilieux riches ou des gènes conditionnellement nécessaires à la survie lors d'une infection in vitro(macrophages RAW murins) ou in vivo (souris) a été effectuée à différents moments clés précoces du cycleinfectieux en utilisant la technique du séquençage des transposons (Tn-Seq). Sur les 3140 gènes de B.melitensis, 643 sont requis pour la croissance extracellulaire sur des milieux riches. 179 gènessupplémentaires sont indispensables à la survie dans les poumons de la souris jusqu'à 5 jours aprèsl'infection. Seule la moitié de ces gènes peuvent être identifiés à l'aide du modèle in vitro standard,illustrant la limitation d'une telle approche in vitro pour identifier les exigences d'adaptation àl'environnement hôte. L'application de l'analyse en cluster montre que la plupart de ces gènes identifiéspeuvent être recadrés en voies complètes ou impliqués dans des fonctions liées. La synthèse deslipopolysaccharides, la synthèse de certains acides aminés, la B oxydation des acides gras et la cytochromeC oxydase seraient particulièrement importantes face à l'environnement hôte. Nous avons maintenantune idée plus claire des exigences minimales pour que la bactérie infecte avec succès son hôte. Enappliquant cette approche en cas d’immunodéficience pour la signalisation de l’IL-17 ou en conditionasthmatique, nous savons maintenant que l'essentialité de certains gènes peut être levée à savoir lasynthèse du core et de la chaîne O du lipopolysaccharide et la B oxydation des acides gras respectivement.La délétion génétique de certains gènes sélectionnés (10) candidats valide les résultats de nos analysesTn-Seq. Ces analyses comparatives ont le potentiel d'identifier des souches de mutants atténués quipourraient déclencher une immunité protectrice sans la capacité de se propager ou de devenir chroniqueou d'être entièrement virulente même chez des animaux avec une immunité compromise. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Investigation de l’utilisation d’une boite d’induction à réchauffement actif pour l’anesthésie générale des rongeurs

Rufiange, Maxime 04 1900 (has links)
L'anesthésie générale est associée à une altération significative de la thermorégulation normale. L'augmentation de température cutanée avec pré-réchauffement réduit la redistribution durant l'anesthésie. Les principaux objectifs étaient: 1) étudier l'efficacité de stratégies de pré-réchauffement pendant l'anesthésie; 2) comparer l'efficacité du réchauffement actif au réchauffement passif et 3) évaluer l'efficacité du pré-réchauffement pour prévenir l'hypothermie après prémédication intramusculaire. Dans une étude prospective, croisée de 17 rats adultes, trois stratégies de préchauffage ont été évaluées : PW1% (augmentation température de 1%), PW40 (augmentation à 40°C) et NW (pas de réchauffement). Le pré-réchauffement a efficacement retardé l'atteinte du seuil d’hypothermie (7.1 minutes pour le groupe NW vs 12.4 minutes et 19.3 minutes pour PW1% et PW40, respectivement). Ces temps étaient significativement différents entre groupes: PW1% vs PW40 (p = 0.0044 (95% CI -12 à -2.2), PW40 vs NW (p < 0.0001 (95%CI 8.1 à 16.0) et PW1% vs NW (p = 0.003, 95%CI 1.8 à 8.7). Dans une étude prospective, randomisée, croisée et expérimentale sur 8 rats, le réchauffement actif (coussin chauffant) a été comparé au réchauffement passif (couverture) après pré-réchauffement (augmentation température centrale de 1%). La température a été maintenue plus adéquatement dans le groupe actif pendant (P = 0,008 [95%CI 3,2 à 20,4]) et après l'anesthésie (P = 0,002 [95%CI 4,2 à 17,7]). Dans une étude prospective, randomisée, croisée, une sédation intramusculaire (kétamine-midazolam-hydromorphone) a été administrée à 8 rats suivi d’une période de 14 minutes en cage non chauffée ou boîte chauffée. Une période d’anesthésie de 30 minutes avec soutien thermique a suivi. Au début du réveil, les rats chauffés avaient une température plus élevée (2/8 rats hypothermiques vs 6/8 rats non chauffés (P < 0.0001)) / General anesthesia is associated with a significant alteration of normal thermoregulation. Increasing skin temperature with pre-warming reduces heat redistribution during anesthesia. The main objectives were: 1) to study the effectiveness of prewarming strategies during anesthesia; 2) to compare the effectiveness of active versus passive warming; and 3) to evaluate the effectiveness of prewarming in preventing hypothermia after intramuscular premedication. In a prospective, crossover study of 17 adult rats, three prewarming strategies were evaluated: