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Calcul théorique et analyse des déplacements chimiques : application à la résonance magnétique nucléaire du proton, du carbone, de l'azote et de l'oxygène.

Ducasse, Laurent, January 1980 (has links)
Th.--Sci.--Bordeaux 1, 1980. N°: 677.
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L’ « art pour manger » : explorations du complexe de l’autonomie alimentaire innue comme mémoire de liberté politique dans les lieux de friction des habitations politiques du Nitassinan

Mailhot, Amélie-Anne 24 July 2019 (has links)
Les discours innus (historiques et contemporains) sont marqués par la dépossession issue de la colonisation du Nitassinan, mais également par les ancrages de l’innu aitun, mode de vie traditionnel. Ces ancrages sont dans la présente thèse caractérisés comme une forme d’habitation politique dont l’articulation est le complexe de l’autonomie alimentaire innue. Celui-ci se pose comme 1- un complexe politique, éthique et épistémologique caractérisé par la porosité des domaines matériels et immatériels; et 2- une mémoire de liberté politique à partir de laquelle les Innu.e.s parlent de la colonisation, constituant de ce fait la base épistémique d’une critique radicale du mode de vie lié à la souveraineté étatique. Ce dernier, qui interrompt l’effectivité des pratiques de la vie traditionnelle, empêche par ses pratiques et ses principes l’opération du complexe de l’autonomie alimentaire innue. Les frictions entre ces deux formes d’habitation procèdent d’une « impasse épistémique » caractérisée par des conceptions radicalement divergentes de la question politique de la subsistance. Cette thèse explore le point de vue innu traditionnaliste sur les formes d’habitations politiques du Nitassinan. Même en l’absence du référent explicitement alimentaire, ce complexe de relations et cette idée de fluidité des mondes matériels et immatériels qui caractérisent le complexe de l’autonomie alimentaire innue continuent en effet, dans certains discours innus, d’être nommés, invoqués, revendiqués comme permettant une vie libre sur le territoire, physique ou symbolique. L’« art pour manger » devient la formule imagée de la poursuite de ce complexe, dont le centre est le déplacement épistémologique. Il y va d’une dimension éthique intrinsèquement connective qui, par renversement, dissout les prérogatives de l’habitation politique des Blancs (c’est-à-dire la souveraineté étatique et le capital), continue de faire vivre l’innu aitun en tant que manière de penser et de vivre, et invite à une remise en question qui se pose non seulement comme critique mais bien comme déplacement. En procédant par l’identification et l’exploration ouverte de situations d’interruption et de connexion de l’effectivité des pratiques de l’habitation politique innue, il s’agit de faire de certains « lieux de friction » des sites d’investigation, à l’aide d’une entreprise de description et d’analyse des procédés politiques et historiques de superposition des langages dans un même territoire. Explorant des sites existants de paroles contrastées et cherchant à en créer de nouveaux par la juxtaposition (correspondances, relations, poursuites devant les tribunaux, littérature et essais innus, discussions anthropologiques, atanukans, récits de vie) la thèse expose comment l’impasse épistémique se décline, se nourrit, se transforme mais aussi persiste dans la prolifération des formes par lesquelles la subsistance – et le complexe relationnel qu’elle informe – est volontairement ou involontairement ignorée, tournée en ridicule, ou invoquée, évoquée, rêvée, revendiquée. Ce lieu politique de colère et de liberté – la subsistance – semble former un nœud compact et de plus en plus opaque, plus le temps passe et euphémise des paroles et des gestes qui ont été oblitérés du discours politique par la violence d’État. La contribution principale de la thèse est donc de participer à actualiser un cadre d’analyse qui maintient visible le complexe de l’autonomie alimentaire comme perspective de liberté politique.
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Traitement de la sciatique par voie percutanée intérêt de la nucléoplastie par radiofréquence, à propos de 15 cas /

Spaeter, Daniel. Buy, Xavier January 2004 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine : Nancy 1 : 2004. / Titre provenant de l'écran-titre.
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INFLUENCES ÉGOCENTRÉES SUR LA PERCEPTION DE L'ESPACE GÉOCENTRÉ - OBJECTIVATION AU TRAVERS DE L'ESTIMATION DU FRANCHISSEMENT D'OBSTACLES HAUTS

