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Comportements alimentaires et alimentation intuitive durant la grossesse : association avec le gain de poids gestationnel

Plante, Anne-Sophie 29 January 2019 (has links)
La grossesse est reconnue comme une période déterminante dans la vie d’une femme durant laquelle de nombreux changements physiologiques et métaboliques se produisent. La prise pondérale représente l’un des changements les plus importants. En Amérique du Nord, une majorité de femmes gagnent du poids en dehors des intervalles recommandés, ce qui peut avoir des impacts négatifs sur la santé de la mère et de l’enfant à naître. Le gain de poids gestationnel représente une problématique complexe et multifactorielle qui demeure partiellement comprise. De nombreux facteurs biologiques, psychosociaux et alimentaires influencent la prise pondérale de la femme enceinte. Notamment, les comportements et attitudes envers l’alimentation peuvent avoir un impact non négligeable sur cette prise pondérale. Cependant, jusqu’à présent, aucune étude n’a évalué de façon prospective les comportements alimentaires durant la grossesse en association avec la prise pondérale. Ainsi, l’objectif général du présent mémoire est d’examiner l’association auprès des femmes enceintes entre les comportements alimentaires, dont l’alimentation intuitive, et le gain de poids gestationnel. Les principaux résultats de ce mémoire démontrent que la plupart des comportements alimentaires demeurent stables durant la grossesse et que l’alimentation intuitive représente une approche prometteuse pour promouvoir une prise pondérale saine. Les travaux de cette maîtrise contribueront à enrichir la littérature sur les multiples facteurs contribuant au gain de poids durant la grossesse. Éventuellement, l’identification précise de ces éléments permettra la création d’études d’interventions qui aideront l’optimisation du gain de poids gestationnel. / Pregnancy has long been recognized as a decisive period in a woman’s life where numerous physiological and metabolic changes occur. Weight gain represents one of the most important changes. In North America, most women gain weight outside of the recommended range, which can impact both the mother and child health. Gestational weight gain represents a complex and multifactorial problem, which is still only partially understood. Numerous physiological, psychosocial and dietary factors influence the weight gained during the course of pregnancy. In particular, behaviours and attitudes toward diet can have a substantial impact on weight gain. Up to now, no study has prospectively evaluated eating behaviours in association with weight gain during pregnancy. Hence, the general aim of this study is to examine the association between eating behaviours, which include intuitive eating, and gestational weight gain during pregnancy. The main results show that most eating behaviours remained stable over the course of pregnancy and that intuitive eating may represent a promising approach to promote healthy weight gain. This master’s thesis contributes to the existing literature on the multiple factors associated with gestational weight gain. Eventually, the precise identification of all these elements will help elaborate intervention studies designed to optimize gestational weight gain.
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Étude des déterminants génétiques des comportements et des apports alimentaires associés à l'obésité

Choquette, Anne 19 April 2018 (has links)
L'obésité constitue un problème majeur de santé publique à l'échelle mondiale. L'obésité est influencée par plusieurs facteurs environnementaux et génétiques. Jusqu'à présent, la recherche a permis l'identification de plusieurs gènes et loci associés à l'obésité. Cependant, nos connaissances concernant les facteurs génétiques affectant les comportements et les apports alimentaires, ainsi que leur impact sur le développement de l'obésité, demeurent limitées. L'objectif général de cette thèse était d'étudier les déterminants génétiques des apports et des comportements alimentaires associés à l'obésité et de documenter leurs impacts chez les sujets de l'étude des familles de Québec. Différentes approches ont été utilisées afin de caractériser l'implication des facteurs génétiques sur les apports et les comportements alimentaires. Premièrement, un criblage génomique a été effectué sur l'apport énergétique total et les apports en macronutriments. Plusieurs régions chromosomiques ont été identifiées, incluant Ip35.3-p35.2, lp32.2, 3p25.2, 3q27.3, 5ql5 et 10pl5.3-pl4. Deuxièmement, plusieurs gènes candidats, sélectionnés pour leurs liens probables avec la régulation énergétique et l'obésité, ont été étudiés afin de vérifier leur association avec les apports et les comportements alimentaires. Deux polymorphismes du gène GAD2 ont été associés aux comportements alimentaires et aux apports alimentaires chez les femmes, de même qu'à un gain de poids supérieur sur une période de 6 ans. Le gène FTO a, quant à lui, été associé à l'adiposité, de même qu'aux apports et aux comportements alimentaires. Sélectionné suite à l'analyse d'un criblage génomique pour les comportements alimentaires, le gène OR7D4, a été associé à l'adiposité et à la restriction alimentaire. D'autres récepteurs olfactifs situés dans la même région ont également été associés aux comportements alimentaires et à l'adiposité. Finalement, nous avons entrepris l'interprétation d'un GWAS, pour lequel 44 variants et 29 régions chromosomiques ont été associés aux apports et aux comportements alimentaires. Les résultats des travaux présentés dans cette thèse suggèrent que plusieurs gènes candidats pour l'obésité influencent les apports et les comportements alimentaires chez les sujets de QFS. De plus, de nouveaux gènes et de nouvelles régions chromosomiques ont été identifiés. Finalement, l'implication des facteurs génétiques dans l'olfaction et leur impact sur les comportements et les apports alimentaires liés à l'obésité ont été soulignés.
