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Die mittelbronzezeitlichen Nadeln zwischen Vogesen und Karpaten : Studien zur Chronologie, Typologie und regionalen Gliederung der Hügelgräberkultur /

Innerhofer, Florian. January 2000 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Fachbereich Altertumswissenschaften--Berlin--Freie Universität, 1996. / Bibliogr. p. 423-445.
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L'évolution pression-température-déformation dans le massif des Aiguilles Rouges, massif externe alpin.

Joye, Jean Bernard 28 September 1989 (has links) (PDF)
L'analyse structurale de la géométrie et de la cinématique ainsi que le métamorphisme d'un secteur du massif des Aiguilles Rouges permettent de reconstruire l'évolution tectonométamorphlque du massif au cours de l'orogenèse varlsque. Cette évolution correspond à des événements orogéniques d'âge Dévonien et d'âge Carbonifère qui sont nettement distingués. Les événements d'âge Dévonien sont caractérisés par deux phases de déformation DI et D2. La schistoslté SI est relictuelle, préservée dans des mlcrolithons dans la schlstoslté S2. La déformation D2 se marque par une forte schistoslté S2 supportant une linéatlon d'étirement L2. De nombreux plis non-cylindriques P2 se développent. L'étude des microstructures indiquent une déformation non-coaxiale. Ces structures ont été acquises lors d'un mouvement tangentiel de sens S - N. Ces deux phases de déformation DI et D2 sont associées aux épisodes de métamorphisme MI et M2 qui sont continus dans le temps. M l, conservé dans des microlithons, marque le métamorphisme prograde. M2, l'épisode principal du métamorphisme, définit le métamorphisme rétrograde. L'établissement du chemin pression - température - temps - déformation (P-T-t-d) dans les paragneiss et les amphiboliles révèle un contexte géodynamique de collision continentale: épaississement crustal - remontée - érosion. Les événements d'âge Carbonifère (déformation D3) résultent principalement du fonctionnement d'une zone de cisaillement transcurrente dextre. L'ensemble des roches est déformé en mégaplis en échelon dextre très serrés dans le secteur étudié. La linéatlon d'étirement L2 est déformée dans ce mouvement en forme de sigmoïde. Le granite de Vallorcine s 'est mis en place dans cette zone de cisaillement à la fin de la déformation D3. L'évolution mise en évidence dans ce travail s'intrègre parfaitement dans le modèle actuel de la chaine varlsque.
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Comportement de l'uranium lors des métamorphismes tardi-hercinien et alpin dans les massifs des Aiguilles rouges et de Belledone (Vallorcine, Lauzière). Alpes occidentales

Negga, Haîle Sellassié 02 July 1984 (has links) (PDF)
Ce travail a été entrepris dans le but de déterminer l'origine des nombreux indices uranifères répartis dans les massifs cristallins externes des Alpes, et notamment dans les massifs des Aiguilles Rouges et de Belledonne. l - Le contexte géologique Massif des Aiguilles Rouges Le granite de Vallorcine et son encaissant métamorphique immédiat et en particulier la formation de La Creusa ont été étudiés . Le granite s'est mis en place dans la mésozone dans des conditions de pression de 3 à 4 kb . Dans sa partie suisse, sa mise en place n'est pas une simple intrusion mais plutôt une succession de deux intrusions de magmas de sources différentes. Ces deux magmas ont été mélanges à leur contact, à chaud, et ont donné naissance à un troisième faciès intermédiaire. L'encaissant métamorphique immédiat fait partie intégrante du socle et est volcano-détritique. Dans la formation de La Creusa l'interstratification de metasediments grauwackeux et de niveaux d'origine ignee à tendance alcaline semble correspondre à un environnement de transition entre un contexte orogénique et un contexte distensif. Massif de Belledonne Le massif granitoïde de La Lauzière et les formations métamorphiques associèes ont été étudiées. Dans la genèse du complexe granitoïde de Lauzière ont été impliqués deux magmas distincts. Dans les formations métamorphiques la Série Verte supérieure se distingue des autres par la dominance de faciès métavolcaniques de type spilite-kératophyre. II - Les minéralisations uranifères Massif des Aiguilles Rouges Le précurseur de la minéralisation uranifère est la rétromorphose tardi-hercynienne qui par l'intermédiaire d'un fluide à forte activité en calcium a provoqué la destabilisation des minéraux porteurs d'uranium, comme la monazite. La nature de ce fluide a été fortement influencée par la minéralogie de l'encaissant très riche en plagioclase. La monazite considérée jusqu'ici comme un minéral réfractaire constitue l'une des principales source de l'uranium. Les fluides carbo-azotés semblent avoir joué un rôle important dans le dépôt de cet élément. Massif de Belledonne Dans ce massif, les conditions de genèse des minéralisations uranifères sont analogues à celles du massif des Aiguilles Rouges. Le même processus de mobilisation de l'uranium se retrouve avec cependant un fluide à activité de calcium plus élevée. Enfin, les études d'isotopes stables (C, 0, H) ont permis de proposer deux hypothèses sur l'origine des fluides liés à la minéralisation uranifère.
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Etude géologique de la haute vallée de la Valloirette entre Valloire, le Col du Galibier et les Aiguilles d'Arves (Alpes occidentales - Savoie)