PW1% (1% temperature increase), PW40 (increase to 40°C), and NW (no warming). Pre-warming effectively delayed reaching hypothermia threshold (7.1 minutes for the NW group, compared to 12.4 minutes and 19.3 minutes for the PW1% and PW40 groups, respectively). These times were significantly different between groups: PW1% vs PW40 (p = 0.0044 (95%CI -12 to -2.2), PW40 vs NW (p < 0.0001 (95%CI 8.1 to 16.0) and PW1% vs NW (p = 0.003, 95%CI 1.8 to 8.7). In a prospective, randomized, crossover, experimental study of 8 rats, active warming (heating pad) was compared with passive warming (blanket) after pre-warming (1% core temperature increase). Temperature was more adequately maintained in the active group during (P = 0.008 [95%CI 3.2 to 20.4]) and after anesthesia (P = 0.002 [95%CI 4.2 to 17.7]). In a prospective, randomized, crossover study, intramuscular sedation (ketamine-midazolam-hydromorphone) was administered to 8 rats followed by a 14-minute period in an unheated cage or heated box. A 30-minute period of anesthesia with thermal support followed. At the onset of awakening, heated rats had a higher temperature (2/8 hypothermic rats vs 6/8 unheated rats (P < 0.0001))
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Efficacité d'un substitut sanguin (Oxyglobin) chez le chien anémique

Kelly, Nancy 07 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / L'Oxyglobin (Biopure Corporation) est une solution d'hémoglobine bovine ultrapurifiée commercialisée aux États-Unis depuis janvier 1998 pour le traitement des anémies chez le chien. La posologie recommandée par la compagnie Biopure est de 30 ml/kg quel que soit le seuil d'hémoglobine utilisé pour débuter une transfusion. Cette posologie a été déterminée en laboratoire chez des chiens sévèrement anémiques (seuil de transfusion en hémoglobine de 30 g/L). Le premier objectif de notre étude était d'évaluer, chez le chien modérément anémique (seuil de transfusion en hémoglobine de 50 g/L), la posologie nécessaire pour atteindre la limite inférieure de la tolérance à l'anémie, soit de 70 g/L. Le deuxième objectif consistait à étudier la réponse érythropoïétique après administration de la solution Oxyglobin. Le but ultime de ce travail était de déterminer l'immunotolérance du produit après son administration répétitive sur une période de 50 semaines. Un nombre total de 26 chiens mâles de race Beagle ont été utilisés. Les chiens étaient splénectomisés au moins une semaine avant le début de l'étude. Dans tous les groupes expérimentaux, l'anémie était induite par hémodilution jusqu'à ce que la concentration de l'hémoglobine atteigne un seuil de 50 g/L. Après l'induction de l'anémie, 18 chiens, répartis en 3 groupes de 6 chiens, ont reçu la solution Oxyglobin à des volumes de 7, 1 O ou 15 ml/kg. Quatre (4) chiens ont reçu du sang entier à un volume de 10 ml/kg et un dernier groupe de 4 chiens n'a reçu aucun traitement. En ce qui concerne la posologie minimale efficace, le volume de 15 ml/kg d'Oxyglobin a été le seul volume administré pouvant entraîner une augmentation de la concentration en hémoglobine à des valeurs supérieures à 70 g/L, jusqu'à 12 heures après le traitement. Il faut noter qu'à cette posologie, les valeurs du contenu artériel en oxygène étaient comparables ou même plus élevées que celles du sang entier, et ce, jusqu'à 24 heures après le traitement. L'administration de l'Oxyglobin ne compromet pas la libération de l'érythropoïétine, ni la production de réticulocytes suite à l'induction de l'anémie. L'administration répétitive de la solution Oxyglobin engendre une production cumulative d'lgG anti-hémoglobine bovine reliée au nombre d'administration chez la plupart des chiens traités. Aucun effet pathogène rénal ou hépatique n'a été observé. De plus, aucun dépôt d'lgM, lgA, lgM ou de C3 n'a été identifié lors de l'évaluation histochimique du foie ou des reins. Finalement, la présence d'lgG anti-hémoglobine bovine dans le sérum n'interfère pas avec la capacité de liaison de l'hémoglobine bovine même en présence des concentrations· d'lgG très élevées. En outre, l'absence de réaction systémique attribuable à des administrations répétitives de la solution Oxyglobin fut une observation importante. Il a été conclu que la posologie de 15 ml/kg de la solution Oxyglobin est adéquate pour le traitement de l'anémie modérée. De plus, l'administration répétitive de la solution Oxyglobin peut être préconisée puisqu'elle ne produit pas de changement physiologique ou de réaction systémique reliée à la production d'anticorps anti-hémoglobine bovine.
