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Administrer la mort : les dossiers testamentaires de deux chanoines parisiens aux XIVe et XVe siècles

Cyr, Bruno 20 December 2012 (has links)
Le dossier testamentaire est une source exceptionnelle en matière d’histoire de la mort au Moyen Âge. Composé des écrits du testament, de l’inventaire après décès et du compte de l’exécution, il couvre toutes les étapes de l’administration de la mort, des fondements pré décès, aux articulations concrètes de la réalité post mortem. L’étude des dossiers de deux chanoines parisiens, Jean d’Hétomesnil (Sainte-Chapelle, 1381) et Jean Chuffart (Notre-Dame de Paris, 1451) a permis d’esquisser les dynamiques de tels documents. La cohérence idéologique et codicologique laisse d’abord apparaître l’état post mortem du réseau social des défunts. Défini par une mobilisation de ses constituants et axé sur la mémoire et la rédemption de l’âme, cet état résulte de l’activation des dispositions testamentaires. Ensuite, ce processus est exprimé à partir de la perspective de l’exécuteur testamentaire : elle souligne la somme de travail requise et les paramètres d’exécution. L’utilisation de ces documents permet ainsi de dépasser l’état spéculatif des dernières volontés et d’entrer dans la complexité de leur réalisation. En définitive, c’est la protection des exécuteurs et la démonstration du respect des dernières volontés dans un cadre d’autorité bien plus que la rédemption de l’âme qui ressort comme la motivation principale des dossiers testamentaires.
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Administrer la mort : les dossiers testamentaires de deux chanoines parisiens aux XIVe et XVe siècles

Cyr, Bruno 20 December 2012 (has links)
Le dossier testamentaire est une source exceptionnelle en matière d’histoire de la mort au Moyen Âge. Composé des écrits du testament, de l’inventaire après décès et du compte de l’exécution, il couvre toutes les étapes de l’administration de la mort, des fondements pré décès, aux articulations concrètes de la réalité post mortem. L’étude des dossiers de deux chanoines parisiens, Jean d’Hétomesnil (Sainte-Chapelle, 1381) et Jean Chuffart (Notre-Dame de Paris, 1451) a permis d’esquisser les dynamiques de tels documents. La cohérence idéologique et codicologique laisse d’abord apparaître l’état post mortem du réseau social des défunts. Défini par une mobilisation de ses constituants et axé sur la mémoire et la rédemption de l’âme, cet état résulte de l’activation des dispositions testamentaires. Ensuite, ce processus est exprimé à partir de la perspective de l’exécuteur testamentaire : elle souligne la somme de travail requise et les paramètres d’exécution. L’utilisation de ces documents permet ainsi de dépasser l’état spéculatif des dernières volontés et d’entrer dans la complexité de leur réalisation. En définitive, c’est la protection des exécuteurs et la démonstration du respect des dernières volontés dans un cadre d’autorité bien plus que la rédemption de l’âme qui ressort comme la motivation principale des dossiers testamentaires.
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Administrer la mort : les dossiers testamentaires de deux chanoines parisiens aux XIVe et XVe siècles

Cyr, Bruno January 2012 (has links)
Le dossier testamentaire est une source exceptionnelle en matière d’histoire de la mort au Moyen Âge. Composé des écrits du testament, de l’inventaire après décès et du compte de l’exécution, il couvre toutes les étapes de l’administration de la mort, des fondements pré décès, aux articulations concrètes de la réalité post mortem. L’étude des dossiers de deux chanoines parisiens, Jean d’Hétomesnil (Sainte-Chapelle, 1381) et Jean Chuffart (Notre-Dame de Paris, 1451) a permis d’esquisser les dynamiques de tels documents. La cohérence idéologique et codicologique laisse d’abord apparaître l’état post mortem du réseau social des défunts. Défini par une mobilisation de ses constituants et axé sur la mémoire et la rédemption de l’âme, cet état résulte de l’activation des dispositions testamentaires. Ensuite, ce processus est exprimé à partir de la perspective de l’exécuteur testamentaire : elle souligne la somme de travail requise et les paramètres d’exécution. L’utilisation de ces documents permet ainsi de dépasser l’état spéculatif des dernières volontés et d’entrer dans la complexité de leur réalisation. En définitive, c’est la protection des exécuteurs et la démonstration du respect des dernières volontés dans un cadre d’autorité bien plus que la rédemption de l’âme qui ressort comme la motivation principale des dossiers testamentaires.
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Regards sur l'altérité : le corps et la norme dans les enluminures, en France, aux XIVe et XVe siècles / Rethinking alterity : body and norm in manuscript illumination, XIVth and XVth centuries, in France

