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Aménagement et dynamique urbaine : étude du projet McGill College (1984) en rapport avec le mouvement City Beautiful

Djiar, Souhila January 1998 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La participation citoyenne dans l'élaboration du schéma d'aménagement et de développement de la Ville de Sherbrooke

Grondin-Landry, Alexis January 2016 (has links)
Le développement durable et la participation citoyenne sont deux termes très en vogue actuellement. Ils sont utilisés de bien des manières et même parfois de façon détournée. Néanmoins, il est de plus en plus fréquent de voir la participation citoyenne et le développement durable être associés. Cela provient du fait que pour les tenants de cette fusion, pour qu’il y ait développement durable il doit y avoir une forme de participation citoyenne. Ce lien théorique entre les deux concepts est vrai pour ses adhérents puisque ce doit être les citoyens impliqués dans le développement qui doivent guider en partie l’élaboration de la politique de développement durable. Les politiques d’urbanismes sont parmi les politiques les plus importantes pour créer un développement durable puisqu’elle combine à la fois le transport et l’aménagement du territoire selon une perspective économique, sociale et environnementale. De plus, ce sont les politiques d’urbanismes qui gèrent les milieux naturels. Pour Gauthier et Gagnon (2013) afin qu’une politique d’urbanisme durable émerge il doit y avoir une forme spécifique de participation citoyenne soit une participation citoyenne significative. Le Schéma d’aménagement et de développement de la Ville de Sherbrooke est en fait une politique d’urbanisme tendant vers le développement durable qui a inclus une démarche de participation citoyenne. Une grille d’analyse basée sur les travaux de M. Gauthier et de Mme Gagnon a permis de savoir si l'outil de participation citoyenne utilisée par la Ville de Sherbrooke dans le cadre de l’élaboration de son schéma d’aménagement et de développement adopté en 2013 a permis une participation citoyenne significative selon les huit critères établis par Mario Gauthier et Lynda Gagnon (2013)? Deux citoyens, une élue de la Ville, une fonctionnaire responsable du Schéma et trois représentants d’associations ont donné leurs perceptions dans des entrevues semi-dirigées afin de qualifier la participation citoyenne lors de l’élaboration du Schéma d’aménagement de la Ville. Les perceptions des participants n’ont pas permis de qualifier le processus participatif de la Ville. Il est donc impossible pour le chercheur de confirmer si la démarche de participation citoyenne est significative ou non. La Loi sur l’urbanisme et l’aménagement du Québec (LAU) a influencé de façon non significative la participation citoyenne lors de l’élaboration du Schéma. Il est clair que celle-ci a une influence en instituant de façon obligatoire la participation citoyenne lors de l’élaboration de Schéma d’aménagement et de développement des MRC, mais malgré les critères obligatoires de bases ce n’est pas la LAU qui a influencé de manière significative la participation citoyenne dans la forme analysée.
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Les risques collectifs dans les agglomérations françaises : contours et limites d'une approche territoriale de prévention et de gestion des risques à travers le parcours des agents administratifs locaux

Gralepois, Mathilde 25 November 2008 (has links) (PDF)
La thèse porte sur les conditions d'émergence d'une approche territoriale de prévention et de gestion des risques collectifs à l'échelle des agglomérations urbaines. Cette approche s'appuie une définition endogène et extensive du mot " risque ", qui vise finalement à un fonctionnement sans incident des villes. Le suivi du parcours des agents administratifs, principaux porteurs de cette ambition dans les trois intercommunalités françaises étudiées (agglomérations de Nantes, de Lyon et du Havre), permet de mesurer la réception de cette approche dans la gouvernance locale et dans le développement des agglomérations urbaines. La première partie de la thèse, qui couvre les années 1960 à 2000, vise à montrer la lente légitimation d'une approche territoriale de prévention et de gestion des risques jusqu'à la structuration administrative de services dédiés. La seconde partie de la thèse, qui couvre les années 2000 à 2006, examine les conditions de leur maintien sur l'agenda. Contre toutes attentes, les agents publics ne réussissent pas à inscrire leur approche des risques dans les politiques d'urbanisme. Par contre, ils parviennent à la valoriser dans la politique locale de sécurité civile. Cette thèse met les agents territoriaux au cœur de l'analyse de l'action publique et de l'évolution des représentations urbaines. Mais c'est dans la confrontation de ces agents publics aux autres techniciens, communaux ou d'État, et surtout dans le rapport aux élus, que se révèlent les enjeux politiques de la prise en compte des risques dans le développement urbain
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Modélisation par automate cellulaire de scénarios d'aménagement forestier dans une région rurale du sud du Québec

Ménard, André January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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LA SENSIBILITE PAYSAGERE A L'EPREUVE DE LA GESTION TERRITORIALE, Paysages et politiques publiques de l'aménagement en Pays de la Loire.