Bourrelly, Aurore 22 June 2011 (has links) (PDF)
Percevoir son espace d'évolution est une activité déterminante dans l'élaboration des relations spatiales que nous tissons avec notre environnement. En neurosciences comportementales, l'étude de ces relations a généralement été abordée selon deux perspectives théoriques. L'une d'elle s'attache à décrire les relations au monde au travers des processus de perception directe impliquant notamment la notion d'affordances (i.e. de possibilités d'actions naturellement offertes par l'environnement) ; tandis que d'autres s'intéressent d'avantage aux aspects cognitifs de la perception avec la mise en place de processus de représentation spatiale. Cette dernière reflète notamment l'existence d'état(s) représenté(s) qu'il est possible de décrire à travers de la combinaison d'espaces stables appelés référentiels spatiaux. L'objectif de ce travail de thèse vise à mieux comprendre la contribution du référentiel égocentré (i.e. corporel) dans la perception de l'espace géocentré (i.e. gravitaire). La question a notamment été abordée autour de deux axes de recherche interrogeant d'une part (i) l'origine de l'influence égocentrée préalablement observée dans le noir sur la perception géocentrée, et d'autre part (ii) la présence du phénomène égocentré dans un contexte visuel plus enrichi suite à l'ajout d'un flux optique. Pour ce faire quatre études centrées autour d'un paradigme d'estimation des possibilités de franchissement d'obstacles hauts ont été réalisées. Pris dans leur ensemble, les résultats expérimentaux soulignent le caractère particulièrement puissant et complexe du phénomène égocentré corporel observé sur la perception de l'espace gravitaire. Ces résultats, discutés en termes d'interpénétrabilité entre référentiels spatiaux offrent un support d'étude intéressant sur la manière dont les référentiels sont utilisés dans les processus de représentation spatiale.
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Growing Up in Exile : An Ethnography of Somali Youth Raised in Kakuma Refugee Camp, Kenya

Grayson-Courtemanche, Catherine-Lune 06 1900 (has links)
La violence chronique qui caractérise la Somalie depuis plus de deux décennies a forcé près de deux millions de personnes à fuir. Cette ethnographie étudie l’expérience de l’asile prolongé de jeunes Somaliens qui ont grandi au camp de Kakuma, au Kenya. Leur expérience est hors du commun, bien qu’un nombre croissant de réfugiés passent de longues années dans des camps pourtant conçus comme temporaires, en vertu de la durée des conflits et de la normalisation de pratiques de mise à l’écart de populations « indésirables ». Nous explorons la perception qu’ont ces jeunes de leur environnement et de quelle façon leur exil structure leur perception du passé et de leur pays d’origine, et de leur futur. Ce faisant, nous considérons à la fois les spécificités du contexte et l’environnement global, afin de comprendre comment l’expérience des gens est façonnée par (et façonne) les dynamiques sociales, politiques, économiques et historiques. Nous observons que le camp est, et demeure, un espace de confinement, indépendamment de sa durée d’existence ; bien que conçu comme un lieu de gestion rationnelle des populations, le camp devient un monde social où se développent de nouvelles pratiques ; les jeunes Somaliens font preuve d’agentivité et interprètent leur expérience de manière à rendre leur quotidien acceptable ; ces derniers expriment une frustration croissante lorsque leurs études sont terminées et qu’ils peinent à s’établir en tant qu’adultes, ce qui exacerbe leur désir de quitter le camp. En effet, même s’il existe depuis plus de 20 ans, le camp demeure un lieu de transition. L’expérience de jeunes Somaliens qui ont grandi dans un camp de réfugiés n’a pas été étudiée auparavant. Nous soutenons que cette expérience est caractérisée par des tensions entre contraintes et opportunités, mobilité et immobilité, isolation et connexion ou victimisation et affirmation du sujet – et des temporalités contradictoires. Cette étude souligne que des notions comme la convivialité ou la pluralité des appartenances développées dans la littérature sur la cohabitation interethnique dans les villes ou sur l’identité des migrants aident à appréhender le réalité du camp. Cette ethnographie montre également que, loin d’être des victimes passives, les réfugiés contribuent à trouver des solutions à leur exil. / Chronic violence has characterized Somalia for over two decades, forcing nearly two million people to flee. This ethnography studies the experience of protracted exile of Somalis who were raised in Kakuma refugee camp, in Kenya, and are now young adults. Their experience is relatively uncommon, although increasing numbers of people spend long periods in camps conceived as temporary, due to the length of conflicts and the normalization of excluding populations deemed undesirable. I explore how young people perceive their living environment and how growing up in exile structures their view of the past and their country of origin, and the future and its possibilities. In doing so, I regularly shift perspectives from the specificities of the context to the global environment, to understand how people’s experience is shaped by (and shapes) the social, political, economical and historical dynamics in which it is embedded. My observations can be summarized into a few broad statements: regardless of how long it has existed, the camp is and remains a space of containment; conceived as a rationally organized space to manage populations, the camp becomes a messier social world where new practices develop; young Somalis display agency and interpret their experience in a way that makes the present bearable; frustration grows when Somali youth complete their education and struggle to establish themselves as adults, catalyzing their determination to leave Kakuma. Indeed, although refugees have been living there since the early 1990s, the camp remains a space of transition. Although there have been a number of studies on refugee camps in Kenya, no study has focused on the experience of Somali youth raised in a refugee camp. I argue that this experience is traversed and shaped by tensions between constraints and opportunities, mobility and immobility, isolation and connectedness, victimization and affirmation of the subject, citizenship and refugeeness – and by conflicting temporalities. This ethnographic study highlights the fact that notions such as conviviality or the multiplicity of people’s belongings developed in the literature on interethnic cohabitation in cities or the ethnic identity of migrants, help us to understand the camp experience. This research also shows that, far from being powerless victims, people actively contribute to finding solutions to their exile.

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