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Pathogénie et transmission de Giardia et de Cryptosporidium chez le veau et prévalence de Giardia au Québec

Ruest, Nicole 04 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Le but de cette étude consistait à évaluer la pathogenèse de Giardia sp. chez des veaux exempts d'agents entéropathogènes. De plus, il s'agissait d'étudier la prévalence de l'infection dans toutes les régions du Québec. Cinquante troupeaux par région agricole furent évalués. L'hypothèse de travail était que Giardia sp. a le potentiel, tout comme chez l'homme, de causer des signes cliniques et des lésions intestinales. Pour vérifier cette hypothèse, 40 veaux furent achetés à l'encan et leur statut parasitaire évalué. Trois d'entre eux étaient porteurs de Giardia sp. et deux de Cryptosporidium sp. Ces veaux infectés de façon naturelle furent utilisés comme source d'infection pour les autres animaux. Des prélèvements répétés de fèces chez les veaux ont permis de les diviser en quatre groupes, à savoir : Giardia, Giardia-Crypto, Crypto et un groupe Témoin. Huit veaux infectés à Giardia sp. furent utilisés pour étudier la courbe d'excrétion des kystes. Deux types d'excrétions furent observés : l'une constante et l'autre intermittente. Les autres veaux furent envoyés à l'abattoir à intervalles réguliers et la caillette, le duodénum, le jéjunum, l'iléon, le caecum et le côlon furent prélevés sur chacun d'eux. Un examen histopathologique fut effectué sur toutes ces pièces et une attention particulière fut portée au ratio villosité-crypte (RVC) au niveau du jéjunum. Le degré d'inflammation fut déterminé par le nombre de lymphocytes intraépithéliaux présents par millimètre de surface épithéliale (LIE/mm). Les résultats indiquent qu'il y a une différence significative entre le RVC des veaux des groupes Giardia, Giardia-Crypto et Témoin. Cependant, Cryptosporidium sp. ne semble pas jouer un rôle significatif dans l'avènement des lésions. Une différence significative est aussi observée entre le LIE des groupes Giardia, Crypto et Témoin. Les résultats obtenus semblent donc indiquer que les trophozoïtes de Giardia sp. peuvent générer un degré de pathologie chez le veau au niveau du jéjunum. Selon l'étude de prévalence, son importance n'est plus mise en doute car il est présent partout au Québec et de façon notable. Parmi les 505 fermes échantillonnées et vérifiées pour la présence de Giardia spp., 231 (45,7 %) se sont avérées infectées. Aucun lien n'a pu être établi cependant entre la présence du protozoaire et les critères étudiés, à savoir le nombre de veaux sur la ferme, le type de plancher et la sévérité de la diarrhée dans le troupeau.