Davodeau, Hervé 08 December 2003 (has links) (PDF)
En France, la « loi paysage » de 1993 incite les collectivités locales à faire de la protection et de la valorisation des paysages un objectif de leurs politiques d'aménagement. Mais puisque la notion de paysage engage la sensibilité de l'observateur, n'y a-t-il pas une certaine incompatibilité d'échelle à en faire l'objet d'une politique territoriale ? Comment, en effet, les politiques publiques concilient-elles l'appréhension sensible des paysages avec les échelles territoriales de leur mise en oeuvre ? Les mécanismes économiques contemporains induisent une « banalisation paysagère » qui motive, en retour, l'émergence de ces politiques. Aux diverses échelles des territoires (la région étudiée est celle des Pays de la Loire), l'invocation du paysage prend différents sens. Mais ces nouvelles échelles du « paysage d'aménagement » posent des problèmes aux gestionnaires. Du paysage au territoire, il y a bien plus qu'un changement d'échelles ; c'est l'objet qui change de nature. La dimension territoriale de la gestion paysagère implique aussi des tensions entre les acteurs, chacun défendant son point de vue sur des paysages toujours appropriés et souvent instrumentalisés.
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La planification (régionale?) du territoire : le cas des MRC québécoises

Lévesque, Josée 11 1900 (has links) (PDF)
Confrontées à la rapidité de l'évolution du territoire et aux forces du marché, les MRC du Québec ont la responsabilité d'assurer le développement harmonieux de leur territoire par le maintien d'une planification territoriale qui capitalise les forces vives de la région. Simple en théorie... mais en pratique, la production et la révision de cette planification régionale se révèle laborieuse et complexe, tant en regard de l'exercice comme tel qui tient, à certains égards, de la futurologie, qu'en regard des jeux de pouvoir qui y sont associés et par lesquels il nous est donné d'apprécier la forte dimension politique de l'aménagement du territoire. Au Québec, près du tiers des MRC ont, à ce jour, un schéma d'aménagement en vigueur de première génération datant de plus de 20 ans. Pourquoi? À partir de l'étude de 12 MRC du Québec, l'auteure dresse un portrait de la situation actuelle de la planification régionale au Québec et des difficultés que rencontrent les MRC dans la production de leur planification territoriale. L'auteure démontre ainsi que les retards que présente la production de la planification régionale sont ancrés à la question des rapports de pouvoirs entre les échelons de la gouvernance territoriale ainsi qu'à celle de la décentralisation des pouvoirs de l'État. Elle met également à jour les différentes stratégies engagées par les MRC afin de poursuivre leurs objectifs de développement régional malgré la présence du schéma et des comptes à rendre qui lui sont associés. En définitive, il est question de la capacité, mais également de la volonté des MRC de produire la planification régionale tel qu'il est entendu et prescrit par le gouvernement provincial. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Aménagement, Centralisation, Décentralisation, Gouvernance, MRC, Planification, Territoire.
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La logistique et aménagement du territoire : comparaisons entre les expériences françaises et chinoises / Logistics and regional planning

Liu, Xiaoming 18 December 2012 (has links)
La logistique est une fonction majeure du système économique pour la production et pour la distribution des marchandises, elle donne naissance à une nouvelle branche industrielle. Elle est aussi un facteur clef de l'organisation spatiale, requérant une intention adéquate dans les démarches de planification. Une comparaison entre les expériences chinoises et françaises traitant des "parcs logistiques" éclaire les enjeux et les problèmes de l'insertion de la logistique dans l'aménagement urbain et régional. Cette thèse vise à faire un bilan des expériences de la manière dont sont prises en compte, par les pouvoirs publics, la logistique et ses spécificités dans la planification urbaine et régionale / Logistics is a key function in economic development, for production and for distribution, it gives birth to an emerging new industry. Logistics is also a key factor of spatial functioning and organization, requiring an adequate attention and priority in planning. A comparison of Chinese and French experiences dealing with "freight villages" throws light on the major stakes and questions of introducing logistics into urban and regional planning agenda. This thesis tries to take stock of experiences of ways to take into account logistics and his characteristics in urban and regional planning
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La prise en charge du territoire des bidonvilles vulnérables aux désastres naturels par des résidants

Flores Fernandez, Rosa Amelia January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L’Archéologie du savoir territorial à la croisée de l’urbanisme et des sciences sociales naissantes en Belgique dans la première moitié du XX siècle

