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L’erreur lexicale au secondaire : analyse d’erreurs lexicales d’élèves de 3e secondaire et description du rapport à l’erreur lexicale d’enseignants de français

Anctil, Dominic 12 1900 (has links)
Cette recherche vise à décrire 1) les erreurs lexicales commises en production écrite par des élèves francophones de 3e secondaire et 2) le rapport à l’erreur lexicale d’enseignants de français (conception de l’erreur lexicale, pratiques d’évaluation du vocabulaire en production écrite, modes de rétroaction aux erreurs lexicales). Le premier volet de la recherche consiste en une analyse d’erreurs à trois niveaux : 1) une description linguistique des erreurs à l’aide d’une typologie, 2) une évaluation de la gravité des erreurs et 3) une explication de leurs sources possibles. Le corpus analysé est constitué de 300 textes rédigés en classe de français par des élèves de 3e secondaire. L’analyse a révélé 1144 erreurs lexicales. Les plus fréquentes sont les problèmes sémantiques (30%), les erreurs liées aux propriétés morphosyntaxiques des unités lexicales (21%) et l’utilisation de termes familiers (17%). Cette répartition démontre que la moitié des erreurs lexicales sont attribuables à une méconnaissance de propriétés des mots autres que le sens et la forme. L’évaluation de la gravité des erreurs repose sur trois critères : leur acceptation linguistique selon les dictionnaires, leur impact sur la compréhension et leur degré d’intégration à l’usage. Les problèmes liés aux registres de langue sont généralement ceux qui sont considérés comme les moins graves et les erreurs sémantiques représentent la quasi-totalité des erreurs graves. Le troisième axe d’analyse concerne la source des erreurs et fait ressortir trois sources principales : l’influence de la langue orale, la proximité sémantique et la parenté formelle entre le mot utilisé et celui visé. Le second volet de la thèse concerne le rapport des enseignants de français à l’erreur lexicale et repose sur l’analyse de 224 rédactions corrigées ainsi que sur une série de huit entrevues menées avec des enseignants de 3e secondaire. Lors de la correction, les enseignants relèvent surtout les erreurs orthographiques ainsi que celles relevant des propriétés morphosyntaxiques des mots (genre, invariabilité, régime), qu’ils classent parmi les erreurs de grammaire. Les erreurs plus purement lexicales, c’est-à-dire les erreurs sémantiques, l’emploi de termes familiers et les erreurs de collocation, demeurent peu relevées, et les annotations des enseignants concernant ces types d’erreurs sont vagues et peu systématiques, donnant peu de pistes aux élèves pour la correction. L’évaluation du vocabulaire en production écrite est toujours soumise à une appréciation qualitative, qui repose sur l’impression générale des enseignants plutôt que sur des critères précis, le seul indicateur clair étant la répétition. Les explications des enseignants concernant les erreurs lexicales reposent beaucoup sur l’intuition, ce qui témoigne de certaines lacunes dans leur formation en lien avec le vocabulaire. Les enseignants admettent enseigner très peu le vocabulaire en classe au secondaire et expliquent ce choix par le manque de temps et d’outils adéquats. L’enseignement du vocabulaire est toujours subordonné à des tâches d’écriture ou de lecture et vise davantage l’acquisition de mots précis que le développement d’une réelle compétence lexicale. / This research aims to describe 1) francophone students’ lexical errors in writing and 2) teachers’ relation to lexical errors (conception of error, vocabulary evaluation practices, feedback provided). The first part of the research consists in a three-level error analysis: 1) a linguistic description based on an error typology, 2) an evaluation of error gravity and 3) an explanation of the possible sources of error. The corpus analyzed is composed of 300 texts written in French class by 3rd year high school students. The analysis revealed 1144 lexical errors. The most common are semantic problems (30%), errors related to morphosyntactic properties of words (21%) and the use of colloquial words (17%). This distribution shows that half of the lexical errors are due to a lack of knowledge of word properties other than meaning and form. The evaluation of error gravity is based on three criteria: their acceptability according to dictionaries, their impact on comprehension and their degree of integration to language. Problems related to register are usually those perceived as less serious and semantic problems represent the vast majority of serious errors. The third level of analysis concerns the possible causes of the errors and identifies three main sources: influence of oral language, semantic proximity and formal similarity between the word used and the target word. The second part of the thesis concerns French teachers’ relation to lexical errors and is based on the analysis of 224 corrected essays and eight interviews. When correcting, teachers focus their attention on errors involving morphosyntactic properties of words (gender, invariability, government pattern), which they consider as grammatical errors. The more genuine lexical errors (semantic errors, use of colloquial words and collocation errors) are rarely pointed out, and comments provided regarding these types of errors are vague and inconsistent, giving students very few hints for correction. The evaluation of vocabulary in written production is always subject to a qualitative assessment, based on the teacher’s general impression rather than specific criteria, the only clear indicator being repetition. The explanations teachers provide about lexical problems rely heavily on intuition, which shows some deficiencies in their training in regards to vocabulary.
