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A flora of Bexar County, Texas ...Metz, Mary Clare, January 1934 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Catholic University of America, 1934. / At head of title: The Catholic University of America. Biographical items.
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Studies on the vegetation of IcelandHansen, H. Mølholm January 1930 (has links)
Thesis--Copenhagen. / Published also as The botany of Iceland, edited by L. Kolderup Rosenvinge and Eug. Warming, vol. III, pt. I, 10. "Oversigt": p. [ix]-xvi. "Litterature": p. [183]-186.
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Étude biosystématique de la section Conyzopsis du genre Aster (Asteraceae)Houle, Francine 02 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Cette étude biosystématique a pour but de déterminer la composition, la nomenclature et l évolution de la section Conyzopsis. Les diverses hypothèses rapportées dans la documentation mentionnent la présence de deux, quatre ou cinq taxons reliés aux genres Aster, Erigeron, Conyza ou Brachyaçtis selon les auteurs consultés. Notre démarche expérimentale consiste à établir la morphologie, la distribution, l écologie, le nombre chromosomique, le mode de reproduction, la possibilité d'hybridation artificielle et les électrophorégrammes des taxons afin de connaître la distance génétique et les facteurs d'isolement entre les espèces. Nos travaux de recherche ont contribué largement à la connaissance de la biologie du groupe. Nos études taxonomiques traditionnelles nous ont permis d'établir la présence de trois taxons dans la section: Aster frondosus, A. brachyactis et A. Laurentianus. Ces trois espèces se caractérisent par des différenées morphologiques ténues mais nettes et des préférences écologiques distinctes. La culture de ces espèces dans des conditions uniformes, a confirmé la stabilité des caractères diagnostiques et révélé des différences dans le développement et la floraison de l'A. laurentianus. Cependant, les variétés de l A. laurentianus et les sous-espèces de l A. brachyactis ne sont pas reconnues.
La cytologie nous a informés que la section Conyzopsis est composée d'espèces diploides à 2n = 14 chromosomes. L'étude de la reproduction nous a révélé que le groupe est autocompatible. L'A. brachyactis et l'A. laurentianus sont des espèces fortement autofécondes alors que l A. frondosus peut aussi se reproduire par fécondation croisée. Nos expériences d'hybridation artificielle ont démontré une interfécondité unididirectionnelle entre les espèces (A. brachyactis (♀) x A. frondosus (♂); A. laurentianus (♀) x A. frondosus (♂); A. laurentianus (♀) x A. brachyactis (♂)). Quoique des hybrides fertiles puissent être produits expérimentalement, l'isolement des espèces en nature est assuré par l'autofécondation de l A. brachyactis et de l'A. laurentianus. La production d'hybrides A. frondosus (♀) x A. modestus (♂) a confirmé les relations étroites du groupe étudie avec le genre Aster. Les analyses électrophorétiques ont mis en évidence une grande similarité génétique entre l'A. brachyactis et l'A. laurentianus et une distance plus considérable de l A. frondosus. L ensemble de nos résultats suggère une lignée évolutive caractérisée par deux spéciations rapides et successives: A. frondosus → A. brachyactis → A. laurentianus. La position ancestrale de l A. frondosus reflète une origine nord-américaine pour la section Conyzopsis.
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Effets des plantes exotiques et envahissantes sur la diversité et la composition de boisés urbains dans la grande région métropolitaine de MontréalGélinas-Lemay, Roxanne 04 1900 (has links)
La hausse de l’urbanisation et la hausse d’introduction des espèces exotiques qui l’accompagne sont parmi les plus grands risques pour la biodiversité. Les espèces exotiques peuvent non seulement affecter la diversité alpha et réduire les populations d’espèces indigènes, mais également entrainer des changements de la biodiversité bêta. Toutefois, ces phénomènes sont complexes et la littérature sur le sujet présente des résultats variés. C’est pourquoi le but de cette recherche est d’étudier l’influence des espèces exotiques et envahissantes sur la diversité alpha et bêta de 61 boisés urbains de la grande région de Montréal. Nos résultats ont montré que les espèces envahissantes ont un effet plus grand que les espèces non envahissantes sur la diversité alpha. Elles sont toutes deux associées à une hausse de la richesse totale et de la diversité alpha. Toutefois, une hausse du couvert des espèces envahissantes est associée à une diminution de la richesse et du couvert des espèces indigènes. Nos résultats ont également montré qu’un grand couvert en espèces envahissantes provoque des changements significatifs de la diversité bêta en réduisant la différence entre les sites. À l’opposé, lorsque la richesse en espèces exotiques est grande, nous avons observé une différenciation en espèces indigènes qui serait expliquée par la diminution de leur richesse. Pour finir, nous avons constaté que les espèces exotiques et envahissantes sont associées à un changement significatif de la composition en espèces. Nos résultats suggèrent que les espèces exotiques, tout particulièrement les espèces envahissantes, sont associées à des changements importants de la diversité des boisés urbains. Toutefois, des études supplémentaires sont nécessaires pour confirmer si elles sont responsables de ces changements ou simplement le symptôme de perturbations sous-jacentes. / Urbanization and exotic species introduction associated with it are among the most important causes of the current biodiversity crisis. These disturbances are associated with a decrease in native species alpha diversity and with changes in beta diversity worldwide. However, those changes are complex, and studies on this subject show mixed results. Consequently, the impact of exotic species on native flora is still up for debate. In this context, we aimed to study the relationship between exotic and invasive species on the diversity of 61 forest patches in the Metropolitan region of Montreal. Our analysis showed that invasive species had slightly more impact on native diversity than non-invasive ones. However, the effects of invasive and non-invasive species were similar. They both added to the total richness, and their richness was associated with an increase of alpha diversity. They were also associated with a decrease in native species cover and the invasive species with a reduction of native richness. We also found that a high cover in exotic species, especially invasive ones induced homogenization in urban forest patches. However, at high richness, they tend to induce differentiation in native species beta diversity, caused by a decrease in native species richness. Finally, we found that exotic species induce significant changes to the species composition of the forest patches. Our results suggest that exotic species, especially invasive ones, are associated with significant changes in urban forest diversity. However, further research is needed to verify if they are direct actors in those changes or symptoms of underlying disturbances.
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