Grulois, Geoffrey 11 December 2015 (has links)
L’histoire et la sociologie critique de l’urbanisme se sont construites, depuis les années 1960, en dénonçant le caractère technocratique d’une discipline qui substitue sa normativité à l’urbanité de la ville traditionnelle. Paradoxalement, elles ont contribué à couper les racines descriptives que l’urbanisme a puisées dans le champ des sciences sociales naissantes au début du XXe siècle. Le savoir territorial que les premiers urbanistes cultivent avec la géographie et l’histoire sociale sont réduites à l’influence épistémologique du positivisme scientifique d’Auguste Comte et du matérialisme historique de Karl Marx et Fridriech Engels. Dès lors, l’histoire critique de l’urbanisme moderne se construit suivant l’hypothèse d’une rupture spatio-temporelle avec le présent - l’utopie - et de la réduction de l’empirisme à des lois normatives. Les projets théoriques des grandes figures de son histoire - Camillo Sitte, Ebenezer Howard, Tony Garnier, Le Corbusier, Walter Gropuis, Frank Loyd Wright et Ludwig Hilberseimer - sont envisagés comme autant de témoignages de ce projet utopique et positiviste qui aurait été repris dans ses grandes lignes par une génération de professionnels qui imposent les lois de l’urbanisme moderne jusqu’aux années 1960. Cette thèse se veut un questionnement fondamental sur le rapport entre l’urbanisme naissant et l’histoire sociale et économique et la géographie humaine dans la première moitié du XXe siècle en Belgique. En retraçant l’exploration parcourue par les premiers urbanistes belges de cette « grande génération » autour des notions de « ville tentaculaire », de « société rurale primitive », d’ « agglomération rurale », de « ville marchande des Pays-Bas méridionaux », de « région industrielle » et de « ville fonctionnelle », elle entend (re)découvrir les référents culturels et empiriques que ceux-ci vont partager avec le champ des sciences sociales naissantes en Belgique. En invoquant la pensée des socialistes Emile Vandervelde et Henri De Man, du sociologue Ernest Mahaim, des historiens Henri Pirenne et Guillaume Des Marez, de l’ingénieur Alexandre Delmer, de l’économiste Paul Michotte et du géographe Omer Tulippe, qui vont tous contribuer à forger les particularités d’une culture sociale, économique et géographique propre au territoire de la Belgique dans la première moitié du XXe siècle, la thèse veut réhabiliter les subtilités d’un réseau d’échanges transdisciplinaires que l’histoire de l’urbanisme moderne a négligé. Elle cherche également préciser le rapport que la discipline naissante entretient avec la rationalité moderne et en particulier le taylorisme.La thèse entend montrer le questionnement fondamental sur les formes socio-spatiales de la modernité que ces protagonistes vont initier en se nourrissant de l’histoire et de la géographie. Pour ce faire, cette étude focalise sur les liens entre les sciences sociales naissantes et les réflexions des acteurs de la Société des Urbanistes Belges (SUB, 1919-1970), de l’Institut d’Urbanisme de l’Institut Supérieur des Arts Décoratifs - La Cambre (1928-1979) et du Groupe L’Equerre (1935’-) dont la découverte de certains documents originaux permet de comprendre la richesse d’une réflexion empirique profondément inscrite dans le territoire et l’histoire de la Belgique .De cette manière, la thèse entend révéler les particularités épistémologiques et conceptuelles que les premiers urbanistes belges vont construire en ancrant les notions de « ville tentaculaire », d’« agglomération » et de « région industrielle » dans une culture territoriale qui est nourrie par l’expérience quotidienne et l’empirie des sciences sociales. La thèse se penche en particulier sur quatre urbanistes qui vont initier des liens directs avec les sciences sociales - Raphaël Verwilghen avec l’étude du peuplement, Jean De Ligne avec l’histoire sociale et économique, Jean-Jules Eggericx avec le taylorisme et Emile Parent avec la géographie humaine. Dans le prolongement de ces travaux théoriques fondateurs, cette étude s’intéresse aux liens entre ces protagonistes et d’autres urbanistes qui vont utiliser les référents culturels véhiculés par ces sciences sociales dans des projets urbanistiques: - l’ « agglomération rurale » de Raymond Moenaert, la « ville sporadique » de Louis Van der Swaelmen, la « ville tentaculaire » de Raphaël Verwilghen puis l’ « agglomération industrielle » de Jean De Ligne et Maurice Heymans et la « région industrielle » de Gustave Herbosch, d’Emile Parent et du Groupe L’Equerre.À la différence des travaux monographiques existants d’histoire de l’urbanisme en Belgique, qui se sont plutôt focalisés sur la réception de modèles dominant la discipline dans d’autres nations européennes dans la première moitié du XXe siècle - le tracé de ville monumentale des métropoles, la déconcentration en cités-jardins, les villes denses bâties en hauteur des années 1930 et les cités industrielles linéaires des années 1940 et 1950 - cette thèse cherche à identifier les référents culturels qui ancrent la pratique urbanistique dans une étude empirique et historique du territoire de la Belgique que les sciences sociales naissantes contribuent à façonner.En révélant l’enracinement de la culture urbanistique des protagonistes de la SUB et de l’Institut d’Urbanisme de l’ISAD La Cambre dans la « ville tentaculaire » de Verhaeren et Vandervelde, le portus du Moyen-Age de Pirenne et Des Marez, L’idée socialiste de De Man, la « région industrielle » de Delmer, Michotte et Tulippe, cette thèse veut montrer qu’il ne s’agit ni de la « métropole monumentale radioconcentrique », ni de la « déconcentration en cités-jardins », ni de la « ville concentrée bâtie en hauteur », ni de la « ville linéaire socialiste » mais d’un lieu d’échange économique aggloméré dans le bas de la vallée au carrefour des voies de transport inscrites dans l’oro-hydrographie et, dans le prolongement duquel on conçoit l’industrie et, dispersés sur les versants, l’habitat et les communautés.Ce modèle qui se dégage progressivement de la réflexion des premiers urbanistes belges, au détour d’une longue gestation, ne peut être appréhendé que si l’on étudie l’expérience de ces intellectuels belges de manière globale et contextualisée, en ouvrant les limites du champ de l’histoire de l’urbanisme à l’empirie des sciences sociales naissantes et en se démarquant de l’approche mono-biographique qui a dominé le champ de l’histoire de l’architecture et de l’urbanisme. La figure socialiste-libérale de l’agglomération marchande et industrielle n’apparaîtra que si l’on relativise l’histoire critique de l’urbanisme occidental et, en particulier, les idées de rupture socio-spatiale et de réductionnisme scientifique, pour explorer les particularités de l’histoire sociale et économique du territoire des anciens Pays-Bas méridionaux, qui inspire la pensée urbanistique en Belgique jusque dans les années 1960.Pour comprendre ce règne de l’empirie et du particularisme du milieu, il faudra d’abord admettre que Verhaeren est autant un géographe qu’un poète, que Vandervelde cherche à voir bien au-delà du « retour au champ ». Il faudra mettre de côté L’histoire de la Belgique d’Henri Pirenne et Le Plan du Travail de De Man pour redécouvrir les œuvres de jeunesse de ces auteurs. Il faudra relativiser l’Arrêté-Loi sur l’urbanisme de 1915, les cités-jardins des années 1920, les premières villes denses bâties en hauteur de Le Corbusier et Victor Bourgeois et les villes linéaires de Renaat Braem. On pourra alors redécouvrir la richesse d’une culture socio-spatiale moderne spécifique au territoire de la Belgique que l’institutionnalisation de l’aménagement du territoire a réduit au zonage des plans de secteurs et qui, dans la période de désindustrialisation et de crise environnementale que nous connaissons aujourd’hui, pourrait nous aider à penser le territoire au delà des dichotomies urbain - rural et réconcilier la ville avec l’économie et l’environnement sans tomber dans les travers d’un néolibéralisme débridé ou d’un interventionnisme d’état démesuré. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les risques collectifs dans les agglomérations françaises. Contours et limites d'une approche territoriale à travers le parcours des agents administratifs locaux

