1 |
Thinking strategically about anti-corruption reforms : addressing factors that increase the likelihood and maintenance of corrupt exchanges /Fitzpatrick, Sean, January 1900 (has links)
Diss.--Hamburg Universität, 2003. / Bibliogr. p. 395-419.
|
2 |
La corruption : un mal endémique /Henri, Brigitte, January 2002 (has links)
Th. doct.--Droit--Nice, 2001. / Bibliogr. p. 337-345.
|
3 |
Les scandales politiques : l'opération mains propres en Italie /Rayner, Hervé. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Science politique--Paris 1. / Bibliogr. p. 471-476.
|
4 |
Studies on the post-communist transition /Piculescu, Violeta, January 2002 (has links)
Th. doct.--Göteborg--Göteborgs universitet, 2002. / Bibliogr. p. 415.
|
5 |
Moral aspects of dishonesty in public officeKing, William Joseph, January 1949 (has links)
Thesis--Catholic University of America. / Biographical note. Bibliography: p. 185-206.
|
6 |
Le financement des campagnes présidentielles en France et au Brésil / Financing presidential election campaign in France and BrazilValle Correa Ramos, Amanda do 18 November 2016 (has links)
Cette thèse se propose d’analyser toutes les questions liées au financement descampagnes électorales en vue des élections présidentielles. En effet, l’éclosion desaffaires de corruption politique, ayant révélé l’influence de l’argent dans la viepolitique, le financement des campagnes électorales a fait l’objet de débats dansplusieurs démocraties. Une comparaison entre la France et le Brésil, deuxdémocraties ou les systèmes électoraux différent, tente de montrer que le pouvoir del’argent peut influencer les élections, spécialement celles du président de laRépublique. Cette recherche aborde donc des questions relatives à laréglementation et au contrôle du financement des campagnes électorales à la Hautefonction publique. Y sont décrits de manière exhaustive avec pour modèlecomparative, les points positifs ainsi que les faiblesses des deux systèmes face à unmême ‘’ennemi’’ : l’influence de l’argent dans la vie politique. / This thesis intends to analyse all matters regarding financing election campaigns inpresidential elections. Actually, after political corruption outbreaks, revealing theinfluence money has on politics, financing of the election campaigns turned out to bethe object of discussion in many democracies. A comparison between France andBrazil, two democracies with two different electoral systems, intends to show how thepower of money can influence election, mainly in presidential campaigns. Thisresearch address issues relating to regulation and control of election campaignsfinancials of the highest public role. They are exhaustively described, having ascomparative models France and Brazil, strong points as well as weak points of bothsystems facing the same enemy: the influence of money in the political life.
|
7 |
Scandale et suicide politiques : destins croisés de Pierre Bérégovoy et Robert Boulin /Hamedi, Karine, January 1999 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Sci. polit. / Bibliogr. p. 415-431.
|
8 |
Three essays on political corruption and common agencyStrîmbu, Octavian 19 April 2018 (has links)
Ma thèse se compose de trois articles. Les deux premiers ont pour ambition d’apporter une contribution à la littérature de la microéconomie de la corruption. Le dernier article aborde le problème de la provision de biens publics depuis un angle inédit, qui pose le bien public comme un bien de confiance. Le premier article de ma thèse s’intitule «La corruption bureaucratique et la corruption politique ne sont pas l’endroit et l’envers d’une même pièce». Il s’agit non seulement d’offrir une revue de littérature à jour sur le thème de la microéconomie de la corruption, mais aussi de rappeler l’urgence d’établir une distinction claire entre les corruptions bureaucratique et politique dans la science économique. La ligne de démarcation entre ces deux phénomènes étant jusqu’à présent restée floue, les avancées réalisées dans la modélisation de la corruption bureaucratique - en recourant au modèle principal-agent - ont paradoxalement conduit à un vide de la littérature pour ce qui est de la formalisation de la corruption politique. Néanmoins, deux branches de l’économie politique se concentrent sur les rentes et les transferts monétaires associés à la corruption politique. Je défends l’idée que les rentes proposées dans les modèles d’agence politique s’apparentent davantage à des détournements de fonds publics qu’à de véritables pots de vin politiques. De plus, les transferts monétaires présentés dans la littérature de la représentation d’intérêts (lobbying) ne correspondent pas non plus exactement à la définition du pot de vin, ce qui ne manque pas d’alimenter la confusion entre lobbying et corruption politique. Dans le second article intitulé «Quand les politiciens prennent des décisions inefficaces. Un modèle d’agence commune appliqué à la corruption politique», je propose un modèle d’agence commune simple, dans lequel deux principaux (groupes d’intérêts) tentent d’influencer la décision d’un agent (politicien). La nouveauté théorique de ce modèle réside dans l’introduction d’un écart d’information entre les principaux: tandis que le premier groupe d’intérêts est toujours en mesure d’observer l’action posée par le politicien, le second