Toury, Anne 10 July 1984 (has links) (PDF)
La haute vallée de la Valloirette creuse son lit dans "l'édifice de nappes" des Alpes occidentales classiquement composé ici, d'ouest en Est, des zones dites ultradauphinoise (flysch des Aiguilles d'Arves), subbriançonnaise et briançonnaise. Nous avons été amenés à modifier ce schéma. 1°/- Du point de vue stratigraphique : * l'ancienne zone ultradauphinoise doit être divisée en deux unités structurales : - une unité inférieure, dont on n'a, sur le versant valloirin, que le flysch tertiaire, montrant ici des niveaux conglomératiques, turbiditiques et gréseux (les schistes à blocs de la base n'affleurent pas dans la région e t l'olistostrome sommital n'est visible que dans le vallon du Goléon). Ce flysch tertiaire repose sur des terrains mésozoiques d'affinité dauphinoise et par analogie avec A. Serre (1983), nous l'appellerons dauphinoise orientale ; - une unité supérieure, constituée ici essentiellement de flysch gréseux (vers le Nord, un peu de flysch turbiditique existe à sa base tandis que vers le Sud, le flysch olistostromique montre quelques gros blocs). Cette unité prolonge vers le Sud l'unité de flysch à substratum briançonnais décrite par J. Martinez-Reyes (1979, 1980) et nommée plus récemment (A. Serre, 1983) unité Cheval Noir - Casse Massion. * La zone subbriançonnaise présente des faciès de plate-forme entre le Lias et le Jurassique moyen avec des indices d'approfondissement au sommet ou du moins de la proximité d'une mer ouverte. Ces premiers niveaux sont d'affinité dauphinoise. Dès l'Oxfordien s'individualise une épaisse séquence flyschoïde mal caractérisée du point de vue des âges et dont le domaine de sédimentation longuement discuté est probablement assez interne. Il pourrait s'agir d'un domaine "ultrabriançonnais". Une klippe de flysch à Helminthoïdes ajoute encore une petite touche interne à cet édifice. * La zone briançonnaise : la série briançonnaise est assez complète, bien développée entre le Westphalien et le Trias moyen, réduite ensuite. C'est une série typique du Briançonnais externe. 2°/- Du point de vue tectonique : Nous avons pu mettre en évidence de grandes failles verticales subméridiennes à jeu décrochant sénestre. Elles sont bien exprimées dans l'unité inférieure du flysch mais existent aussi dans l'unité supérieure ainsi que dans la zone briançonnaise. Dans le Subbriançonnais, la présence de gypse diapirique au Col du Galibier traduit l'existence d'une grande fracture Nord-Sud. Partout, on trouve les fractures de Riedel associées à ces failles importantes. Du point de vue des déformations : * La zone du flysch : les deux unités sont déformées différemment de part et d'autre d'un