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L'utilisation du charançon pour le contrôle biologique du myriophylle à épis

Lavoie, Martin January 2010 (has links) (PDF)
Les démarches pour instaurer le projet pilote du contrôle biologique du myriophylle à épis, Myriophyllum spicatum, par le charançon, Euhrychiopsis lecontei, au lac Supérieur dans les Laurentides, ont débuté en 2003. C'est une initiative de l'association du lac Supérieur, qui consiste à trouver une solution à ce problème de plante aquatique envahissante. Le myriophylle à épis, est une plante aquatique exotique qui envahit les plans d'eau nord-américains, et qui, en plus de causer des impacts environnementaux substantiels, est associé à des problèmes économiques. À notre connaissance, le projet pilote de contrôle biologique du lac Supérieur est une première canadienne. Le travail de terrain a démarré à l'été 2005. Le projet pilote a consisté à inoculer successivement 10 000 charançons par année, dans les herbiers de myriophylle à épis, pendant une période de trois années, soit aux étés 2005, 2006 et 2007. Selon nos hypothèses, le lâcher inoculatif de 30 000 charançons au lac Supérieur, sur une période de trois ans, devrait permettre d'augmenter significativement la densité des populations résidentes de charançons. Ce lâcher inoculatif devrait également contribuer à réduire le nombre de tiges au mètre carré de myriophylle à épis dans les herbiers présents au lac Supérieur. Finalement, l'augmentation de la population de charançon et la diminution des herbiers de myriophylle à épis, devraient contribuer à favoriser la croissance des plantes aquatiques indigènes présentes dans le lac. Afin d'évaluer le potentiel du charançon aquatique indigène, E. lecontei, comme agent de contrôle biologique, nous avons comparé les résultats obtenus entre quatre quadrats qui ont été inoculés, et deux autres quadrats qui ont servi de sites témoins, sans inoculation de charançons. Des suivis mensuels ont été effectués durant ces trois périodes estivales afin d'évaluer la population de charançons, la densité des herbiers de myriophylle à épis et de faire le suivi des communautés de macrophytes indigènes. Les résultats démontrent que la population de charançon a légèrement augmenté dans les quadrats inoculés par rapport aux quadrats témoins, mais sans avoir eu l'effet de dispersion des insectes à l'ensemble du lac. La densité de certains herbiers de myriophylle à épis inoculés a diminué, mais le phénomène ne s'est pas généralisé. Finalement, ces changements n'ont pas été assez importants pour que la composition des communautés de plantes aquatiques indigènes change de façon significative. Les trois premières années de ce projet pilote de contrôle biologique démontre que certains changements localisés sont apparus au lac Supérieur, mais sans qu'il y ait un véritable processus de contrôle biologique. Nous allons devoir travailler davantage à comprendre quels sont les facteurs limitatifs au processus de contrôle biologique, que ce soit la prédation par les poissons ou encore la rigueur de notre climat. D'autres expériences devraient être menées afin de pouvoir conclure définitivement si le charançon E. lecontei détient ou non un avenir prometteur en tant qu'agent de lutte biologique de la plante aquatique M spicatum. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Plantes envahissantes, Macrophytes, Myriophyllum spicatum, Euhrychiopsis lecontei, Contrôle biologique, Charançon.
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Etude des dommages oxydatifs chez Unio tumidus pour le biomonitoring des eaux douces et des relations entre la 8-hydroxy-2'-déoxyguanosine et le malondialdéhyde

Charissou, Anne-Marie. Vasseur, Paule. January 2008 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse doctorat : Toxicologie de l'environnement : Metz : 2002. / Titre provenant de l'écran-titre. Notes bibliographiques.
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Les tests biologiques en parodontologie

Olanié, Florian Amador del Valle, Gilles. January 2008 (has links)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Chirurgie dentaire : Nantes : 2008. / Bibliogr.