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Sources alimentaires des matières grasses et des fibres dans les habitudes alimentaires des Canadiens-Français âgés de 19 à 49 ans vivant à Montréal

Mush'Ayuma, Innocent 10 1900 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Une étude alimentaire menée en 1996 sur 614 Canadiens-Français adultes vivant à Montréal ayant rempli un journal alimentaire de 7 jours dans le contexte d'une enquête portant sur les habitudes alimentaires de 1450 personnes a révélé des niveaux élevés en matières grasses et faibles en fibres. Ces résultats ne rencontraient pas les recommandations nutritionnelles émises par Santé Canada. Suite à ces constatations, une étude fut planifiée afin d'expliquer les niveaux élevés en matières grasses et faibles en fibres chez un sous-échantillon des participants issus de l'étude de référence. L'objectif de la présente étude est d'identifier les sources alimentaires de ces deux composants nutritionnels chez les personnes âgées de 19-49 ans et de mesurer leur fréquence de consommation de 7 jours consécutifs en fonction des caractéristiques socio-démographiques. Le choix de cette tranche d'âge s'explique par le risque de déséquilibres alimentaires des jeunes adultes et la survenue des maladies cardio-vasculaires chez les plus âgés de cet échantillon. Pour examiner les sources alimentaires en matières grasses et en fibres, une analyse descriptive sur la banque de données issues de l'enquête sur les habitudes alimentaires des 360 Canadiens-Français âgés de 19-49 ans vivant à Montréal a permis d'apprécier davantage leur alimentation habituelle en qualité (sources en matières grasses et en fibres) et en quantité (en nombre de fois) consommées. Pour ce faire, tous les aliments ont été classifies selon leur regroupement alimentaire, rendant ainsi les données alimentaires utilisables lors des analyses statistiques. Pour mieux comprendre quels facteurs avaient une influence sur la prise alimentaire, des analyses de variance ont été effectuées. Ces analyses ont fait ressortir des différences dans la fréquence de consommation des groupes alimentaires sources des matières grasses et des fibres en semaine et fin de semaine, selon certaines caractéristiques socio-démographiques, notamment, la scolarité et le revenu. En ce qui concerne la source en matières grasses, on note que les femmes de 35-49 ans consommaient plus les viandes que les hommes du même âge (1,43 fois par jour, p<0,001) et le lait et produits dérivés par rapport à d'autres femmes moins âgées (1,42 fois par jour, p=0,014). Les hommes d'un niveau d'études collégiales mangeaient plus de poissons et fruits de mer que les femmes, plus en semaine qu'en fin de semaine (1,63 fois par jour, p=0,020). Cependant, les sujets qui n'avaient complété que le niveau d'études primaires ont consommé plus les œufs que ceux d'un niveau d'études collégiales (2 fois par jour, p=0,001). Aucune autre différence significative n'a été trouvée parmi les groupes fournissant les matières grasses. Quant à l'apport en fibres, ce sont les participants plus scolarisés, ayant fait des études universitaires, âgés de 25-34 ans qui marquent une différence de fréquence de consommation des fruits et jus de fruits par rapport à ceux qui avaient complété les niveaux d'études secondaires (1,63 fois par jour, p=0,001) et primaires (3,2 fois par jour, p=0,002). Les femmes âgées de 35-49 ans ont consommé les grains céréaliers plus que les hommes du même âge (1,25 fois par jour, p=0,003). On n'a relevé aucune autre différence significative dans les groupes alimentaires sources en fibres. Ces nouvelles informations pourraient clarifier les sources et expliquer les niveaux élevés en matières grasses et faibles en fibres observés dans l'étude de référence. Ainsi, les résultats de cette étude augmentent nos connaissances sur les facteurs influençant la consommation des matières grasses et des fibres, indispensables aux professionnels de la santé, épidémiologistes et autres décideurs en matière de santé publique pour une action préventive ou éducationnelle au bénéfice de cette population spécifique. Ces actions préventives et éducationnelles viseraient à réduire les déséquilibres alimentaires et la survenue des maladies cardio-vasculaires ou chroniques liées à la nutrition des adultes âgés de 19-49 ans.
