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Contribution à une méthodologie de capitalisation des connaissances basée sur le raisonnement à partir de cas : Application au diagnostic dans une plateforme d'e-maintenance.Rasovska, Ivana 04 July 2006 (has links) (PDF)
Face aux évolutions technologiques, à la complexité croissante des équipements industriels et à la dynamique des processus ainsi qu'aux changements organisationnels et à la mobilité du personnel, les responsables de maintenance cherchent à formaliser et pérenniser le savoir et le savoir-faire des employés. Pour répondre à cette problématique, notre objectif est de fournir un service d'aide à la maintenance qui utilise et capitalise les connaissances. Nos travaux se situent dans le cadre du projet Européen Proteus qui a permis de développer une plateforme distribuée d'e-maintenance intégrant les différents systèmes et applications existants en maintenance. Nous avons déterminé quatre niveaux d'applications associés chacun à un ensemble d'outils d'aide : le niveau d'analyse d'équipement, celui de diagnostic et d'expertise, celui de gestion des ressources et celui de gestion des stratégies de maintenance. Ces outils d'aide nécessitent une expertise capitalisée que nous proposons de préserver dans une mémoire d'entreprise. Afin d'élaborer la mémoire ainsi que notre outil d'aide au diagnostic et à la réparation, nous avons introduit une démarche de capitalisation des connaissances articulée autour d'une méthodologie de raisonnement à partir de cas (RàPC) guidé par les connaissances. La conception de l'outil passe par la modélisation des connaissances qui se décline en un modèle de représentation (une ontologie du domaine) et en un modèle de résolution de problèmes (RàPC). Les modèles proposés utilisent des technologies émergeantes du Web sémantique permettant de faire évoluer le concept d'emaintenance vers un nouveau concept de s-maintenance (maintenance sémantique).
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Interaction et connaissance : construction d'une expérience dans le monde virtuelMouttapa Thouvenin, Indira 05 February 2009 (has links) (PDF)
Le cadre général de nos travaux de recherche est la réalité virtuelle. Cette discipline, dialogue entre disciplines scientifiques, a pour objectif la création de mondes virtuels et leur exploitation par l'homme. Elle s'intéresse à leur modélisation, c'est-à-dire aux modèles de simulation permettant de donner de la vie aux objets et êtres virtuels représentés à l'intérieur de ces mondes. De plus, elle étudie les interfaces de réalité virtuelle, c'est-à-dire les interfaces motrices et sensorielles donnant à l'utilisateur une perception de ses actions. Dans nos travaux, l'objectif est de comprendre comment l'expérience humaine peut être à la fois renforcée, capitalisée et ré exploitée en environnement virtuel. Nous considérons plus particulièrement les activités de formation, de conception et de collaboration pour lesquelles d'une part l'ingénierie des connaissances permet de modéliser et de proposer un niveau d'abstraction pertinent, et d'autre part pour lesquelles la réalité virtuelle offre des modes d'interaction avec retour sensoriel qui fait sens pour les acteurs impliqués (formateurs, formés, concepteurs, utilisateurs distants,...). Nous intéressons en particuliers aux environnements virtuels informés (EVI) dotés de modèles à base de connaissance dans lesquels il est possible à la fois d'interagir et de permettre des comportements par interprétation de représentations dynamiques ou statiques. Ces EVI sont des moyens puissants d'autoriser une évolution du système lors de l'activité de l'utilisateur mais aussi une évolution de l'utilisateur au fur et à mesure que le système est utilisé. L'approche énactive de la cognition ou « énaction » inspire nos travaux avec la notion « d'action guidée par la perception ». Cette notion provient à la base des réflexions de Francisco Varela, neurobiologiste qui s'est intéressé à la suite de ses travaux avec Maturana au Chili, à une alternative au computationnalisme et au connexionnisme pour comprendre la cognition. La tentative de F. Varela pour introduire des concepts de biologie en sciences cognitives et ses recherches en neurosciences aboutissent au concept de cognition incarnée (‘embodied cognition' ). Dans ce vaste champ d'investigation, nous avons choisi de nous concentrer sur une seule problématique, le couplage entre interaction et connaissance en environnement virtuel informé. Les expériences corporelles et intellectuelles permises par la réalité virtuelle sont étroitement liée à la phénoménologie et c'est cette grille de lecture qui nous a amenée à structurer notre mémoire : - d'une part, comment le fait d'interagir avec des objets de l'environnement virtuel, d'offrir à l'utilisateur le loisir d'explorer et de comprendre à son rythme et d'avoir à l'instant t une perception singulière d'un système, d'un phénomène ou d'une scène va permettre de construire une