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Polycultures of the mind : organic farmers in Québec and the recovery of agency

Richardson, Mary 13 April 2018 (has links)
L'agriculture et l'alimentation sont au coeur de pratiquement toutes les grandes questions environnementales auxquelles font face les sociétés contemporaines. Même si le pouvoir des grandes corporations, les ententes de libre échange et le modèle industriel de l'agriculture peuvent paraître écrasants, des mouvements de résistance contestent ce pouvoir et tentent de créer une alternative dans des contextes où le pouvoir, sous ses diverses formes, réapproprie constamment les espaces crées par les mouvements contestataires. L'agriculture biologique est un des mouvements qui a su se tailler une place comme modèle alternatif de production alimentaire, place qui s'agrandit de jour en jour. Cette étude examine l'agriculture biologique au Québec (Canada), mettant à profit une approche ethnographique menée auprès d'agriculteurs biologiques de diverses provenances et engagés dans divers secteurs de production (élevage, production laitière, grandes cultures, maraîchage, plantes médicinales et acériculture). Les agriculteurs et agricultrices biologiques mettent ensemble des perspectives provenant de la contre-culture des années soixante, des spiritualités Nouvel Age et orientales, de l'agriculture conventionnelle et traditionnelle, et des mouvements néo-paysans contemporains. Les modes de vie qu'ils et elles cultivent (souvent, mais pas toujours à la marge intellectuelle, économique et sociale de la société) incorporent une compréhension alternative des relations sociales, de la richesse et du lieu. Une dimension saillante des pratiques et des épistémologies de l'agriculture biologique est la reconnaissance des relations entre les humains et les non-humains, et de l'importance de Lagencéité à la fois pour les agriculteurs et agricultrices et pour les non-humains qui sont mobilisés dans le réseau de l'agriculture biologique. En effet, les agriculteurs biologiques reconnaissent l'intentionnalité des autres formes de vie et tentent de prêter attention aux messages qu'ils portent. Le respect, la relation et la capacité à répondre (respons-abilité) émergent ainsi comme des principes fondamentaux de vie et de pratique agricole. Les agriculteurs et agricultrices biologiques proposent donc de nouvelles façons d'appréhender et de s'engager auprès des nombreux vivants qui peuplent les milieux locaux, tout en gagnant leur vie en commercialisant des produits biologiques. Les agriculteurs et agricultrices biologiques constituent un exemple fascinant des mécanismes par lesquels le savoir écologique est construit, reconstruit et diffusé à travers les actions d'individus, de groupes et d'organismes qui établissent des liens entre diverses façons de connaître. Les agriculteurs et agricultrices biologiques re-créent un savoir local sur divers éléments du milieu vivant en faisant revivre le savoir traditionnel, en développant de nouveaux savoirs à la lumière de la recherche scientifique, et en construisant leur propre savoir incorporé à travers l'expérimentation, l'observation, l'intuition et l'essai-erreur. Leur approche est donc expérientielle et enracinée dans un lieu, dans le corps, dans des écosystèmes spécifiques et dans des contextes socio-économiques qui varient des communautés locales aux réseaux commerciaux mondiaux. A mesure qu'ils et elles développent des pratiques agricoles alternatives et diffusent de nouvelles (et d'anciennes) approches aux agro-écosystèmes, les agriculteurs et agricultrices biologiques ré-inventent des façons de connaître et d'être au monde; des épistémologies et ontologies relationnelles qui tiennent compte de la complexité, de la diversité et de l'holisme. Ceci implique que, plutôt que de parler d'une ± nature ¿ mise à distance, les humains entrent en rapport direct avec les nombreuses entités de l'écosystème et reconnaissent leur agencéité dans la création du monde habité ou la communauté des vivants. Cette pratique incorporée est fortement enracinée dans ce que plusieurs appellent le paysage mitoyen entre des milieux urbains densément peuplés et ce que beaucoup considèrent comme la nature sauvage. Les agriculteurs et agricultrices biologiques y cherchent une rencontre fertile entre sociétés humaines, animaux et environnements où la co-existence est possible. Ce faisant, leur projet pourrait bien s'inscrire dans le rétablissement du sentiment d'unité esthétique que Bateson dit constituer la base d'un concept du sacré. En cherchant à articuler une éthique de respect, de respons-abilité et de relation avec le monde non-humain (bien que ce ne soit pas toujours un objectif conscient) ils et elles se distancient d'un paradigme de séparation ou de fragmentation, vers un paradigme ancré dans la reconnaissance de la relation et du lien. On peut voir dans ce changement l'émergence d'une nouvelle forme d'écologie sacrée, de concert avec d'autres approches non-dualistes qui émergent actuellement d'un éventail de champs et de projets en marge des courants dominants.
