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Des hommes et le dépistage du VIH/Sida au Sénégal : les dessous du refus

Bâ, Mamadou 27 April 2018 (has links)
Cette étude qualitative vise à connaître les rapports qu’entretiennent les populations de Matam en général avec les pratiques de dépistage du VIH/sida et plus particulièrement les hommes. Quatorze entretiens individuels (11 hommes et 3 femmes) et six entretiens de groupes ont permis de faire émerger dans une étude exploratoire les différentes raisons pouvant constituer des obstacles au test de dépistage du VIH/sida dans la région de Matam. L’analyse de ces différents entretiens a révèle que le VIH/sida demeurait toujours une maladie stigmatisante et discriminante. En effet, c’est une maladie qui souffre encore de ces premiers messages et images diffusés au début de la lutte contre la maladie. Les représentations socioreligieuses sont aussi des obstacles à la lutte contre le VIH/sida. Étant surtout liée au sexe interdit, la maladie du sida demeure un tabou dans cette région. Cette étude nous a permis d’identifier des éléments de contexte et leur poids respectif dans les comportements des hommes à l’endroit du dépistage de la maladie.
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Femmes, barrages hydroélectriques et développement durable dans la vallée du fleuve Sénégal (Sahel) : une perspective africaine de l'approche genre et développement (GED)

Ly, Aoua Bocar January 1995 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Analyse d'impact du développement économique des biocarburants au Sénégal : une étude en modèle d'équilibre général calculable.

Sow, Khady January 2016 (has links)
Dans ce travail, on utilise un MEGC statique pour aborder l'impact du développement des biocarburants sur la croissance économique et sociale au Sénégal. Notre choix d’utiliser un modèle d’équilibre général calculable (MEGC) pour cette étude se justifie par le fait qu’ils sont de nos jours des modèles macroéconomiques particulièrement adaptés à l’étude de politiques structurelles à moyen ou long terme. Le modèle a été développé sur la base du modèle EXTER issu de deux matrices légèrement différentes : l’une reflétant l’économie réelle du Sénégal de 2011 et mise à jour pour 2014 et l’autre étant une matrice hypothétique intégrant les données sur les agrocarburants obtenues à partir des calculs de l’auteure. Le modèle met en exergue les spécificités de l’intégration de ce secteur dans l’économie sénégalaise. Il met plus l’accent sur les secteurs énergivores vu que l’objectif principal étant la réduction de la dépendance énergétique du pays. Deux simulations sont réalisées afin d'effectuer cette analyse : une hausse de l’offre de travail et une subvention accordée aux secteurs des biocarburants comme première simulation et la deuxième simulation reprend la première simulation en y ajoutant une hausse du prix des importations des produits pétroliers. Ainsi, par les mécanismes d’équilibre général, les résultats nous montrent une évolution des agrégats macroéconomiques dans leur ensemble dans les deux simulations. Cependant, sauf dans certains secteurs, en généralité, l’intégration des agrocarburants et leur exploitation avantage beaucoup le pays sur presque tous les secteurs de l’économie.
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Microfinance et création de richesses : entre logiques domestiques et performances

Sine, Ndeye January 2008 (has links) (PDF)
La microfinance a émergé et s'est imposée au fil des années comme un sous-secteur dynamique du système financier, dont elle a contribué à élargir la portée et à diversifier les services. Par une approche socioéconomique, nous avons tenté de comprendre le processus de participation de la microfinance à l'insertion des populations au Sénégal et partant à la création de richesses. La compilation des données recueillies sur le terrain et leur fine analyse nous ont permis de comprendre les conditions et les mécanismes sociaux par lesquels les institutions de microfinance au Sénégal arrivent à une performance économique mais aussi sociale. Notre thèse est axée sur trois cas représentatifs des formes d'organisation de microfinance au Sénégal, en l'occurrence l'Union des mutuelles du partenariat pour la mobilisation de l'épargne et du crédit (UM-PAMECAS), de l'Union des mutuelles d'épargne et de crédit de l'UNACOIS (UMECU/ DEF) et le programme d'appui à la micro-entreprise de l'Agence d'exécution des travaux d'intérêt public (PAME/AGETIP). Elle dresse un portrait assez détaillé de ces institutions, prises dans leurs dynamiques d'actions internes et d'interactions avec le milieu. D'abord, dans la diversité des approches, les structures de microfinance sont replacées dans leurs contextes d'émergence avant d'être examiné à travers les profils institutionnels qu'elles adoptent et leurs formes organisationnelles. L'étude relève, à ce niveau, la nécessité de prendre en considération, dans l'appréciation de la microfinance, la diversité des acteurs, des objectifs et des finalités des institutions qui la composent. Ensuite, le passage dans l'analyse de l'institution de financement à l'activité financée ainsi que l'appréciation de l'apport des partenaires au développement montre la démarche partenariale qui doit s'opérer autour de la microfinance. Elle ne se limite pas à l'octroi de crédit, le financement suit un processus participatif et interactif de ressources financières, sociales, humaines et culturelles dont la mise à contribution peut engendrer à la fois la réalisation des objectifs poursuivis mais aussi des externalités positives. En effet, la démocratisation des ressources, la valorisation des activités dites populaires ou informelles à travers un entrepreneuriat de type nouveau, la recherche de performance et d'autonomie, le renforcement de la solidarité, le développement d'un esprit civique de participation au bien commun sont autant de richesses qui participent d'une microfinance performante. La thèse montre ainsi que l'évaluation de la microfinance ne peut se limiter à une analyse isolée de sa performance financière. Elle nécessite de l'insérer dans son contexte social et de discerner toutes les transactions sociales qui rendent possibles sa performance. Enfin, l'analyse des enjeux qui interpellent la microfinance laisse voir que son ancrage dans un processus viable de développement nécessite de renforcer et d'arrimer les richesses sociales et économiques aux priorités locales de développement par un accompagnement adéquat. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Microfinance, Activités populaires, Entrepreneuriat, Richesse, Performance, Capital social, Intermédiation, Accompagnement, Crédit, Épargne.
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La Chine et l’Afrique : perception de la communauté d'affaire sénégalaise sur la présence chinoise en Afrique