connaissance. L'utilisateur est cette fois acteur de cette construction, il est au cœur du processus qui lui est propre. Il peut alors partager cette connaissance construite à travers des systèmes collaboratifs évolués. - d'autre part, les connaissances représentées dans l'environnement, accessibles à l'utilisateur ou exploitées par le système vont l'aider à orienter son interaction, vont le guider, tels des guides virtuels ou des traces de son activité dans le monde virtuel. Nous aborderons ainsi des exemples de modèles d'environnements virtuels dans lesquels l'interaction est de plus en plus complexe, au fur et à mesure que les connaissances représentées sont « comprises » et « exploitées » dans l'environnement. Notre méthode de travail est fondée sur une recherche de généricité et de réutilisabilité, un lien fort entre réalité virtuelle et ingénierie des connaissances, orienté par les sciences cognitives, conduisant à l'émergence de concepts, de modèles et de méthodologies, par une approche mêlant à la fois théorie et technologie. Nous présentons de nombreux résultats au niveau des modèles, et des environnements informatiques pour des applications à la fois en conception, en formation et en communication.
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Approche systémique de la prise de décision en entrepriseStal-Le Cardinal, Julie 23 November 2009 (has links) (PDF)
L'objectif des travaux présentés dans cette habilitation à diriger des recherches est d'aider à la performance des systèmes industriels en facilitant les prises de décisions (par la capitalisation d'expérience, le choix des personnes, la vision globale de la stratégie de l'entreprise). Les travaux réalisés abordent conjointement les notions de conception, de décision, de projet (60ème section du Conseil National des Universités). Ces travaux sont réalisés au sein du laboratoire Génie Industriel de l'Ecole Centrale Paris, pour certains en collaboration directe avec le milieu industriel. La thématique générale de recherche est centrée sur les processus de prise de décision, principalement dans le domaine de la conception de produits et de services, et a pour objectif principal l'amélioration de leur efficacité. Dans un premier chapitre, la base scientifique de cette recherche est présentée, il s'agit de la modélisation du processus de prise de décision. Cette modélisation est déclinée sur les trois niveaux de la décision (présentés dans les 3 chapitres suivants). - Au niveau opérationnel : le modèle du processus de prise de décision est utilisé pour la capitalisation des connaissances afin de faciliter les prises de décisions techniques concernant la conception des produits et des services ; - Au niveau tactique : ce modèle générique a permis de développer une méthode d'aide au choix d'acteurs et d'analyser les décisions collaboratives ; - Au niveau stratégique : le modèle du processus de prise de décision a permis d'élaborer une véritable démarche projet à partir d'une analyse des dysfonctionnements. Un processus qui représente le cheminement nécessaire à toute décision a été défini, décision de conception de produit, telle que les choix technologique, décision de management de projet, telle que l'attribution de ressources, ou décision d'organisation d'entreprise, telle que le choix de réorganisation. Une définition sous forme d'un schéma global (Ligne de Vie de la Décision ou Decision Time Line, DTL) est proposée avec des étapes suffisamment génériques et exhaustives pour décrire toute décision à tout niveau. Un deuxième modèle a été développé sur la base de la DTL pour s'appliquer particulièrement aux processus de prise de décision dans les projets d'innovation (INtegrated Decision makInG mOdel, INDIGO). Dans un deuxième chapitre, des recherches sur le niveau opérationnel sont présentées, elles concernent essentiellement la capitalisation des connaissances dans le processus de conception. Une première posture de recherche consiste en la réalisation d'une analyse systémique des systèmes de gestion des connaissances. Ce premier résultat obtenu a ensuite été enrichi par l'étude de ces systèmes dans le processus de conception des projets d'innovation avec une application industrielle chez PSA Peugeot Citroën. En remontant le processus de conception à sa source, une analyse est en cours sur le partage des connaissances dans le cadre de la constitution d'un cahier des charges pour un nouveau produit. Dans un troisième chapitre, des recherches au niveau tactique, orientées sur les prises de décisions concernant le choix d'acteurs, sont présentées. Elles ont débouché sur l'élaboration d'une méthode d'aide au choix d'acteurs et sur la prise en compte des décisions collaboratives dans les projets. Une analyse des risques dans la prise de décision vient compléter ce chapitre. En adéquation avec l'objectif général de la productique, l'optimisation du triptyque qualité, coût, délai, une modélisation des dysfonctionnements dans le processus de prise de décision est proposée et permet