• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • 1
  • Tagged with
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Présentation phraséologique et perspectives traductologiques des chengyu du chinois mandarin: De la critique de la traduction des chengyu dans les versions françaises de quatre romans chinois contemporains

Henry, Kevin 14 May 2016 (has links)
Les chengyu, expressions idiomatiques spécifiques du chinois mandarin, forment l’une des pierres angulaires de la phraséologie de cette langue. Leur lourd bagage historique et leur forte prégnance stylistique en font certainement l’un des aspects les plus intéressants et les plus riches du chinois, mais aussi l’un des plus difficiles à maitriser pour les apprenants et les traducteurs de la langue de Confucius. La présente thèse, menée en cotutelle, se veut une exploration des chengyu et de leurs perspectives traductologiques. Notre travail se déroule en deux phases majeures :l’une consacrée à une analyse phraséologique et l’autre consistant en une plongée dans la critique des traductions.Constatant le faible nombre d’études occidentales sur ces expressions idiomatiques, nous effectuerons tout d’abord une brève présentation linguistique dans le but d’en dégager des critères définitoires, sinon archétypaux. Nous montrerons combien cette tâche se révèle difficile, vu le manque de consensus entre les spécialistes — en particulier sinophones. Nous proposerons d’examiner les chengyu à travers le prisme de la tradition phraséologique occidentale, dont nous détaillerons le potentiel mais aussi les limites. Le sujet de notre travail n’étant pas de trancher pour de bon la délicate question de la définition et de la démarcation précise des chengyu, nous lancerons toutefois quelques pistes qui seront autant de critères que nous éprouverons dans la deuxième phase de la thèse.Celle-ci tourne le dos à la linguistique pour embrasser pleinement la voie de la traductologie, puisque nous tenterons d’élaborer un modèle pour la critique de la traduction des chengyu. Après un bref état de l’art sur la discipline en Occident et en Chine, nous détaillerons la procédure que nous suivrons pour évaluer le plus objectivement possible, sans jugement de valeur, les éventuels effets que pourrait avoir la traduction des chengyu dans l’interprétation de quatre romans chinois contemporains par des lecteurs cibles francophones. L’examen se découpe en quatre étapes: présentation macroscopique générale, analyse macroscopique statistique, analyse microscopique qualitative et conclusions macroscopiques. Le cœur de la critique se concentre sur la polyphonie textuelle et sur la multiplicité des chemins interprétatifs contenus dans les chengyu, ainsi que sur les effets traductifs qui peuvent les toucher.Les résultats de cette enquête montrent que, dans notre corpus de quatre romans, les différentes techniques mises en œuvre pour traduire les chengyu n’altèrent en rien l’interprétation des textes originaux par les lecteurs cibles. La conclusion de la thèse ouvre la possibilité d’étendre le même type de critique à d’autres phrasèmes du chinois. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
2

Jin Ping Mei 金瓶梅 au travers de l’étude historique et critique de ses traductions anglaises et françaises / Jin Ping Mei 金瓶梅 through a historical and critical study of its translations in English and French / 《金瓶梅》英文和法文翻譯史與翻譯批評研究

