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L’écrivain catalan et le problème de la langue informelle (XXè-XXIè siècles) / Catalan Writers and the Problem of Colloquial Language (20th – 21st c.)

Niubo, François 08 December 2008 (has links)
La langue catalane est confrontée, sur son propre territoire, à la concurrence du castillan. Ses défenseurs, tout particulièrement les écrivains, ont longtemps lutté pour préserver une langue écrite à la fois viable et « authentique », c'est-à-dire sans influences du castillan. Mais cette préoccupation d’authenticité s’oppose au principe de vraisemblance dans certains genres où il est nécessaire, ou simplement utile, d’employer la langue parlée informelle. Or celle-ci est de plus en plus parsemée de castillanismes, tant dans le lexique que dans la syntaxe. Nous avons donc cherché, à travers quelques œuvres contemporaines (publiées entre 1979 et 2005), à comprendre comment certains auteurs, qui écrivent du roman « noir », du théâtre ou du roman « réaliste », s’efforcent de résoudre – ou d’assumer – cette contradiction. / The Catalan language has long had to deal with the competing presence of Castilian on its own territory. Defenders of Catalan, writers in particular, have striven to preserve a written language that would be both viable and “authentic”, that is to say free from Castilian influences. However, their concern about authenticity clashes with the constraint of plausibility in certain genres, where the use of informal spoken language is either required or simply useful, just as informal spoken Catalan is being pervaded with more and more lexical or syntactic castilianisms. The purpose of this thesis is to explore, through several contemporary texts published from 1979 to 2005, how writers of crime fiction, playwrights and realist novelists have dealt with this contradiction – either working against it, around it, or with it.
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La littérature sapientielle sous Sanche IV (XIIIe - XIVe siècles, Castille) : écriture et enjeux / The wisdom literature under Sancho IV (Castile, 13th-14th century) : Writing and Stakes

Robert, Sylvie 05 July 2016 (has links)
En accord avec mes intérêts scientifiques, j’ai décidé, dans le cadre de ce travail doctoral, d’étudier un corpus correspondant règne de Sanche IV, roi de Castille et du León de 1284 à 1295, et constitué des quatre œuvres suivantes qui, à l'instar du Sendebar ou du Calila e Dimna antérieurs, exploitent toutes les ressources de l'exemplum afin d'enseigner certes mais aussi de captiver le lecteur : El Libro del Tesoro, El Lucidario, El libro del consejo e de los consejeros et Los Castigos de Sancho IV. Bien que chacun de ces livres ait été l’objet d’études ponctuelles intéressantes, ce groupement de textes n’avait, jusqu’à présent, bénéficié d’aucune grande étude monographique et appelait donc une analyse approfondie. Ces quatre ouvrages, d’origine spatiale et temporelle différente, se sont construits selon les mentalités et les pratiques de l’époque, c’est-à-dire en réutilisant, en retravaillant la matière des sources par des ajouts, des corrections, des suppressions en fonction des visées de l’auteur ou du promoteur de l’œuvre. Cette réappropriation des sources et des modèles correspond à une finalité plus ou moins évidente ou avouée, notamment si l’on en juge à l’aune du « molinisme », pensée politique du début du XIVe siècle. Les œuvres de cette période sont, en effet, soit écrites soit commanditées par le roi ou la régente, Marie de Molina. En outre, on connaît suffisamment le rôle joué par l’Archevêque de Tolède et l’importance de la pensée religieuse dans la constitution et la consolidation du « molinisme », pour parier sur l’existence d’un discours renvoyant à l’éthique chrétienne, à la morale ou à la philosophie. J’ai donc analysé la nature du projet moral, religieux et politique qui sous-tend cette littérature sapientielle. L’analyse des textes du corpus prend en compte, dans un premier temps, la structure des ouvrages et du cadre narratif, afin de définir la voix auctoriale, c’est-à-dire celle qui choisit sources et modèles et se les réapproprie : il s’agit de mettre en lumière un mode de pensée spécifique et des intentions particulières. Dans un deuxième temps, j’ai confronté ces textes aux contextes, notamment historique, si prégnant pendant le règne de Sanche IV et la régence, pour en extraire le sens politique et idéologique, moral, religieux ou philosophique. Enfin, une des finalités de ce travail de thèse est de comprendre comment, à partir de la réécriture des sources, traités, écrits religieux, auteurs classiques, exempla… s’est réalisé ce que l’on doit considérer comme un renouvellement de la production sapientielle. La thèse permet, grâce à une confrontation croisée entre histoire et littérature, de dégager l’évolution de la littérature sapientielle médiévale en castillan, et, parallèlement, de mettre en lumière la vision culturelle et morale, politique et sociétale promue par le roi Sanche IV et soutenue ensuite par Marie de Molina. / In line with my centres of scientific interest, I have decided to examine a corpus corresponding to the reign of Sancho IV, namely El Libro del Tesoro, El Lucidario, El libro del consejo e de los consejeros and Los Castigos of Sancho IV. Although interesting individual studies have been produced on each of these books, the collation of the four texts has not hitherto benefited from any in-depth monographic study. These four works, all of different origin in time and space, were put together according to the mind-sets and practices of the time, by revisiting the source material by means of additions, corrections and deletions according to the author’s intentions. Such reworking of the sources and models corresponds to a more or less self-evident or openly admitted purpose, given that these works were either written or commissioned by the king. It is therefore essential to question the nature of the political project underlying this sapential literature. The initial analysis of the texts takes account of their structure and narrative framework in order to define the voice of the author, that is to say who chooses and takes on the relevant sources and models. Secondly, these texts need to be set against their context, especially their historical context, in order to highlight their political, ideological, moral, religious or philosophical meaning. Finally, one of the aims of this thesis is to understand how, as from the-re-writing of the sources, treatises, scriptures, classic authors and other exempla, what can be considered as a renewal of sapiential or wisdom literature actually came about. Thanks to such a cross-matching of history and literature, the thesis should evidence the evolution of sapential literature and throw light upon the cultural, moral, political and social vision promulgated by king Sancho IV and upheld by Maria de Molina.
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Le mythe néo-wisigothique dans la culture historique de l’Espagne médiévale (XIIe-XIIIe siècles) / The neo-visigoth myth in the historic culture of medieval Spain (12th and 13th centuries)

