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La question du figement dans les syntagmes prépositionnels sans déterminant de l’anglais et du français / The question of fixedness in French and English determinerless prepositional phrases

Violet, Alice 04 December 2014 (has links)
Bien que les travaux existants aient montré que les noms sans déterminant étaient particulièrement fréquents dans les syntagmes prépositionnels, les mécanismes régissant leur emploi dans les SP demeurent assez mal connus. Cette thèse présente les résultats d’une étude de corpus synchronique portant sur certains SP spatio-temporels sans déterminant de l’anglais et du français. Nous montrons que ces SP sont extrêmement hétérogènes sur le plan syntaxique, lexical, sémantique et pragmatique ; ils s’inscrivent sur un gradient allant d’expressions pleinement figées et opaques à des séquences transparentes, modifiables et productives. Nos données n’étayent pas l’hypothèse d’un phénomène unifié et strictement grammatical. Cependant, ces SP ne peuvent être simplement considérés comme une collection d’anomalies sans rapport les unes avec les autres ; certains d’entre eux appartiennent à des groupements productifs dans lesquels la syntaxe marquée va de pair avec un sens marqué. Les différences entre les SP anglais et français peuvent tenir soit à la productivité des groupements, soit à leurs caractéristiques sémantiques et/ou pragmatiques, qui reflètent la place et la saillance des noms sans déterminant dans les deux langues. Ce travail montre que l’application de l’analyse constructionnelle à ces SP éclaire leur intégration dans le système linguistique tout en permettant une typologie fine ; il suggère que des interactions plus importantes entre phraséologie et grammaire des constructions seraient particulièrement intéressantes pour l’étude des « moules » phraséologiques et des expressions polylexicales syntaxiquement marquées. / Although previous research has shown that bare nouns are particularly frequent in prepositional phrases, the mechanisms underlying their use in PPs remain a relatively understudied topic. This thesis presents the results of a synchronic, corpus-based analysis of several groups of English and French spatio-temporal PPs. The case studies show that determinerless PPs are syntactically, lexically, semantically and pragmatically highly heterogeneous, ranging from fully fixed, opaque expressions to transparent, modifiable and productive sequences. The corpus data does not support the hypothesis of a unified, strictly grammatical phenomenon. However, these PPs cannot be explained away as a mere collection of unrelated anomalies; some of them cluster into productive sub-groupings in which marked syntax correlates with marked meaning. The differences between the French and English PPs can pertain either to the productivity of the groupings, or to their semantic and/or pragmatic properties. In the latter case, the contrasts reflect the place and salience of bare noun constructions in each language. The application of constructional analysis to the PPs is shown to be an illuminating way of accounting for their integration into the linguistic system whilst allowing for a fine-grained typology. This thesis argues that a greater interaction between phraseology and construction grammar would be of particular interest for the study of phraseological “patterns” and syntactically marked multi-word constructs.
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Graphes et hypergraphes : complexités algorithmique et algébrique

Lyaudet, Laurent 17 December 2007 (has links) (PDF)
Attention, ce résumé comporte un peu d'ironie et d'humour. Dans ce mémoire, nous défendons l'idée selon laquelle, pour tout modèle de calcul raisonnable, ce n'est plus tant le modèle qui compte pour caractériser les classes de complexité importantes que la complexité de la structure combinatoire sous-jacente et en définitive d'un graphe sous-jacent. Pour prendre l'exemple des circuits booléens ou algébriques comme modèles, tout ce qui importe est la complexité du graphe orienté sous-jacent au circuit. Par modèle de calcul raisonnable, nous entendons, comme il se doit, un modèle qui étudié sur une classe de graphes standard nous donne la classe de complexité standard attendue afin de satisfaire aux règles élémentaires des tautologies. On pourrait aussi choisir comme modèles raisonnables les modèles Turing-complet (ou une autre notion de complétude plus adaptée selon les objets calculés), formalisables dans une logique simple (afin d'éviter les "tricheries" et les modèles conçus spécialement pour faire échouer la belle idée défendue). Néanmoins, cette seconde option n'étant pas sans risque, nous nous contentons de la proposer. La thèse défendue est une version un peu plus formalisée et précise mathématiquement de cette idée aux contours un peu flous et qui est donc nécessairement un peu fausse telle quelle.
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Aspects de la syntaxe du créole martiniquais