Li, Shiwei 24 November 2016 (has links)
Jin Ping Mei 金瓶梅, œuvre controversée dès son apparition à la fin du XVIe siècle, fut très tôt reconnue comme une des œuvres phare du roman chinois en langue vulgaire, notamment par Feng Menglong 馮夢龍 (1574-1646) qui le désigna comme un des Si da qishu 四 大奇書 (Quatre grands livres extraordinaires). De nombreux mystères à son sujet restent encore débattus aujourd’hui, parmi lesquels l’identité de son auteur, l’authenticité de ses éditions, ou les interprétations possibles de ce roman. La réputation exécrable dont il continue de souffrir en Chine continentale ne l’a pas empêché de susciter l’intérêt des premiers sinologues français et anglais et ceci dès 1816. En prenant pour point de départ une analyse des sources et une synthèse des hypothèses en cours concernant Jin Ping Mei et ses interprétations, notre thèse fera le point sur toutes les adaptations et traductions en anglais et en français de l’ouvrage, notamment en mettant en parallèle les deux meilleures traductions intégrales dont nous disposons actuellement, à savoir en français, celle d’André Lévy (1985), et en anglais, celle de David Tod Roy (de 1993 à 2013). Cette confrontation nous permettra de distinguer les différentes interprétations de l’ouvrage retenues par les traducteurs, et d’exposer les stratégies mises en place par eux pour le traduire. Un aspect crucial de notre travail consistera à souligner dans notre critique les positions interprétatives des traducteurs, et le potentiel interprétatif qui résulte de leurs choix. Loin de vouloir appliquer à ces traductions un jugement de valeur, nous espérons au contraire offrir une meilleure compréhension de la profondeur de cette œuvre si complexe et controversée. / Jin Ping Mei 金瓶梅, one of the greatest masterpieces of the vernacular Chinese fiction, faced controversy ever since it appeared at the end of the 16th century. Scholars like Feng Menglong馮夢龍 (1574-1646) recognized the novel to be exceptional early on, placing it amongst the Si da qishu 四大奇書 (Four Masterworks of the Ming Novel). However, there still is a halo of unresolved mysteries around Jin Ping Mei, despite the fact that it has been the focal point of numerous studies. Some questions remain unsolved, such as the identity of its author, the authenticity of its editions, or its possible interpretations. Despite the bad reputation that the novel still suffers from in mainland China, its raised the interest from French and English sinologists as soon as 1816. Ever since, the novel has been the subject of partial translations and adaptations highly perfectible. Starting with an analysis of the sources and a synthesis of current hypothesis about the book and its interpretations, our thesis will then focus on all the adaptations and translations of the novel in English and in French, to ultimately confront the two best integral translations available to that day, namely André Lévy’s (1985) and David Tod Roy’s (1993 to 2013). This confrontation will allow us to distinguish the interpretations that translators had of the novel, and to expose the strategies they resorted to. A crucial part of our work will be to underline the interpretative positions of both translators, and the interpretative potential that results from their choices. Our goal is not to judge of the value of said translations, but rather to offer a better understanding of the depth of Jin Ping Mei. / 自十六世紀末問世以來,《金瓶梅》一直都是一部有爭議的作品。作為一部中國古代通俗長篇小說的著作,以及被馮夢龍稱為“四大奇書”之一,《金瓶梅》至今為止仍存在許多未解之謎。雖然對作品的相關研究日漸增多,但是關於作者的身份、版本以及對作品的闡釋等問題尚未達成共識。直至今日,《金瓶梅》在中國仍臭名昭著,但是這並不妨礙它在國外的流傳。早至1816 年,這部作品便引起了法國第一位漢學家的注意。兩個世紀以來,在法國紛紛出現了各種選段翻譯、改寫以及問題種種的不完整的法譯本。同樣,《金瓶梅》在英美國家的傳播之路也是漫長而艱難。該論文首先對《金瓶梅》的文學特色以及作品闡釋的問題進行相關探討,然後對《金瓶梅》所有翻譯和改寫的法譯本和英譯本進行研究,特別是對該作品的兩個完整的法譯本(André Lévy 雷威安 1985 年譯成)和英譯本(David TodRoy 苪效衛 1993 年至2013 年五卷本) 進行對比研究。通過對這些譯本的研究,我們能深入地了解譯者對作品的闡釋,他們採用的翻譯策略,以及他們譯本的優劣性。該論文的研究重點是譯者對作品闡釋的主體性,以及他們的翻譯策略給譯本讀者對原著理解帶來的影響。我們的研究並不是為了對譯本進行質量的評估,而是通過對譯本的研究來讓我們對《金瓶梅》這一複雜而極具爭議的作品有更深層的了解。
3

