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Étude de la représentation du curé dans deux films québécois La petite Aurore l'enfant martyre (1952) et Aurore (2005)Harnois, Julie January 2010 (has links)
Ce mémoire porte sur la représentation du curé dans les films La petite Aurore l'enfant martyre (Jean-Yves Bigras, 1952) et Aurore (Luc Dionne, 2005). L'objectif principal est d'identifier l'image que l'on présente du curé dans ces deux oeuvres. L'étude de cette représentation permet de cerner les discours portés par ces deux films à travers le personnage du curé et d'apprécier dans quelle mesure ces discours filmiques témoignent du caractère de la société québécoise à deux époques déterminées, soit les années 1950 et les années 2000. Inscrite dans le champ des études culturelles, la recherche se fonde sur quatre axes théoriques principaux : la représentation, l'interprétation, la mythologie et l'analyse filmique. Les travaux de Stuart Hall, d'Umberto Eco et de Roland Barthes constituent le cadre théorique. L'approche de l'analyse de contenu s'inspire des travaux de Laurence Bardin et l'analyse filmique, de ceux de Jean Mitry, d'Anne Goliot-Lété et de Francis Vanoye, entre autres. La procédure de recherche consiste dans le découpage des éléments constitutifs de chaque film en plans, séquences et extraits, de manière à déconstruire les récits filmiques et à faire émerger les facteurs signifiants susceptibles de permettre de reconstituer le sens à travers la reconstruction du rôle du curé et la caractérisation du personnage dans chacun des films. La démarche d'interprétation s'appuie sur une série de thèmes sous lesquels se classent, en opposition souvent, les attributs des deux personnages, comme l'apparence générale, l'intégration au milieu, l'intellectualité, la figure d'autorité, le conformisme et la responsabilité. L'hypothèse principale formulée dans le cadre de la problématique se trouve validée. La représentation du curé dans le film de 1952 offre une image idéalisée du « bon curé », laquelle est conforme au discours dominant de son époque de production. Dans le film de 2005, on délaisse plutôt l'image idéalisée pour revêtir le curé d'attributs négatifs et le rendre responsable, en grande partie, du drame vécu par Aurore. De plus, les trois hypothèses secondaires ont pu aussi être validées : la représentation du curé en 2005 est liée à une plus grande sensibilité au phénomène de la maltraitance des enfants et au besoin d'en identifier les responsables; le transfert de responsabilité vers le curé semble le reflet de reproches adressés par la société québécoise au clergé pour des fautes du passé et la représentation péjorative du curé de 2005, où l'on insiste sur son caractère froid et distant, ne choque plus personne. Porteuse de plusieurs mythes, dont certains rejoignent les fondements de l'identité québécoise, l'histoire d'Aurore fait partie intégrante du patrimoine culturel. Les relectures de cette triste affaire au fil des ans traduisent aussi les changements qui marquent la société québécoise, en particulier dans son rapport au clergé et à la religion.
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Analyse des précipitations aurorales observées à bord des satellites AUREOLE /Sauvaud, Jean-André, Unknown Date (has links)
Th.--Sci. phys.--Toulouse 3, 1977. N°: 760. / 761.