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Études de la structure et de l'expression des acides nucléiques de "Leukeamia Inhibitory Factor" bovin (bLIF)

Brisson, Chantal 04 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Chez les mammifères, la période de préimplantation et l'implantation sont des étapes cruciales où l'embryon et l'utérus doivent se synchroniser pour permettre la poursuite de la grossesse de manière adéquate. Plusieurs molécules peuvent favoriser ces étapes du développement. La cytokine protéinique identifiée sous le nom de "leukemia inhibitory factor" (LIF) est l'un de ces facteurs. Différentes équipes ont travaillé sur cette molécule pour en déterminer plusieurs rôles, lesquels varient selon la cellule cible. Les différents rôles de la molécule ont permis d'attribuer plusieurs noms à la protéine LIF. Cette protéine agit sur un récepteur composé de deux sous-unités: la sous-unité α et la sous-unité β. De plus, le récepteur pour LIF est associé à la protéine gp130, qui est chargée de transmettre le signal. Le moment où le taux d'expression de LIF est le plus élevé se situe généralement autour de la période d'implantation pour la plupart des espèces. Toutes espèces confondues, LIF est exprimé dans plusieurs tissus, mais les tissus reproducteurs exprimant LIF aux taux les plus élevés sont l'utérus, les cellules endométriales primaires, et les cellules endométriales transformées. Chez d'autres espèces telles que la souris, l'expression maximale survient non seulement au moment de l'implantation mais également au moment de l'ovulation. Des études d'invalidation du gène LIF ont été réalisées pour déterminer l'importance de cette protéine au moment de l'implantation. Ces études ont permis de déterminer qu'en l'absence d'expression de LIF dans les cellules endométriales chez la mère, les embryons ne s'implantent pas. Toutefois, ces mêmes embryons s'implantent lorsqu'ils sont transférés dans une receveuse normale. Différents facteurs peuvent influencer l'expression de LIF. Pour le système reproducteur, les hormones stéroïdiennes sont particulièrement intéressantes, puisque chez la souris et l'humain, la présence d'œstrogène stimule l'expression de LIF. Par contre, pour le lapin, l'œstrogène inhibe la transcription de LIF. Chez la souris, les cellules endométriales stromales n'expriment pas LIF, alors que chez l'humain, les cellules déciduales (d'origine stromale) expriment le transcrit de LIF. Les objectifs de nos expériences étaient de déterminer la séquence nucléotidique de LIF bovin et d'étudier la modulation de l'expression du gène LIF bovin par les hormones stéroïdiennes. Nous avons également évalué l'expression et l'importance du gène LIF dans le système reproducteur bovin. Des études de clonage par PCR et de séquençage ont permis de déterminer la séquence d'acides désoxyribonucléiques complémentaires (ADNc) et de la partie 3' non-transcrite (UTR) du gène LIF bovin. La séquence obtenue est relativement similaire aux séquences connues. Nous avons entrepris l'étude de l'expression de LIF dans plusieurs tissus en analysant l'ARN total par RT-PCR. Nos études ont permis de déterminer que LIF bovin est exprimé dans plusieurs tissus, dont les lignées cellulaires endométriales bovines et les cellules endométriales primaires bovines. Nous avons également vérifié l'influence exercée par les hormones stéroïdiennes sur les cellules endométriales bovines en termes d'expression de la protéine LIF bovin. Ces études ont été effectuées en exposant les cellules à différentes hormones stéroïdiennes pour une période déterminée. Par la suite, l'ARN total fut isolé des cellules et analysé par RT-PCR. Les études de RT-PCR ont démontré que la progestérone stimule l'expression de LIF, alors que l'œstrogène inhibe l'induction provoquée par la progestérone. Une étude de la séquence nucléotidique a permis de déceler plusieurs sites potentiels pour les éléments de réponse aux hormones stéroïdiennes dans la partie 3' du gène ainsi que dans la partie 3' UTR. Nous avons déterminé la séquence de l'ADNc de LIF bovin ainsi que la séquence de la partie 3' non codante qui n'était pas encore connue. De plus, l'influence de la progestérone et de l'œstrogène sur l'expression de LIF a été vérifiée sur les cellules épithéliales et stromales de l'endomètre utérin (pour les cellules primaires et les cellules transformées). Ainsi, les objectifs à court terme ont été atteints. Toutefois, il serait utile de vérifier l'effet des hormones stéroïdiennes dans un contexte in vivo. Comme il a déjà été mentionné, l'effet des hormones stéroïdiennes sur LIF est également observé au même moment chez d'autres espèces. Il serait donc possible que chez le bovin, LIF puisse avoir une implication au niveau de l'implantation. Toutefois, d'autres études in vitro ainsi qu'in vivo devront être exécutées pour réellement prouver une telle implication chez le bovin.