de représenter et de quantifier l'impact des dysfonctionnements dans le processus de décision. L'étude des dysfonctionnements dans les processus de prise de décision se concrétise, ensuite, par une application au choix d'acteur et par une présentation des outils développés pour faciliter ce type particulier de décision. Ces outils sont regroupés sous le nom de SACADO, Système d'Aide aux Choix d'Acteur et aux Décisions d'Organisation. SACADO propose un processus cible à suivre pour réduire les risques de dysfonctionnements. Cette méthode permet également, pour un dysfonctionnement donné, d'en analyser les causes potentielles et d'en déduire des préconisations. Le quatrième chapitre concerne des recherches sur le niveau stratégique. Elles ont été initiées sur les décisions d'organisation et ont abouti à une proposition de démarche projet qui, lorsqu'elle est appliquée, peut remettre en cause l'organisation de l'entreprise. Les recherches présentées dans ce cadre concernent également la modélisation des entreprises et analysent des nouvelles formes d'organisation (équipes virtuelles, réseaux de compétences). L'un des axes de la méthodologie SACADO consiste en une méthode pour améliorer l'organisation d'une entreprise par l'analyse dysfonctionnements identifiés dans les prises de décision. Cet axe a débouché, chez Vallourec, sur le déploiement d'une démarche de conduite de projets. Cette démarche a été adaptée aux besoins particuliers du groupe Vallourec, communs à l'ensemble des sociétés de ce groupe et qui sont ressortis lors de l'analyse des dysfonctionnements. Cette activité de recherche a ensuite été enrichie et validée par un an de collaboration hebdomadaire avec des chefs de projet du groupe Vallourec et a permis de mettre en place l'organisation en mode projets du groupe. La recherche sur le niveau stratégique s'intéresse actuellement à de nouvelles formes émergentes d'organisation du travail. Une méthodologie est en cours d'élaboration pour la constitution d'équipes virtuelles dans les projets d'innovation. Un modèle et des recommandations génériques pour la constitution de réseaux de compétences pour la conception de projets d'innovation sont également à l'étude. Finalement, deux orientations principales pour l'avenir de l'ensemble de ces travaux de recherche sont présentées : - un apport scientifique : la prise en compte de la dimension humaine dans les prises de décision projets ; - un domaine transversal d'application et de poursuite de la recherche : le monde de la santé.
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Proposition d'outils et démarches pour l'intégration de filières de recyclage de matières plastiques dans la "supply chain" automobile.Maudet-Charbuillet, Carole 18 December 2009 (has links) (PDF)
La prise en compte de la gestion des produits en fin de vie est devenue incontournable dans la conception de produits complexes. Ainsi, pour atteindre les objectifs de la réglementation sur l'élimination des véhicules hors d'usage et compte-tenu de l'augmentation croissante de la part de matières plastiques dans les véhicules, la Supply Chain automobile doit désormais justifier de scénarios de valorisation fiables pour leurs produits et par conséquent pour ces matières. L'industrie des matières plastiques, matière techniquement incontournable dans la société de consommation actuelle, est soumise à des pressions sociétales, environnementales et réglementaires fortes remettant en cause leur devenir dans la société. Pour répondre aux pressions environnementales, une des voies de recherche proposée est le développement de filières de recyclage permettant d'économiser des ressources en faisant du déchet une matière première. Ces filières sont des systèmes émergents dont les critères d'évolution doivent être définis. L'industrie automobile a développé de nombreux outils de conception pour le recyclage. Mais ces outils ne prennent pas en compte le devenir des matières plastiques suite au recyclage soit les caractéristiques propres aux filières, les producteurs et équipementiers ne se voyant pas comme utilisateurs de celles-ci. La problématique de l'intégration des filières de recyclage dans la Supply Chain automobile trouve son origine dans le manque de connaissances sur les filières des parties impliquées dans leur développement. Nous proposons donc, dans ce travail de recherche un outil de modélisation des filières- ODEFIRE- constituant par l'intermédiaire des mesures des performances des filières, une aide à la décision à destination des parties prenantes, dont la Supply Chain automobile, pour mettre en place les actions nécessaires pour stabiliser les filières. Nous proposons également une démarche d'acquisition des connaissances sur les filières- DAIMRE- à destination des équipementiers et s'appuyant sur ODEFIRE, permettant de favoriser l'utilisation de matières plastiques recyclées dans des pièces à haute valeur ajoutée et par ce biais de pérenniser l'intégration des filières dans la Supply Chain Automobile.
