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Habitudes alimentaires et pratique médicale dans deux couvents féminins bruxellois au XVIIIe siècle

Libert, Marc January 1997 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'urbanisation de Bruxelles au Moyen-Age: depuis les origines jusqu'au milieu du XIVe siècle

Regnier, P.-L. January 1932 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Undocumented and legal Eastern European immigrants in Brussels /

Paspalanova, Mila. January 2006 (has links)
Proefschrift--Faculteit Sociale wetenschappen--Katholieke universiteit Leuven, 2006. / La couv. porte en plus : "Katholieke universiteit Brussel" et "n°110" Bibliogr. p. 455-479.
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Beklagtenwohnsitz und Erfüllungsort im europäischen IZPR : aus schweizerischer Sicht unter Berücksichtigung der EuGV-VO /

Rodriguez, Rodrigo, January 2005 (has links)
Dissertation--Rechtswissenschaftliche Fakultät--Universität Freiburg Schweiz, 2005. / IZPR = internationales Zivilprozessrecht. Bibliogr. p. XVII- XXX.
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Französisch und Niederländisch in Brüssel : eine Fallstudie /

Panowitsch, Doris, January 1994 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Universität zu Köln, 1994. / Bibliogr. p. 199-206.
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Jurisdiction in contract and tort under the Brussels convention /

Hertz, Ketilbjørn. January 1998 (has links)
Th. Ph. D.--Droit--Københavns universitet, 1998. / Bibliogr. p. 15-24. Index.
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Structure et dynamique du commerce de détail bruxellois: une approche sous l'angle des facteurs de localisation différentielle

Wayens, Benjamin 22 June 2006 (has links)
Ce travail analyse la localisation du commerce de détail bruxellois sous l'angle des facteurs de localisation différentielle, c'est-à-dire en examinant les caractéristiques des lieux qui ont une influence sur le fonctionnement du commerce, en terme de chiffre d'affaire ou de bénéfice, qui contribuent à la survie d'un commerce et qui engendrent des localisations diverses selon les types de commerces. Pour mettre en évidence ces facteurs, les analyses exploitent le postulat selon lequel la localisation à un moment donné d’un commerce ayant certaines caractéristiques répond à des contraintes, les facteurs de localisation, qui sont prises en compte de manière explicite ou implicite. La géographie du commerce dans la ville à un moment donné en traduit l'influence combinée.<p><p>L'analyse mobilise un inventaire détaillé décrivant la localisation du commerce bruxellois en 1997. Une première exploitation, dans une logique déductive, a permis de tester systématiquement l'effet de distinctions spatiales jugées pertinentes sur la structure des fonctions commerciales. Cela a surtout eu pour objet de mettre en évidence, sur une base empirique cohérente (unité de temps, de lieu et de nomenclature), la sensibilité des divers types de commerces aux facteurs de localisation différentielle les plus communément cités (hiérarchie, micro-centralité, spécialisation, standing, population non-résidentes, caractéristiques de l'environnement et du bâtiment). Pour ce faire, on a d'abord cherché à classer les lieux selon leurs propriétés vis-à-vis du facteur de localisation considéré et à discerner si ces différenciations contribuaient à moduler les profils de localisation des différents types de commerces.<p><p>Sur base de ce profil de localisation, la réponse des types de commerces aux contraintes imposées par le facteur de localisation et les mécanismes de différenciation qu'il entraîne ont été mis en lumière. Enfin, le classement des types de commerces vis-à-vis de chaque facteur de localisation différentielle a servi à construire de nouveaux indicateurs permettant de décrire les caractéristiques et le fonctionnement de l'espace commercial sur la base d'inventaires commerciaux.<p><p>Une seconde démarche, dans une logique inductive, a consisté à explorer l'ensemble des données disponibles dans la SitEx en vue d'en dégager les discriminations les plus marquantes. Cette analyse de la structuration spatiale du commerce à Bruxelles avait pour but la recherche d'affinités spatiales, qui ont ensuite été interprétées en terme de facteur de localisation différentielle. Les résultats ont confirmé qu'il est possible de discerner par des outils géostatistiques classiques les affinités spatiales du commerce dans la ville et que ces affinités peuvent être souvent raccrochées aux facteurs de localisation énumérés par la littérature. Mais surtout, ces analyses multivariées contribuent à l'évaluation de l'importance relative de ces différents facteurs dans la différenciation des paysages commerciaux.<p><p>Après avoir examiné l'impact des évolutions récentes (1997-2002, dans les principaux nodules commerçants) sur les résultats engrangés sur base des données exhaustives de 1997, les éléments en faveur d'une approche des facteurs de localisation différentielle par l'analyse des inventaires commerciaux ont été synthétisés, des applications pratiques évoquées et des compléments d'investigation proposés. / Doctorat en sciences, Spécialisation géographie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La production capitaliste des logements à Bruxelles: promotion immobilière et division sociale de l'espace / Capitalist production of housing in Brussels: real estate development and the social division of space.