Diallo, Bintou Oumar January 2017 (has links)
Ce mémoire s’intéresse aux relations politiques et économiques que la Chine entretient avec le continent africain. Aussi, il relate le début de leur relation tout en mettant en évidence les impacts positifs ou négatifs de la présence chinoise en Afrique au cours de ces dernières années. C’est pour cela que nous avons décidé de mener dans un premier temps une recherche empirique afin de recueillir les points de vue des auteurs africains et occidentaux sur les relations sino-africaines. La présence chinoise sur le sol africain a réveillé une immense curiosité et en même temps une réflexion politique, économique et géostratégie non seulement chez les acteurs politiques mais aussi chez des chercheurs universitaires. Dans un second temps, nous avons procédé à une série d’entrevues en Afrique et plus particulièrement au Sénégal afin de savoir ceux que les acteurs directes en pensent. Ces acteurs sont des chercheurs, des politiciens et des commerçants. Nous avons choisis le cas du Sénégal tout au début de notre recherche (2013) en partant du fait qu’il est un pays particulier en Afrique, n’ayant pas de ressources naturelles et étant un des rares pays d’Afrique n’ayant pas connu de coup d’État. Le choix du Sénégal se justifie aussi par le fait qu’il est un des dernier pays d’Afrique à renouer ses relations diplomatiques avec le gouvernement chinois après plusieurs ruptures. Contrairement à plusieurs analystes et politiciens africains qui soutiennent que la Chine est un moteur de développement pour l’Afrique et que grâce à elle, la croissance africaine ne cesse de fructifier depuis 2000, nous pensons que le développement de l’Afrique ne peut pas et ne doit pas dépendre de la Chine. Le destin de l’Afrique est entre les mains des africains; les autorités politiques doivent mettre en place une stratégique politique cohérente afin d’éviter les erreurs du passé. Ceci dit, la présence chinoise en Afrique n’est pas non plus une menace pour le développement du continent. Les africains doivent tout simplement considérer la Chine comme étant un pays ayant des intérêts en Afrique autant que leurs partenaires traditionnels. / Abstract: This thesis is about the politics and economics relationships between China and Africa. Also, it relates the start of their partnership while also focusing on the impacts of the Chinese presence in Africa over the last few years. That is why we decided to lead, in the first time an empirical research to collect the views of African and western authors about the sino-african relationships. The Chinese presence in the African soil instigated a great intellectual curiosity along with a political, economic and geostrategic reflexion in both academic researchers and politically engaged authors. In a second time, we conducted a series of interviews in Africa more particularity in Senegal to know the thoughts of more direct actors on the matter. These actors are researchers, politicians and trades peoples. In the beginning of our research (2013), we choosed Senegal due to its particularity; as an African country with no natural resources and also, being among the few countries on the continent to have not experience an overthrow in it’s history. Our choice is also justified by the fact that it was one of the African countries to rehabilitates diplomatics relations with the Chinese government after many years ruptures. Also, we are aware that the case of Senegal should not be taken as a general example of the relationship between Africa and China. At the opposite of many Africans politicians which maintain that China is a development motor for Africa and because of it, Africa’s growth is constantly fructifying since 2000, we think that Africa’s development did not and should not need to be dependent of China. Africa's destiny is the hands of the Africans; the political authorities should be put in order and a coherent political strategy to prevent mistakes that happened in the past. The Chinese presence in Africa is not a threat for the development of the continent. The Africans should be considered China like a country that has interests in Africa as well as the western (traditionnels partners).
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Surveillance de seconde génération du VIH chez les travailleuses du sexe et leurs partenaires sexuels masculins au Sénégal : étude dans deux zones d'intervention du Projet SIDA 3