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Towards a continuous improvement cycle for knowledge capitalization : A case study at STMicroelectronics / Vers un cycle d'amélioration continue pour la capitalisation des connaissances : un cas d'étude à STMicroelectronicsBrichni, Manel 10 December 2015 (has links)
À STMicroelectronics, l'équipe de Business Intelligence est confrontée à exploiter quotidiennement des données et des informations pour créer des rapports d'activité afin de superviser la production. Dans une telle organisation industrielle, les produits changent régulièrement et les données peuvent rapidement devenir obsolètes. Par conséquent, au fil du temps, le nombre de rapports crées est de plus en plus important, tandis que les connaissances sur leur création sont perdues. Ceci est illustré dans une évaluation qualitative et quantitative de la partie principale du système de connaissances à STMicroelectronics.Ainsi, des problèmes d'obsolescence, de duplication, de non-centralisation et de prolifération continuent à surgir. Ce travail doit, donc, répondre à la question de recherche générale suivante:Comment assurer une capitalisation continue des connaissances métier?Pour répondre à cette question, un cycle d'amélioration continue pour la capitalisation des connaissances est proposé. Son objectif est de capitaliser efficacement et en permanence les connaissances, tout en ciblant les besoins métier et assurant une solution évolutive. Un système de Business Intelligence pour la Business Intelligence (BI4BI) est proposé. Comme la connaissance est intégrée non seulement dans les systèmes et les outils, mais aussi détenue par les humains et leurs pratiques, notre solution de capitalisation de connaissances proposée implique aussi les utilisateurs et les organisations: elle propose de recueillir les points de vue des utilisateurs pour les intégrer dans la représentation des connaissances et dans notre système BI4BI. / At STMicroelectronics, the Business Intelligence team is daily confronted to exploit data and information to create reports about manufacturing activities in order to supervise it. In such an industrial organization, products change regularly and data can quickly become obsolete. Consequently, over time, the number of created reports is highly growing, while knowledge about their creation is lost. This is shown in a qualitative and quantitative evaluation of the main part of the STMicroelectronics' knowledge system.As a result, problems related to knowledge obsolescence, duplication, non-centralization and proliferation continuously arise. Therefore, this work addresses the general following research question:How to ensure a continuous expert knowledge capitalization?To answer this question, a continuous improvement cycle for knowledge capitalization is proposed. Its objective is to effectively and continuously capitalize expert knowledge while targeting business needs and providing an evolving solution. It is based on a Business Intelligence for Business Intelligence system (BI4BI). Since knowledge is embedded not only in systems and tools, but also in human minds and practices, our proposed knowledge capitalization solution also involves people and organizations: it proposes to collect users' feedbacks and insights to integrate them in knowledge representation and in our BI4BI tool.