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Adaptation d'une méthode de lutte physique en pré-plantation contre le tarsonème du fraisier

Bernier, Virginie 11 January 2024 (has links)
NOTICE EN COURS DE TRAITEMENT / Le tarsonème du fraisier (Phytonemus pallidus Banks) est un acarien de plus en plus problématique dans les fraisières du Québec. Puisqu'il se réfugie au cœur des plants, ce ravageur est difficilement atteignable par les agents de lutte biologique et les acaricides. L'utilisation de fraisiers sains demeure la manière la plus efficace de prévenir les infestations de tarsonèmes. Aux Pays-Bas, une technique dénommée Controlled Atmosphere Temperature Treatment (CATT) est utilisée commercialement pour désinfecter les fraisiers avant la plantation. En soumettant les transplants à des paramètres précis de température (35°C) et d'atmosphère contrôlée (50% CO2 et 10% O2) pendant 48 h, plus de 99% des acariens sont éliminés sans effets négatifs sur les plants. L'objectif de ce projet de maîtrise était de tester à plus petite échelle la technique CATT à l'aide de deux caissons expérimentaux construits à l'Université Laval. Dans un premier volet, l'efficacité de la technique hollandaise a été évaluée lors de deux essais en serre. Après quatre semaines de croissance, les plants ayant reçu le traitement CATT avaient 99,9% moins de formes mobiles de tarsonèmes que les plants témoins non-traités. Pour le deuxième volet du projet, des essais ont été réalisés chez deux producteurs de fraises afin de vérifier les effets du traitement CATT sur la vigueur des plants. Les risques de mortalité après la plantation étaient plus grands pour les plants traités, la production de stolons a été maintenue ou augmentée tandis que les rendements ont été maintenus ou diminués. Les résultats obtenus pour les deux volets du projet suggèrent que la technique CATT est hautement efficace pour contrôler le tarsonème du fraisier, mais son utilisation serait plus appropriée sur des plants destinés à la propagation que sur ceux destinés à la production de fruits. / Cyclamen mite (Phytonemus pallidus Banks) is an economically important pest of strawberry in Quebec, but control methods are currently limited. As it hides within young leaves and flower buds inside plants' crowns, the mite is hard to reach by natural enemies or pesticide applications. Establishing new fields with clean transplants remains the most effective way to prevent outbreaks. A technique called Controlled Atmosphere Temperature Treatment (CATT) is used commercially in the Netherlands to disinfect strawberry planting material. When transplants are subjected to 35°C, 50% CO2, 10% O2 under high relative humidity for 48 h, more than 99% of cyclamen mites can be eliminated without adversely affecting plant vigor. The objective of this project was to test this CATT technique on a smaller scale using two experimental units built at Université Laval. In the first part of this study, two greenhouse experiments were carried out to validate the effectiveness of the treatment. After four-week growth, mobile forms of cyclamen mites were reduced by 99.9% for plants that were treated with CATT before planting compared to untreated control plants. For the second part of the study, experiments with mother-plants, short-day strawberries and day-neutral strawberries were conducted on two farms in southern Quebec to assess the survival, yield and growth of different cultivars and types of strawberry plants that were treated before planting. Plant mortality risks were slightly higher for transplants that received CATT, runner production was either unaffected or increased while fruit yields were either unaffected or decreased. Results obtained during this project suggest that CATT is highly effective to eliminate cyclamen mites from strawberry transplants, but its application should be limited to plants intended for propagation rather than plants intended for fruit production.