Tiévant, Pascale 30 January 2016 (has links)
Notre recherche utilise comme source les enluminures des manuscrits de la littérature profane produites aux XIVe et XVe siècles dans les ateliers de France. Elle s’intéresse plus particulièrement aux représentations des êtres étranges qui foisonnent dans la littérature du Moyen âge, qu’elle soit proprement médiévale, le roman arthurien par exemple, ou qu’elle tire son inspiration de l’Antiquité pour les contes mythologiques ou les récits de voyage. Ces personnages s’ils appartiennent à des catégories diverses, comportent un degré d’humanité et d’imaginaire très variable, et mettent en évidence toute l’ambivalence de la nature humaine. Au travers de l’analyse d’un corpus extensif de ces images, nous souhaitons poser la question de la figuration du corps dès lors qu’il sort des normes : normes de mensuration (les géants et les nains), normes morphologiques (anomalies de parties du corps), hybridations et métamorphoses. Que représentent dans l’imaginaire médiéval ces êtres qui transgressent les règles par leur apparence et par l’ambiguïté de leur rapport au règne animal ?Notre recherche s’appuie nécessairement sur les textes des manuscrits et le rapport à l’image, en raison de leur évidente relation de réciprocité. Elle s’appuie également sur les conditions de production des enluminures et le public auquel elles s’adressent. Par cette approche nous tentons de repérer les fonctions de ces images de l’altérité, ainsi que leurs évolutions significatives ou les impasses auxquelles elles peuvent aboutir dans les modes de figuration, tout au long de la période étudiée. / Our research is based on the illumination of manuscripts from the secular literature produced in French workshops in the fourteenth and fifteenth centuries. It focuses more precisely on the representation of strange beings, which abound in literature in the Middle Ages, whether it is strictly medieval like the Arthurian novel for example, or whether it derives its inspiration from Antiquity in mythological tales or travel stories. Although these characters belong to different categories, they present a very variable degree of humanity and fantasy and point out all the ambivalence of the human nature. Through the analysis of an extensive corpus of those pictures, we wish to raise the question of the figuration of the body from the moment it differs from the norm : norms of size (giants and dwarves), morphological norms (abnormal parts of the body), hybridizations and metamorphoses. What do these beings that transgress rules by their appearance and by the ambiguity of their relation to the animal kingdom represent in the medieval cultural imagination?Our research is necessarily based on the texts of the manuscripts and the relation to the picture on account of their obvious relation of reciprocity. It also based on the conditions of production of illuminations and on the people they were addressed to. By this socio-cultural approach, we try to determine the functions of those pictures of alterity as well as their significant evolutions or the stalemates they can reach in the figurative modes, all along the period under study.
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Représentations, usages et pouvoirs de l'émotion dans le discours politique des ducs de Bourgogne (XIVe - XVe siècles) / Representations, Uses and Powers of Emotion in the Dukes of Burgundy’s Political Discourse (14th – 15th centuries)