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Ingénierie des modèles pour les applications environnementalesMiralles, André 11 December 2006 (has links) (PDF)
À la conjonction de l'Information Géographique et de l'Informatique, la recherche menée relève du domaine Géomatique. Elle traite de l'apport de l'ingénierie des modèles à la conception et au développement de Systèmes d'Information Géographique (SIG). Le domaine d'application géomatique, une capitalisation des connaissances déficiente au cours du processus de développement et une qualité des connaissances capturées en séance d'analyse insuffisante ont conduit à se fixer comme objectif de réaliser un outil d'aide à la conception de Systèmes d'Information Géographique adapté à un processus de développement permettant le prototypage rapide en séance d'analyse et assurant la capitalisation des connaissances. La dichotomie Information Géographique / Informatique a nécessité de mobiliser des connaissances de ces deux domaines et structure le contenu de la recherche. La première contribution porte sur la modélisation des SIG. Suite à un balayage rapide de la bibliographie sur les méthodes et formalismes de conception de SIG existants, le besoin de comparer les propriétés spatiales et temporelles mise en ½uvre par les méthodes et les formalismes a conduit à entreprendre une étude terminologique s'appuyant sur la théorie des ensembles. Cette étude a donné lieu à une taxinomie générale de la terminologie utilisée. La proximité conceptuelle entre cette taxinomie et les diagrammes de classes UML a permis de définir une méthode de dérivation de cette taxinomie pour obtenir un métamodèle SIG et un Patron de Conception SIG. Ce dernier sera généré automatiquement par les transformations définies en ingénierie des modèles. L'étude terminologique a aussi permis d'identifier les relations entre les concepts thématiques, les propriétés spatiales et temporelles, etc. Ces relations ont contribué à définir les transformations de modèles de la seconde contribution. La seconde contribution relève de l'ingénierie des modèles. L'objectif relatif au processus de développement permettant le prototypage rapide en séance d'analyse a conduit à définir la méthode Continuous Integration Unified Process qui superpose un cycle de prototypage rapide en phase d'analyse de la méthode Unified Process. L'objectif de capitalisation des connaissances a nécessité de concevoir une généralisation de l'approche MDA appelée Software Development Process Approach (SDPA) fondée sur le constat que la capitalisation des connaissances est une problématique qui se pose au cours de tout le processus de développement. Un artefact multimodèle, appelé Software Development Process Model (SDPM), a été conçu pour résoudre ce problème. Il associe un sous-modèle à chacune des phases du cycle de développement. Une transformation de diffusion fondée sur le clonage des concepts permet de transférer, de sous-modèle en sous-modèle, les concepts du sous-modèle d'analyse jusqu'au(x) sous-modèle(s) d'implémentation. Une transformation de rétrodiffusion permet le transfert inverse. La cohérence du SDPM est assurée par une architecture de liens de traçabilité qui relie tout concept à son clone et par des prétraitements et/ou post-traitements aux transformations de diffusion et de rétrodiffusion. Quatre transformations de nature géomatique permettent d'une part, la saisie des propriétés spatiales et/ou temporelles des entités référencées sous forme d'annotations et, d'autre part, la conversion de ces annotations en éléments de modélisation UML exploitables par les générateurs de code de l'atelier de génie logiciel. Enfin, les trois transformations effectuées sur le modèle d'implémentation SQL adaptent le modèle diffusé au générateur de code de l'atelier de génie logiciel utilisé. La méthode Continuous Integration Unified Process et la démarche Software Development Process Approach ont été instrumentées au sein de l'atelier de génie logiciel
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Conception d’un système de management des connaissances à destination d’une PME / Design of a knowledge management system for a SME.Tapissier, Edouard 17 June 2019 (has links)
RÉSUMÉ : Le travail réalisé dans le cadre de cette thèse porte sur la création d’une méthode de conception de systèmes de management des connaissances (KMS) pour les PMEs. En effet, le management des connaissances (KM) peut leur être très profitable, mais les méthodes permettant de prendre en compte leurs spécificités et leurs besoins se heurtent à plusieurs problèmes, et ne sont donc pas bien adaptées. Nous nous sommes donc demandés comment concevoir un KMS pérenne et adapté pour une PME ? Un état de l’art nous a permis de poser 2 hypothèses. La première porte l’utilisation des caractéristiques et les besoins d’une PME pour sélectionner des outils et pratiques de KM adaptés à l’entreprise, et ainsi construire KMS sur mesure. La seconde porte sur l’accompagnement du concepteur et l’implication des utilisateurs finaux du KMS tout au long de la démarche de conception, de manière à rendre le KMS pérenne, fonctionnel et adapté à l’entreprise. Pour répondre à cette problématique nous proposons une méthode en 3 étapes. La première permet d’auditer l’entreprise sur ses caractéristiques importantes vis-à-vis du KM, et d’identifier ses besoins de KM. La seconde étape propose processus de sélection d’outils et de pratiques prenant en comptes les spécificités et les besoins de la PME. Un KMS basé sur les éléments sélectionnés est ensuite conçu en prenant en compte les ressources et en impliquant les futurs utilisateurs, de manière à garantir une bonne adaptation à l’entreprise. La troisième étape consiste à mettre en place le KMS conçu dans l’entreprise, former les utilisateurs, et leur permettre de faire évoluer le KMS en fonction des besoins émergents. Cette méthode a été appliquée à Sysnav, une PME de 25 employés, et a permis d’obtenir un KMS bien adapté à ses besoins. / ABSTRACT : This thesis focuses on the creation of a knowledge management system (KMS) design method for SMEs. Knowledge management (KM) can indeed be profitable to SMEs, but existing frameworks that take their specificities and needs into account face several problems. We thus interested ourselves in how to design a sustainable and adapted KMS for a SME? A literature study hinted 2 hypotheses. The first is that the characteristics and the needs of the SME can be used to choose KM tools and practices adapted to a SME, and build a custom made KMS. The second concerns the need to guide the designer and to involve the end user in the design process, in order to make the KMS sustainable and adapted. To tackle this problem, we designed a 3-step method. The first step consists in auditing the company’s important characteristics in regard to KM and its needs. The second step offers a tools and practice database and a selection process based on the company audit. The selected tools and practices are then used to design a tailor-made KMS while taking resources into account and involving end users. The third step consists in implementing the KMS in the firm, training the users and allowing them to perform the necessary evolutions according to emerging needs. This method was applied in Sysnav, a 25 employees SME, and resulted in the design of a well-adapted KMS.