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L’erreur lexicale au secondaire : analyse d’erreurs lexicales d’élèves de 3e secondaire et description du rapport à l’erreur lexicale d’enseignants de français

Anctil, Dominic 12 1900 (has links)
Cette recherche vise à décrire 1) les erreurs lexicales commises en production écrite par des élèves francophones de 3e secondaire et 2) le rapport à l’erreur lexicale d’enseignants de français (conception de l’erreur lexicale, pratiques d’évaluation du vocabulaire en production écrite, modes de rétroaction aux erreurs lexicales). Le premier volet de la recherche consiste en une analyse d’erreurs à trois niveaux : 1) une description linguistique des erreurs à l’aide d’une typologie, 2) une évaluation de la gravité des erreurs et 3) une explication de leurs sources possibles. Le corpus analysé est constitué de 300 textes rédigés en classe de français par des élèves de 3e secondaire. L’analyse a révélé 1144 erreurs lexicales. Les plus fréquentes sont les problèmes sémantiques (30%), les erreurs liées aux propriétés morphosyntaxiques des unités lexicales (21%) et l’utilisation de termes familiers (17%). Cette répartition démontre que la moitié des erreurs lexicales sont attribuables à une méconnaissance de propriétés des mots autres que le sens et la forme. L’évaluation de la gravité des erreurs repose sur trois critères : leur acceptation linguistique selon les dictionnaires, leur impact sur la compréhension et leur degré d’intégration à l’usage. Les problèmes liés aux registres de langue sont généralement ceux qui sont considérés comme les moins graves et les erreurs sémantiques représentent la quasi-totalité des erreurs graves. Le troisième axe d’analyse concerne la source des erreurs et fait ressortir trois sources principales : l’influence de la langue orale, la proximité sémantique et la parenté formelle entre le mot utilisé et celui visé. Le second volet de la thèse concerne le rapport des enseignants de français à l’erreur lexicale et repose sur l’analyse de 224 rédactions corrigées ainsi que sur une série de huit entrevues menées avec des enseignants de 3e secondaire. Lors de la correction, les enseignants relèvent surtout les erreurs orthographiques ainsi que celles relevant des propriétés morphosyntaxiques des mots (genre, invariabilité, régime), qu’ils classent parmi les erreurs de grammaire. Les erreurs plus purement lexicales, c’est-à-dire les erreurs sémantiques, l’emploi de termes familiers et les erreurs de collocation, demeurent peu relevées, et les annotations des enseignants concernant ces types d’erreurs sont vagues et peu systématiques, donnant peu de pistes aux élèves pour la correction. L’évaluation du vocabulaire en production écrite est toujours soumise à une appréciation qualitative, qui repose sur l’impression générale des enseignants plutôt que sur des critères précis, le seul indicateur clair étant la répétition. Les explications des enseignants concernant les erreurs lexicales reposent beaucoup sur l’intuition, ce qui témoigne de certaines lacunes dans leur formation en lien avec le vocabulaire. Les enseignants admettent enseigner très peu le vocabulaire en classe au secondaire et expliquent ce choix par le manque de temps et d’outils adéquats. L’enseignement du vocabulaire est toujours subordonné à des tâches d’écriture ou de lecture et vise davantage l’acquisition de mots précis que le développement d’une réelle compétence lexicale. / This research aims to describe 1) francophone students’ lexical errors in writing and 2) teachers’ relation to lexical errors (conception of error, vocabulary evaluation practices, feedback provided). The first part of the research consists in a three-level error analysis: 1) a linguistic description based on an error typology, 2) an