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Caractérisation de la farnésyl diphosphate synthase et de la géranylgéranyl diphosphate synthase chez les lépidoptères : cibles potentielles pour la lutte bio-rationnelle contre les ravageurs

Barbar, Aline 20 April 2018 (has links)
La présente thèse porte sur la caractérisation de deux prényltransférases chez les Lépidoptères, la farnésyl diphosphate synthase (deux paralogues, FPPS-1 et FPPS-2) et la géranylgéranyl diphosphate synthase (GGPPS). Cette caractérisation s’inscrit dans le cadre de l’identification de leurs caractéristiques spécifiques chez les Lépidoptères en vue de leur utilisation comme cibles dans la lutte bio-rationnelle contre les ravageurs. Dans la présente étude, nous clarifions l'implication de chaque paralogue de FPPS dans la biosynthèse de l’hormone juvénile (JH), se basant sur l'évaluation de leur distribution tissulaire et de leurs propriétés cinétiques. Les quantifications transcriptionnelles et par immunodétection de ces paralogues dans différents tissus ont indiqué que l'expression de la FPPS-1 est ubiquitaire mais principalement détectée dans les tubules de Malpighi, alors que l’expression de la FPPS-2 est confinée aux corps allates (CA). Les analyses cinétiques de la FPPS-2 tronquée en N-terminal révèlent quelques caractéristiques uniques aux Lépidoptères. Toutefois, la forme tronquée de la FPPS-1 s’est avérée inactive. Tous ces résultats suggèrent que la FPPS-2 est la FPPS de Lépidoptères impliquée dans la biosynthèse de JH dans les CA de larves et d'adultes, alors que des analyses transcriptionnelles préliminaires suggèrent que la FPPS-1 pourrait jouer un rôle important dans la prénylation de protéines. D’autre part, la caractérisation biochimique de la GGPPS chez un Lépidoptère, indique son appartenance aux GGPPS de type III, comme les GGPPS humaine et bovine. De façon inattendue, les analyses cinétiques sur la GGPPS et son modèle moléculaire révèlent des modes de liaison alternatifs pour son substrat allylique et son produit, induisant l’inhibition de l'enzyme. L’inhibition par son substrat est particulière à la GGPPS du Lépidoptère, présumément en raison de distinctions structurales décelées par modélisation moléculaire. Les analyses transcriptionnelles de cette GGPPS suggèrent son implication dans la prénylation des protéines. Globalement, nos observations mettent en évidence les caractéristiques uniques de ces enzymes chez les Lépidoptères et suggèrent la possibilité de les utiliser comme cibles pour le développement éventuel de pesticides inhibiteurs qui inactiveraient la biosynthèse de JH et la prénylation des protéines, perturbant ainsi le développement, la métamorphose et la reproduction des Lépidoptères ravageurs. / The present thesis focuses on the characterization of two lepidopteran prenyltransferases, namely farnesyl diphosphate synthase (FPPS), for which there are two paralogs, FPPS-1 and FPPS2, and geranylgeranyl diphosphate synthase (GGPPS). The main goal of this research was to identify features that are unique to the lepidopteran enzymes so as to assess their suitability as targets for bio-rational pest control. In this study, we clarified the implication of each FPPS paralog in juvenile hormone (JH) biosynthesis, based on the evaluation of their tissue distribution and kinetic properties. Transcriptional quantification and immunodetection analyses confirmed the ubiquitous expression of FPPS-1 and its high titres in Malpighian tubules, while FPPS-2 expression was confined to the corpora allata (CA). Kinetic analysis of an N-terminally truncated form of FPPS-2 revealed certain unique features to the Lepidoptera. However, a similarly truncated form of FPPS-1 was inactive in vitro. Altogether, these results suggest that FPPS-2 is the lepidopteran FPPS paralog involved in JH biosynthesis in the CA at all stages of development, while preliminary transcriptional analysis suggests that FPPS-1 could play a role in protein prenylation. Characterization of a lepidopteran GGPPS indicated that it belongs to the type III group of GGPPSs, as do the human and bovine GGPPSs. Kinetic analysis of this GGPPS and its molecular modeling pointed to alternative binding modes for its allylic substrate and product, both of which can induce enzyme inhibition. Substrate inhibition appears unique to the lepidopteran GGPPS, possibly due to structural differences that were revealed by homology modeling. Globally, the findings reported herein highlight the unique features of these enzymes in the Lepidoptera and suggest the possibility of using them as targets for the development of insecticidal inhibitors that could block JH biosynthesis and protein prenylation, thereby disrupting development, metamorphosis and reproduction in lepidopteran pests.