Cisse, Daouda 11 April 2018 (has links)
Objectifs : Cette étude transversale effectuée sur les travailleuses du sexe (TS) et leurs clients dans 2 zones géographiques d'intervention du Projet SIDA 3 au Sénégal avait pour objectifs: de déterminer la prévalence et les rapports de prévalence des facteurs associés aux virus de l'immunodéficience acquise (VIH) et des infections sexuellement transmissibles (IST), chez les TS et leurs clients et d'estimer le potentiel de transmission du VIH et des IST à la population générale par le biais des TS et de leurs clients. Méthodologie : Les prélèvements vaginal, urinaire et sanguin ont été respectivement analysés au laboratoire par Polymérase Chain Réaction (PCR) pour la détection de gonocoque ou chlamydia et Enzyme Linked Sorbent Assay (ELISA) pour le VIH, tandis qu'un test Leucocytes Esterase Dipstick (LED) détectait les leucocytes dans l'urine. Les proportions et les données continues ont été respectivement comparées, en utilisant les tests du X2 ou exact bilatéral de Fisher et test t de Student. Par régression binomiale avec GENMOD en analyse univariée ou multivariée, les rapports de prévalence ont été les estimés des forces d'association. Toutes les analyses statistiques ont été réalisées grâce au logiciel SAS 8 ou 9. L'étude a été approuvée par le comité national éthique du Sénégal. Résultats : Chez les TS, les prévalences du VIH et des IST étaient respectivement de 26,9% (65/242) et 09,8% (21/214) tandis que chez leurs clients, elles étaient de 2,1% (6/285) et 1,4% (4/294). En analyse multivariée chez les TS : l'âge, le nombre d'épisodes IST dans la vie et le nombre de partenaires dans la dernière semaine de travail restaient ensemble toutes significativement associées au VIH. On notait 2 fois plus d'IST chez les TS clandestines que chez les TS officielles (p=0,08) alors qu'il y avait 3 fois moins de VIH chez les premières que chez les dernières (p=0,001). Entre le test LED et l'analyse PCR chez les clients, les sensibilité, spécificité, valeurs prédictives positive et négative étaient respectivement de 100%, 91%, 16% et 100%. La fraction du risque chez le client, attribuable au contact infectant avec la TS était de 67% et 5,2% de l'ensemble des femmes del5-49 ans des sites géographiques étudiés ont été indirectement exposées aux IST/VIH par le biais des clients. Conclusion : Afin d'avoir des données fiables permettant d'établir des programmes appropriés de lutte contre les IST/VIH au Sénégal, des enquêtes répétées auprès des TS et de leurs clients s'avèrent nécessaires
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Réformes de la fiscalité indirecte et réduction de la pauvreté au Sénégal

Wilane, Momath 19 April 2018 (has links)
Vers la fin des années 90, le Sénégal a réformé en profondeur son système de taxation indirecte en appliquant, depuis septembre 2001, un taux unique de TVA de 18% en lieu et place des deux taux (10% pour les produits sociaux et 20% pour tous les autres). Cette réforme a contribué à l’accroissement des recettes budgétaires, mais a été accompagnée d’une hausse des prix, particulièrement ceux des biens de première nécessité, affectant ainsi le niveau de vie des ménages les plus pauvres. Dans ce contexte, il est utile d’identifier des réformes fiscales conciliant à la fois les objectifs d’efficacité et de réduction de la pauvreté. C’est dans cette optique que nous analysons l’impact marginal de réformes de la fiscalité indirecte sur la pauvreté au Sénégal à travers les courbes de dominance normalisées des biens de consommation. Cette approche, appliquée aux données de l’Enquête de Suivi de la Pauvreté au Sénégal 2005/2006 (ESPS), montre que, dans le cadre d’un budget équilibré, une hausse de 1% des subventions sur le riz devra être compensée par une hausse de 2 % des taxes sur l’électricité, ce qui réduira la pauvreté de 0,0007 % pour chaque point de pourcentage de hausse des subventions sur le riz. Les résultats ont également montré qu’une hausse de 1% des subventions sur les biens alimentaires accompagnée d’une augmentation de 1,1 % des taxes sur les biens non alimentaires réduirait également la pauvreté de 0,0004 % pour chaque point de pourcentage de hausse des subventions sur les biens alimentaires.
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Possibilités de mécanisation agricole dans le delta du fleuve Sénégal

