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Model-Checking in Presburger Counter Systems using AccelerationsAcharya, Aravind N January 2013 (has links) (PDF)
Model checking is a powerful technique for analyzing reach ability and temporal properties of finite state systems. Model-checking finite state systems has been well-studied and there are well known efficient algorithms for this problem. However these algorithms may not terminate when applied directly to in finite state systems. Counter systems are a class of in fininite state systems where the domain of counter values is possibly in finite. Many practical systems like cache coherence protocols, broadcast protocols etc, can naturally be modeled as counter systems. In this thesis we identify a class of counter systems, and propose a new technique to check whether a system from this class satires’ a given CTL formula. The key novelty of our approach is a way to use existing reach ability analysis techniques to answer both \until" and \global" properties; also our technique for \global" properties is different from previous techniques that work on other classes of counter systems, as well as other classes of in finite state systems. We also provide some results by applying our approach to several natural examples, which illustrates the scope of our approach.
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Evaluation of DC Fault Current in Grid Connected Converters in HVDC StationsSinhaRoy, Soham January 2022 (has links)
The main circuit equipment in an HVDC station must be rated for continuous operation as well as for stresses during ground faults and other short circuits. The component impedances are thus selected for proper operation during both continuous operation and short circuit events. Normally, Electromagnetic Transient (EMT) simulations are performed for the short circuit current ratings, which can leadto time consuming iterations for the optimization of impedance values. Hence, sufficiently correct and handy formulas are useful. For that reason, in this research work, firstly, a thorough literature study is done to gain a deep understanding of the modular multilevel converter (MMC) and its behaviour after aDC pole-to-pole short circuit fault. Two associated simulation models are designed in PSCAD/EMTDC simulation software. The focus of this thesis is on DC pole-topoleshort circuit in Symmetric Monopole HVDC VSC Modular Multilevel Converter (MMC). The desired analytical expression for the steady state fault current is determined byusing mesh analysis and also by applying KCL and it is verified by doing a set of simulations in PSCAD. A detailed sensitivity study has been done in the PSCAD simulation software to understand the influence of the AC converter reactor inductance and the DC smoothing reactor inductance on the steady state as well as peak fault current respectively. From the sensitivity study, the simulated values of peak factor have been obtained. By means of the ratio in between DC side inductance (L_DC) and AC side inductance (L_AC), and by performing a number of calculations, the desired expression for the peak factor is derived. As a result, the peak fault current can be calculated. The calculated value of the peak fault current from the derived formula is compared to the simulated value and validated. An over-estimation is considered for the rating of the equipment. Along with that, the analysis of the effect of impedances of equipment and systems are done and also verified, to better judge the accuracy of the result. In the result, it is found that, the error margin obtained from the derived analytical expression for the steady state value is within 2% of the PSCAD simulated value, which means the error can be safely ignored. Similarly, the value obtained from the derived formula for the peak fault current is within 4% over-estimation margin of the PSCAD simulated value, which is quite good in terms of cost estimation for the rating of the components.
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ScaleSem : model checking et web sémantiqueGueffaz, Mahdi 11 December 2012 (has links) (PDF)
Le développement croissant des réseaux et en particulier l'Internet a considérablement développé l'écart entre les systèmes d'information hétérogènes. En faisant une analyse sur les études de l'interopérabilité des systèmes d'information hétérogènes, nous découvrons que tous les travaux dans ce domaine tendent à la résolution des problèmes de l'hétérogénéité sémantique. Le W3C (World Wide Web Consortium) propose des normes pour représenter la sémantique par l'ontologie. L'ontologie est en train de devenir un support incontournable pour l'interopérabilité des systèmes d'information et en particulier dans la sémantique. La structure de l'ontologie est une combinaison de concepts, propriétés et relations. Cette combinaison est aussi appelée un graphe sémantique. Plusieurs langages ont été développés dans le cadre du Web sémantique et la plupart de ces langages utilisent la syntaxe XML (eXtensible Meta Language). Les langages OWL (Ontology Web Language) et RDF (Resource Description Framework) sont les langages les plus importants du web sémantique, ils sont basés sur XML.Le RDF est la première norme du W3C pour l'enrichissement des ressources sur le Web avec des descriptions détaillées et il augmente la facilité de traitement automatique des ressources Web. Les descriptions peuvent être des caractéristiques des ressources, telles que l'auteur ou le contenu d'un site web. Ces descriptions sont des métadonnées. Enrichir le Web avec des métadonnées permet le développement de ce qu'on appelle le Web Sémantique. Le RDF est aussi utilisé pour représenter les graphes sémantiques correspondant à une modélisation des connaissances spécifiques. Les fichiers RDF sont généralement stockés dans une base de données relationnelle et manipulés en utilisant le langage SQL ou les langages dérivés comme SPARQL. Malheureusement, cette solution, bien adaptée pour les petits graphes RDF n'est pas bien adaptée pour les grands graphes RDF. Ces graphes évoluent rapidement et leur adaptation au changement peut faire apparaître des incohérences. Conduire l'application des changements tout en maintenant la cohérence des graphes sémantiques est une tâche cruciale et coûteuse en termes de temps et de complexité. Un processus automatisé est donc essentiel. Pour ces graphes RDF de grande taille, nous suggérons une nouvelle façon en utilisant la vérification formelle " Le Model checking ".Le Model checking est une technique de vérification qui explore tous les états possibles du système. De cette manière, on peut montrer qu'un modèle d'un système donné satisfait une propriété donnée. Cette thèse apporte une nouvelle méthode de vérification et d'interrogation de graphes sémantiques. Nous proposons une approche nommé ScaleSem qui consiste à transformer les graphes sémantiques en graphes compréhensibles par le model checker (l'outil de vérification de la méthode Model checking). Il est nécessaire d'avoir des outils logiciels permettant de réaliser la traduction d'un graphe décrit dans un formalisme vers le même graphe (ou une adaptation) décrit dans un autre formalisme
