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Les décès par suicide et les décès dus aux accidents de la route : trois études concernant les comportements impulsifs et impulsifs/agressifs

Dumais, Alexandre January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Capacité en matière de prise de décisions chez des récidivistes de conduite avec capacités affaiblies par l’alcool

Maldonado Bouchard, Sioui 04 1900 (has links)
Thomas G. Brown, Ph.D., co-directeur de recherche / Objectifs : La capacité en matière de prise de décisions des récidivistes de conduite avec capacités affaiblies (CCA) semble les distinguer des non-contrevenants, particulièrement dans des situations ambiguës à haut risque, telles que la CCA. Cette étude exploratoire vise à vérifier l’hypothèse selon laquelle les récidivistes de CCA (R) auraient une moins bonne capacité de prise de décisions et une plus faible réponse de conductibilité électrodermale par anticipation à la tâche Iowa Gambling Task (IGT) que les non-contrevenants (C). Méthode : Vingt-trois récidivistes et 24 non-contrevenants ont été recrutés. Leur âge moyen (± É.T.) était 44.17(10.03) et 37.29 (10.60) ans respectivement. Les participants devaient être âgés de 18 ans ou plus, et avoir eu deux condamnations pour CCA ou plus pour le groupe R, et zéro CCA et un permis de conduire pour le groupe C. Les participants ont effectué I’IGT, une tâche neurocognitive de prise de décisions comprenant 100 sélections de cartes divisées en cinq blocs pour les analyses. On a comparé la performance du groupe R versus le groupe C à l’aide d’une ANOVA à mesures répétées [2 (groupe) x 5 (blocs)]. On a évalué la performance durant les blocs 1 & 2 (décisions dans l’ambiguïté) et blocs 3-5 (décisions sous haut risque) en utilisant des tests t post-hoc. Finalement, on a mesuré leur réponse de conductibilité électrodermale (RCEA) durant l’IGT. Résultats : L’ANOVA à mesures répétées des blocs 1 à 5 a révélé un effet significatif de l’interaction groupe par bloc, F(1,45)=5.28, p=.03, état carré =.11. Les tests t post hoc ont révélé une différence significative entre les groupes pour la combinaison des blocs 3 à 5, t(45) = 3.38, p = .002. Un effet d’interaction significatif a été détecté pour la RCEA des récidivistes de CCA versus celle des non-contrevenants, F(8,160)=2.33, p=.02, état carré =.10. Conclusion : Les récidivistes de CCA performent moins bien que les non-contrevenants à l’IGT. Ils persistent à prendre des décisions basées sur le potentiel de gains immédiats et négligent donc les risques de pertes. Ceci suggère qu’ils ont des déficits en matière de prise de décision, ce qui, en tant que groupe, les différencie des non-contrevenants. Une difficulté en matière de prise de décisions pourrait expliquer en partie le comportement impulsif fréquemment associé au récidivisme de CCA. Finalement, puisque les analyses de RCEA manquaient de puissance statistique, il est possible que de plus grands échantillons puissent permettre d’observer des différences entre les groupes de participants dans l’analyse de RCEA. / Objectives: Poor decision making in ambiguous high-risk situations, such as driving while impaired (DWI) by alcohol, may differentiate DWI recidivists from non-offenders. In this study, we test the hypothesis that DWI recidivists (R) will exhibit poorer decision-making performance on the Iowa Gambling Task (IGT), and in line with the Somatic Marker Hypothesis, weaker anticipatory somatic activation (using skin conductance response as index) than non-offenders (C, comparison group). Methods: DWI recidivists and non-DWI control drivers were recruited, [R (n=23) and C (n=24), mean ages (± SD) 44.17(10.03) and 37.29 (10.60) years respectively]. Participant selection criteria included ≥ 18 years old and ≥2 DWI convictions for group R and 0 DWI convictions lifetime and a driver’s license for group C. The participants performed the IGT, a decision-making neurocognitive task containing 100 card selection trials that we divided into 5 blocks for analyses. A 2 (group) x 5 (blocks) repeated measures ANOVA was used to compare group R performance on the IGT versus group C, followed by post hoc independent t-tests on aggregated blocks 1-2 (decision under ambiguity) & 3-5 (decision under high risk) to identify the source of group X block significant interactions. Two 3 (group) x 5 (blocks) repeated measures ANOVAs (for good decks and for bad decks) were used to compare the aSCR of groups C and R. Results: ANOVA repeated measures on blocks 1 to 5 produced a significant effect of group by block interaction F(1,45)=5.28, p=.03, partial ƞ2 =.11. Post hoc t-tests on aggregated blocks 3 to 5 were statistically significant, t(45) = 3.38, p = .002. A significant group x block interaction effect was found for good decks aSCR, F(8,160)=2.33, p=.02, partial ƞ2 =.10 . Conclusion: DWI recidivists performed more poorly than controls on the IGT, persistently making decisions based on potential immediate gains and neglecting associated loss risks and long-term outcome. This suggests they have reduced neurocognitive decision-making capacities distinguishable from the general population. While DWI recidivists’ behaviour appears as impulsive, these results suggest that their behaviour pattern involves decision-making difficulties. Larger sample sizes may be needed to detect a between-group effect in the aSCR analyses, as they were considerably underpowered.
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Capacité en matière de prise de décisions chez des récidivistes de conduite avec capacités affaiblies par l’alcool