evaluation of error gravity and 3) an explanation of the possible sources of error. The corpus analyzed is composed of 300 texts written in French class by 3rd year high school students. The analysis revealed 1144 lexical errors. The most common are semantic problems (30%), errors related to morphosyntactic properties of words (21%) and the use of colloquial words (17%). This distribution shows that half of the lexical errors are due to a lack of knowledge of word properties other than meaning and form. The evaluation of error gravity is based on three criteria: their acceptability according to dictionaries, their impact on comprehension and their degree of integration to language. Problems related to register are usually those perceived as less serious and semantic problems represent the vast majority of serious errors. The third level of analysis concerns the possible causes of the errors and identifies three main sources: influence of oral language, semantic proximity and formal similarity between the word used and the target word. The second part of the thesis concerns French teachers’ relation to lexical errors and is based on the analysis of 224 corrected essays and eight interviews. When correcting, teachers focus their attention on errors involving morphosyntactic properties of words (gender, invariability, government pattern), which they consider as grammatical errors. The more genuine lexical errors (semantic errors, use of colloquial words and collocation errors) are rarely pointed out, and comments provided regarding these types of errors are vague and inconsistent, giving students very few hints for correction. The evaluation of vocabulary in written production is always subject to a qualitative assessment, based on the teacher’s general impression rather than specific criteria, the only clear indicator being repetition. The explanations teachers provide about lexical problems rely heavily on intuition, which shows some deficiencies in their training in regards to vocabulary.
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O SUJEITO ENTRELÍNGUAS: UM CASO DE FUNCIONAMENTO SEMÂNTICO-SINTÁTICO EM PRODUÇÕES ESCRITAS DE ESTUDANTES HISPANOFALANTES DE PLE / THE SUBJECT BETWEEN LANGUES: A CASE OF SEMANTIC-SYNTATICAL FUNCTION IN WRITTEN PRODUCTIONS OF SPANISH-SPEAKING STUDENTS OF PORTUGUESE AS A FOREIGN LANGUE

Santos, Grazielle da Silva dos 06 February 2015 (has links)
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / In accordance with the theoretical assumptions of the Semantics of the Event (Guimarães, 2005), this study aims to analyze the enunciative operation in the organizational plan of utterances produced by exchange students of Portuguese courses for Foreigners offered by Entrelínguas, searching for the effects of meaning produced by syntactic arrangements from the written production of these learners.Specifically, we aimed to analyze the effects of some less frequent constructions, from the point of view of Brazilian Portuguese speaker, for the inclusion of the subject in collectivity, in the constitution of the senses of langue - Spanish and Brazilian Portuguese -, releasing a look at the semantic-syntactical function of enunciative cuttings. To do so, first, we selected ten (10) productions of ten (10) students, cutting the utterances that reveal the inclusion of the subject in the collectivity. Subsequently, we divided the utterances into two groups that represent two distinct syntactic organizations.And finally, we have built a comparative table in relation to syntactic aspects of both languages - Spanish and Brazilian Portuguese referring: to the apparent discrepancy between the third person plural and the first person plural and the use of first person plural in the place of first person singular, in order to proceed