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Standardisation et validation de techniques luminométriques pour évaluer la propreté des équipements d'alimentation des veaux en pré-sevrage

Chancy, Anaïs 08 1900 (has links)
La contamination des équipements d’alimentation des veaux en pré-sevrage est une préoccupation de santé importante dans l’industrie laitière, et peut être associée à une augmentation des taux de morbidité et de mortalité. Les producteurs laitiers et intervenants ont donc besoin d’un outil pratique, rapide et fiable pour évaluer la propreté des équipements, compte tenu que l’évaluation visuelle seule est insuffisante. Les objectifs de cette étude sont de développer une méthode standardisée pour évaluer la propreté de plusieurs équipements grâce à la luminométrie, d’estimer la prévalence de contamination et décrire les pratiques de gestion recommandées pour le nettoyage. Un total de 7 troupeaux laitiers du Québec a été choisi par convenance. Après l’évaluation visuelle de l’hygiène, la propreté des équipements a été évaluée par écouvillonnage direct pour les seaux et les tétines avec des écouvillons Hygiena UltraSnap®. Une technique de rinçage a été utilisée pour les tubes à gaver, les biberons et les distributrices automatiques de lait (AMF) avec des écouvillons UltraSnap®, AquaSnap® et MicroSnap®. Pour valider la technique d’écouvillonnage direct des seaux, une étape avec le même opérateur et entre plusieurs opérateurs a été réalisée, ainsi qu’une culture bactérienne conventionnelle. Au total, 519 écouvillons ont été prélevés sur 201 équipements. La contamination médiane (intervalle interquartile) en RLU pour le biberon, le tube à gaver, l’AMF, le seau et la tétine est de 2 (1;6), 2 (0;12), 52 (19;269), 886 (128;7,230) et 899 (142;6 928), respectivement. La technique d’écouvillonnage direct, qui consiste à écouvillonner directement la surface d’un équipement, a montré une excellente corrélation pour la fidélité intra-opérateur (corrélation intra-classe (ICC) = 0,93; IC95%: 0,88-0,96). La fidélité inter-opérateur (2 sessions avec 3 opérateurs différents) a montré une corrélation élevée (ICC = 0,88; IC95%: 0,78-0,94 pour la 1ère session et ICC = 0,89; IC95%: 0,79-0,95 pour la 2e). Le score visuel (qui grade de 1 à 4 la propreté des équipements selon la quantité de matières organiques) des tubes à gaver, de l’AMF et des seaux a été positivement associé aux valeurs du luminomètre. Une corrélation positive entre la culture bactérienne et l’écouvillonnage direct des seaux a été trouvée pour l’UltraSnap (rho de Spearman (rs) = 0,653; IC95%: 0,283-0,873; P = 0,0003) et le MicroSnap (rs = 0,569; IC95%: 0,309-0,765; P = 0,002). Cette étude décrit une technique standardisée d’écouvillonnage à la ferme pour évaluer le statut hygiénique des équipements par luminométrie, qui peut être intégrée dans la gestion des problèmes de santé des veaux laitiers en pré-sevrage. / The contamination of equipment used to feed pre-weaned calves is an important health issue for the dairy industry, which can be associated with increased morbidity and mortality rates. Therefore, dairy producers and consultants need a practical, quick, and reliable tool to assess equipment cleanliness, since visual assessment alone is insufficient. The objectives of this cross-sectional study are to develop a standardized robust method to evaluate the cleanliness of several types of feeding equipment on-farm by using luminometry, with special emphasis on a direct swabbing technique to sample buckets, and to estimate the prevalence of contamination and the recommended management practices for cleaning and describing equipment. A total of 7 Quebec commercial dairy herds were selected conveniently. Following visual hygiene scoring, the cleanliness of available piece of feeding equipment was assessed using direct surface swabbing for buckets and nipples with Hygiena Ultra-Snap® swabs. A liquid rinsing technique was used for esophageal feeders, bottles, and automatic milk feeders (AMF) with UltraSnap®, AquaSnap®, and MicroSnap® swabs. To validate the direct swabbing technique of buckets, a comparison within and between operators was realized, as well as a conventional bacterial culture. A total of 519 swab samples were obtained from 201 pieces of equipment. The median (interquartile range) contamination in RLU for a bottle, esophageal feeder, AMF, bucket and nipple was 2 (1;6), 2 (0;12), 52 (19;269), 886 (128;7,230) and 899 (142;6,928), respectively. The direct swabbing technique, which consists in swabbing directly the surface of an equipment, showed an excellent correlation for inter-rater reliability (intraclass correlation (ICC) = 0.93; 95%CI: 0.88–0.96). The inter-operator (2 sessions with 3 different operators) reliability showed high correlation (ICC = 0.88; 95%CI: 0.78–0.94 for the 1st session, and ICC = 0.89; 95%CI: 0.79–0.95 for the 2nd session). The visual score (who ranks equipment cleanliness from 1 to 4 according to the quantity of organic matter) of esophageal feeders, AMF and buckets was positively associated with luminometer values. A positive correlation between bacterial culture and direct swabbing of buckets was found for the UltraSnap (Spearman’s rho (rs) = 0.653; 95%CI: 0.283–0.873; P = 0.0003) and MicroSnap (rs = 0.569, 95%CI: 0.309–0.765; P = 0.002). This study describes a standardized and practical on-farm swabbing technique for assessing the hygienic status of feeding equipment by luminometry, which can be integrated in the investigation of preweaning dairy calves’ health problems.