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Lutte biologique contre le tarsonème du fraisier (Acari : Tarsonemidae) à l’aide d’acariens prédateurs (Acari : Phytoseiidae) en fraisière

Patenaude, Stéphanie 02 February 2021 (has links)
Le tarsonème du fraisier Phytonemus pallidus Banks (Acari : Tarsonemidae) est un acarien ravageur invisible à l’œil nu et de plus en plus préoccupant en fraisière en raison des pertes de rendement considérables qu’il occasionne. Le retrait récent de l’insecticide/acaricide endosulfan nécessite la recherche de solutions de remplacement. La lutte biologique à l’aide d’acariens prédateurs (Acari : Phytoseiidae) fait partie de celles-ci, mais aucune recherche n’avait encore été réalisée en champ sous les conditions du Québec afin de valider sa faisabilité. Les objectifs de cette étude étaient : (1) évaluer l’efficacité de trois espèces d’acariens phytoséiides, Neoseiulus cucumeris Oudemans, N. fallacis Garman et Amblyseius andersoni Chant, à contrôler le tarsonème du fraisier en conditions de fraisières commerciales; (2) évaluer le rendement et la qualité des fruits en lien avec cette méthode de lutte; (3) examiner l’effet possible de ces prédateurs sur d’autres ravageurs en fraisière et (4) mieux comprendre la dynamique de population du tarsonème du fraisier sous notre climat. Nos résultats démontrent que N. cucumeris offre une bonne efficacité, mais qu’il est très sensible au froid et trop dispendieux pour une utilisation en champ. En 2017, lorsqu’un plafond de coût fut fixé (1000-ha), aucun des trois prédateurs n’a pu réduire de façon significative le nombre de tarsonèmes. Le suivi des populations de ce ravageur au champ a permis la confirmation de certains faits connus, tout en permettant l’acquisition de connaissances nouvelles et essentielles sur sa phénologie. À la lumière des résultats obtenus, les trois phytoséiides ont offert un contrôle insuffisant du tarsonème du fraisier en champ dans les conditions expérimentées. Le tarsonème du fraisier demeure un problème très complexe et beaucoup de recherches supplémentaires sont nécessaires. / The cyclamen mite Phytonemus pallidus Banks (Acari: Tarsonemidae) is a major pest in strawberry production, causing serious yield losses. Due to the recent phase-out of endosulfan in Canada, alternative treatments are required. Biological control with predatory mites (Acari: Phytoseiidae) is promising, but its effectiveness under the conditions in Eastern Canada’s strawberry fields remains unknown. The aim of this study was to (1) assess the potential of three phytoseiid mite species: Neoseiulus cucumeris Oudemans, N. fallacis Garman and Amblyseius andersoni Chant to control cyclamen mites in commercial strawberry fields in the province of Québec; (2) measure the effect of this control method on fruit yield and quality; (3) evaluate predatory mite effects on other pests in the field and (4) monitor field populations of cyclamen mites. In 2016, our results showed that N. cucumeris was able to effectively suppress cyclamen mites but was too expensive for commercial use and appeared to be too cold-sensitive to maintain adequate control throughout the season in this region. In 2017, with an upper limit on the biocontrol cost (1000/hectare), none of the predator species achieved effective control. Monitoring cyclamen mite populations in the field has confirmed some well-known facts on this pest and has led to the acquisition of new and essential knowledge on its phenology. Based on these results, all three phytoseiid mites provided insufficient control of cyclamen mites under the in-field conditions tested. Control of the cyclamen mite remains a very complex issue and further research is needed.