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Est-ce toujours pertinent de recommander une faible consommation de gras saturés?

Harrison, Stéphanie 13 December 2023 (has links)
Depuis plusieurs décennies, les lignes directrices en matière d'alimentation incluent la recommandation de limiter la consommation de gras saturés (AGS). Cette recommandation serait largement basée sur les associations observées entre la consommation d'AGS et une augmentation de la concentration sanguine de cholestérol sur les lipoprotéines de faible densité, un facteur de risque des maladies cardiovasculaires (MCV). Pourtant, les changements au profil lipidique observés suite à la consommation d'AGS ne se traduiraient pas systématiquement en un risque plus élevé de MCV selon la littérature actuelle. Plusieurs chercheurs soulignent également l'importance de la source alimentaire d'AGS dans la relation entre les AGS et la santé, de même que l'importance du nutriment qui sera consommé en remplacement des AGS dans cette même relation. En ce sens, la recommandation de limiter la consommation d'AGS autant que possible est actuellement remise en question par plusieurs experts : est-ce toujours pertinent de recommander une faible consommation d'AGS ? L'objectif général de ce doctorat était d'offrir des pistes de réflexion par rapport à la pertinence de la recommandation de limiter l'apport en AGS actuellement incluse dans les lignes directrices en matière d'alimentation. Plus précisément, nous avons évalué l'apport en AGS actuel des adultes Canadiens, l'impact théorique de l'adhésion à certaines recommandations spécifiques aux AGS du Guide alimentaire canadien (GAC) de 2019 par tous les Canadiens sur leurs apports nutritionnels et les associations entre les AGS de différentes sources alimentaires et la qualité globale de l'alimentation. Ces analyses ont été réalisées dans l'échantillon représentatif des Canadiens du volet nutrition de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2015. L'objectif secondaire de ce doctorat était de mesurer la santé cardiovasculaire des Québécois, avec une attention particulière sur le rôle de l'alimentation dans l'atteinte d'une bonne santé cardiovasculaire. Pour ce faire, nous avons utilisé le score Life's Simple 7 développé par l'American Heart Association (AHA) dans un échantillon d'adultes québécois parlant le français. Les résultats de ce projet ont permis d'observer que les aliments qui ne sont pas recommandés dans le GAC sont les principaux contributeurs à l'apport en AGS des adultes canadiens, qui est au-delà de la limite actuellement recommandée. Selon nos observations, l'adhésion à la recommandation de remplacer les aliments contenant des AGS par des aliments contenant de bons gras permettrait une réduction importante des apports en AGS au Canada, surtout lorsque cette recommandation est appliquée dans le groupe des aliments non-recommandés dans le GAC. Les AGS provenant des aliments de faible valeur nutritive ont également été inversement associés à la qualité globale de l'alimentation, même si l'indice utilisé pour la mesurer ne considère pas la consommation d'AGS en soi. Enfin, les résultats de ce projet ont permis d'identifier que très peu d'adultes québécois parlant le français ont une alimentation considérée comme cardio-protectrice, selon les critères de l'AHA. En somme, dans leur ensemble, les résultats de ce projet de doctorat suggèrent le potentiel effet bénéfique que pourrait avoir la promotion d'aliments entiers et peu transformés recommandés dans le GAC sur la santé cardiovasculaire et les apports nutritionnels au Québec et au Canada, au-delà de la consommation d'AGS. / The recommendation to limit the consumption of saturated fats (SFA) has been included in most dietary guidelines for decades. This recommendation is mostly based on the associations observed between SFA consumption and increased blood low-density lipoprotein cholesterol concentrations, which is considered a risk factor for cardiovascular diseases (CVD). However, the changes observed in the lipid profile following SFA consumption do not systematically involve an increased CVD risk based on current literature. Numerous researchers underline the importance of dietary sources of SFA in the relationship between SFA and health, as well as the importance of the nutrient that will be consumed in replacement of SFA in this same relationship. Accordingly, the recommendation to limit SFA intakes as much as possible is questioned by multiple experts: is it still relevant to recommend low SFA intakes? The general objective of this thesis was to offer some lines of thought regarding the relevance of the recommendation to limit SFA intakes presently included in dietary guidelines. More specifically, we evaluated the current SFA intakes of Canadian adults, the theoretical impact of the adherence to SFA-specific recommendations included in the 2019 Canada's Food Guide (CFG) by all Canadians on their dietary intakes and the associations between SFA from different food sources and overall diet quality. The secondary objective of this thesis was to measure the cardiovascular health of Quebecers, with a focus on the role of diet in the achievement of good cardiovascular