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Étude de la prévalence d’infection aux parasites du genre Echinococcus chez les canidés sauvages au Québec

Lavallée-Bourget, Ève-Marie 08 1900 (has links)
Echinococcus est un parasite zoonotique présent mondialement circulant entre les canidés et les rongeurs ou les cervidés. L’humain est un hôte accidentel et la maladie qu’il peut développer à la suite d’une infection peut entraîner de graves signes cliniques en l’absence de traitement. Dans la faune au Québec, on reconnaît E. canadensis, responsable de l’échinococcose kystique, alors qu’E. multilocularis, associé à l’échinococcose alvéolaire, n’a pas encore été détecté. Cependant, le diagnostic récent au Québec d’un cas humain d’échinococcose alvéolaire porte à croire que le parasite circule sur le territoire. Cette étude de type transversale menée dans 12 régions administratives au Québec d’octobre à mars 2020–2021 en collaboration avec des trappeurs a pour but d’estimer la prévalence du parasite chez les coyotes et les renards roux à proximité des zones habitées et de déterminer les principaux foyers d’infection. Un test RT-PCR sur contenu intestinal a été effectué sur 707 prélèvements à partir de carcasses récupérées par les trappeurs (423 coyotes et 284 renards roux). Au total, ce sont 38 échantillons qui sont revenus positifs à Echinococcus spp. (24 coyotes et 14 renards roux) et 25 à E. multilocularis (14 coyotes et 11 renards roux). Deux zones d’infection ont aussi été identifiées, soit en Montérégie et au Bas-St-Laurent, où le risque d’infection est de 5.4 à 14.4 fois plus élevé (p < 0.05). Des analyses de régression logistique n’ont pas permis de déterminer une association statistiquement significative entre le sexe, l’espèce, la localisation géographique et le statut d’infection. Les analyses effectuées ont permis de comparer les tests de diagnostic de coproscopie et RT-PCR pour Taenia spp. et l’identification des échinocoques. Cette étude a permis de démontrer la circulation du parasite sur le territoire québécois dans la majorité des régions administratives étudiées. / Echinococcus is a zoonotic parasite present worldwide circulating between canids as definitive hosts and rodents or cervids as intermediate hosts. Humans are accidental hosts and the disease they may develop because of an infection can lead to serious clinical signs if left untreated. In Quebec, the presence of E. canadensis, responsible of cystic echinococcosis is recognized in wildlife, but E. multilocularis has not yet been identified. The recent diagnosis of a human case in Quebec of alveolar echinococcosis, the disease caused by E. multilocularis, leads us to consider that the parasite may circulate on the territory. This cross-sectional study conducted in 12 administrative regions in Quebec from October 2020 to March 2021 in collaboration with trappers aims to estimate the prevalence of the parasite in coyotes (Canis Iatrans) and red foxes (Vulpes vulpes) near populated areas and to detect high-risk areas of infection. An RT-PCR test on intestinal contents was carried out on 707 samples from carcasses recovered by trappers (423 coyotes and 284 red foxes). A total of 38 samples were positive for Echinococcus spp. (24 coyotes and 14 red foxes) and 25 for E. multilocularis (14 coyotes and 11 red foxes). Two high-risk areas of infection have also been identified, in Montérégie and Bas-St-Laurent, where the risk of infection is 5.4 to 14.4 times higher (p < 0.05). Logistic regression analyzes failed to determine a statistically significant association between sex, species, geographic location and infection status. The analyzes allowed us to compare the diagnostic tests of coproscopy and RT-PCR for Taenia spp. and identification of Echinococcus. This study demonstrated the circulation of Echinococcus spp. and E. multilocularis on the Quebec territory in most of the administrative regions studied.
