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La rue des enfants, les enfants des rues : Yaoundé et Antananarivo /

Morelle, Marie, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Géographie--Paris 1, 2004. / Bibliogr. p. 265-278.
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La survie psychique de l'enfant en situation limite au Pérou destructivité et résilience /

Aguilar Molina, Carlos Javier. Hochmann, Jacques. January 2001 (has links)
Thèse de doctorat : Psychologie : Lyon 2 : 2001. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Récits d'éducateurs politique et pratique de prise en charge d'enfants des rues à Salvador de Bahia, Brésil /

Santos, Georgina Gonçalves dos Coulon, Alain January 2008 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Sciences de l'éducation : Paris 8 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 373-401. Notes bibliogr.
4

Vivre et survivre à Mexico : enfants et jeunes de la rue /

Pérez López, Ruth, Lucchini, Riccardo, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Ethnologie--Lille1, 2006. / En appendice, des récits de vie. Bibliogr. p.329-342.
5

Sortir l'enfant de la rue n'est pas sortir la rue de l'enfant : analyse de l'itinérance juvénile à Dakar, Sénégal

Gilbert, Véronique 21 August 2012 (has links)
Au Sénégal, des milliers d’enfants, victimes de maltraitance de leur tuteur ou au sein leur famille, s’enfuient et se retrouvent à vivre en petits groupes de jeunes, de manière autonome, dans les rues de Dakar et sa banlieue. Certains de ces enfants en situation de rue grandissent dans les rues, tandis que pour d’autres, la vie de rue représente une transition, une étape de vie. Comment et pourquoi certains enfants de la rue réussissent-ils à sortir de ce milieu, tandis que d’autres y grandissent et deviennent des adultes de la rue? Peut-on penser à des facteurs qui favoriseraient la sortie de rue? Comment se déroule la sortie de rue? Pour les enfants hébergés au Samusocial Sénégal, organisme au sein duquel la recherche terrain a été effectuée, le processus de sortie de rue commence par une demande d’appui de l’enfant lui-même. Ce désir peut avoir été engendré par des facteurs à la fois push out et pull out : du côté des facteurs qui poussent l’enfant hors de la rue, on retrouve la violence continuelle, les agressions sexuelles, et les ennuis de santé, tandis que les facteurs qui tirent l’enfant hors de la rue semblent être la présence active et le travail de terrain des institutions de prise en charge, les relations familiales, et des événements ponctuels inopinés. Accueilli au centre d’hébergement du Samusocial Sénégal, dont le fonctionnement rappelle la structure familiale, l’enfant réapprend graduellement à manger, dormir, jouer, apprendre, faire confiance et se comporter selon les normes sociales sénégalaises, et non selon la culture de la rue, dans le but d’être réunifié avec sa famille (nucléaire ou élargie) ou d’entreprendre une formation professionnelle. Or, ce processus ne se fait pas sans heurts, et toutes les sorties de rue ne suivent pas une trajectoire linéaire : en fait, la plupart des enfants éprouvent une grande difficulté à se réadapter à un milieu de vie structuré et encadré par des règles de vie. Toutefois, une prise en charge holistique et une intervention culturellement adaptée à l’enfant et à sa famille favorisent la résilience de la cellule familiale et la pérennité de la sortie de rue.
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Sortir l'enfant de la rue n'est pas sortir la rue de l'enfant : analyse de l'itinérance juvénile à Dakar, Sénégal

Gilbert, Véronique 21 August 2012 (has links)
Au Sénégal, des milliers d’enfants, victimes de maltraitance de leur tuteur ou au sein leur famille, s’enfuient et se retrouvent à vivre en petits groupes de jeunes, de manière autonome, dans les rues de Dakar et sa banlieue. Certains de ces enfants en situation de rue grandissent dans les rues, tandis que pour d’autres, la vie de rue représente une transition, une étape de vie. Comment et pourquoi certains enfants de la rue réussissent-ils à sortir de ce milieu, tandis que d’autres y grandissent et deviennent des adultes de la rue? Peut-on penser à des facteurs qui favoriseraient la sortie de rue? Comment se déroule la sortie de rue? Pour les enfants hébergés au Samusocial Sénégal, organisme au sein duquel la recherche terrain a été effectuée, le processus de sortie de rue commence par une demande d’appui de l’enfant lui-même. Ce désir peut avoir été engendré par des facteurs à la fois push out et pull out : du côté des facteurs qui poussent l’enfant hors de la rue, on retrouve la violence continuelle, les agressions sexuelles, et les ennuis de santé, tandis que les facteurs qui tirent l’enfant hors de la rue semblent être la présence active et le travail de terrain des institutions de prise en charge, les relations familiales, et des événements ponctuels inopinés. Accueilli au centre d’hébergement du Samusocial Sénégal, dont le fonctionnement rappelle la structure familiale, l’enfant réapprend graduellement à manger, dormir, jouer, apprendre, faire confiance et se comporter selon les normes sociales sénégalaises, et non selon la culture de la rue, dans le but d’être réunifié avec sa famille (nucléaire ou élargie) ou d’entreprendre une formation professionnelle. Or, ce processus ne se fait pas sans heurts, et toutes les sorties de rue ne suivent pas une trajectoire linéaire : en fait, la plupart des enfants éprouvent une grande difficulté à se réadapter à un milieu de vie structuré et encadré par des règles de vie. Toutefois, une prise en charge holistique et une intervention culturellement adaptée à l’enfant et à sa famille favorisent la résilience de la cellule familiale et la pérennité de la sortie de rue.
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Trajectoires d'enfants de la rue d'Haïti ayant bénéficié d'une intervention d'une ONG visant l'insertion sociale : que sont devenus ces enfants? /