health. In order to do so, we used the American Heart Association's (AHA's) "Life's Simple 7" score in a sample of French-speaking adults from the Province of Québec. The results of this project showed that food that are not recommended in the 2019 CFG are the main contributors to the SFA intakes of Canadian adults, which are above the currently recommended limit. Based on our observations, the adherence to the recommendation to replace foods that contain SFA with foods containing healthy fats would lead to important reductions in SFA intakes in Canada, mostly when this recommendation is applied to foods that are not recommended in the 2019 CFG. Moreover, SFA from foods of low nutritive value were inversely associated with overall diet quality, even if the index used to measure diet quality did not consider SFA per se. Finally, our analyses show that very few French-speaking adults from Québec have a diet that is considered cardioprotective, based on AHA's criteria. Al together, the results of this project suggest that the promotion of whole and minimally processed foods that are recommended in the 2019 CFG could potentially be beneficial for cardiovascular health and dietary intakes in Québec and Canada, beyond SFA consumption.
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Traduction et validation du Child Three-Factor Eating Questionnaire (CTFEQr17) chez des enfants et adolescents québécois âgés de 8 à 15 ans

Frappier, Isabelle 27 January 2024 (has links)
L’évaluation des comportements alimentaires représente un aspect essentiel du traitement et de la prévention de l’obésité infantile. Il n’existe toutefois pas de questionnaire auto-rapporté permettant d’évaluer les comportements alimentaires à risque des enfants et adolescents québécois. L’objectif du projet de maîtrise présenté dans le cadre de ce mémoire était de traduire et valider la version française du Child Three-Factor Eating Questionnaire (CTFEQ),mesurant les comportements alimentaires de restriction cognitive, de perte de contrôle alimentaire et d’alimentation émotionnelle, auprès d’enfants et adolescents québécois. Cent quarante-cinq participants de huit à quinze ans ont complété trois questionnaires dont le CTFEQ, un questionnaire sociodémographique ainsi qu’un questionnaire mesurant la présence de symptômes associés aux troubles du comportement alimentaire. La prise de mesures anthropométriques a également été effectuée et les participants ont complété un rappel alimentaire de 24 heures permettant d’évaluer les apports alimentaires et la qualité de l’alimentation. Le CTFEQ a été administré une seconde fois après deux à quatre semaines, afin d’en évaluer la reproductibilité. Les résultats de validation ont permis l’obtention d’un questionnaire possédant une structure factorielle, une cohérence interne ainsi qu’une reproductibilité adéquates. Une association positive a été observée entre la perte de contrôle alimentaire et l’alimentation émotionnelle. Ces deux comportements alimentaires ont été négativement associés à l’indice de masse corporelle des jeunes. La restriction cognitive a été positivement corrélée à la présence de symptômes associés aux troubles du comportement alimentaire, à la proportion de l’apport énergétique dérivé des protéines et à la qualité de l’alimentation. Ces résultats suggèrent que le CTFEQ est valide et pourra être utilisé auprès des enfants et adolescents québécois afin de mesurer les comportements alimentaires associés à la problématique d’obésité infantile. / Assessment of eating behaviours represents an important aspect in the treatment and prevention of childhood obesity. However, there are no self-reported questionnaires measuring the eating behaviours of Quebec children and adolescents. The objective of the master's project presented as part of this thesis was to translate and validate the French version of the Child Three-Factor Eating Questionnaire (CTFEQ), measuring eating behaviour traits of cognitive restraint, uncontrolled eating and emotional eating, among Quebec children and adolescents. One hundred and forty-five participants aged eight to fifteen years old completed three questionnaires including the CTFEQ, a socio-demographic questionnaire and a questionnaire measuring the presence of symptoms associated witheating disorders. Anthropometric measurements were also assessed, and participants completed a 24-hour dietary recall to assess diet intake and quality. The CTFEQ was administered a second time after two to four weeks to assess its reproducibility. The validation results led to obtaining a questionnaire comprising an adequate factor structure,internal consistency as well as reproducibility. A positive association has been observed between uncontrolled eating and emotional eating. Both of these eating behaviours have been negatively associated with body mass index. Cognitive restraint was positively correlated with the presence of symptoms associated with eating disorders, the proportion of energy intake derived from protein, and diet quality. These results suggest that the CTFEQ is validand can be used among French speaking Canadian children and adolescents to measure eating behaviors associated with childhood obesity.