cisaillement plat, visible dans le Vallon des Aiguilles, dans les Gorges de l'Enfer et sous la Grande Chible, décelable ailleurs et prolongeant le contact décrit au Nord par J. Martinez-Reyes (1980) et A. Serre (1983). L'unité inférieure est peu (ou pas) déformée, tandis que l'unité supérieure présente des replis désorganisés mais assez généralement déversés vers l'Est. Un modèle synthétique pour expliquer ces déformations est proposé. * La zone subbriançonnaise : elle montre deux types de déformations : des plis d'axe subméridien à grand rayon de courbure dans les terrains du Lias au Jurassique moyen d'une part, deux familles de plis (NI20 e t N180) serrés et couchés, dans la série flyschoïde supérieure d'autre part. Cet argument structural nous permet d'envisager un décollement de la partie supérieure de la série (de l'Oxfordien au Nummulitique) au niveau de l'Oxfordien schisteux et plastique. * La zone briançonnaise : nous n'ajoutons rien au schéma classique donné pour le Briançonnais. Néanmoins, certains chevauchement de faible ampleur (vallon de la Ponsonnière, flanc occidental du massif des Sétaz) doivent pouvoir trouver leur origine dans un modèle de transpression : une faille verticale à jeu décrochant évoluant en nappe de charriage en régime compressif. 3°/- Du point de vue géodynamique : Nous proposons un modèle d'évolution de la région considérée. Pour rapprocher et empiler des unités d'origines paléogéographiques parfois très différentes, nous avons fait appel à un jeu décrochant sénestre tel que L.E. Ricou (1980) l'envisage pour toute l a "zone subbriançonnaise" et dont on a les traces sous forme de failles décrochantes sénestres e t de fractures de Riedel associées. Le régime général en compression provoque des charriages de nappes qui s'ajoutent aux décrochements en une succession de phases de déplacements Sud-Nord (décrochements) puis Est-Ouest (serrages) plus ou moins synchrones. Il en résulte un empilement tout à fait hétéroclite où nous avons sur l'autochtone relatif dauphinois une nappe d'origine briançonnaise (l'unité Cheval Noir - Casse Massion), puis un lambeau de terrains d'affinité dauphinoise, puis une unité d'origine très interne ("ultrabriançonnaise") supportant une klippe de flysch à Helminthoïdes et, enfin, le Briançonnais (cf. Quatrième partie, évolution géodynamique).
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Écologie throphique de l’huitrier noir africain (haematopus-moquini) sur les littoraux rocheux de l’Afrique Australe en relation avec la viabilité de son habitat / Trophic ecology of the African Black Oystercatcher (haematopus-moquini) on the Southern African rocky shores, in relation with it’s habitat variability