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Azote et agriculture durable, approche systémique en fermes-pilotes

Van Bol, Vincent 25 October 2000 (has links)
La thèse est basée sur deux expériences avec des fermes-pilotes. ECOFARM est une recherche qui a été menée entre 1993 et 1996 avec des fermes mixtes laitières biologiques en vue de développer un système de production durable. PROP'EAU-SABLE est une expérience débutée en 1997 et encore en cours au moment de la publication de cette thèse. Cette deuxième recherche est menée avec des fermes conventionnelles (grandes cultures et polyculture-élevage) dans le but de réduire la pollution azotée des eaux souterraines. Les deux expérimentations ont permis d'établir une méthode de développement de systèmes de production durable en ferme-pilote. La méthode est basée sur la sélection d'indicateurs et de normes en relation avec les objectifs du système de production agricole à développer. Un premier relevé des indices, constituant un état initial des lieux, est effectué dans chacune des fermes-pilotes soigneusement sélectionnées au préalalble pour participer à l'expérience. Ensuite, en fonction des indices relevés, les agriculteurs-pilotes sont progressivement amenés à améliorer leur ferme. Les techniques utilisées à cette fin constituent, petit à petit, des méthodes systémiques de gestion. A terme, ces méthodes sont destinées à être diffusées au sein de la profession agricole. Outre l'étude méthodologique de développement de systèmes de production en ferme-pilote, la recherche ECOFARM a fait l'objet d'une étude approfondie des indicateurs de gestion de l'azote. Cette étude est présentée sous la forme de trois projets de publications scientifiques. Dans un premier projet d'article, les flux d'azote ont été analysés au niveau de l'assolement des fermes-pilotes. Le calcul de l'indicateur SBA (Solde du Bilan d'Azote) a permis de constater des différences importantes entre les fermes. Il est apparu que ces différences sont stables au cours des trois années d'observation malgré des pratiques de fertilisation fort variables d'une année à l'autre. Sur trois années de suivi, seule une ferme sur huit a dépassé la norme. En moyenne, le SBA a été situé à 93kg N.ha exp -1.an exp -1. La fixation symbiotique et la fertilisation ont contribué chacune pour un tiers, en moyenne, des entrées d'azote sur l'assolement. Les productions végétales ont contribué pour un tiers environ aux sorties d'azote de l'assolement. Une relation positive a été mise en évidence entre le SBA d'une part et la fertilisation et la production animale d'autre part. Une relation négative a été montrée entre le SBA et la Surface Agricole Utile (SAU). L'indicateur APL (Azote Potentiellement Lessivable) est analysé dans un deuxième projet d'article. L'étude a mis en évidence l'avantage d'effectuer un prélévement de sol jusqu'à 1,5 m de profondeur. Il est apparu que, lorsque les conditions climatiques ont entraîné une augmentation générale des reliquats d'azote nitrique dans le sol, les fermes biologiques n'étaient pas à l'abri d'un risque de pollution des eaux souterraines. La mise au point d'un indicateur transformé : l'APL relatif, a permis la comparaison des fermes malgré la forte variabilité interannuelle de l'APL. Le calcul de l'APL pour chaque culture prise séparément a permis de dégager les cultures à risques des cultures sans risques pour le lessivage de l'azote dans les systèmes de production mixtes laitiers biologiques. Le troisième projet d'article présente les résultats de l'analyse de la relation entre le SBA, l'APL et les caractéristiques des six fermes-pilotes. Il est apparu que ni les SBA ni l'APL ne sont significativement liés aux caractéristiques des fermes-pilotes lorsque les régressions sont effectuées à partir des données annuelles. Au contraire, lorsque les observations sont menées sur plusieurs années, la moyenne des valeurs s'est avérée significativement liée à plusieurs caractéristiques des fermes-pilotes. Ainsi, des relations ont été trouvées entre l'APL moyen et la fertilisation, la charge animale, l'estimation de la volatilisation à l'épandage et le taux de matière organique du sol. Des équations significatives relient aussi le SBA aux pertes sur le chemin de la traite et à la volatilisation à l'épandage. Une relation où SBA = 1,22 APL + 4,26 (Bilan humique) - 77 a été mise en évidence pour le groupe de fermes-pilotes où la surface de prairies pâturées et mixtes est comprise entre 23,4 et 55% de la SAU. Des développements de cette relation ont abouti à calculer une limite empirique du SBA pour chaque ferme en fonction de la part de prairies pâturées et mixtes dans la SAU ce qui permet un meilleur contrôle des risques de pollution azotée. La relation entre SBA, APL et le bilan humique permet, en outre, d'envisager de calculer en ferme un risque de lessivage de l'azote à partir du bilan annuel d'azote de l'assolement.