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Interrelations entre les différents indices d'adiposité et le tissu adipeux viscéral à la suite d'un programme de modification des habitudes alimentaires et d'activité physique chez des hommes dyslipidémiques avec obésité abdominale

Villeneuve, Nicole 19 April 2018 (has links)
L'obésité est un fléau mondial. Il est démontré que le tissu adipeux abdominal viscéral (TAV) est plus néfaste à la santé que l'accumulation de tissu adipeux abdominal sous-cutané (TASC). Les recherches étudiant la réponse des différents compartiments adipeux à la suite d'une modification des habitudes de vie chez l'homme sédentaire sont presque inexistantes. Le présent ouvrage a pour objectif d'étudier les interrelations entre différents indices du tissu adipeux à la suite de l'amélioration des habitudes de vie pendant une année chez des hommes présentant une obésité abdominale. En réponse à l'intervention, contrairement à la mesure du tour de taille, la mesure des plis cutanés prédisait faiblement les variations dans la réponse du TAV ainsi que du TASC. Par conséquence, la pertinence clinique de la mesure des plis adipeux est donc remise en question. Notre étude ne suggère pas que le TASC profond et le TAV auraient le même comportement à la suite d'une perte de poids induite par un programme d'amélioration des habitudes de vie.
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Développement et évaluation d'outils de promotion de la saine alimentation axés sur le plaisir ou sur la santé

Vaillancourt, Caroline 07 June 2018 (has links)
Les initiatives actuelles de promotion de la saine alimentation fondées essentiellement sur une approche cognitive qui valorise les bénéfices pour la santé et le poids de la consommation d’aliments sains demeurent généralement inefficaces tel que démontré par la difficulté des individus à adhérer aux recommandations alimentaires. Il est donc impératif de revoir les stratégies utilisées actuellement afin d’accroître la qualité de l’alimentation de la population. De récentes études ont laissé entrevoir le potentiel d’une approche axée sur le plaisir alimentaire pour encourager les choix alimentaires sains. Toutefois, encore peu d’études ont porté sur le sujet et poursuivre la recherche sur l’effet d’une telle approche sur les choix et les comportements alimentaires demeure essentiel. Le projet de recherche effectué dans le cadre de ce mémoire visait donc, dans un premier temps, à développer deux versions d’un outil de promotion de la saine alimentation, soit une version axée sur le plaisir de manger sainement et une version traditionnelle axée sur les attributs santé des aliments sains et, dans un deuxième temps, à comparer la perception d’adultes canadiens-français (N=100) de ces deux approches et évaluer leurs effets potentiels sur l’adoption d’une saine alimentation. Les résultats indiquent que ces deux versions sont perçues comme véhiculant deux approches distinctes et que la version « plaisir » du dépliant est en mesure d’induire la perception selon laquelle bien manger peut être plaisant. Cette version est également susceptible de susciter un changement de comportement par l’amélioration de l’attitude affective envers la saine alimentation et de l’intention de manger sainement. Ces outils pourront donc servir dans de futures études d’intervention visant à explorer le potentiel d’une approche axée sur plaisir de manger pour encourager les saines habitudes alimentaires au sein de la population. / Existing initiatives to promote healthy eating based primarily on a cognitive approach emphasizing the benefits on health and weight of consuming nutritious foods remain largely ineffective as individuals struggle to adhere to dietary recommendations. It is therefore of significant importance to challenge and review the strategies currently used to increase the quality of the population’s diet. Recent studies have indicated the potential of an approach oriented towards eating pleasure to promote the consumption of healthy foods. However, few studies have examined this topic and further investigation on the effect of such an approach on eating choices and behaviours is needed. The research project carried out as part of this thesis aimed, as a first step, at developing two versions of a healthy eating promotion tool, i.e. a version focusing on the pleasure of eating healthily and a traditional version focusing on health attributes of healthy foods. Secondly, it aimed at comparing perceptions of Canadian