• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • 1
  • Tagged with
  • 5
  • 5
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

"Entre-tenir la montagne" : paysage et ethnogéographie du travail des éleveurs en montagne pyrénéenne : hautes vallées du Gave de Pau, de Campan et d'Oueil-Larboust

Henry, Dominique 27 September 2012 (has links) (PDF)
La notion "d'entre-tenir la montagne" est au cœur de cette thèse. Celle-ci tente de montrer comment les éleveurs ont réagi et ont adapté leurs façons de travailler, de penser et d'organiser le territoire pastoral face à la crise sociale et paysagère qui affecte les Pyrénées, en particulier depuis les années 1970. Trois vallées forment le cadre d'une analyse comparée : la vallée d'Oueil-Larboust (31), la valée de Campan (65) et la haute vallée du Gave de Pau (65). Les modalités de "l'entre-tenir la montagne" sont abordées à partir de trois entrées : (1) spatiale à l'échelle des terroirs et de la vallée, (2) une entrée temporelle entre le maintenu et l'abandonné, et (3) une entrée sociale au sens des modes d'organisation collective. la démarche d'ethnogéographie élaborée repose sur la combinaison d'une analyse spatiale in-situ des paysages, d'une analyse diachronique des évolutions paysagères à partir de photo-comparaisons et d'une enquête sociale auprès d'éleveurs pour récolter le témoignage de leurs pratiques et de leurs perceptions.Les principaux résultats montrent que les changements paysagers sont notamment à mettre en lien avec les modifications des pratiques et/ou avec l'existence de projets individuels ou collectifs, dans lesquels la préoccupation paysagère de "l'entre-tenir" est présente de façon de plus en plus explicite. Ce constat apporte un éclairage innovant sur les pratiques de l'agriculture de montagne et sur la place du paysage au sein de celles-ci. Il éclaire la capacité des groupes sociaux à prendre en charge la gestion de leur territoire et ouvre de nouvelles perspectives pour repenser l'avenir des paysages montagnards.
2

"Entre-tenir la montagne" : paysage et ethnogéographie du travail des éleveurs en montagne pyrénéenne : hautes vallées du Gave de Pau, de Campan et d'Oueil-Larboust / Entre-tenir the mountains : landscape and ethnogeography of the work of breeders in the Pyrenean mountains : high valleys of the Gave de Pau, Campan and Oueil-Larboust

Henry, Dominique 27 September 2012 (has links)
La notion "d'entre-tenir la montagne" est au cœur de cette thèse. Celle-ci tente de montrer comment les éleveurs ont réagi et ont adapté leurs façons de travailler, de penser et d'organiser le territoire pastoral face à la crise sociale et paysagère qui affecte les Pyrénées, en particulier depuis les années 1970. Trois vallées forment le cadre d'une analyse comparée : la vallée d'Oueil-Larboust (31), la valée de Campan (65) et la haute vallée du Gave de Pau (65). Les modalités de "l'entre-tenir la montagne" sont abordées à partir de trois entrées : (1) spatiale à l'échelle des terroirs et de la vallée, (2) une entrée temporelle entre le maintenu et l'abandonné, et (3) une entrée sociale au sens des modes d'organisation collective. la démarche d'ethnogéographie élaborée repose sur la combinaison d'une analyse spatiale in-situ des paysages, d'une analyse diachronique des évolutions paysagères à partir de photo-comparaisons et d'une enquête sociale auprès d'éleveurs pour récolter le témoignage de leurs pratiques et de leurs perceptions.Les principaux résultats montrent que les changements paysagers sont notamment à mettre en lien avec les modifications des pratiques et/ou avec l'existence de projets individuels ou collectifs, dans lesquels la préoccupation paysagère de "l'entre-tenir" est présente de façon de plus en plus explicite. Ce constat apporte un éclairage innovant sur les pratiques de l'agriculture de montagne et sur la place du paysage au sein de celles-ci. Il éclaire la capacité des groupes sociaux à prendre en charge la gestion de leur territoire et ouvre de nouvelles perspectives pour repenser l'avenir des paysages montagnards. / The concept of "entre-tenir" the mountains is at the heart of this thesis. This research attemps to show how farmers have reacted and adapted their ways of working, thinking and organizing the pastoral territory facing the crisis affecting both the social and landscape aspects of the Pyrenees, particulary since the 1970s. Three valleys form the framework for a comparative analysis: the valley of Oueil-Larboust (31), the valley of Campan (65) and the upper valley of the Gave de Pau (65). The modalities of "entre-tenir" the mountains are discussed from three different perspectives: (1) a spatial perspective on a regional scale and that of the valley, (2) a temporal perspective between the maintened and the abandonned, and (3) a social perspective of modes of collective organization.The developed ethnogeographical approach is based on a combination of in situ spatial analysis of landscapes, a diachronic analysis of landscape changes from photo comparisons and a social survey among farmers to gather viewpoints of their practices and their perceptions.The main results show that the nuances in the landscape maintenance are particulary related to changes in practices and/or the existence of individual or group prjects, in which the landscapre concern of "entre-tenir" is present in the background, sometimes implicitly, but often more and more explicitly. This finding sheds light on innovative practices of mountain agriculture and the role of the landscape. It throws light on the ability of social groups to take responsability over the management of their territory and opens perspectives for the thinking about of the future of mountain landscapes.
3