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Mise en évidence et rôle potentiel des canaux potassium ATP-dépendants dans la fonction de reproduction

Lybaert, Pascale 10 June 2009 (has links)
Parmi les différents types de canaux ioniques, les canaux potassium (K+) sont très largement exprimés au niveau des cellules eucaryotes. Ils se répartissent en plusieurs familles et sous-familles. Parmi celles-ci, les canaux K+ ATP-dépendants (KATP) représentent une classe tout à fait particulière. En effet, ils ont la particularité d’être sensibles à la concentration cytosolique d’ATP et permettent ainsi de coupler le potentiel membranaire de la cellule à son statut métabolique.<p>Le canal KATP est un complexe hétéro-octamérique constitué de 2 sous-unités :une sous-unité Kir6.x (Kir6.1 ou Kir6.2) formant le pore du canal et appartenant à la famille des canaux potassiques de type « inward rectifier », et une sous-unité régulatrice SURx (SUR 1 ou SUR2A/B) faisant partie des protéines ABC (ATP-binding cassette). L’expression hétérologue des sous-unités Kir6.x et SURx suivant différentes combinaisons conduit à la formation de plusieurs types de canaux KATP possédant des propriétés électro-physiologiques et des sensibilités aux nucléotides et aux agents pharmacologiques distinctes. \ / Doctorat en sciences biomédicales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le manque de médicaments vétérinaires autorisés : un véritable problème de santé publique / The lack of authorized medicines for animals : a true public health issue

Bourély, Chrystèle 05 December 2011 (has links)
L'industrie pharmaceutique vétérinaire doit satisfaire de nombreux besoins spécifiques à la grande diversité des espèces et des maladies animales, afin de répondre à la forte demande d'innovation, ainsi qu'au maintien sur le marché des "vieux" médicaments vétérinaires déjà autorisés. Le médicament vétérinaire fait l'objet d'une évaluation scientifique destinée à garantir sa qualité, son efficacité et sa sécurité. Les risques liés à son utilisation pour l'animal, mais aussi et surtout pour l'homme en tant qu'utilisateur dudit médicament et consommateur de denrées alimentaires d'origine animale, et pour l'environnement, ont conduit à un accroissement progressif et constant des exigences réglementaires. Le manque de médicaments vétérinaires autorisés pour les espèces animales et pour les indications thérapeutiques dites "mineures", conséquence de ces exigences réglementaires, est à l'origine du développement de pratiques à risques. La pratique licite des prescriptions "hors AMM" de médicaments vétérinaires par les docteurs en médecine vétérinaire, ainsi que les utilisations illicites de substances actives autorisées, susceptibles de porter atteinte à la santé animale, à la santé publique, et à l'environnement, représentent un véritable problème de santé publique. / The veterinary pharmaceutical industry has to satisfy numerous specific needs due to the wide variety of the animal species and diseases, to answer the high demand of innovation as well as to maintain on the market the "old" veterinary medicines. The veterinary medicine is the object of a scientific evaluation, intended to guarantee its quality, its efficiency and its security.The risks related to its use for the animal but also and especially for the human (as user of the aforementioned medicine and as consumer of foodstuffs of animal origin), and for the environment, had leddriven to the regulatory requirements governing for veterinary medicinal products being increasingly tightened.The lack of authorized veterinary medicines for the "minors" animal species and therapeutic uses, consequence of these regulatory requirements, is at the origin of the development of risky practices. The licit practice of prescriptions " out of official authorization " of veterinarian medicines from doctors of veterinarian medicine, as well as the illicit uses of authorized active substances, susceptible to strike a blow at the animal health, at the public health, as well as the environment, represent a true public health issue.