N'Dir, Massaër 26 August 2020 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2020
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Sortir l'enfant de la rue n'est pas sortir la rue de l'enfant : analyse de l'itinérance juvénile à Dakar, Sénégal

Gilbert, Véronique 21 August 2012 (has links)
Au Sénégal, des milliers d’enfants, victimes de maltraitance de leur tuteur ou au sein leur famille, s’enfuient et se retrouvent à vivre en petits groupes de jeunes, de manière autonome, dans les rues de Dakar et sa banlieue. Certains de ces enfants en situation de rue grandissent dans les rues, tandis que pour d’autres, la vie de rue représente une transition, une étape de vie. Comment et pourquoi certains enfants de la rue réussissent-ils à sortir de ce milieu, tandis que d’autres y grandissent et deviennent des adultes de la rue? Peut-on penser à des facteurs qui favoriseraient la sortie de rue? Comment se déroule la sortie de rue? Pour les enfants hébergés au Samusocial Sénégal, organisme au sein duquel la recherche terrain a été effectuée, le processus de sortie de rue commence par une demande d’appui de l’enfant lui-même. Ce désir peut avoir été engendré par des facteurs à la fois push out et pull out : du côté des facteurs qui poussent l’enfant hors de la rue, on retrouve la violence continuelle, les agressions sexuelles, et les ennuis de santé, tandis que les facteurs qui tirent l’enfant hors de la rue semblent être la présence active et le travail de terrain des institutions de prise en charge, les relations familiales, et des événements ponctuels inopinés. Accueilli au centre d’hébergement du Samusocial Sénégal, dont le fonctionnement rappelle la structure familiale, l’enfant réapprend graduellement à manger, dormir, jouer, apprendre, faire confiance et se comporter selon les normes sociales sénégalaises, et non selon la culture de la rue, dans le but d’être réunifié avec sa famille (nucléaire ou élargie) ou d’entreprendre une formation professionnelle. Or, ce processus ne se fait pas sans heurts, et toutes les sorties de rue ne suivent pas une trajectoire linéaire : en fait, la plupart des enfants éprouvent une grande difficulté à se réadapter à un milieu de vie structuré et encadré par des règles de vie. Toutefois, une prise en charge holistique et une intervention culturellement adaptée à l’enfant et à sa famille favorisent la résilience de la cellule familiale et la pérennité de la sortie de rue.
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Sortir l'enfant de la rue n'est pas sortir la rue de l'enfant : analyse de l'itinérance juvénile à Dakar, Sénégal

Gilbert, Véronique 21 August 2012 (has links)
Au Sénégal, des milliers d’enfants, victimes de maltraitance de leur tuteur ou au sein leur famille, s’enfuient et se retrouvent à vivre en petits groupes de jeunes, de manière autonome, dans les rues de Dakar et sa banlieue. Certains de ces enfants en situation de rue grandissent dans les rues, tandis que pour d’autres, la vie de rue représente une transition, une étape de vie. Comment et pourquoi certains enfants de la rue réussissent-ils à sortir de ce milieu, tandis que d’autres y grandissent et deviennent des adultes de la rue? Peut-on penser à des facteurs qui favoriseraient la sortie de rue? Comment se déroule la sortie de rue? Pour les enfants hébergés au Samusocial Sénégal, organisme au sein duquel la recherche terrain a été effectuée, le processus de sortie de rue commence par une demande d’appui de l’enfant lui-même. Ce désir peut avoir été engendré par des facteurs à la fois push out et pull out : du côté des facteurs qui poussent l’enfant hors de la rue, on retrouve la violence continuelle, les agressions sexuelles, et les ennuis de santé, tandis que les facteurs qui tirent l’enfant hors de la rue semblent être la présence active et le travail de terrain des institutions de prise en charge, les relations familiales, et des événements ponctuels inopinés. Accueilli au centre d’hébergement du Samusocial Sénégal, dont le fonctionnement rappelle la structure familiale, l’enfant réapprend graduellement à manger, dormir, jouer, apprendre, faire confiance et se comporter selon les normes sociales sénégalaises, et non selon la culture de la rue, dans le but d’être réunifié avec sa famille (nucléaire ou élargie) ou d’entreprendre une formation professionnelle. Or, ce processus ne se fait pas sans heurts, et toutes les sorties de rue ne suivent pas une trajectoire linéaire : en fait, la plupart des enfants éprouvent une grande difficulté à se réadapter à un milieu de vie structuré et encadré par des règles de vie. Toutefois, une prise en charge holistique et une intervention culturellement adaptée à l’enfant et à sa famille favorisent la résilience de la cellule familiale et la pérennité de la sortie de rue.

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