adults towards these two approaches (a pleasure vs. a health perspective) and to evaluate their potential effects on the adoption of healthy eating. The results showed that these two versions are perceived as conveying two distinct approaches, and that the “pleasure” version of the tool is capable of inducing the perception that eating healthy can be pleasurable and is likely to trigger behavioural changes through improved affective attitude towards healthy eating and intention to eat healthily. These tools could therefore be used in future intervention studies aiming to explore the potential of an eating pleasure-oriented approach to encourage healthy eating habits of the population
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Habitudes alimentaires et risque cardiométabolique au cours d'une année universitaire

Bernier-Bergeron, Frédérique 22 November 2018 (has links)
Protocole d'entente entre l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi / Les mauvaises habitudes de vie sont associées à une augmentation du risque de développer des problèmes d'obésité, un diabète de type 2 et des maladies cardiovasculaires. Or, la première année universitaire est reconnue comme une période critique quant aux habitudes de vie. De nombreuses études ont observé un gain de poids au cours de cette période, ce qui pourrait avoir un impact négatif sur le profil de risque cardiométabolique des jeunes adultes. L'objectif de la présente étude était de décrire les changements dans les données anthropométriques, le profil lipidique, la condition physique et les habitudes alimentaires des étudiants durant une année universitaire. Au total, 50 étudiants ont participé à l'étude. Toutes les mesures ont été faites au début et à la fin de l'année scolaire. Les apports alimentaires ont été évalués à l'aide du FFQ-WEB, un questionnaire en ligne autoadministré de fréquence alimentaire. Une augmentation significative de la circonférence de taille a été observée chez les hommes et les femmes, tandis que l'indice de masse corporelle et le poids n'ont augmenté significativement que chez les hommes. Il n'y a eu aucun changement significatif dans la condition physique, ni dans les apports en macronutriments. Toutefois, la consommation de légumes et de fruits a diminué. Le cholestérol total, le cholestérol LDL et le cholestérol HDL, ainsi que l'apolipoprotéine B, ont augmenté de manière significative chez les hommes. Chez les femmes, le cholestérol HDL et l'apolipoprotéine B ont augmenté significativement, alors que les concentrations de cholestérol HDL ont diminuées. En conclusion, cette étude confirme que la transition vers l'université pourrait être associée à une détérioration du profil de risque cardiométabolique et des habitudes alimentaires. Des interventions ciblées devraient être développées pour aider les étudiants universitaires à atteindre ou à maintenir un mode de vie sain pendant cette période de leur vie. / Unhealthy lifestyle is associated with an increased risk of developing obesity, type 2 diabetes and cardiovascular disease. The transition to university is associated with deterioration in lifestyle and many studies observed a weight gain during this critical period. This could have a negative impact on the cardiometabolic risk profile of young adults. The objective of this study was to describe changes in anthropometric measurements, metabolic profile, physical fitness and food intakes of students during one academic year. A total of 50 university students were involved in this study. All measurements were made at the beginning and at the end of the school year. Food intakes were assessed using the FFQ-WEB, an online self-administered quantitative food frequency questionnaire. Our results showed a significant increase in waist circumference in both men and women, while body mass index and weight were significantly increased in men. There was no significant change in physical fitness, nor in macronutrient intakes. However, vegetables and fruits consumption decreased. Total, LDL and HDL cholesterol, as well as apolipoprotein B, increased significantly in men. In women, HDL cholesterol and apolipoprotein B increased significantly, while the total/HDL cholesterol ratio decreased. In conclusion, this study confirms that transition to university could be associated with deterioration in metabolic profile and eating habits. Targeted interventions should be developed to help university students achieve or maintain a healthy lifestyle, including diet, during this period.