Traduction de fugues-poèmes : une approche intersémiotique

Laporte, Marie Noël January 2015 (has links)
Résumé : Musicienne et traductrice de formation et de métier, je présente ici des traductions de poèmes contemporains qui s’annoncent, par leur titre ou leur forme, comme des fugues. Comme hypothèse de départ, je pose la possibilité du transfert des éléments de fugue musicale à ceux de la fugue littéraire. Ma démarche se décline en deux parties. Dans un premier temps, j’analyse les poèmes en suivant pas à pas la méthode de critique des traductions littéraires d’Antoine Berman. La méthode est adaptée à la traduction intersémiotique et rend compte des éléments de fugue contenus dans chacun des poèmes à l’étude. Dans un second temps, une fois le « projet de traduction » bien établi, je propose une traduction française des fugues-poèmes. Dans l’esprit de ce que Barbara Folkart nomme des « traductions d’auteur », dans le rendu proposé, je m’éloigne des approches dénotatives, tentant de réactualiser en français la démarche compositionnelle des poètes. Que retiendront les poètes pour leur projet de fugue-poème? Une confusion est-elle possible avec d’autres formes répétitives, comme le canon, le thème et variations, le ground, la chaconne, la passacaille, voire des formes de musique minimaliste? Malgré les appréhensions d’un certain nombre de critiques, qui taxent de « vaines » toute expérience intersémiotique ou toute tentative pour en démontrer les correspondances, on trouve quelques exemples probants de fugues littéraires. Bien entendu, la musique ne peut se traduire directement en mots. En s’attardant aux phénomènes perceptuels et créatifs, on accède à un degré correct de pertinence. Je me suis donné pour méthodologie le modèle de critique des traductions littéraires d’Antoine Berman, dont j’ai fait l’ossature des chapitres et auquel j’ai greffé des grilles d’analyse paradigmatique et rythmique. J’ai aussi eu recours à un pense-bête des principaux éléments fugaux (constituants de la fugue musicale, définitions de « fugue » dans la langue courante et critères psychiatriques de la « fugue dissociative »). Un questionnaire maison a été le point de départ de mon travail de collaboration avec les poètes. Dans le cas de Paul Celan (1920-1970), j’ai utilisé le même questionnaire, que j’ai rempli au gré de l’analyse et du dépouillement d’autres recherches. J’explore dans les six premiers chapitres les poèmes « Todesfuge » (1945) de Paul Celan, « Night Thoughts on Clauzewitz’s On War » (1986) d’E. D. Blodgett, « Lives of the Great Composers » (1983) de Dana Gioia, « Domestic Fugues » (2009) de Richard Newman, « Art of Fugue » (2011) de Jan Zwicky » et « Arugula fugues » (2001) d’Adeena Karasick. Dans la conclusion, je discute les résultats de recherche, les choix méthodologiques et le processus de traduction. Un tableau-synthèse des correspondances fugales est aussi présenté et commenté. Le chapitre intitulé « Stretto » vient élargir le corpus des fugues-poèmes analysées et traduites. J’y présente les fugues-poèmes suivantes : « Fugue » et « Round » de Weldon Kees, « Fugue in Cold and Rain » et « Little Fugue of Love and Death » de Richard Newman, « The Praying Mantis » d’Annie Charlotte Dalton Armitage, « The Ballad of the Pink-Brown Fence » de Milton Acorn, « The Children are Laughing » de Gwendolyn MacEwen, « And the Season Advances » d’Herménégilde Chiasson (dans une traduction de Jo-Anne Elder et de Fred Cogswell), « Fugue » de Robyn Sarah, « Fugue » du Kaddish d’Allen Ginsberg, « Fugue » de Neville Dawes, « Seaside Canon » de Julia Galef et « Stretto » de Don MacKay. // Abstract : As a professional musician and translator, I am presenting my translations of contemporary poems that are, either through their titles or their forms, fugue-poems. It is my hypothesis that elements present in a musical fugue can be transferred to a literary fugue. There are two parts to my research. First, I analyze the poems in strict accordance with Antoine Berman’s critical method for literary translation. I adapted the method in order to work with inter-semiotic translation, as well as the fugal elements contained in each of the poems studied. Next, with the “translation project” well established, I propose a French translation of the fugue-poems. Based on Barbara Folkart’s notion of “writerly translations,” I will attempt to capture the essence of the poems and recreate true works of literary art in French, rather than using purely denotative translation methods. Which elements do poets employ in their fugue-poems? Is there a possibility of confusing fugal elements with other repetitive forms, such as a canon, a theme and variations, a ground bass, a chaconne, a passacaglia or even certain forms of minimalist music? Despite the apprehension of some critics, who believe that inter-semiotic work or even the attempt to reveal any form of relationship is in vain, there are a number of clear examples of literary fugues. Naturally, music cannot translate directly into words. However, a study of the perceptual and creative phenomena allows us to make the connection. My research methodology is based on Antoine Berman’s model meant for critics of literary translations, which provides the backbone for the chapters in this presentation, and to which I have added a paradigmatic and rhythmic analysis grid. I also used a memory aid of the principal fugal elements (components of a musical fugue, definitions of a “fugue” in common usage, and the characteristics of the psychiatric disorder referred to as “dissociative fugue”). I designed a questionnaire, which I used as the basis for my collaboration with the poets. In the case of Paul Celan (1920-1970), I used the same questionnaire, which I filled out based on my analysis of his work, as well as analyses put forth by other researchers. In the first six chapters, I explore the following poems: “Todesfuge” (1945) by Paul Celan, “Night Thoughts on Clauzewitz’s On War” (1986) by E. D. Blodgett, “Lives of the Great Composers” (1983) by Dana Gioia, “Domestic Fugues” (2009) by Richard Newman, “Art of Fugue” (2011) by Jan Zwicky and “Arugula fugues” (2001) by Adeena Karasick. In the conclusion, I discuss the research results, the methodological choices and the translation process. I have also included a summary table (with comments) of the corresponding fugal elements. The chapter entitled “Stretto” concludes the corpus of analyzed and translated fugue-poems. It includes: “Fugue ” and “Round” by Weldon Kees, “Fugue in Cold and Rain” and “Little Fugue of Love and Death” by Richard Newman, “The Praying Mantis” by Annie Charlotte Dalton Armitage, “The Ballad of the Pink- Brown Fence” by Milton Acorn, “The Children are Laughing” by Gwendolyn MacEwen, “And the Season Advances” by Herménégilde Chiasson (translation by Jo-Anne Elder and Fred Cogswell), “Fugue” by Robyn Sarah, “Fugue” from Kaddish by Allen Ginsberg, “Fugue” by Neville Dawes, “Seaside Canon” by Julia Galef and “Stretto” by Don MacKay.

Page generated in 0.1946 seconds