Romainville, Alice 25 June 2015 (has links)
Dans le système de production de l’habitat qui existe à Bruxelles, en ce début de 21ᵉ siècle, le logement est à la fois un bien répondant à un besoin vital, un bien faisant l’objet d’un droit inscrit dans la constitution, et une marchandise. Sa production est majoritairement laissée à des sociétés privées – pour l’essentiel des sociétés de promotion immobilière – auxquelles on laisse aussi le soin d’en fixer les prix, sur base de leur perception du marché du logement. Un marché où se rencontrent une demande et une offre, des “consommateurs” et des producteurs de logements, dont les intérêts sont diamétralement opposés. Un marché qui, contrairement à ce qu’en attend la théorie économique néoclassique, ne crée pas un équilibre, mais une crise perpétuelle. Un marché qui entretient et amplifie les inégalités sociales, et dont le fonctionnement génère, à Bruxelles, des conditions de vie indignes pour une part croissante de ménages.<p><p>Cette étude lève le voile sur les mécanismes à l’œuvre du côté des sociétés qui sont les agents principaux de la production capitaliste de logements. Ces sociétés sont celles qui assurent, dans le domaine résidentiel, la fonction de promoteur immobilier (une fonction assurée par toutes sortes de sociétés, qui n’ont pas toutes officiellement la promotion immobilière comme activité principale). Il s’agit d’étudier empiriquement les façons dont ces sociétés utilisent, entretiennent, et transforment l’espace urbain et la géographie résidentielle des différentes classes sociales dans la ville.<p><p>La partie théorique propose une réflexion sur la façon dont les promoteurs peuvent maximiser leur taux de profit à travers la localisation de leurs opérations de logements. Elle fait le lien entre les pratiques des promoteurs telles que j’ai pu les observer, la théorie de la rente foncière, et la question de la reproduction / transformation de la division sociale de l’espace. La partie empirique porte sur les promoteurs de logement, à Bruxelles, dans les années 2000. Elle décrit les promoteurs de logement actifs en Région bruxelloise, sur la base des données disponibles, par l’intermédiaire d’une typologie et de portraits d’entreprises. Elle compare ensuite les stratégies spatiales des différentes sortes de promoteurs, ce qui permet d’identifier les caractéristiques spécifiques qui influencent leurs choix de localisation. / Doctorat en sciences, Spécialisation géographie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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« Et en plus, on travaille avec le quartier ». Analyse des tensions entre équipements culturels hybrides et quartiers populaires en voie de gentrification.