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ScaleSem : model checking et web sémantique / ScaleSem : model checking and semantic webGueffaz, Mahdi 11 December 2012 (has links)
Le développement croissant des réseaux et en particulier l'Internet a considérablement développé l'écart entre les systèmes d'information hétérogènes. En faisant une analyse sur les études de l'interopérabilité des systèmes d'information hétérogènes, nous découvrons que tous les travaux dans ce domaine tendent à la résolution des problèmes de l'hétérogénéité sémantique. Le W3C (World Wide Web Consortium) propose des normes pour représenter la sémantique par l'ontologie. L'ontologie est en train de devenir un support incontournable pour l'interopérabilité des systèmes d'information et en particulier dans la sémantique. La structure de l'ontologie est une combinaison de concepts, propriétés et relations. Cette combinaison est aussi appelée un graphe sémantique. Plusieurs langages ont été développés dans le cadre du Web sémantique et la plupart de ces langages utilisent la syntaxe XML (eXtensible Meta Language). Les langages OWL (Ontology Web Language) et RDF (Resource Description Framework) sont les langages les plus importants du web sémantique, ils sont basés sur XML.Le RDF est la première norme du W3C pour l'enrichissement des ressources sur le Web avec des descriptions détaillées et il augmente la facilité de traitement automatique des ressources Web. Les descriptions peuvent être des caractéristiques des ressources, telles que l'auteur ou le contenu d'un site web. Ces descriptions sont des métadonnées. Enrichir le Web avec des métadonnées permet le développement de ce qu'on appelle le Web Sémantique. Le RDF est aussi utilisé pour représenter les graphes sémantiques correspondant à une modélisation des connaissances spécifiques. Les fichiers RDF sont généralement stockés dans une base de données relationnelle et manipulés en utilisant le langage SQL ou les langages dérivés comme SPARQL. Malheureusement, cette solution, bien adaptée pour les petits graphes RDF n'est pas bien adaptée pour les grands graphes RDF. Ces graphes évoluent rapidement et leur adaptation au changement peut faire apparaître des incohérences. Conduire l’application des changements tout en maintenant la cohérence des graphes sémantiques est une tâche cruciale et coûteuse en termes de temps et de complexité. Un processus automatisé est donc essentiel. Pour ces graphes RDF de grande taille, nous suggérons une nouvelle façon en utilisant la vérification formelle « Le Model checking ».Le Model checking est une technique de vérification qui explore tous les états possibles du système. De cette manière, on peut montrer qu’un modèle d’un système donné satisfait une propriété donnée. Cette thèse apporte une nouvelle méthode de vérification et d’interrogation de graphes sémantiques. Nous proposons une approche nommé ScaleSem qui consiste à transformer les graphes sémantiques en graphes compréhensibles par le model checker (l’outil de vérification de la méthode Model checking). Il est nécessaire d’avoir des outils logiciels permettant de réaliser la traduction d’un graphe décrit dans un formalisme vers le même graphe (ou une adaptation) décrit dans un autre formalisme / The increasing development of networks and especially the Internet has greatly expanded the gap between heterogeneous information systems. In a review of studies of interoperability of heterogeneous information systems, we find that all the work in this area tends to be in solving the problems of semantic heterogeneity. The W3C (World Wide Web Consortium) standards proposed to represent the semantic ontology. Ontology is becoming an indispensable support for interoperability of information systems, and in particular the semantics. The structure of the ontology is a combination of concepts, properties and relations. This combination is also called a semantic graph. Several languages have been developed in the context of the Semantic Web. Most of these languages use syntax XML (eXtensible Meta Language). The OWL (Ontology Web Language) and RDF (Resource Description Framework) are the most important languages of the Semantic Web, and are based on XML.RDF is the first W3C standard for enriching resources on the Web with detailed descriptions, and increases the facility of automatic processing of Web resources. Descriptions may be characteristics of resources, such as the author or the content of a website. These descriptions are metadata. Enriching the Web with metadata allows the development of the so-called Semantic Web. RDF is used to represent semantic graphs corresponding to a specific knowledge modeling. RDF files are typically stored in a relational database and manipulated using SQL, or derived languages such as SPARQL. This solution is well suited for small RDF graphs, but is unfortunately not well suited for large RDF graphs. These graphs are rapidly evolving, and adapting them to change may reveal inconsistencies. Driving the implementation of changes while maintaining the consistency of a semantic graph is a crucial task, and costly in terms of time and complexity. An automated process is essential. For these large RDF graphs, we propose a new way using formal verification entitled "Model Checking".Model Checking is a verification technique that explores all possible states of the system. In this way, we can show that a model of a given system satisfies a given property. This thesis provides a new method for checking and querying semantic graphs. We propose an approach called ScaleSem which transforms semantic graphs into graphs understood by the Model Checker (The verification Tool of the Model Checking method). It is necessary to have software tools to perform the translation of a graph described in a certain formalism into the same graph (or adaptation) described in another formalism
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