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Den "modärna" kvinnan : En intersektionell läsning av Anne Charlotte Lefflers novell "Aurore Bunge"Ruuska, Alexandra January 2015 (has links)
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Modélisation des émissions aurorales de Jupiter dans l'ultraviolet. Modélisation de l'émission Lyman ¯ de Jupier chauds / Modelling of the ultraviolet auroral emissions of Jupiter. Modelling of the Lyman alpha emission of hot Jupiters.Menager, Hélène 01 July 2011 (has links)
La première partie de cette thèse présente une modélisation des émissions aurorales de Jupiter dans l'ultraviolet. Le but de ce travail est de quantifier comment ces émissions permettent de contraindre l'énergie des électrons qui précipitent dans la haute atmosphère polaire de la planète. Deux types d'émissions sont étudiés : celle de la raie Lyman alpha de l'hydrogène atomique ainsi que celles de H2. Les précipitations d'électrons aurorales sont modélisées à l'aide d'un code de transport cinétique. Le profil et l'intensité de la raie H Lyman alpha sont obtenus avec un code de transfert radiatif. Des spectres synthétiques des émissions de H2 sont calculés. En étudiant la variabilité des raies en fonction de l'énergie des électrons nous montrons que seules des observations à très haute résolution permettront de contraindre fortement les précipitations d'électrons. La deuxième partie de cette thèse présente la première modélisation de l'émission H Lyman alpha d'un Jupiter chaud jamais réalisée. Si elle était détectée, cette raie permettrait de caractériser l'environnement des planètes extrasolaires. L'émission de l'étoile est beaucoup plus intense que celle de la planète, ce qui rend la détection de la raie planétaire très difficile. Les seules estimations de contraste qui avaient été réalisées jusqu'à présent découlaient d'extrapolations basées sur l'émission de Jupiter. Nous introduisons ici des outils appropriés au calcul des émissions des Jupiter chauds, en tenant compte des spécificités de leur haute atmosphère, et notamment leur forte ionisation et leurs températures qui dépassent les 10 000 K. Nous évaluons l'émission Lyman alpha de deux Jupiter chauds, en tenant compte de plusieurs sources d'excitation des particules : les émissions aurorales et thermiques sont calculées, ainsi que l'émission excitée par le rayonnement de l'étoile. Nous montrons que, dans le cas du Jupiter chaud HD 209458b, la détection de l'émission planétaire n'est pas possible avec les instruments actuels. En revanche la raie Lyman alpha du Jupiter chaud HD 189733b semble pouvoir être détectée avec l'instrument STIS du télescope spatial Hubble. / The first part of this thesis describes a modeling of the auroral emission of Jupiter in the ultraviolet. The aim of this work is to quantify how these emissions allow to constrain the energy of the electrons that precipitate in the upper atmosphere of the planet at polar latitudes. Two kinds of emissions are studied : the one of the Lyman alpha line of atomic hydrogen and those of H2. The auroral electron precipitation is modeled with a kinetic transport code. The H Lyman alpha line profile and intensity are obtained with a radiative transfer code. Synthetic spectra of H2 emissions are calculated. By studying the variability of the lines as a function of the energy of the precipitating electrons, we show that only high resolution observations will allow to put strong constraints on the electron precipitation. The second part of this thesis presents the first calculation of the H Lyman alpha emission of a hot Jupiter ever realized. If it were detected, this line would allow to constrain the environment of the extrasolar planets. The stars' emission is much more intense than that of the planet, which transforms the detection of the planetary line in a very difficult challenge. Up to now, the only estimations of contrast that have been realized are based on extrapolations of Jupiter's emission. Here we present tools that are adequate to calculate the emission of hot Jupiters. They take into account the particularities of their atmosphere, like their high ionization degree and their temperatures that exceed 10,000 K. We calculate the Lyman alpha emission of two hot Jupiters, by taking into account the auroral, thermal and dayglow contributions. In the case of the hot Jupiter HD 209458b, we show that current facilities do not allow to detect the planetary emission. On the other hand, the detection of the Lyman alpha line of the planet HD 189733b seems to be within reach of the Hubble Space Telescope.
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Etude par télédétection de la précipitation aurorale de protons. Morphologie, saisonnalité et influence sur lionosphère.Coumans, Valérie 01 October 2007 (has links)
Les recherches décrites dans ces pages portent sur l'étude de l'aurore à protons par télédétection spatiale en ultraviolet lointain. Ce travail s'inscrit dans le cadre de la mission IMAGE, dont l'instrument FUV offre la possibilité d'observer les émissions aurorales dues à la précipitation d'électrons et de protons. L'imageur spectral SI12, construit au Centre Spatial de Liège, donne une image de la raie Lyman-alpha déplacée par effet Doppler produite par la désexcitation de l'hydrogène. Il permet l'observation globale de l'ovale auroral avec une résolution temporelle de 2 minutes. Les données couplées à un modèle de transport et de dégradation d'énergie des particules qui précipitent ont été utilisées pour étudier l'aurore à protons tant d'un point de vue morphologique que d'un point de vue quantitatif.