L'évolution de la conception des espaces extérieurs hôteliers en Tunisie. Le cas de la région de Hammamet

Saidane, Ikram 01 July 2010 (has links) (PDF)
Ce sujet de recherche a pour objet d'études, les résidences hôtelières de la région de Hammamet créées de 1959 à 2009. Il a pour objet de vérifier l'hypothèse que la conception des hôtels a été tributaire de la nature de l'offre et de la demande touristiques et qu'elle a suivi une évolution parallèle à celle de leur relation fonctionnelle et spatiale avec l'arrière-pays. Ce travail s'attache à présenter les résultats issus de l'application d'une méthode d'analyse paysagère pour vérifier l'hypothèse de l'existence de trois modèles paysagers illustrant l'évolution de la conception des espaces extérieurs des hôtels de la région de Hammamet (Tunisie). La démarche suivie s'apparente à un processus correspondant aux trois stades d'approche du paysage où il s'agit de lire (l'ensemble des caractéristiques formelles), de comprendre ( élaboration du modèle paysager) et d'expliquer (par le contexte politique, socio-économique qui lui a donné naissance). Elle a permis de mettre en évidence trois modèles paysagers reflétant l'évolution du paysage touristique du littoral tunisien. Il s'agit du modèle vernaculaire, du modèle international et du modèle néo-vernaculaire définissant trois périodes historiques. La première période historique est ainsi illustrée par des unités hôtelières, inscrites avec beaucoup d'égards à leur site d'accueil reproduisant l'architecture et l'organisation spatiale des résidences de villégiature et des maisons de Hammamet. Dans la deuxième période historique, ont été instaurés des hôtels indifférents à leur territoire d'accueil. La troisième période a été marquée par des unités hôtelières qui mettent en exergue une originalité inspirée du modèle vernaculaire et qui renouent de la sorte avec les formes paysagères locales.
4

Caractérisation des zones et périodes à risque de la Fièvre de la Vallée du Rift au Sénégal par télédétection et modélisation éco-épidémiologique

Soti, Valérie 04 April 2011 (has links) (PDF)
La Fièvre de la Vallée du Rift (FVR) est une zoonose observée pour la première fois au Kenya en 1930 qui s'est peu à peu propagée à la plupart des pays d'Afrique. La FVR est une maladie à transmission vectorielle dont le virus appartient au genre Phlebovirus de la famille des Bunyaviridæ. En Afrique de l'Est, l'émergence de foyers est prédite par des modèles statistiques, ce qui n'est pas le cas en Afrique de l'Ouest où les facteurs et les mécanismes en jeu sont encore mal définis. L'objectif de cette thèse est d'identifier les facteurs et les processus épidémiologiques expliquant l'émergence de foyers de FVR au Sénégal, en mettant en œuvre une approche éco-épidémiologique centrée sur les principaux moustiques vecteurs du virus. Par l'étude de variables environnementales et climatiques et par leur exploitation dans des modèles mathématiques, nous avons tenté de répondre à deux questions épidémiologiques majeures : (1) quelles sont les zones potentiellement à risque, et (2) quelles sont les périodes favorables à l'apparition de foyers. L'étude a été menée à l'échelle locale, dans une zone d'environ 10 km2 autour du village de Barkedji situé dans la région sylvo-pastorale du Ferlo.Pour localiser les zones à risque de transmission du virus, nous utilisons la télédétection et l'analyse paysagère afin de caractériser l'environnement favorable aux deux principaux candidats vecteurs du virus, Aedes vexans et Culex poicilipes. Pour identifier les périodes à risque, nous avons développé un modèle d'abondance de populations de moustique des deux espèces vectrices prenant en compte la dynamique des gîtes larvaires (les mares), et dont les simulations ont été validées avec des données de terrain de capture de moustiques. Pour se faire, nous avons dû préalablement développé un modèle dynamique de hauteur d'eau des mares temporaires, modèle calibré et validé à partir de données de terrain et de données d'observation de la Terre.Les résultats de l'analyse paysagère ont confirmé que les milieux favorables aux vecteurs de la maladie pouvaient être caractérisés par télédétection. Ils ont aussi mis en évidence l'importance des mares et de la densité de végétation environnante, et ont abouti à une cartographie de l'hétérogénéité spatiale du risque de circulation de la FVR. Les résultats de l'analyse temporelle ont montré que les années de circulation active du virus coïncidaient avec les années pour lesquelles les deux espèces de moustiques étaient présentes en forte quantité. On observe ainsi deux années à très forte densité des deux moustiques vecteurs, en 1987 et en 2003, correspondant aux années d'épidémie/épizootie les plus importantes dans la région.
5