Térosier, Stéphane 12 1900 (has links)
Cette thèse est consacrée à l’étude de trois faits de langue du créole martiniquais (CM) et aborde ainsi certains aspects de l’interface syntaxe-sémantique/pragmatique. Le premier fait de langue concerne la périphérie gauche nominale du CM pour laquelle nous proposons de scinder la projection fonctionnelle DP en deux projections, Def(initeness)P et Specif(icity)P. La première de ces couches encode la définitude, tandis que la seconde marque la spécificité. Cette analyse permet de rendre compte de deux des propriétés des propositions relatives restrictives du CM. Il s’agit en l’espèce du fait qu’elles comportent deux occurrences du déterminant défini et que la présence ou absence de sa seconde occurrence résulte en une lecture spécifique ou non spécifique. Bien qu’ils ne puissent comporter qu’une seule occurrence du déterminant défini (motivée par une haplologie), les DP simples sont soumis à la même analyse. On peut ainsi rendre compte de leurs différentes interprétations. Le second fait de langue concerne les interrogatives partielles définies (IPD). Ces constructions se distinguent des interrogatives canoniques par les conditions de leur légitimation. Elles nécessitent l’inclusion dans le common ground d’une proposition existentielle qui partage avec l’IPD sa restriction et sa portée nucléaire. De ce fait, on ne peut ni commencer une conversation par une IPD ni y apporter une réponse du type rien. Les IPD se caractérisent donc par une présupposition forte que nous attribuons à la présence en position finale d’un déterminant clausal. Ce dernier est engendré dans la périphérie gauche de la phrase et prend pour restriction une proposition. En raison de son homophonie avec le déterminant défini nominal, nous suggérons qu’il est la réalisation d’un trait acatégoriel [+DEF]. Autrement dit, nous apportons ici de nouvelles preuves au point de vue selon lequel la définitude n’est pas une propriété exclusivement nominale. Le troisième fait de langue concerne l’interaction des verbes modaux du CM avec le temps. Qu’ils soient épistémiques ou radicaux, les modaux du CM sont des verbes à montée. Quelle que soit leur lecture, ils participent donc à des structures biclausales et sont sous la portée du temps. On observe cependant que l’interprétation temporelle des épistémiques est soumise à des contraintes qui ne s’appliquent pas aux radicaux. Ce contraste trouve son origine dans une différence d’orientation. Les radicaux sont orientés vers le sujet, alors que les épistémiques sont orientés vers le locuteur (ou le Siège de la Connaissance). Cela se traduit par une dépendance interprétative des épistémiques vis-à-vis de la couche fonctionnelle abstraite Sen(tience)P située dans la périphérie gauche de la phrase. Nous proposons un trait [sen] pour traduire cette dépendance. Les conséquences interlangagières de cette analyse sont évaluées. Les trois faits de langue à l’étude confirment l’importance capitale de la périphérie gauche nominale et phrastique dans l’interface syntaxe-sémantique/pragmatique. / This dissertation investigates three linguistic phenomena in Martinican Creole (MC) and addresses some aspects of the syntax-semantics/pragmatics interface. The first phenomenon concerns the nominal left periphery. I argue that the MC DP layer should be split into two distinct functional projections, Def(initeness)P and Specif(icity)P. The former projection encodes definiteness, while the latter marks specificity. This analysis accounts for two properties of MC restrictive relative clauses. First, they manifest determiner doubling. Second, the presence/absence of the second occurrence of the definite determiner is correlated with a specific/nonspecific reading. The proposed analysis can be applied to simplex DPs even though, owing to a haplology, they cannot feature more than one occurrence of the determiner. This allows for a straightforward account of their interpretational properties. The second phenomenon concerns definite wh-questions (DWQs). These non-canonical wh-questions are characterized by their peculiar licensing conditions. They can only be uttered if the common ground includes an existential proposition which shares its restriction and nuclear scope with the DWQ. As a result, they cannot be uttered out of the blue and do not tolerate nothing-type answers. In other words, DWQs are associated with a hard presupposition triggered by the clausal determiner which appears in the final position of DWQs. This determiner is base-generated in the left periphery of the clause and takes a proposition as its restriction. Because of its homophony with the nominal definite determiner, we suggest that it spells out an acategorial [+DEF] feature. This can be adduced as further evidence for the view that definiteness is not restricted to the nominal domain. The third phenomenon under study concerns the interaction of MC modal verbs with tense. Whether they receive a root or an epistemic reading, MC modals are raising predicates. Both epistemic and root modals are inserted in biclausal structures and are under the scope of tense. Nevertheless, the temporal interpretation of epistemic modals is subject to constraints which do not apply to their root counterparts. This contrast correlates with a difference in orientation. Root modals are subject-oriented, while epistemic modals are oriented toward the speaker (or the Seat of Knowledge). This results in their interpretational dependence on the abstract Sen(tience)P functional layer. To reflect this dependency, I argue for a [sen] feature. The cross-linguistic implications of this proposal are evaluated. The three phenomena under study confirm that the nominal and clausal left periphery plays a crucial role in the syntax-semantics/pragmatics interface.

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