Kohler, Sophie 12 September 2011 (has links)
La distribution d'espèces benthiques intertidales est contrainte par l'océanographie côtière. On connaît moins les effets sur l'écologie des prédateurs. Les côtes sud de l'Afrique sont caractérisées par des contrastes de production primaire et d'assemblages intertidaux dus aux deux courants majeurs qui les longent. Le prédateur apical de ces côtes est un oiseau limicole endémique, l'huîtrier noir africain (Haematopus moquini), qui présente un polymorphisme favorable à la spécialisation alimentaire. Ces travaux ont étudié l'effet des variations spatiales de structure de communautés benthiques sur l'écologie alimentaire de l'huîtrier à l'aide des isotopes stables. Les oiseaux répondent aux fluctuations qualitative et quantitative des communautés de proies à plusieurs échelles. A large échelle ils montrent de forts contrastes entre les côtes ouest et sud-ouest où le régime alimentaire est dominé par les moules, notamment l'espèce invasive Mytilus galloprovincialis et le sud-est où un mélange de moules et patelles est consommé. Localement les individus montrent des différences faibles d'alimentation liées à l'abondance relative des moules et patelles. Cela s'explique par le caractère généraliste de l'espèce et le relâchement de compétition intra-spécifique pour les ressources. La transition alimentaire d'H. moquini vers une consommation quasi-exclusive à l'ouest d'une moule introduite et la multitude de comportements alimentaires ailleurs indiquent un fort potentiel d'adaptation aux modifications de son habitat d'alimentation. En revanche la dégradation des plages par l'Homme augmente la compétition pour l'espace et affecterait aujourd'hui le succès reproducteur de l'espèce. / The distribution of intertidal benthic species is constrained by coastal oceanography. Less is known about the effects on the ecology of predators. Along the southern coasts of Africa the two main currents constraint both the patterns of primary production and the structure of benthic communities. The top predator on these coasts is an endemic shorebird, the African Black Oystercatcher (Haematopus moquini), which exhibits a polymorphism favourable for food specialization. This study investigates the effect of spatial variations in benthic community structure on the feeding ecology of oystercatchers using stable isotopes. Birds respond to changes in quality and quantity of prey at multiple scales. At large scale they show strong contrasts between west and southwest coasts where the diet is dominated by mussels, including the invasive species Mytilus galloprovincialis, and south-east shores where a mixture of mussels and limpets is consumed. Locally individuals show weak dietary differences related to relative abundances of mussels and limpets. This reflects the generalist foraging behaviour of the species and the release of intra-specific competition for resources. The dietary shift of H. moquini on the west coast toward the invasive mussel and the multiplicity of foraging behaviours elsewhere reveal strong capacities to face changes in its foraging habitat. On the other hand the degradation of beaches by humans increases the competition for space and today affects the reproductive success of the species
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Étude géologique de la haute vallée de la Valloirette entre Valloire, le col du Galibier et les aiguilles d'Arves (Alpes occidentales, Savoie)