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Étude des impacts de la pandémie COVID-19 sur les habitudes alimentaires des Québécois

Lancup-Gauthier, Alexandra 26 March 2024 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles. / La situation de pandémie COVID-19 et les mesures sanitaires qui en découlent ont grandement affecté la population québécoise depuis mars 2020. Plusieurs sphères de la vie des Québécois ont été bouleversées, incluant leurs habitudes alimentaires. Plusieurs études ont évalué les impacts à court terme, soit pendant la première période de confinement, de la pandémie COVID-19 sur l'alimentation. Généralement, une amélioration de la qualité alimentaire semble être observée par la majorité des études. Toutefois, les impacts à plus long terme de la pandémie sur l'alimentation sont peu étudiés. De plus, les seules études disponibles sur le sujet fournissent des données limitées par le fait qu'elles ont été obtenues de manière rétrospective et qu'elles sont basées sur des perceptions de changement. Il s'avère essentiel de documenter les impacts à plus long terme de la pandémie afin de mieux comprendre et de mieux agir sur les comportements individuels, sociaux et environnementaux qui influencent les choix alimentaires de la population dans ce contexte sanitaire inédit et dans de futurs contextes similaires. L'objectif de ce projet de maitrise est d'évaluer les impacts de la pandémie COVID-19 et des mesures sanitaires qui y en découlent sur les habitudes alimentaires au Québec. Plus spécifiquement, nous documenterons les changements dans la qualité de l'alimentation telle que mesurée par le Healthy Eating Food Index (HEFI)-2019 dans un échantillon de plus de 4000 Québécois participant au projet NutriQuébec entre juin 2019 et février 2022. Les changements dans la consommation de certaines catégories d'aliments comme les légumes et fruits, les produits à grains entiers, et les aliments ne faisant pas partie des catégories recommandées dans le Guide alimentaire canadien 2019 seront également documentés. Les résultats montrent que dans cette population, le score HEFI-2019 moyen avant la pandémie, c'est-à-dire avant le 12 mars 2020, était de 48,3 (IC (intervalle de confiance) à 95% 46,8 à 49,8) sur un maximum de 80 points. Le score HEFI-2019 moyen est resté inchangé durant la première année de la pandémie (mars 2020 à février 2021), mais a diminué de 1,4 point (IC à 95% -2,4 à -0,4) au cours de la deuxième année de la pandémie (mars 2021 à février 2022). La légère diminution du score HEFI-2019 au cours de la deuxième année de la pandémie a été observée en raison des changements dans les scores des composantes des légumes et fruits (-0,5 point; IC 95% -1,0 à -0,1), des aliments protéinés (-0,1 point; IC 95% -0,2 à -0,0) et du sodium (-0,3 point; IC 95% -0,6 à 0,0). Malgré une faible diminution de la qualité alimentaire, la pandémie COVID-19 apparait comme un nouvel obstacle à une saine alimentation. / The COVID-19 pandemic situation and the resulting health measures have greatly affected the Quebec population since March 2020. Several spheres of Quebecers' lives have been turned upside down, including their eating habits. Several studies have evaluated the short-term impacts of the COVID-19 pandemic on diet during the first lockdown period. Generally, an improvement in food quality seems to be observed by many studies. However, the longer-term impacts of the pandemic on diet quality are poorly studied. In addition, the few studies available on the topic provide data that are limited by the fact that they were obtained in a cross-sectional, retrospective design and based on perceptions of change. It is essential to document the longer-term impacts of the pandemic to better understand and act on the individual, social and environmental behaviours that influence people's food choices in this unprecedented health context. The objective of this master's project was to evaluate the impacts of the COVID-19 pandemic and the resulting health measures on eating habits in the province of Quebec. More specifically, we will document changes in diet quality as measured by the Healthy Eating Food Index (HEFI)-2019 in a sample of over 4000 Quebecers participating in the NutriQuébec project between June 2019 and February 2022. Changes in the consumption of certain food categories such as vegetables and fruits, whole grain products, and foods not included in the categories recommended in Canada's Food Guide 2019 will also be documented. In this population, the mean HEFI-2019 score before the pandemic (before March 12, 2020) was 48.3 (95% CI 46.8 to 49.8) out of a maximum of 80 points. The mean HEFI-2019 score remained unchanged during the first year of the pandemic (March 2020 to February 2021), but decreased by 1.4 points (95% CI -2.4 to -0.4) during the second year of the pandemic (March 2021 to February 2022). The slight decrease in HEFI-2019 score during the second year of the pandemic was mainly due to changes in the component scores for vegetables and fruits (-0.5 points, 95% CI -1.0 to -0.1), protein foods (-0.1 points, 95% CI -0.2 to -0.0), and sodium (-0.3 points, 95% CI -0.6 to 0.0). Despite a small decrease in food quality, the COVID-19 pandemic appears to be a new barrier to healthy eating.