Smagghe, Laurent 13 November 2010 (has links)
Manifestation extérieure des secrets mouvements de l’âme, l’émotion possède un caractère universel, mais les sociétés fondent pour partie leur cohérence sur des pratiques communes de l’affectivité qui peuvent l’emporter sur cette expérience individuelle. Le prince, dont le corps et le geste concentrent les regards, n’échappe pas aux injonctions d’un habitus idéal dans lequel les émotions jouent un rôle essentiel, entre valorisation et transgression. Cette étude a l’ambition de montrer en quoi celles-ci sont convoquées en renfort de la communication politique. L’espace des Pays-Bas bourguignons des deux derniers siècles du Moyen Âge a été retenu, et l’on a voulu délimiter le contexte culturel à l’origine d’un discours de l’émotion pour le gouvernant, en retenant un corpus de sources diversifié. Une réflexion préalable sur la dimension protéiforme du corps et sur le portrait émotionnel du prince idéal permet de mettre en évidence une affectivité et une expressivité particulières pour celui-ci. Ces caractères sont des préalables pour l’usage privilégié de la colère, omniprésente dans les sources, dont la représentation sert l’exercice de la justice mais peut également conduire à des passages à l’acte préjudiciables pour la dignité et la majesté. Entre la joie des manifestations festives et les souffrances qui semblent consubstantielles à l’exercice du pouvoir, les auteurs esquissent un portrait du prince d’émotion bourguignon difficilement réductible à nos catégories modernes, ce dont rend bien compte la polysémie des larmes. Au-delà des stratégies narratives, il est cependant possible de proposer des pistes pour élucider la nature des émotions proposées ainsi que leur insertion dans un discours global sur le pouvoir. / As an outward manifestation of the soul’s secret moves, emotion has a universal dimension. However, societies establish part of their consistency upon a common practice of feelings which may override individual experience. The ruler, whose body and gesture are the centre of every attention, cannot elude injunctions of an ideal habitus in which emotions play a substantial part, between promotion and transgression. This study emphasizes the extent to which emotions support political communication. The Burgundian Low Countries in the Late Middle Ages have been examined, and the cultural context in which emotion as a ruling practice emerged has been outlined, thanks to a diversified corpus of sources. In a first part, the study of the body’s protean dimension reveals that the ruler’s ideal image embodies specific feelings and expressiveness. These characteristics prelude to a privileged use of an omnipresent anger in sources, to which the exercise of power and justice owe more than a little. Yet, this emotion is also likely to drive the ruler to a detrimental acting out for his dignity and majesty. Between joy demonstrated in the context of a culture of feasts, and pain which seems to be consubstantial to power, emerges the portrait of the emotional prince of Burgundy which can not be outlined with modern categories of language, as shown by the ambiguity of tears. Beyond narrative strategies, it is yet possible to propose some perspectives of interpretation to elucidate the nature of proposed emotions and the way they may be integrated in a general ideology of power.
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Réception et usages des principes du droit romain par les officiers royaux français : réflexions autour de la justice pénale sous Charles VI (1380-1422)

Perreault-Corbeil, Élisabeth 08 1900 (has links)
Le règne du roi de France Charles VI (1380-1422) est caractérisé par plusieurs bouleversements, le premier étant la folie du roi, déclarée en 1392. En dépit des crises militaire, économique et sociale qui secouent le royaume, il s’agit néanmoins d’un temps fort pour la mise en place de l’État monarchique. L’instabilité permet en réalité à l'autorité royale de durcir ses positions et d’imposer plus efficacement son pouvoir, notamment en matière de justice. Ce renforcement s’appuie en grande partie sur le modèle du droit romain qui est étudié depuis le XIIe siècle par les officiers royaux, à savoir des membres importants de l’administration. Le présent travail analyse la façon dont les principes juridiques hérités de l’Antiquité sont reçus et engagés dans la littérature médiévale pour soutenir des réflexions en matière de justice. Il s’appuie pour cela sur l’étude des écrits de quatre officiers royaux influents : Nicolas de Clamanges, Jean de Montreuil, Laurent de Premierfait et Guillaume de Tignonville. Les concepts qui sont empruntés aux œuvres classiques s’expriment à travers une double affirmation : l’application plus sévère de la justice royale et le recours plus systématique à la peine de mort. Si les attentes des auteurs sont parfois incompatibles avec l’exercice d’une justice guidée par la clémence, les autorités royales tendent toutefois à sanctionner de façon plus rigoureuse. Les relations entre les théories juridiques et leur application sont complexes, mais tendent à converger vers une même voie, dans le cadre de l’affirmation de la souveraineté et de la lutte contre les crimes qui menacent la paix publique. / The reign of Charles VI (1380-1422) of France is characterized by several upheavals, the first one being the king's madness, declared in 1392. Despite the military, economic and social crises that shake the kingdom, it is nevertheless a strong time for the establishment of the monarchical State. The instability actually allowed the royal authority to strengthen its positions and to impose its power more effectively, especially in matters of justice. This strengthening is grounded on the Roman law, which had been studied since the 12th century by royal officers, important members of the administration. The present work analyzes the way legal principles inherited from Antiquity are received and engaged in medieval literature to support thoughts on justice. It is based on the study of the writings of four influential royal officers: Nicolas de Clamanges, Jean de Montreuil, Laurent de Premierfait and Guillaume de Tignonville. The concepts borrowed from the classical works are expressed through a double affirmation: a more severe application of royal justice and a more systematic use of the death penalty. If the authors expectations are sometimes incompatible with an exercise of justice guided by clemency, the royal authorities nevertheless tend to sanction more rigorously. The relationship between legal theories and their application is complex, but tends to converge towards the same path, in the context of the affirmation of sovereignty and the fight against crimes that threaten public peace.

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