Gralepois, Mathilde 25 November 2008 (has links) (PDF)
La thèse porte sur les conditions d'émergence d'une approche territoriale de prévention et de gestion des risques collectifs à l'échelle des agglomérations urbaines. Cette approche s'appuie une définition endogène et extensive du mot « risque », qui vise finalement à un fonctionnement sans incident des villes. Le suivi du parcours des agents administratifs, principaux porteurs de cette ambition dans les trois intercommunalités françaises étudiées (agglomérations de Nantes, de Lyon et du Havre), permet de mesurer la réception de cette approche dans la gouvernance locale et dans le développement des agglomérations urbaines. La première partie de la thèse, qui couvre les années 1960 à 2000, vise à montrer la lente légitimation d'une approche territoriale de prévention et de gestion des risques jusqu'à la structuration administrative de services dédiés. La seconde partie de la thèse, qui couvre les années 2000 à 2006, examine les conditions de leur maintien sur l'agenda. Contre toutes attentes, les agents publics ne réussissent pas à inscrire leur approche des risques dans les politiques d'urbanisme. Par contre, ils parviennent à la valoriser dans la politique locale de sécurité civile. Cette thèse met les agents territoriaux au cœur de l'analyse de l'action publique et de l'évolution des représentations urbaines. Mais c'est dans la confrontation de ces agents publics aux autres techniciens, communaux ou d'État, et surtout dans le rapport aux élus, que se révèlent les enjeux politiques de la prise en compte des risques dans le développement urbain.

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