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Manger avec sa tête ou selon ses sens : perceptions et comportements alimentaires

Gravel, Karine 19 April 2018 (has links)
Alors que la prévalence de l’obésité a augmenté dans la population, l’idéalisation de la minceur peut mener à une préoccupation excessive à l’égard du poids corporel. Le contrôle du poids est une pratique fréquente, surtout auprès des femmes. Même si une faible perte de poids a des effets positifs à court terme sur les maladies chroniques associées à l’obésité, le succès à long terme des diètes amaigrissantes est négligeable. Perdre du poids est loin d’être banal, puisque certaines adaptations physiologiques peuvent se manifester et persister pour ramener le corps à son poids initial. Au niveau psychologique, les personnes qui limitent volontairement leur prise alimentaire peuvent notamment ressentir un sentiment de privation lié à la restriction cognitive, c’est-à-dire manger moins que ce qui est souhaité ou se priver de manger les aliments souhaités. Les diètes amaigrissantes et l’approche restrictive pour perdre du poids montrent des limites et ce constat amène à envisager des solutions de rechange efficaces à long terme. C’est dans ce contexte que s’inscrivent les travaux présentés dans cette thèse, qui tentent de répondre à cette problématique, via : 1) une étude expérimentale auprès de 352 hommes et femmes; et 2) un essai clinique randomisé auprès de 50 femmes restreintes. La première étude qui réfère aux perceptions cognitives des aliments, a évalué l’effet des allégations nutritionnelles verbales sur les perceptions d’un aliment et sur la prise alimentaire, de même que l'influence du genre, du poids corporel et de la restriction cognitive sur ces variables. Les résultats ont montré que les allégations nutritionnelles ont influencé les perceptions « santé » et « engraissante » d’un aliment, sans modifier les comportements mesurés par la prise alimentaire. La deuxième étude qui réfère aux perceptions sensorielles des aliments, a évalué les effets d’une intervention sensorielle sur les attitudes et les comportements alimentaires, la confiance en ses signaux de faim et de satiété, de même que le nombre et le type de mots utilisés pour décrire un aliment. Les résultats ont montré que l’intervention sensorielle a amélioré certains comportements et attitudes liés aux aliments et à l’acte alimentaire, sans exacerber d’autres comportements non souhaitables comme la restriction cognitive. L’intervention sensorielle a aussi aidé les femmes restreintes à être plus objectives à propos des aliments, ce qui pourrait faciliter une alimentation plus intuitive. Les résultats de ces travaux suggèrent que la dimension cognitive de l’alimentation ne devrait pas être surévaluée au détriment de la dimension sensorielle. / While the prevalence of obesity has increased in the population, the thin-idealization can lead to concerns about body weight. Dieting is a common practice, especially among women. Even if a small weight loss has positive effects in the short term on obesity-related problems, success of energy-restricted diets is negligible over the long term. Losing weight is not without consequence, since some physiological adaptations can occur and persist over time, and may promote weight regain after diet-induced weight loss. One psychological consequence of dieting may be described as the perceived deprivation related to cognitive restraint, i.e. feeling of not eating what or as much as one would like. Energy-restricted diet and restrictive approach to lose weight show limits and this fact leads to consider effective alternatives in the long term. It is in this context that the work of the present thesis has been conducted, through: 1) an experimental study among 352 men and women; and 2) a randomized clinical trial among 50 restrained women. The first study focused on the cognitive perceptions of foods and the purposes were to investigate the impact of nutrition claims on food perceptions and intake, as well as the influence of gender, body weight and the level of restrained eating on these variables. The results showed that nutrition claims were effective in changing perceived “healthiness” and “fatteningness” of a food, but these changes in perceptions did not translate into a change in the food behaviors, as measured by food intake. The second study focused on the sensory perceptions of food and the purposes were to investigate whether a sensory-based intervention can influence eating-related attitudes and behaviors, reliance on physical signals for hunger and satiety, as well as the number and the type of terms used to describe a food. The results have shown that the sensory intervention has improved some eating-related attitudes and behaviors, without exacerbating other undesirable behaviors such as restrained eating. Then, the sensory-based intervention has also helped restrained women to be more objective about food, which may facilitate a more intuitive approach to eating. The results of this work suggest that the cognitive dimension of food should not be overrated at the expense of the sensory dimension.

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