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Adaptation et mise en place d'un processus d'innovation et de conception au sein d'une PMEAmmar, Adel Amin 26 November 2010 (has links) (PDF)
Le contexte global de ce travail de recherche concerne la structuration de l'innovation technologique en PME, pour la définition de procédés de fabrication. Cela passe par la mise en place d'un processus de conception basé sur la réutilisation des connaissances, ainsi que sur la recherche de concepts nouveaux. La méthodologie de conception et la base de connaissances proposées sont destinées à devenir un outil d'aide à la conception et à la mise en place de nouveaux procédés de montage ou d'assemblage. Toutefois, faciliter l'application du processus de conception, il a été nécessaire d'identifier des heuristiques permettant d'accompagner le concepteur. Par ailleurs, les méthodes actuelles de capitalisation de connaissances sont difficilement accessibles aux petites entreprises, du fait de leur manque de ressources et de la complexité des outils. Ainsi, nous avons développé une méthodologie et des outils d'utilisation simple et rapide, accessibles à un personnel non spécialiste de la conception, de la capitalisation ou de l'innovation. La structuration de la connaissance est proposée autour d'une logique fonctionnelle. La démarche de conception est également basée sur la décomposition fonctionnelle du système et intègre la simplification de l'architecture de système dès les premières phases du processus. A cette fin, des phases d'agrégation puis d'agencement sont proposées et sont guidées par des heuristiques. La capitalisation de la connaissance a été réalisée dans la PME MARQUET & Cie. La conception d'une machine automatisée d'assemblage de chaussons, illustre le processus global et les outils proposés.
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La capitalisation des connaissances inter-organisationnelle au sein des clusters : capacités dynamiques et rôle des acteurs-frontières pour soutenir la transition inter-organisations temporaires / Inter-organizational knowledge capitalization within clusters : dynamic capabilities and boundary-actors role to support the transition in-between temporary organizationsBenedittis, Julien de 18 November 2016 (has links)
Dans une économie de la connaissance mondialisée, les organisations sont invitées à ne plus se reposer essentiellement sur leurs connaissances internes pour innover, mais à en puiser en externe. Le projet collaboratif labellisé par un pôle de compétitivité est un levier permettant une innovation ouverte sur lequel les acteurs doivent être en mesure de capitaliser. De nombreux modèles mettent en évidence les manières de procéder pour capitaliser sur les connaissances dans des dynamiques intra-organisationnelles. Toutefois, à l’échelle inter-organisationnelle, les méthodes de capitalisation au sein des projets collaboratifs ou des clusters restent inexplorées. Les enjeux de réutilisation des connaissances créées dans un projet collaboratif sont pourtant clés afin d’assurer une continuité dans le développement des activités des entreprises et leurs innovations, et pour créer une valeur partagée entre les partenaires. Il s’agit ainsi de se questionner sur l’opérationnalisation de la capitalisation des connaissances inter-organisationnelle au sein des clusters. Pour analyser ce phénomène, une investigation empirique de nature qualitative, sur le modèle d’une étude de cas multi-sites, a été menée sur 4 pôles de compétitivité. À l’issue de 67 entretiens semi-directifs avec des acteurs directement impliqués dans le processus de capitalisation, et l’observation de 5 évènements-clés de la vie des pôles de compétitivité, deux capacités dynamiques inter-organisationnelles complémentaires sont identifiées. La première relève des cellules d’animation des pôles de compétitivité qui, à travers leur rôle de boundary-spanner, accompagnent les projets collaboratifs jusqu’à leur valorisation. La seconde se réfère à la capacité des membres d’un projet collaboratif à s’appuyer collectivement sur les résultats d’un partenariat pour développer un nouveau projet. / In a globalized knowledge economy, in order to innovate, organizations are invited to no longer rely mainly on their internal knowledge, but