Caractérisation des zones et périodes à risque de la Fièvre de la Vallée du Rift au Sénégal par télédétection et modélisation éco-épidémiologique

Soti, Valérie 04 April 2011 (has links)
La Fièvre de la Vallée du Rift (FVR) est une zoonose observée pour la première fois au Kenya en 1930 qui s'est peu à peu propagée à la plupart des pays d'Afrique. La FVR est une maladie à transmission vectorielle dont le virus appartient au genre Phlebovirus de la famille des Bunyaviridæ. En Afrique de l'Est, l'émergence de foyers est prédite par des modèles statistiques, ce qui n'est pas le cas en Afrique de l'Ouest où les facteurs et les mécanismes en jeu sont encore mal définis. L'objectif de cette thèse est d'identifier les facteurs et les processus épidémiologiques expliquant l'émergence de foyers de FVR au Sénégal, en mettant en œuvre une approche éco-épidémiologique centrée sur les principaux moustiques vecteurs du virus. Par l'étude de variables environnementales et climatiques et par leur exploitation dans des modèles mathématiques, nous avons tenté de répondre à deux questions épidémiologiques majeures : (1) quelles sont les zones potentiellement à risque, et (2) quelles sont les périodes favorables à l'apparition de foyers. L'étude a été menée à l'échelle locale, dans une zone d'environ 10 km2 autour du village de Barkedji situé dans la région sylvo-pastorale du Ferlo.Pour localiser les zones à risque de transmission du virus, nous utilisons la télédétection et l'analyse paysagère afin de caractériser l'environnement favorable aux deux principaux candidats vecteurs du virus, Aedes vexans et Culex poicilipes. Pour identifier les périodes à risque, nous avons développé un modèle d'abondance de populations de moustique des deux espèces vectrices prenant en compte la dynamique des gîtes larvaires (les mares), et dont les simulations ont été validées avec des données de terrain de capture de moustiques. Pour se faire, nous avons dû préalablement développé un modèle dynamique de hauteur d'eau des mares temporaires, modèle calibré et validé à partir de données de terrain et de données d'observation de la Terre.Les résultats de l'analyse paysagère ont confirmé que les milieux favorables aux vecteurs de la maladie pouvaient être caractérisés par télédétection. Ils ont aussi mis en évidence l'importance des mares et de la densité de végétation environnante, et ont abouti à une cartographie de l'hétérogénéité spatiale du risque de circulation de la FVR. Les résultats de l'analyse temporelle ont montré que les années de circulation active du virus coïncidaient avec les années pour lesquelles les deux espèces de moustiques étaient présentes en forte quantité. On observe ainsi deux années à très forte densité des deux moustiques vecteurs, en 1987 et en 2003, correspondant aux années d'épidémie/épizootie les plus importantes dans la région. / The Rift Valley fever (RVF) is an arboviral zoonosis, first identified in Kenya in 1930, which has spread over many African countries. The RVF virus (RVFV) is a mosquito-borne virus member of the family Bunyaviridae, genus Phlebovirus. Statistical models that are used for predicting RVF outbreaks in East Africa do not work in West Africa where the factors and processes involved are still not well described. The aim of this thesis is to identify the factors and epidemiological processes that explain the emergence of RFV outbreaks in Senegal. To achieve that, we have chosen an eco-epidemiological approach targeted on the main candidate mosquito vectors of the RFV virus. By using the environmental and climatic variables and by their exploitation in mathematical models, we tried to answer two major epidemiological questions: (1) where are the potential zones at risk? And, (2) when are the periods favourable to RFV outbreaks?The study has been carried out at a local scale, in an area of about 10 km2 centred on the village of Barkedji in the pastoral Ferlo region in northern Senegal.When identifying risk areas for virus transmission, we used remote sensing and landscape analysis to characterize favourable environments fot the two main candidate vectors, Aedes vexans and Culex poicilipes (Diptera: Culicidae). For predicting risk of RVF outbreaks, we developed a mosquito population model for the two vector species taking into account the dynamics of the ponds as breeding sites. The results of the simulation have been validated with captured mosquito field data. This required the prior development of a temporary pond dynamics model that was calibrated and validated with field and remote sensing data.The results of the landscape analysis confirmed that favourable environments for the mosquito vectors of the RVF could be characterised by remote sensing. The importance of the ponds and the surrounding vegetation density was also highlighted, allowing to map the spatial heterogeneity of RVF circulation risk. The results of the mosquito model simulations showed that years of active virus circulation matched the years when both vector species were densely present. Indeed, the simulations showed high mosquito densities in 1987 and 2003, which correspond to the most important epidemic and epizootic events in that region.

Page generated in 0.0594 seconds