Debersaques, Simon 03 July 2020 (has links) (PDF)
Cette thèse a été réalisée au sein du Metrolab.brussels – un laboratoire interdisciplinaire et interuniversitaire d’analyse critique et appliquée de la programmation FEDER 2014-2020 (faisant lui-même partie des 46 projets financés par ces fonds européens). En parallèle aux activités collectives et transversales du Metrolab, le travail individuel de la thèse portait sur les logiques et les effets socio-spatiaux du « développement urbain par la culture », à savoir une action politique visant à instrumentaliser la culture dans les stratégies métropolitaines. Ces stratégies de « culture-led Regeneration » émergent dans les années 1980 aux États-Unis en parallèle à la « marchandisation de la culture » et à la « compétitivité interurbaine » croissantes. Ce modèle urbain se matérialise notamment par un investissement public et/ou privé massif dans de grands équipements iconiques – dont le contenant (architecture) importe autant que le contenu (programmation artistique) -, implantés sur d’anciennes friches industrielles et/ou portuaires. Si ce modèle s’est progressivement diffusé en Europe, et dont le Guggenheim à Bilbao reste aujourd’hui l’exemple le plus emblématique, une diversification des formes s’observe depuis le début des années 2000 dans différents contextes métropolitains. Ceci étant dit, cette recherche s’est intéressée à un nouveau type d’équipement culturel, de taille relativement plus modeste, souvent implanté dans des quartiers résidentiels (péri-)centraux en voie de gentrification. Ces derniers ont été qualifiés d’« équipements culturels hybrides » afin de mettre en évidence leur fonctionnement ambivalent caractéristique, visant à la fois le renforcement des politiques de « revitalisation urbaine » à travers l’attractivité engendrée par leurs activités artistiques, mais aussi le renforcement des politiques « d’inclusion sociale » à travers le développement d’activités socioculturelles à destination des habitants des quartiers populaires avoisinants.Ce cadre théorique et spatio-temporel étant établi, l’enquête empirique avait dès lors pour hypothèse l’émergence de tensions sociales et spatiales associées à cette ambivalence dans le fonctionnement de ces « équipements culturels hybrides ». Pour ce faire, six cas d’études – financés de près ou de loin par les différentes programmations FEDER – ont été choisis dans deux communes bruxelloises mobilisant explicitement la culture comme levier de développement de leurs anciennes zones industrielles :le « bas de Forest » (le Centre d’art contemporain WIELS, le Centre culturel BRASS et le futur Pôle culturel ABY) et le « Vieux Molenbeek » (le Gemeenschapscentrum De Vaartkapoen, le Centre d’arts numériques iMAL et le Musée MIMA). L’enquête de terrain a privilégié une combinaison de méthodes qualitatives et longitudinales afin d’interpréter les interactions entre ces équipements et leurs quartiers d’implantation :entretiens semi-directifs, enquêtes par questionnaires des publics, ateliers cartographiques avec des groupes d’habitants, et enfin observations et relevés de terrains des activités culturelles et des transformations urbaines à l’œuvre.Comme l’abondante littérature anglophone sur les stratégies de « culture-led regeneration » le mentionnait déjà au début des années 2000 [Belfiore, 2002 ;Stevenson, 2004 ;Bailey et al. 2004 ;Basset et al. 2005 ;Evans, 2005 ;Sharp et al. 2005], loin des discours iréniques et performatifs des acteurs sur les bienfaits en matière de mixité sociale et de cohésion sociale, des tensions sociales - toutefois plus subtiles - émergent de ce nouveau type de développement urbain par la culture. Dans cette recherche, nous avons plus particulièrement mis avant les effets symboliques de ces équipements culturels hybrides en parallèle aux dynamiques de gentrification. D’une part, le rôle de ces derniers dans la revalorisation symbolique des espaces urbains populaires, en renforçant leur attractivité résidentielle, immobilière et/ou métropolitaine. Et d’autre part, leur rôle dans la pacification et la normalisation sociale de ces quartiers. L’étude empirique nous a finalement amenés à discuter de ces tensions spatiales en termes de classes sociales, en pointant d’un côté la valorisation des usages et visions du quartier des nouveaux résidents issus des classes intermédiaires, et d’un autre côté l’invisibilisation des classes populaires, en particulier leurs ressources sociales et symboliques – pourtant extrêmement précieuses pour s’adapter et résister au quotidien aux logiques d’exclusion et de domination sociales. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'action de réhabilitation du logement: analyse d'un processus de valorisation de l'espace urbain bruxellois

Noël, Françoise January 1995 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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