Toury, Anne 10 July 1984 (has links) (PDF)
La haute vallée de la Valloirette creuse son lit dans "l'édifice de nappes" des Alpes occidentales classiquement composé ici, d'Ouest en Est, des zones dites ultradauphinoise (flysch des Aiguilles d'Arves), subbriançonnaise et briançonnaise. Nous avons été amenés à modifier ce schéma. 1° du point de vue stratigraphique : * l'ancienne zone ultradauphinoise doit être divisée en deux unités structurales : - une unité inférieure, dont on n'a, sur le versant valloirin, que le flysch tertiaire, montrant ici des niveaux conglomératiques, turbiditiques et gréseux (les schistes à blocs de la base n'affleurent pas dans la région et l'olistostrome sommital n'est visible que dans le vallon du Goléon).Ce flysch tertiaire repose sur des terrains mésozolques d'affinité dauphinoise et par analogie avec A. Serre (1983) nous l'appellerons dauphinoise orientale - une unité supérleure, constituée ici essentiellement de flysch gréseux (vers le Nord, un peu de flysch turbiditique existe à sa base tandis que vers le Sud, le flysch olistostromique montre quelques gros blocs). Cette unité prolonge vers le Sud l'unité de flysch à substratum briançonnais décrite par J. Martinez-Reyes (1979, 1980) et nommée plus récemment (A. Serre, 1983) unité Cheval Noir - Casse -Massion. * La zone subbriançonnaise présente des faciès de plate-forme entre le Lias et le Jurassique moyen avec des indices d'approfondissement au sommet ou du moins de la proximité d'une mer ouverte. Ces premiers niveaux sont d'affinité dauphinoise. Dès l'Oxfordien s'individualise une épaisse séquence flyschoïde mal caractérisée du point de vue des âges et dont le domaine de sédimentation longement discuté est probablement assez interne. Il pourrait s'agir d'un domaine "ultrabriançonnais'*. Une klippe de flysch à Helminthoïdes ajoute encore une petite touche interne à cet édifice. * La zone briançonnaise : la sérIe briançonnaise est assez complète, bien développée entre le Westphalien et le Trias moyen, réduite ensuite. C' est une série typique du Briançonnais externe. 2° du point de vue tectonique : Nous avons pu mettre en évidence de grandes failles verticales subméridiennes à jeu décrochant sénestre. Elles sont bien exprimées dans l'unité inférieure du flysch mais existent aussi dans l'unité supérieure ainsi que dans la zone briançonnaise. Dans le Subbriançonnais, la présence de gypse diapirique au Col du Galibier traduit l'existence d'une grande fracture Nord Sud. Partout, on trouve les fractures de Riedel associées à ces failles importantes. Du point de vue des déformations : * La zone du flysch : les deux unités sont déformées différemment . de part et d'autre d'un cisaillement plat, visible dans le Vallon des Aiguilles, dans les Gorges de l'Enfer et sous la Grande Chible, décelable ailleurs et prolongeant le contact décrit au Nord par J. Martinez-Reyes (1980) et A. Serre (1983). L'unité inférieure est peu (ou pas) déformée, tandis que l'unité supérieure présente des replis désorganisés mais assez généralement déversés vers l'Est. Un modèle synthétique pour expliquer ces déformations est proposé. * La zone subbriançonnaise : elle montre deux types de déformations: des plis d'axe subméridien à grand rayon de courbure dans les terrains du Lias au Jurassique moyen d'une part, deux familles de plis (N120 et N180) serrés et couchés, dans la série flyschoïde supérieure d'autre part. Cet argument structural nous permet d'envisager un décollement de la partie supérieure de la série (de l'Oxfordien au Nummulitique) au niveau de l'Oxfordien schisteux et plastique. * La zone briançonnaise : nous n'ajoutons rien au schéma classique donné pour le Briançonnais. Néanmoins, certains chevauchement de faible ampleur (vallon de la Ponsonnière, flanc occidental du massif des Sétaz) doivent pouvoir trouver leur origine dans un modèle de transgression : une faille verticale à jeu décrochant évoluant en nappe de charriage en régime compressif. 3° du point de vue géodynamique : Nous proposons un modèle d'évolution de la region considé rée. Pour rapprocher et empiler des unités d'origines paléogéographiques parfois très différentes, nous avons fait appel à un jeu décrochant sénestre tel que L.E. Ricou (1980) l'envisage pour toute la "zone subbriançonnaise" et dont on a les traces sous forme de failles décrochantes sénestres et de fractures de Riedel associées. Le régime général en compression provoque des charriages de nappes qui s'ajoutent aux décrochements en une succession de phases de déplacements Sud-Nord (décrochements) puis Est-Ouest (serrages) plus ou moins synchrones. Il en résulte un empilement tout à fait hétéroclite où nous avons sur l'autochtone relatif dauphinois une nappe d'origine briançonnaise (l'unité Cheval Noir - Casse -Massion), puis un lambeau de terrains d'affinité dauphinoise, puis une unité d'origine très interne ("ultrabriançonnaise") supportant une klippe de flysch à Helmintholdes et, enfin, le Briançonnais (cf . Quatrième partie, évolution géodynamique).
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Contributions à l'étude stratigraphique, tectonique et métamorphique du massif de Platé ( Haute Savoie) - Alpes françaises.