doit faire confiance à un organe de surveillance imparfait pour faire la lumière sur le choix effectif de ce dernier. Dans ce contexte, le politicien a la possibilité d’opter pour une action inefficace, pour laquelle il accepte des transferts monétaires privés (pots de vin politiques) du groupe d’intérêt disposant de plus d’information. Mon principal résultat est que l’augmentation du degré de transparence (soit la réduction de l’écart d’information entre principaux) aboutit à faire monter les pots de vin attendus. Cela ne signifie pas pour autant qu’une transparence accrue soit une mauvaise politique. En fait, en augmentant la transparence, on améliore le bien-être attendu. L’article propose un second résultat ayant trait à l’inefficacité des salaires fixes des politiciens comme outil de lutte contre la corruption. «La provision de biens publics de confiance selon l’agence commune», le troisième et dernier article de ma thèse, montre que dans un modèle d’agence commune utilisant des biens publics de confiance, même le moindre degré d’asymétrie d’information est susceptible de conduire à l’inefficacité. Le bien public est une forme de bien de confiance, étant donné que chaque principal observe avec une certaine probabilité (au moins) un de ses attributs. Ainsi, les principaux ne sont pas nécessairement en mesure de distinguer un projet public d’un autre, et ils n’ont pas d’autre choix que de faire confiance à la parole de l’agent au moment de faire leurs contributions. Au-delà de l’inefficacité résultante, je décris le comportement des principaux vis-à-vis de leurs contributions. Le fait d’avoir accès à davantage d’information (soit le fait de pouvoir distinguer adéquatement plus souvent les projets publics les uns des autres) peut, au final, amener les principaux à contribuer moins. Enfin, je dérive la probabilité de choisir le projet inefficace. Et comme cette probabilité mesure le bien-être attendu, je conclus sur quelques considérations politiques liées à l’accès des principaux à l’information. / My thesis is composed of three articles. The first two articles aim to bring a contribution to the microeconomics of corruption literature. The last one deals with the problem of public good provision from a new perspective: the public good is also a credence good. The first paper of my thesis is called “Bureaucratic and political corruption, the same side of two different coins”. It is not only an up-to-date review of the microeconomics of corruption literature, but also a caveat that a clear distinction between political and bureaucratic corruption is direly needed in economics. Because the line separating bureaucratic and political corruption has been fuzzy, the success in modeling bureaucratic corruption - by employing the principal-agent framework - has paradoxically left a gap in the formalization of political corruption. Nevertheless, two branches of political economy focus on rents or monetary transfers associated with political corruption. I argue that the rents proposed by the political agency models resemble rather the embezzlement of public funds than actual political bribes. Moreover, the monetary transfers proposed by the lobbying literature don’t fully fit the definition of political bribes, generating confusion between lobbying and political corruption. In the second paper entitled “When politicians make inefficient decisions. A common agency model of political corruption” I present a simple common agency model in which two principals (interest groups) try to influence the decision of an agent (politician). The theoretical novelty of the model is the presence of an information gap between principals: while one interest group always observes the action implemented by the politician, the other has to rely on an imperfect court to investigate the politician’s actual choice. In this context the politician may choose an inefficient action by accepting private monetary transfers (political bribes) from the better informed interest group. My main result is that an increase in transparency (i.e. the information gap between principals diminishes) will rise the expected bribes. This doesn’t mean that increasing transparency is a bad policy. In fact, increasing transparency improves the expected welfare. A second result concerns the ineffectiveness of politicians’ flat salaries in fighting corruption. “The provision of credence public goods under common agency”, the third paper of my thesis, shows that in a common agency model featuring credence public goods even the smallest degree of information asymmetry may lead to an inefficient outcome. The public good is also a credence good as each principal observes only with some probability (at least) one of its attributes. Therefore, the principals may not distinguish a public project from another and they have to trust the agent’s word when making contributions. Besides this inefficiency result, I characterize the principals’ contributing behavior. Getting access to more information (telling the difference between the public projects more often) may, surprisingly, bring the principals to contribute less. Finally, I derive the probability of choosing the inefficient project. And since it measures the expected welfare, I reach some policy considerations regarding the principals’ access to information.