the analysis: descriptive (the plan of saying) and enunciative (the plan of said).In the descriptive analysis, we performed acceptance tests (Guimarães, 2002a) - considering the standard of Brazilian Portuguese. In the enunciative analysis, we conducted our study from two enunciative scenes that reveal different ways of including the subject in collectivity, mobilizing the categories of locutor and enunciator diffused by Guimarães (2005). The results showed that, in terms of forms of langue, such formulations may be considered "mistakes" by the learner, given that the descriptive analysis shows that the syntactic arrangements are at least less frequent in Brazilian Portuguese.In the enunciative plan one can see the subject being signified by that division between langue. This division is the place of resistance in the langue. This place of resistance is what will mark the political position of this subject in the langage as it is marked in the langue by the form (we) and the way it organizes its enunciation (syntax). With it we could demonstrate that the internal organization of utterances is constituted as a mark in the langue that, in turn, will reveal the subjectivity and produce senses. / De acordo com os pressupostos teóricos da Semântica do Acontecimento (GUIMARÃES, 2005), o presente estudo objetiva analisar o funcionamento enunciativo no plano da organização dos enunciados produzidos por alunos intercambistas dos cursos de Português para Estrangeiros oferecidos pelo Entrelínguas, buscando analisar os efeitos de sentido produzidos pelos arranjos sintáticos provenientes das produções escritas desses aprendizes. Em específico, objetivamos analisar os efeitos de construções pouco recorrentes, do ponto de vista do falante de Português Brasileiro (PB), relativas à inclusão do sujeito na coletividade, na constituição dos sentidos das línguas Espanhol e Português Brasileiro -, lançando um olhar voltado ao funcionamento semântico-sintático dos recortes enunciativos. Para tanto, primeiramente, selecionamos dez (10) produções de dez (10) alunos, recortando os enunciados que revelam a inclusão do sujeito na coletividade. Posteriormente, dividimos os enunciados em dois grupos que representam duas organizações sintáticas distintas. E, por último, construímos um quadro comparativo em relação aos aspectos sintáticos das duas línguas Espanhol e Português Brasileiro , referentes: à aparente discordância entre a 3ª pessoa do plural e a 1ª pessoa do plural e ao uso da 1ª pessoa do plural em lugar da 1ª pessoa do singular, para, então, proceder às análises: descritiva (plano do dizer) e enunciativa (plano do dito). Na análise descritiva, realizamos testes de aceitabilidade (GUIMARÃES, 2002a), considerando a norma do PB. Já, na análise enunciativa, realizamos nosso estudo a partir de duas cenas enunciativas que revelam modos distintos de inclusão do sujeito na coletividade, mobilizando, assim, as categorias de locutor e enunciador, difundidas por Guimarães (2005). Os resultados mostraram que, no plano das formas das línguas, tais formulações podem ser consideradas erros por parte do sujeito aprendiz, tendo em vista que a análise descritiva mostra que os arranjos sintáticos são, no mínimo, pouco recorrentes no Português Brasileiro. Já, no plano enunciativo, percebe-se o sujeito sendo significado por essa divisão entre as línguas. Esta divisão constitui o lugar de resistência na língua. E este lugar de resistência é o que vai marcar o posicionamento político desse sujeito na linguagem, pois ele se marca na língua pela forma (nós) e pela maneira como organiza sua enunciação (sintaxe). Com isso, pudemos evidenciar que a organização interna dos enunciados se constitui como uma marca na língua que, por sua vez, vai revelar a subjetividade e produzir sentidos.