also to draw on new knowledge from external sources. Collaborative projects, labeled by French Competitiveness Clusters, can act as a lever for open innovation on which actors must be able to capitalize. Many models identify how to capitalize on knowledge in intra-organizational dynamics. However, at the inter-organizational level, such knowledge capitalization methods within collaborative projects or clusters have yet to be explored. Nevertheless, the knowledge reuse issues created within collaborative projects are key to ensure a form of continuity in the development of business activities and innovations, and to create a shared value between partners. It is therefore essential to question how inter-organizational knowledge capitalization can be operationalized within clusters. To analyze this phenome-non, a qualitative empirical investigation, on the basis of a multi-case study, was conducted over 4 French clusters. The results stem from 67 semi-structured interviews among different actors directly involved in the capitalization process, and by observing 5 key events in the life of clusters. Two complementary dynamic capabilities are identified. The first is the responsibility of the cluster coordination unit that acts as a boundary-spanner by accompanying collaborative projects from their initiation until their valorization. The second refers to the ability of collaborative project members to collectively build a new project based on the results of their partnership.
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Contribution à la sauvegarde des Objets techniques anciens par l'Archéologie industrielle avancée.<br />Proposition d'un Modèle d'information de référence muséologique et d'une Méthode inter-disciplinaire pour la Capitalisation des connaissances du Patrimoine technique et industriel.Laroche, Florent 07 December 2007 (has links) (PDF)
Pour optimiser sa création de valeur, l'entreprise adapte sans cesse son mode de fonctionnement et ses outils de production. Les machines considérées comme obsolètes car ne répondant plus à la demande sont arrêtées, remisées voire même démantelées. Ainsi, certains sites industriels disparaissent et les hommes, catalyseurs des savoir-faire, les emportent avec eux. L'absence de protection de ce patrimoine technique et industriel pose aujourd'hui question car cette culture technique s'avère parfois transposable à des domaines d'applications connexes. Sauvegarder, analyser et comprendre ces objets du Patrimoine Passé peut permettre de les transformer en Capital Présent et devenir source d'innovation pour anticiper notre futur et aider les industriels à créer les objets de demain. Quant à leurs conservations et leurs vulgarisations dans les musées et les sites, le vieillissement intrinsèque de l'information technique nécessite d'implémenter une nouvelle muséologie pour ce 3ème millénaire : la Techno-muséologie.<br />La méthodologie développée consiste à renverser l'axe des temps de la conception : c'est le Rétro processus de Conception Patrimoniale. L'Archéologie Industrielle Avancée permet la constitution du Dossier d'Oeuvre Patrimoniale Technique en capitalisant les connaissances du passé sous une forme numérique et en les repositionnant virtuellement en situation d'usage à des fins de muséographie et de valorisation. La complexité des objets induisant une multiplicité des compétences, le Processus Coopératif d'Ingénierie Patrimoniale requiert la collaboration de métiers qui, jusqu'alors, ne collaboraient pas ou peu. Dès lors, une nouvelle forme d'Equipe Inter disciplinaire émerge pour laquelle un référentiel commun permet de faire cohabiter les différentes sémantiques. Ainsi, le Système d'Information proposé encapsule cette taxonomie des Hommes en considérant également les acteurs du passé. Le modèle définit l'Objet technique à caractère patrimonial dans ses Aspects Internalistes et Externalistes. Le Digital Heritage Reference Model ou Dossier d'Oeuvre Patrimonial Numérique de Référence, DHRM, peut alors être considéré comme un nouvel outil de travail muséologique.<br />Dans ces travaux de recherche, de nombreux cas d'études sont analysés et conceptualisés pour construire les ontologies validant ainsi l'applicabilité du DHRM.
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