|
9 |
Political corruption and public opinion : the evolution of political ethics in Canada, 1840-1896Stairs, William J. 11 April 2018 (has links)
Cette thèse porte sur l'évolution de l'éthique politique pendant la dernière moitié du XIXe siècle, particulièrement sur le rôle joué par l'opinion publique dans le développement de cette éthique. La méthodologie se base sur un examen des critiques et des commentaires exprimés par différents groupes et individus sur la corruption politique, sur la réaction publique à un nombre précis de scandales, et finalement sur la multitude de propositions de réforme discutées par des politiciens entre 1840 et 1896. Tout ceci est mis en parallèle avec la législation adoptée, pour tenter de jauger l'importance de l'opinion publique dans le débat Il en ressort que cette opinion publique, presque inexistante en 1840, s'est manifestée graduellement au cours des années. En dépit d'une présence accrue, elle restait largement superficielle, orientée vers les personnalités et les résultats, plutôt que portant sur les causes. Ainsi, les scandales paraissaient n'avoir qu'un effet mineur sur l'évolution de l'éthique politique. Car bien que le nombre de lois adoptées dans le cadre de la réforme se soit accru, l'inspiration de ces mesures restait le fait des politiciens et non du public. En effet, l'opinion publique restait dominée par les élites, lesquelles étaient orientées vers les questions locales plutôt que nationales, et très influencées par le patronage et l'esprit de parti. Ainsi, en l'absence d'une opinion publique indépendante et influente, le processus de réforme restait essentiellement contrôlé par les élites politiques. Ces dernières étaient beaucoup plus à l'écoute des intérêts des différents groupes, déjà responsables de la corruption, que des exigences publiques en faveur de la réforme. / This thesis inquires into the evolution of political ethics in Canada during the last sixty years of the 19th century. More particularly, it investigates the efficacy of public opinion as a factor in the development of a set of laws, regulations and precedents known collectively as a political ethic. The methodology is based upon an examination of criticisms expressed by different groups and individuals concerning political corruption, as well as public reaction to both a number of scandals and to the many reform proposals debated by politicians between 1840 and 1896. Comments and criticisms are compared with legislation adopted, in an attempt to gauge the importance of public opinion in the reform process. This public opinion grew from near silence in 1840, to widespread if still limited participation in the 1890s. In spite of such growth, rhetoric remained largely superficial, concentrating on personalities and results, rather than fundamental causes. As such, scandals appeared to have a minor effect on the evolution of political ethics, and while the number of laws increased, politicians rather than the public remained the primary instigators. Public opinion remained dominated by elite groups oriented toward local rather than national issues, and much influenced by patronage and party spirit. This precluded the development of an independent and influential public opinion, and allowed control of the reform process to remain largely in the hands of politicians. These, in turn, were far more closely attuned to the needs of the different groups which provoked corruption, than to public demands for reform. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
|
10 |
Une étude du capitalisme libanais : un mode de coordination destructive ? / A study of the Lebanese capitalism : a destructive mode of coordination ?Baroudi, Noujoud 29 January 2016 (has links)
Un « mode de coordination » est un concept qui définit l’interaction entre les rapports sociaux et l’économie. Celle-ci, qui ne peut pas être séparée du politique, se développe grâce au fonctionnement des différentes formes institutionnelles. Plusieurs modes de coordination ont été identifiés par la littérature, à savoir, le « mode de coordination par le marché », le « mode de coordination éthique » et le « mode de coordination bureaucratique ». Vahabi (2010) a introduit un nouveau type de coordination qu’il a nommé : « mode de coordination destructive ». Celui-ci privilège la violence et les moyens coercitifs dans les relations sociales et assure une allocation appropriative des ressources. Vahabi présente la République iranienne comme un exemple-type du « mode de coordination destructive » étant donné son capitalisme rentier et la corruption de son système politique dans la gestion des ressources. Nous nous intéressons, dans ce travail de recherche, à étudier dans quelle mesure le cas du Liban peut être analysé à la lumière de ce mode de coordination destructive. / A « mode of coordination » is a concept that define the interaction between social relations and economy. The latter, which cannot be separated from politics, develops through the functioning of different institutional forms. Several methods of coordination have been identified in the literature, namely, the « market mode of coordination », the « ethics mode of coordination » and the « bureaucratic mode coordination mode ». Vahabi (2010) introduced a new type of coordination that he called it: the "destructive mode of coordination." This mode privilege violence and coercive means in social relations and provides an appropriate allocation of resources. Vahabi present Iranian Republic as a typical example of "destructive mode of coordination" because of the nature of its capitalism and corruption of its political system in the management of resources. We are interested in this research, to examine to what extent the case of Lebanon can be analyzed as a destructive mode of coordination.
|
Page generated in 0.0883 seconds