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L'enseignement du français dans le Sud de l'Algérie. Du jeu théâtral à la production écrite dans une classe de 2e année de lycée à partir de Caligula d'Albert Camus / Teaching French in the southern Algeria. Of theatrical play to the production written in 2nd year of high school from Caligula of Albert Camus

Oubah, Narimane 10 March 2017 (has links)
Notre thèse envisage la production écrite en classe de français comme une pratique scolaire novatrice lorsqu’elle est accomplie au sein d’un espace-atelier et réalisée par l’entremise du jeu, de la mise en scène et du montage d’un spectacle. Pour ce faire, nous avons mis en œuvre une pièce de théâtre, Caligula d’Albert Camus, comme moyen d’enseignement-apprentissage, en l’accompagnant d’une gamme d’outils –dispositif ou unité didactique, vidéo de la pièce, carnet de bord, etc., – favorisant en parallèle une recherche-action sur terrain. Notre travail questionne en outre la possibilité d’une telle expérience menée dans un lieu peu commun, le Sud de l’Algérie, dans l’oasis de Bou-Saâda, et auprès d’un groupe d’apprenants d’une classe de 2e année Langues Étrangères au lycée. Nos objectifs sont de cultiver la compétence écrite chez l’apprenant oasien via l’écriture théâtrale, de lui donner goût à l’apprentissage de la langue et de conférer une certaine dynamique à cet apprentissage en lui permettant de créer et de voir représenté ce qu’il écrit sur le plateau. Au-delà d’une simple acquisition de compétences rédactionnelles, nous avons pu constater des mutations dans les représentations scolaires et sociales de la langue française chez le groupe-apprenant, issu d’une société sudiste conservatrice, chez qui la langue-cible a un statut différent de celui dont elle bénéficie au Nord, ce qui renvoie, par là même, à l’histoire, à la géographie et au plurilinguisme du pays. / Our thesis considers the written production, in a French class, as an innovative school practice when it is accomplished in a workshop space, and realized through the play, staging, and editing of a show. In order to do this, we have implemented a play, Caligula by Albert Camus, as a way of teaching and learning, accompanied by a range of tools - a teaching device or unit, a video of the play, Logbook, etc., - promoting, at the same time, an action research on the ground. Our work also questions the possibility of such an experiment conducted in an unusual place, the South of Algeria, in the oasis of Bou-Saâda, and with a group of learners 2nd Year, Foreign Languages in high school. Our aims are to improve the written skills of the oasis learner through theatrical scripture, to give him a taste to learn the language; and to give a certain dynamic to this learning by allowing him to create and see represented what 'He writes on the set’. Beyond a simple acquisition of editorial skills, we have seen changes in the academic and social representations of the French language in the learner group, from a conservative Southern society, in which the target language has a different status has the respect to the North, evoking the history, geography and multi-linguals of the country.
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Verbanvändning vid skriftlig produktion hos avancerade inlärare av svenska som andraspråk / Verb usage in the written free production of advanced learners of Swedish as a second language

Tranefeldt, Sophia January 2011 (has links)
Sammanfattning Den här uppsatsen undersöker verbanvändningen i skriftlig produktion hos en grupp avancerade svenska som andraspråkselever. Studien granskar såväl kvantitativa som kvalitativa aspekter i elevernas verbordförråd. Uppsatsens syfte är att kartlägga L2-elevernas verbvokabulär med avseende på frekvens, variation, fördelning över semantiska fält samt semantisk och konstruktionsmässig korrekthet. L2-gruppens resultat kontrasteras mot en kontrollgrupp bestående av L1-elever. Undersökningsmaterialet består av 20 argumenterande uppsatser skrivna av komvuxelever med svenska som andraspråk samt 20 argumenterande uppsatser skrivna av komvuxelever med svenska som förstaspråk. Samtliga verb har extraherats, räknats och, i de fall det varit tillämpbart, satts in i ett av de 13 semantiska fält som undersökts i uppsatsen. De olika typer av inkorrekt verbanvändning som påträffats i materialet har kategoriserats utifrån feltyp. De typer av fel som varit av intresse i denna studie är konstruktionsfel i prefixverb, reflexivverb, partikelverb samt fel i verb + substantiv- kollokationer. Förutom konstruktionsfel undersöker uppsatsen även primärt semantiska fel, dvs. fel som i första hand har att göra med verbets semantiska betydelse. Undersökningsresultatet visar att verbfrekvensen hos L2-talarna är lägre i jämförelse med L1-gruppen. Orsaken därtill är att L1-uppsatserna i snitt är längre än L2-uppsatserna och därmed innehåller många fler verb. Det verkar inte föreligga någon anmärkningsvärd skillnad i verbvariationen om man ser till verben i sin helhet. Vissa semantiska fält är dock mer utbyggda och mer varierade i L1-gruppen.         