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La démonstration de l'influence de l'épiscopat québécois en matière d'éducation de 1950 à 1970 /Simard, Jean-Louis, January 1997 (has links)
Mémoire (M.Ed.)--Université du Québec à Chicoutimi, 1997. / Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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La Revue Art d’aujourd’hui (1949-1954) : une vision sociale de l’art / The review Art d'aujourd'hui (1949-1954) : a social vision of artGirieud Ghiyati, Corine 06 May 2011 (has links)
La revue Art d’aujourd’hui paraît de juin 1949 à décembre 1954, constituant une somme de trente-six numéros. Créée pour défendre et promouvoir l’abstraction géométrique et la synthèse des arts, elle s’inscrit dans un ensemble d’actions dont l’objectif principal est de rendre l’avant-garde accessible au plus grand nombre. Pour cela, elle bénéficie notamment de la collaboration de critiques influents des années cinquante.A partir des apports propres à Art d'aujourd'hui (son contenu – textes, illustrations, mise en pages -, ses archives, ses rédacteurs, les témoins vivants), nous abordons ensuite plus largement la problématique du rôle social qui peut être donné à la création plastique des Trente Glorieuses à nos jours. Qu'en est-il en effet aujourd'hui des objectifs de cette revue : l'art dans le quotidien, l'enseignement de l'art dans le milieu scolaire et la prise en compte des publics dans les musées d'art moderne et contemporain ? / The review Art d'aujourd'hui was published between June 1949 and December 1954, amounting to thirty-six issues. Created to defend and promote geometric abstraction and the synthesis of the arts, the review was one of a range of activities whose main objective was to make the avant-garde accessible to everyone. To that end, the review benefited from the collaboration of the most well-known and important art critics of the fifties.Following the analysis of the specific attributes of Art d'aujourd'hui (its content – texts, illustration, and composition; its archives, its writers and the testimony of witnesses), this thesis tackles the broader question of the social role of the plastic arts during the period from the so-called Trente Glorieuses to the present day. What today are the goals of Art d'aujourd'hui: art in daily life, the teaching of art at school, and the acknowledgement of the public for museums of contemporary and modern art?
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Architecture intérieure, processus d'indépendance, 1949-1972 : une autonomie réinventée ou la révolution du composant / Interior architecture, process of independence, 1949-1972 : a reinvented autonomy or the revolution of the componentCalignon, Valérie de 14 December 2015 (has links)
Considérant qu'un bâtiment « clos et couvert » ne représente encore qu'un « potentiel d'habitation », en quoi la qualification de l'intérieur a-t-elle affaire à l'architecture ? Appartient-elle ou non, in fine, au projet architectural ? Il s'agit, pour commencer, de fonder une histoire qui n'existe pas, au croisement de l'architecture, de la décoration et du design, de définir les termes en jeu dans l'« habiter», ses métiers, la notion d' « architecture intérieure », une typologie de relations entre l'architecture et ses espaces intérieurs. L'intégration de l'habiter au projet architectural, considérée comme légitime et revendiquée par la majorité des architectes contemporains, est en réalité le fruit d'un lent processus historique, qui s'étend de l'invention de l'architecture comme art libéral à partir du XVe siècle jusqu'à la « synthèse des arts » Moderne, qui, après les premières Gesamtkunstwerk de la fin du XIXe, en représente l'aboutissement idéologique au début du XXe. La période 1949-1972 correspond à un retournement de cette situation, processus inverse de « décrochement des murs », rupture historique en même temps que retour cyclique aux origines d'une architecture-abri dont l'habitabilité est fondée par l'objet. Au milieu du XXe siècle, l'autonomie originelle de l'intérieur, n'allant plus de soi, doit être redécouverte et, désormais, conceptuellement fondée. La thèse met en évidence les mécanismes qui aboutissent finalement, à la fin des années 1960, à réinventer théoriquement cette indépendance de l'intérieur vis-à-vis du bâti. / Considering that an “enclosed and covered" building represents only the ''potential of inhabiting," what does the concept of the interior have to do with architecture? Does it or does it not belong, in the end, to the architectural project? It is a matter, to start, to construct an historical narrative that doesn't exist, one that is at the crossroads of architecture, decoration and design, to define the terms at play in the word "inhabit": its arts and trades, the notion of "interior architecture," a typology of relationships between architecture and its interior spaces. The integration of inhabited space into the architectural project, considered legitimate and acknowledged by most contemporary architects, is in reality the fruit of a slow historical process that stretches from the invention of architecture as a liberal art in the 15th century up to the Modern "synthesis of the arts" that, following the first Gesamtkunstwerks of the late 19th century, represents that process's ideological completion in the early 20th. The period from 1949 to 1972 corresponds to a reversal of this synthesis, an inverse process of dissociating from walls. It is an historic rupture at the same time as a cyclic return to the origins of a shelter-architecture for which habitability is based on the object. In the mid-20th century, the original autonomy of the interior, no longer self-evident, must be rediscovered and, henceforth, established conceptually. The thesis reveals the mechanisms that culminate, in the late 1960s, in the theoretical reinvention of the independence of the interior relative to the structure.
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Cuvée 44 ; : suivi de L'héritage de la réception d'On the Road et de la posture d'écrivain de Kerouac selon les époquesVézina, Raphaëlle 10 February 2024 (has links)
Ce mémoire en recherche-création se décline en deux parties; un roman et un essai. Le roman et l'essai se répondent, en traitant tous les deux de la période des années 50, qui représente le contexte du roman On the Road qui sera analysé dans l'essai, mais aussi le moteur créatif qui a inspiré le roman Cuvée 44. Le roman, Cuvée 44, s'inspire de la filiation des romans de route et de quête personnelle dont On the Road est un des précurseurs. Il relate la vie mouvementée de Francine Boudreau, une jeune femme de quinze ans qui quitte son Québec natal en 1959 pour un monde de possibilités qui s'offrent à elle aux États-Unis, durant les années 50 et 60. Le lecteur est transporté un peu partout au pays, alors que la jeune femme tente de se poser quelque part. L'essai, quant à lui, traite de la réception de l'œuvre phare de Kerouac, On the Road, afin d'observer comment elle a évolué selon les décennies. En faisant ressortir les diverses critiques du roman de l'écrivain de la Beat Generation, on peut ainsi ressortir les différentes postures qui lui sont accordées au travers des époques, pour en voir les constantes et les disparités.
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