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Evaluation of an autogenous vaccine used in sows to protect piglets against Streptococcus suis disease

Jeffery, Alison 07 1900 (has links)
Streptococcus suis est une bactérie pathogène qui cause d'importantes pertes économiques dans l'industrie porcine à travers le monde. Comme il n’existe pas de vaccins commerciaux en Amérique du Nord, l'utilisation d'autovaccins administrés aux cochettes/truies pour induire des anticorps passifs chez les porcelets représente une alternative intéressante pour les producteurs. Cependant, il n’existe aucune production standardisée de ces vaccins et le produit final peut être très différent d'un laboratoire agréé à l'autre. Dans la présente étude, un vaccin autogène (« bacterin ») polyvalent contenant les sérotypes 1/2, 2, 5, 7 et 14 de S. suis a été préparé par un laboratoire agréé et utilisé dans un programme de trois doses administrées aux cochettes par voie intramusculaire. La réponse humorale (anticorps) chez les cochettes ainsi que le transfert passif d'anticorps aux porcelets ont été évalués. Contrairement à ce qui avait été publié précédemment avec un vaccin autogène produit par une autre compagnie, la réponse anticorps accrue observée chez les cochettes vaccinées était suffisante pour améliorer le transfert d'anticorps maternels aux porcelets âgés de 3 à 5 semaines. Cependant, les porcelets resteraient encore sensibles à la maladie à S. suis qui apparaît souvent pendant la deuxième partie de la période en pouponnière. Le niveau élevé d'anticorps n'a pas affecté l'excrétion de S. suis (ainsi que celle de sérotypes spécifiques de S. suis inclus dans le vaccin) chez les cochettes et les porcelets. Bien que tous les traitements antibiotiques aient été absents pendant l'essai, l'effet protecteur clinique du programme de vaccination avec le vaccin autogène n'a pas pu être évalué, car des cas limités d’infection à S. suis étaient présents pendant l'essai. D'autres essais pour évaluer l'utilité de la vaccination des cochettes/truies avec des vaccins autogènes pour protéger les porcelets de pouponnière devraient être réalisés. Il est nécessaire, pour les futurs essais sur le terrain, de toujours inclure un groupe témoin non vacciné, d'éliminer si possible tout traitement antimicrobien dans l'élevage et de confirmer l'étiologie des cas cliniques par un diagnostic en laboratoire lors de l'évaluation de l'effet protecteur de tels vaccins autogènes. / Streptococcus suis is a bacterial pathogen that causes important economic losses to the swine industry worldwide. Since there are no commercial vaccines available in North America, the use of autogenous vaccines applied to gilts/sows to induce maternal antibodies to protect piglets is an attractive alternative for producers. However, there is no universal standardization in the production of such vaccines and the final product may be highly different among licenced laboratories. In the present study, a polyvalent autogenous vaccine (“bacterin”) with S. suis serotypes 1/2, 2, 5, 7 and 14 was prepared by a licenced laboratory and used in a three-dose program given to gilts intramuscularily. The humoral (antibody) response in gilts as well as the passive transfer of antibodies to piglets were evaluated. Different from what was previously published with an autogenous vaccine produced by a different company, the increased response seen in vaccinated gilts when compared to non-vaccinated animals was sufficient to improve maternal antibody transfer to piglets of 3 to 5 weeks of age. However, piglets would still remain susceptible to S. suis disease that often appears during the second part of the nursery period. The high level of antibodies did not affect S. suis (as well as that of specific serotypes of S. suis included in the vaccine) shedding by both, gilts and piglets. Although all antibiotic treatments were absent during the trial, the clinical protective effect of the vaccination program with the autogenous vaccine could not be evaluated, since limited S. suis clinical cases were present during the trial. Further trials to evaluate the usefulness of gilt/sow vaccination with autogenous vaccines to protect nursery piglets should be done. There is a need, for future field trials, to always include a control non-vaccinated group, to eliminate if possible any antimicrobial treatment in the farm and to confirm the etiology of clinical cases by a diagnostic laboratory when evaluating the protective effect of such autogenous vaccines.

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