La première étape du travail consistait à valider les observations et à calibrer la méthode développée pour obtenir les flux énergétiques des particules accélérées vers l'atmosphère à partir des taux de comptage SI12. Des comparaisons des observations SI12 et des mesures in situ de particules des satellites NOAA ont montré un désaccord de 50%, qui a été pris en considération dans la suite du travail.
J'ai ensuite entrepris une étude statistique des caractéristiques morphologiques de l'ovale protonique. Cette statistique présente un très bon accord avec les études précédentes, bien que celles-ci soient basées sur des mesures locales de la précipitation de protons. Les résultats quantitatifs quant à l'intensité de la précipitation des protons ont montré une variation saisonnière, avec un maximum dans l'hémisphère estival. J'ai également mis en évidence l'influence de l'orientation de la composante nord/sud du champ magnétique interplanétaire et de la pression dynamique du vent solaire sur la précipitation de protons tant au point de vue de l'énergie accumulée durant la phase de croissance, que des processus de déclenchement de leur précipitation et des processus de précipitation eux-mêmes. L'analyse de la dynamique de l'ovale auroral protonique durant les phases de croissance des sous-tempêtes magnétiques a montré que le mouvement vers l'équateur des frontières de l'ovale pouvait être local, global ou une superposition des deux. Ce résultat est interprété comme la combinaison d'un étirement global de la magnétosphère dû à l'influence du vent solaire et d'un étirement local trouvant son origine dans le feuillet de plasma interne à la magnétosphère.
Dans la dernière étape du travail, j'ai analysé les conséquences de la précipitation aurorale sur l'ionosphère. J'ai montré que les conductivités de Hall et de Pedersen et leur évolution temporelle pouvaient être déduites de la contribution des trois imageurs ultraviolets à une échelle spatiale globale. Le résultat principal de cette partie montre que la contribution des protons à la puissance et aux conductances aurorales ne peut localement pas être négligée par rapport à celle des électrons.
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Modélisation des émissions aurorales de Jupiter dans l'ultraviolet. Modélisation de l'émission Lyman ¯ de Jupier chaudsMenager, Helene 01 July 2011 (has links) (PDF)
La première partie de cette thèse présente une modélisation des émissions aurorales de Jupiter dans l'ultraviolet. Le but de ce travail est de quantifier comment ces émissions permettent de contraindre l'énergie des électrons qui précipitent dans la haute atmosphère polaire de la planète. Deux types d'émissions sont étudiés : celle de la raie Lyman alpha de l'hydrogène atomique ainsi que celles de H2. Les précipitations d'électrons aurorales sont modélisées à l'aide d'un code de transport cinétique. Le profil et l'intensité de la raie H Lyman alpha sont obtenus avec un code de transfert radiatif. Des spectres synthétiques des émissions de H2 sont calculés. En étudiant la variabilité des raies en fonction de l'énergie des électrons nous montrons que seules des observations à très haute résolution permettront de contraindre fortement les précipitations d'électrons. La deuxième partie de cette thèse présente la première modélisation de l'émission H Lyman alpha d'un Jupiter chaud jamais réalisée. Si elle était détectée, cette raie permettrait de caractériser l'environnement des planètes extrasolaires. L'émission de l'étoile est beaucoup plus intense que celle de la planète, ce qui rend la détection de la raie planétaire très difficile. Les seules estimations de contraste qui avaient été réalisées jusqu'à présent découlaient d'extrapolations basées sur l'émission de Jupiter. Nous introduisons ici des outils appropriés au calcul des émissions des Jupiter chauds, en tenant compte des spécificités de leur haute atmosphère, et notamment leur forte ionisation et leurs températures qui dépassent les 10 000 K. Nous évaluons l'émission Lyman alpha de deux Jupiter chauds, en tenant compte de plusieurs sources d'excitation des particules : les émissions aurorales et thermiques sont calculées, ainsi que l'émission excitée par le rayonnement de l'étoile. Nous montrons que, dans le cas du Jupiter chaud HD 209458b, la détection de l'émission planétaire n'est pas possible avec les instruments actuels. En revanche la raie Lyman alpha du Jupiter chaud HD 189733b semble pouvoir être détectée avec l'instrument STIS du télescope spatial Hubble.
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