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Conservation des amphibiens : de la theorie à l'action

Lesbarrères, David January 2006 (has links)
No description available.
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Lutte attracticide et lâchers inondatifs de trichogrammes contre le carpocapse de la pomme, cydia pomonella (lepidoptera : tortricidae)

Aubry, Olivier January 2008 (has links) (PDF)
Le carpocapse de la pomme est un ravageur majeur en vergers de pommiers à l'échelle du globe. La lutte chimique est généralement utilisée pour réprimer cet insecte à l'origine de dommages à l'intérieur des pommes. Il existe d'autres moyens de lutte contre le carpocapse à risques réduits pour l'Homme et l'environnement, dont la lutte attracticide et la lutte biologique à l'aide de parasitoïdes. La lutte attracticide est une combinaison d'un leurre sémiochimique attractif qui attire les mâles et d'un produit insecticide qui les tue. La population est ainsi réduite par l'absence d'accouplements. La lutte biologique par lâchers inondatifs consistent en l'introduction de milliers de parasitoïdes dans le but d'augmenter le taux de parasitisme d'un ravageur ciblé afin de prévenir les dommages économiques. L'objectif du premier chapitre est d'évaluer si la lutte attracticide est un outil efficace pour lutter contre le carpocapse de la pomme dans les vergers de pommiers du Québec et si ce type de lutte est compatible avec la lutte biologique lors de l'utilisation de parasitoïdes trichogrammes. Lors de nos expérimentations, la lutte attracticide contre le carpocapse de la pomme a été peu efficace, alors que couplée à la lutte biologique à l'aide de lâchers de trichogrammes, elle semble être une meilleure méthode pour contrôler ce ravageur. L'utilisation d'un parasitoïde généraliste nécessite de bien comprendre son comportement dans le système étudié. Le parasitoïde oophage Trichogramma minutum Riley (Hymenoptera: Trichogrammatidae) est généraliste et s'attaque généralement aux lépidoptères ravageurs. Le carpocapse de la pomme, Cydia pomonella L. (Lepidoptera: Tortricidae) et la tordeuse à bandes obliques (TBO) Choristoneura rosaceana Harris (Lepidoptera: Tortricidae) sont deux hôtes de T. minutum dont les sites de ponte et les stratégies d'oviposition sont très différents. L'objectif du deuxième chapitre était d'étudier les facteurs déterminant le parasitisme de T. minutum face à deux hôtes qui exploitent des sites de pontes différents et qui possèdent une stratégie de ponte très différente. Nos résultats ont montré qu'une femelle T. minutum va se déplacer dans un pommier indépendamment du site de ponte du carpocapse ou de la TBO. Elle va ensuite pondre dans tous les hôtes acceptables qu'elle va rencontrer. Mais, il sera plus profitable pour elle de pondre dans des oeufs de carpocapse plutôt que dans des oeufs de TBO. Pendant les lâchers inondatifs, les parasitoïdes T. minutum ont été relâchés sous forme de pupes à l'intérieur d'hôtes jusqu'à émergence. L'objectif du troisième chapitre était d'évaluer la susceptibilité à la prédation d'oeufs parasités par T. minutum utilisés lors des lâchers inondatifs dans un verger de pommiers. La perte d'oeufs parasités sur les trichocartes utilisées lors d'un lâcher inondatif est relativement importante (prédation, facteurs abiotiques, mortalité). Il serait intéressant d'améliorer les techniques de lâchers inondatifs afin de minimiser ces pertes. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Cydia pomonella, Attracticide, Parasitoïdes, Trichogramma minutum, Choristoneura rosaceana, Vergers de pommiers.

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