Verbfrekvenstabellerna visar att andelen partikelverb är hälften så stor i L2-gruppen jämfört med L1-gruppen. Listan över de 20 vanligaste verben visar att andraspråkseleverna, vid en jämförelse med L1-eleverna, underanvänder verben få och ska och överanvänder säga, vilja och finnas. Eftersom inga fler indikationer på överanvändning av kärnverb ges i materialet måste just detta interimspråkdrag ses som en mycket begränsad företeelse hos de avancerade L2-eleverna.         De allra vanligaste feltyperna hos såväl L1- som L2-talare är av primärt semantisk karaktär. Bland dessa fel är, i L2-gruppen, fel kopplade till det semantiska fältets betydelsesidoordning vanligast. Det innebär att studien pekar mot att det som ställer till mest problem för andraspråkseleverna, när det gäller verblexikonet, är sådant som har att göra med semantisk precisering och nyansering, dvs. att välja rätt synonym. / Abstract This essay deals with lexical competence in written language production among advanced learners of Swedish as a second language. The study focuses on the use of verbs with regard to both quantitative and qualitative aspects. The aim of this essay is to examine the L2-learners verb vocabulary, paying attention to frequency, variation, distribution in semantic fields as well as semantic and constructional correctness. The results of the investigations are compared to the results of a control group consisting of L1-speakers.         The material in the present investigation consists of 40 argumentative essays written by 20 adult students with Swedish as their second language and 20 adult students with Swedish as their first language. All students were enrolled in an adult education program, attending the courses Swedish as a second language B and Swedish B at senior high school level.         All verbs have been extracted, counted and, where applicable, inserted into the 13 semantic fields which are examined in this study. Errors in connection with the use of verb have been categorized according to two major error types, i.e. constructional errors (errors connected to prefixed verbs, reflexive verbs, particle verbs, and errors in verb + noun combinations) and primarily semantic errors.         The investigation demonstrates that the verb frequency is lower in the L2-group compared to the L1-group. The higher verb frequency in the L1-group is probably due to the, on average, longer essays in that particular group.            The verb frequency tables show that use of particle verbs is twice as high in the L1-essays compared to the L2-essays. The tables of the 20 most common verbs demonstrate that L2-students, compared to the L1-students, tend to underuse certain verbs and overuse others. Three verbs that are particularly overused by the L2-students, are säga, vilja and finnas, while the verbs få and ska underused to a great extent by the same group. The tree overused verbs are nuclear verbs in their specific semantic fields (VERBAL COMMUNICATION, WISH and EXISTENCE). Apart from the overuse of these nuclear verbs the investigation material does not give further indications of overuse of nuclear verbs. This shows that overuse of nuclear verbs as an interlanguage feature is not particularly prominent in the advanced L2-learners.              There does not seem to be any notable difference in verb variation when looking at the verbs in their entirety. However, certain semantic fields are more extended and more varied in the L1-group.         In the essays written by the L1-students there are very few occurrences of constructional errors. The most frequent error type, in both student groups, is of a semantic nature. The L2-material shows that the most common semantic error is related to the horizontal structure (and not the vertical structure) of the semantic fields. This means that L2-students find it hard to differ between synonyms in the same semantic field at the same hierarchical level. The current study thus indicates that, as far as the verb vocabulary goes, the L2-students main difficulty is semantic specification, i.e. choosing the right synonym. Among the combinatory errors, the errors connected to verb + noun combinations have the highest frequency.

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