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La gestion des brevets et la valorisation des entreprises / Management of patents and companies valuationKammoun, Niaz 21 April 2015 (has links)
De nos jours, nous remarquons la transition marquante d’une économie fondée sur les actifs matériels vers une économie basée sur les actifs immatériels. Cette tendance s'illustre à travers l’augmentation des investissements en R&D donnant lieu au dépôt d’un nombre important de brevets. Néanmoins, une minorité seulement détient une valeur financière. Ces constats nous ont conduits à nous interroger sur les facteurs favorisant le renouvellement ou l’abandon d’un brevet. Dans notre quête d’éléments de réponse à cette première problématique, nous avons défini trois phases stratégiques du cycle de vie des brevets : l’abandon de procédure, l’abandon naturel, et l’abandon tardif. De plus, les résultats des régressions logistiques mettent en évidence deux variables : la durée de délivrance et le nombre cumulé de brevets citant. En l’absence d’un traitement adéquat, la valorisation des intangibles demeure au centre des recherches et débats. Les théoriciens et chercheurs confirment que ces actifs influencent significativement la perception du marché de la valeur financière des entreprises détentrices d’actifs immatériels (surévaluation). Ce faisant, cette recherche tente de répondre par ailleurs à la question : comment le marché financier réagit-il à la diffusion de nouvelles informations relatives aux brevets détenus par une firme ? Nos recherches nous ont permis de mettre en évidence le rôle de l’asymétrie d’information dans la valorisation des brevets. Ainsi, la capitalisation boursière de l’entreprise détentrice du brevet est positivement corrélée avec l’information disponible relative aux brevets même si l’ampleur de la rentabilité anormale cumulée est fonction de l’industrie / Recently we notice a striking transition from an economy based on tangible assets to a knowledge economy based on intangible assets. This trend is illustrated through increased investment in R&D resulting in the filing of a large number of patents. However, only a minority of these has a financial value. These facts led us to wonder about the factors that lead to the renewal or abandonment of a patent.In our quest for answers to this first issue, we defined three strategic phases of patent life cycle: process abandonment, natural abandonment, and late abandonment. In addition, results of simple logistic regressions reveal two variables: the duration of delivery and the cumulative number of citing patents.The incorporation of intangible assets in the balance sheet is a real dilemma without an adequate treatment. Even though the valuation of intangibles remains at the heart of many studies and debates, theorists and researchers confirm that these assets significantly influence the market's perception of the financial value of holding companies (overvalued). Within this framework, this research attempts to answer this question as well: How does the financial market react to the dissemination of new information on patents held by a company?Our research allowed us to highlight the role of informational asymmetry in the valuation of patents. Thus, the market capitalization of the patent holder is positively correlated with available information. Finally, we notice that the magnitude of the cumulative abnormal return is a function of the industry
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La parure chypriote de la fin de l'âge du bronze à l'époque archaïque, étudiée dans le contexte de la Méditerranée orientale / Protohistoric Jewellery from Cyprus (ca. 1200-600 BC). A comparative study in the context of the Eastern MediterraneanPaule, Anna 13 May 2013 (has links)
L'apparition de parures de style oriental (ou « phénicien ») sur des sites chypriotes et égéens entre le XIIe et le VIIe s. av. J.-C. est un phénomène bien attesté. Sélectionnées sur le critère d'une ressemblance visible, on peut dresser une liste de parures, réalisées en or ou d'autres matières telles que le bronze, trouvées sur le continent grec (Tirynthe, Perati) et sur îles égéennes (Crète, Naxos, Kos et Rhodes).Cependant, la nature de ces échanges, qui ne suivent pas un schéma régulier, reste difficile à cerner. D'une part, il existe des parallèles visiblement étroits entre les parures chypriotes et d'autres découvertes en dehors de cette île. Elles semblent être issues de contacts directs entre les régions. L'étude sur leurs modèles de diffusion et d'autres, qui concernent les produits en métal plus que la céramique, permettent d'aller au-delà d'une étude comparative des parures. Ainsi, il s'est avéré que les contextes contenant non seulement des parures mais aussi d'autres objets d'aspect étranger sont relativement fréquents. Outre ce matériel, nous sommes confrontés à d'autres parures qui ne sont comparables que sous réserve. Leur apparence suggère la présence de contacts indirects, donc une circulation d'idées plutôt que d'objets. En ce qui concerne des futures études, les résultats des fouilles récentes menées sur le site postpalatial de Tirynthe se sont avérés particulièrement intéressants. De plus, il faut signaler que la question de l'origine de la fibule pose un problème qui n'a pas encore été résolu. / The appearance of jewellery of Near-Eastern origin at Cyprus and Greece is a well-known phenomenon which we meet also from the 12th to the 7th century BC. Well-known examples made from gold and from bronze were found at the Greek continent (Tiryns, Perati) and at the Aegean islands (Crete, Naxos, Kos, Rhodes).The nature of these overseas exchanges, however, can hardly be determined and does not follow any regular system. At the one hand, there are striking parallels between certain Cypriot pieces of jewellery and other specimens found outside of Cyprus. They seem to be the result of direct contacts. The studies of the contexts to which these objects belong allow us to go beyond the mere documentation of jewellery. Following this approach, it is evident that various tombs contained not only pieces of jewellery, but also other foreign objects. This seems to support our hypotheses about on-going overseas contacts. At the other hand, there are a number of items which appear to be local products inspired from Cypriot art. Obviously, they are the result of indirect contacts or of a spreading of ideas.Regarding future studies about Cypriot or Cypriot-inspired objects, the more recent discoveries made in Tiryns are particularly noteworthy. Furthermore, one has to consider that the problems related to the origin of the fibula, which occurs at the end of the Late Bronze Age, have still not been resolved.
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