Maldonado Bouchard, Sioui 04 1900 (has links)
Objectifs : La capacité en matière de prise de décisions des récidivistes de conduite avec capacités affaiblies (CCA) semble les distinguer des non-contrevenants, particulièrement dans des situations ambiguës à haut risque, telles que la CCA. Cette étude exploratoire vise à vérifier l’hypothèse selon laquelle les récidivistes de CCA (R) auraient une moins bonne capacité de prise de décisions et une plus faible réponse de conductibilité électrodermale par anticipation à la tâche Iowa Gambling Task (IGT) que les non-contrevenants (C). Méthode : Vingt-trois récidivistes et 24 non-contrevenants ont été recrutés. Leur âge moyen (± É.T.) était 44.17(10.03) et 37.29 (10.60) ans respectivement. Les participants devaient être âgés de 18 ans ou plus, et avoir eu deux condamnations pour CCA ou plus pour le groupe R, et zéro CCA et un permis de conduire pour le groupe C. Les participants ont effectué I’IGT, une tâche neurocognitive de prise de décisions comprenant 100 sélections de cartes divisées en cinq blocs pour les analyses. On a comparé la performance du groupe R versus le groupe C à l’aide d’une ANOVA à mesures répétées [2 (groupe) x 5 (blocs)]. On a évalué la performance durant les blocs 1 & 2 (décisions dans l’ambiguïté) et blocs 3-5 (décisions sous haut risque) en utilisant des tests t post-hoc. Finalement, on a mesuré leur réponse de conductibilité électrodermale (RCEA) durant l’IGT. Résultats : L’ANOVA à mesures répétées des blocs 1 à 5 a révélé un effet significatif de l’interaction groupe par bloc, F(1,45)=5.28, p=.03, état carré =.11. Les tests t post hoc ont révélé une différence significative entre les groupes pour la combinaison des blocs 3 à 5, t(45) = 3.38, p = .002. Un effet d’interaction significatif a été détecté pour la RCEA des récidivistes de CCA versus celle des non-contrevenants, F(8,160)=2.33, p=.02, état carré =.10. Conclusion : Les récidivistes de CCA performent moins bien que les non-contrevenants à l’IGT. Ils persistent à prendre des décisions basées sur le potentiel de gains immédiats et négligent donc les risques de pertes. Ceci suggère qu’ils ont des déficits en matière de prise de décision, ce qui, en tant que groupe, les différencie des non-contrevenants. Une difficulté en matière de prise de décisions pourrait expliquer en partie le comportement impulsif fréquemment associé au récidivisme de CCA. Finalement, puisque les analyses de RCEA manquaient de puissance statistique, il est possible que de plus grands échantillons puissent permettre d’observer des différences entre les groupes de participants dans l’analyse de RCEA. / Objectives: Poor decision making in ambiguous high-risk situations, such as driving while impaired (DWI) by alcohol, may differentiate DWI recidivists from non-offenders. In this study, we test the hypothesis that DWI recidivists (R) will exhibit poorer decision-making performance on the Iowa Gambling Task (IGT), and in line with the Somatic Marker Hypothesis, weaker anticipatory somatic activation (using skin conductance response as index) than non-offenders (C, comparison group). Methods: DWI recidivists and non-DWI control drivers were recruited, [R (n=23) and C (n=24), mean ages (± SD) 44.17(10.03) and 37.29 (10.60) years respectively]. Participant selection criteria included ≥ 18 years old and ≥2 DWI convictions for group R and 0 DWI convictions lifetime and a driver’s license for group C. The participants performed the IGT, a decision-making neurocognitive task containing 100 card selection trials that we divided into 5 blocks for analyses. A 2 (group) x 5 (blocks) repeated measures ANOVA was used to compare group R performance on the IGT versus group C, followed by post hoc independent t-tests on aggregated blocks 1-2 (decision under ambiguity) & 3-5 (decision under high risk) to identify the source of group X block significant interactions. Two 3 (group) x 5 (blocks) repeated measures ANOVAs (for good decks and for bad decks) were used to compare the aSCR of groups C and R. Results: ANOVA repeated measures on blocks 1 to 5 produced a significant effect of group by block interaction F(1,45)=5.28, p=.03, partial ƞ2 =.11. Post hoc t-tests on aggregated blocks 3 to 5 were statistically significant, t(45) = 3.38, p = .002. A significant group x block interaction effect was found for good decks aSCR, F(8,160)=2.33, p=.02, partial ƞ2 =.10 . Conclusion: DWI recidivists performed more poorly than controls on the IGT, persistently making decisions based on potential immediate gains and neglecting associated loss risks and long-term outcome. This suggests they have reduced neurocognitive decision-making capacities distinguishable from the general population. While DWI recidivists’ behaviour appears as impulsive, these results suggest that their behaviour pattern involves decision-making difficulties. Larger sample sizes may be needed to detect a between-group effect in the aSCR analyses, as they were considerably underpowered. / Thomas G. Brown, Ph.D., co-directeur de recherche

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