Lubin, Irdèle. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2007. / Bibliogr.: f. 298-311. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Sortir l'enfant de la rue n'est pas sortir la rue de l'enfant : analyse de l'itinérance juvénile à Dakar, Sénégal

Gilbert, Véronique January 2012 (has links)
Au Sénégal, des milliers d’enfants, victimes de maltraitance de leur tuteur ou au sein leur famille, s’enfuient et se retrouvent à vivre en petits groupes de jeunes, de manière autonome, dans les rues de Dakar et sa banlieue. Certains de ces enfants en situation de rue grandissent dans les rues, tandis que pour d’autres, la vie de rue représente une transition, une étape de vie. Comment et pourquoi certains enfants de la rue réussissent-ils à sortir de ce milieu, tandis que d’autres y grandissent et deviennent des adultes de la rue? Peut-on penser à des facteurs qui favoriseraient la sortie de rue? Comment se déroule la sortie de rue? Pour les enfants hébergés au Samusocial Sénégal, organisme au sein duquel la recherche terrain a été effectuée, le processus de sortie de rue commence par une demande d’appui de l’enfant lui-même. Ce désir peut avoir été engendré par des facteurs à la fois push out et pull out : du côté des facteurs qui poussent l’enfant hors de la rue, on retrouve la violence continuelle, les agressions sexuelles, et les ennuis de santé, tandis que les facteurs qui tirent l’enfant hors de la rue semblent être la présence active et le travail de terrain des institutions de prise en charge, les relations familiales, et des événements ponctuels inopinés. Accueilli au centre d’hébergement du Samusocial Sénégal, dont le fonctionnement rappelle la structure familiale, l’enfant réapprend graduellement à manger, dormir, jouer, apprendre, faire confiance et se comporter selon les normes sociales sénégalaises, et non selon la culture de la rue, dans le but d’être réunifié avec sa famille (nucléaire ou élargie) ou d’entreprendre une formation professionnelle. Or, ce processus ne se fait pas sans heurts, et toutes les sorties de rue ne suivent pas une trajectoire linéaire : en fait, la plupart des enfants éprouvent une grande difficulté à se réadapter à un milieu de vie structuré et encadré par des règles de vie. Toutefois, une prise en charge holistique et une intervention culturellement adaptée à l’enfant et à sa famille favorisent la résilience de la cellule familiale et la pérennité de la sortie de rue.
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Etude sociolinguistique du kindubile, argot swahili des enfants de la rue de Lubumbashi (RD Congo)/ A Sociolinguistic Study of Kindubile, a Swahili Slang Spoken by The Street Children of Lubumbashi (DR Congo)

Mutambwa, Georges Mulumbwa 03 June 2009 (has links)
Ce travail s’attache à répondre à deux préoccupations majeures : -déterminer le statut sociolinguistique du kindubile, parler des enfants de la rue de Lubumbashi appelés « shege ». -préciser les contextes de mobilisation du kindubile par les shege ainsi que les différentes significations qu’il revêt à leurs yeux. Il est basé sur un corpus très hétérogène: les données verbales (entretiens semi-directifs, libres, récits de vie, chansons et surnoms) et les matériaux picturaux (graffitis, tags et dessins) produits par les enfants eux-mêmes. Les analyses sont inspirées en linguistique par la pragmatique et en sociologie par l’interactionnisme symbolique, la théorie de l’acteur et du système ainsi que la théorie dispositionnaliste de Bernard Lahire. Cette dissertation a conduit aux résultats suivants : -le kindubile est un argot swahili. Sa grammaire est globalement identique à celle du kiswahili de Lubumbashi. La seule différence s’observe au niveau du lexique. Celui-ci, outre les procédés de création cryptique (adjonctions, suppressions, permutations et leur combinaison reste prolixe et focalisé sur certains registres seulement : la nourriture, l’argent, la débrouille, la violence et la sexualité. Ces domaines demeurent hautement significatifs à leur yeux d’autant plus qu’ils sont corrélés et indispensables à la vie de rue. -Les enfants de la rue recourent à l’argot pour communiquer entre eux, pour un repli identitaire (ils veulent s’affirmer comme un groupe particulier et en même temps être reconnus autant que respectés comme des personnes humaines à part entière). Ils recourent également au kindubile pour crypter leur message en parlant des stupéfiants, de la sexualité ou en voulant subtiliser un bien à quelqu’un). Ils emploient aussi le kindubile comme un espace de défoulement. En effet, ils expriment leur mécontentement de la société qui les a produits mais craignant les représailles, ils préfèrent s’exprimer en argot. Ils parlent aussi kindubile pour provoquer la peur chez leur interlocuteur lorsqu’ils le jugent nécessaire.
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Système éducatif et abandon social en Haïti. Cas des Enfants et des jeunes de la rue

François, Pierre Enocque Pain, Jacques. January 2009 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : sciences de l'éducation : Paris 10 : 2009. / Titre provenant de l'écran-titre.

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