Pairis, Bernard 17 December 1975 (has links) (PDF)
Cette étude sur les différentes formations sédimentaires de la région a permis de montrer l'existence d'une opposition fondamentale entre le domaine des Aiguilles Rouges à série sédimentaire réduite (sur le massif de Pormenaz), et le domaine de Platé à sédimentation épaisse pratiquement continue depuis les schistes liasiques jusqu'au Crétacé supérieur inclus; ces deux domaines sont actuellement juxtaposés et leur contact est visible dans le ravin du Souay. Ces deux unités paléogéographiques seront traitées séparément : la série de Pormenaz (domaine des Aiguilles Rouges), et le domaine de Platé .
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Suspensions de microgels thermosensibles à la transition vitreuse : Dynamique hétérogène, corrélation, fluctuation et réponse rotationelles d'aiguilles

Colin, Rémy 16 October 2012 (has links) (PDF)
Quand un liquide est refroidi suffisamment rapidement en dessous de sa température de solidification, il peut se former à la place du cristal un solide désordonné et hors équilibre appelé verre, après un ralentissement brutal de la dynamique du liquide. Cette transition vitreuse est très largement répandue, mais la cause du ralentissement reste pour une grande part mal comprise. Les suspensions colloïdales présentent une telle transition quand la fraction volumique en particules croît. Dans cette thèse, la dynamique de suspensions colloïdales de microgels thermosensibles est étudiée expérimentalement à l'approche de la transition vitreuse et au delà. Le diamètre de ces sphères molles dépend de la température du bain, ce qui permet de moduler de façon réversible la fraction volumique et d'étudier ainsi la transition vitreuse continument sur un seul et même échantillon. Dans un premier temps les hétérogénéités de la dynamique qui se développent simultanément au ralentissement de la dynamique, et jouent un rôle théorique majeur dans les tentatives d'explication de la transition vitreuse, sont étudiées en vidéo-microscopie. Sur des temps courts, une hétérogénéité purement spatiale de la dynamique est mise en évidence. Des zones lentes et rapides de dynamique homogène coexistent dans l'échantillon, l'amplitude des variations entre zones croissant à l'approche de la transition et restent grandes dans le verre. Dans un second temps, l'extension spatiale de ces zones homogènes est mesurée en corrélation d'image, et trouvée croissante à l'approche de la transition. Enfin, une méthode de mesure du mouvement brownien rotationnel en trois dimensions d'aiguilles micrométriques est développée et appliquée à la mesure des propriétés microrhéologiques de fluides complexes puis à la comparaison entre fluctuations et fonction de dissipation, mesurée grâce à la réponse des aiguilles superparamagnétiques à des champs magnétiques oscillants, dans des fluides modèles puis dans des suspensions vitreuses.
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Évolution géodynamique d'un secteur de la paléomarge téthysienne dans les Alpes occidentales : les unités à flysch paléogène de la région de Saint-Jean-de-Maurienne, Savoie - Alpes françaises.

Serre, Arnaud 01 June 1983 (has links) (PDF)
Cette étude intéresse la région de St Jean de Maurienne à l'arrière du massif de Belledonne et à l'avant de la zone " subbriançonnaise ". Deux domaines paléogéographiques mésozoïques différents sont distingués : - un domaine dauphinois oriental : Issu d'un bassin ultra-Belledonne de type subsident à sédimentation relativement calme, ce domaine qui comprend des terrains mésozoïques allant du Trias au Malm est remarquable , en particulier par la présence d'un seuil composite nommé " ensemble de Rocheray " ; - un domaine d'affinité briançonnaise : L'unité Cheval Noir-Casse Massion issue d'un bassin mésozoïque, plus interne, caractérisé par une série permo-carbonifère briançonnaise, un Trias alpin puis une série jurassico -crétacée réduite. Du point de vue structural : En fonction de l'absence ou non du niveau de décollement gypseux du Trias supérieur, les unités dauphinoises orientales présentent différents styles structuraux. Il n'a pas été reconnu de phase anté-priabonienne compressive Les modèles d'évolution géodynamique de la nappe Cheval Noir-Casse Massion sont exposés. Une phase tardive correspond à la montée du " massif "de Belledonne. Elle s'accompagne de rétro-déversements limités et d'un ensemble de cassures sans rejeu important.
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Contribution à l'étude géologique de la partie sud du massif de Sixt ( Haute-Savoie) - Alpes françaises.

Pierre, Xavier 24 June 1963 (has links) (PDF)
Cette étude est trés axée sur la stratigraphie et donne une interprétation tectonique . Elle est à relier à celle de J.P. Uselle concernant la partie nord de ce meme massif .

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