Le Morvan, Gael 29 June 2013 (has links)
L’étude ici présentée porte sur les origines des royaumes de León et de Castille dans la culture historique de l’Espagne médiévale (XIIe-XIIIe siècles). Il s’agit de saisir les fondements politiques de ces royaumes par l’analyse d’un mythe fondateur qui a émergé et s’est construit au sein de la production historiographique du Nord péninsulaire : le mythe néo-wisigothique. Mythe de fondation, cette représentation historique soutient la thèse d’une continuité ethnique, dynastique, idéologique et spirituelle entre le royaume wisigothique de Tolède qui s’effondre lors de l’invasion musulmane de 711 et les royaumes léonais et castillan. À l’occasion du récit des règnes de Witiza et de Rodrigue, les derniers rois des Wisigoths, et des batailles mythifiées du Guadalete et de Covadonga, les chroniqueurs manipulent le discours sur l’histoire et glissent des interpolations qui infléchissent le sens de leurs sources, parvenant à gommer toute solution de continuité entre Rodrigue et le premier restaurateur, Pélage. Ainsi, par un discours aux accents souvent providentialistes, les chroniqueurs contribuent à restaurer la patrie hispanique, que saint Isidore de Séville définit dans son œuvre par l’union entre rex, gens et regnum, et à doter la communauté politique d’une éthique collective, de valeurs idéales et de modèles à imiter. C’est aussi l’apport de l’historiographie du point de vue de la sémiologie socio-historique que nous souhaitons mettre en lumière. Le mythe évolue en fonction du contexte géopolitique et chaque chroniqueur interprète ses sources, surexploitant et politisant ce motif légendaire. Ces variations successives permettent de définir le mythe comme un système imaginaire qui révèle l’intentio des chroniqueurs ou de leurs commanditaires, comme une stratégie doctrinale du pouvoir et même comme le lieu d’un profond débat idéologique.Source de légitimité, le mythe est remployé au service des royaumes en construction au XIIe siècle dans l’Historia legionensis (dite silensis), la Chronica naiarensis et le Libro de las generaciones y linajes de los reyes (olim Liber regum) qui défendent la continuité ethnique et dynastique à León, la continuité idéologique en Castille et la continuité territoriale en Navarre. Au XIIIe siècle, le mythe bascule dans l’idéologie. L’Estoire d’Espagne d’Alphonse X le Sage hérite la vision historique du très léonais Chronicon mundi de Luc de Tuy et du très castillan De rebus Hispaniae de Rodrigue Jiménez de Rada, et lui associe la vision plus globale – et presque « nationale » – du Poema de Fernán González. Le roi Sage voit dans le mythe néo-wisigothique le moyen de légitimer ses prétentions impériales en Espagne et en Europe. / The study hereby presented tackles the origins of the kingdoms of León and Castile in the historic culture of medieval Spain (12th and 13th centuries). The aim is to understand the political bases of these kingdoms by analyzing a founding myth which emerged and took shape within the historiographical production in the north of the peninsula: the neo-Visigoth myth. A founding myth, this historic representation upholds the argument of an ethnic, dynastic, ideological and spiritual continuation between the Visigoth kingdom of Toledo, which collapsed in 711 when it was invaded by the Muslims, and the kingdoms of Léon and Castile. When recounting the stories of the reigns of Witiza and Rodrigo, the last Visigoth kings, and of the mythicised battles of the Guadalete and of Covadonga, chroniclers are manipulating views on history and slip interpolations which modify the meaning of their sources, thereby erasing any possibility of continuation between Rodrigo and Pelagius, the first restorer. Consequently, thanks to a discourse often tinged with providential undertones, the chroniclers help restoring the Hispanic country, which Saint Isidore of Seville defines in his work as the union of rex, gens and regnum, but they also contribute to endowing the political community with collective ethics, ideal values and role models. In addition, we would like to bring to light the contribution of historiography from the point of view of socio-historic semiology. The myth evolves according to the geopolitical context and each chronicler interprets their sources, thus overdoing and politicizing this legendary motif. These successive variations allow us to define the myth as an imaginary system revealing the intentio of the chroniclers or of their sleeping partners, but also as a doctrinal strategy of power, or even as the place for a profound ideological debate.A source of legitimacy, the myth is re-used to serve the kingdoms being founded in the 12th century in the Historia legionensis (also known as silensis), the Chronica naiarensis and the Libro de las generaciones y linajes de los reyes (olim Liber regum) which champion ethnic and dynastic continuation in León, ideological continuation in Castile and territorial continuation in Navarre. In the 13th century, the myth turns into ideology. Estoria de España by Alphonso X the Wise inherits the historical vision of typically Leonese Chronicon mundi by Luc de Tuy and of typically Castilian De rebus Hispaniae by Rodrigue Jiménez de Rada, and a more comprehensive – even almost « national » – vision is associated to it with Poema de Fernán González. The Wise king then starts to see in the neo-Visigoth myth a means to legitimate his imperial claims both in Spain and in Europe.

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