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Characterization of bacterial homing endonuclease I-Ssp6803I /

Zhao, Lei, January 2008 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Washington, 2008. / Vita. Includes bibliographical references (leaves 108-126).
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Recherche de biomarqueurs de l'anévrysme de l'aorte abdominale

Acosta Martin, Adelina Elena 14 December 2009 (has links) (PDF)
L'anévrysme de l'aorte abdominale (AAA) est une pathologie vasculaire caractérisée par une augmentation du diamètre de l'aorte de plus de 1, 5 fois le diamètre de référence et une perte du parallélisme de la paroi au niveau infra rénal. Les AAA affectent de manière prépondérante les homes âgés avec une prévalence de 5%. La rupture d'un AAA est responsable de 1à 4% de la mortalité chez les hommes de plus de 65 ans. Dans le cas d'une rupture, la mortalité est supérieure à 70-95%. C'est pourquoi les AAA sont une des causes majeures de mortalité dans les pays industrialisés avec une population vieillissante. L'age, le sexe masculin, la consommation de tabac, la susceptibilité génétique et la présence d'une autre localisation d'athérosclérose sont des facteurs de risque connus pour le développement d'un AAA. La rupture peut être prévenue par une chirurgie vasculaire qui permet de diminuer la mortalité chez les patients atteints d'AAA. Néanmoins, la plupart des patients atteints d'AAA sont asymptomatiques et la majorité ne sont pas diagnostiqués avant la rupture. Au cours de ce travail de thèse, nous avons utilisé des techniques de protéomique différentielle dans le but d'analyser et comparer des échantillons provenant de plasma et de cellules (cellules musculaires lisses, monocytes différenciés en macrophages) de patients présentant ou non un AAA. Ces analyses ont été réalisé avec comme but les objectifs suivants : a) Identifier et évaluer les marqueurs biologiques potentiels pour un dépistage des AAA, qui permettrait un diagnostique précoce et donc un traitement précoce de cette pathologie. b) De permettre une meilleure connaissance des mécanismes physiopathologiques impliqués dans l'évolution des AAA par le biais des résultats obtenus lors de l'analyse protéomique différentielle. En ce qui concerne l'analyse protéomique des cellules, l'utilisation de la technique DIGE par saturation associée avec l'utilisation du logiciel SameSpots, a permis l'identification de 2 profils protéiques différents dans l'ensemble des types cellulaires étudiés, indépendamment du statut du patient. Ces deux protéomes différents sont le résultat d'un biais technique du à l'utilisation d'un traitement à la DNase I des échantillons dans le but d'éliminer les acides nucléiques présents. Nous avons montré que le traitement à la DNase I produisait des changements de profil protéique de ces deux types cellulaires. Les protéines principalement affectées par ce traitement sont celles impliquées dans le mouvement cellulaire, la réorganisation du cytosquelette d'actine, et l'apoptose. Du fait de la présence de ce biais technique, la comparaison entre les échantillons de cellules obtenues de patients présentant ou non un AAA n'a pas permis de résultats concluants. L'analyse protéomique du plasma a été effectué en collaboration avec le laboratoire du Pr Goodlett à Seattle (USA). Deux approches différentes de spectrométrie de masse ont été utilisées pour comparer les échantillons plasmatiques de patients présentant ou non un AAA. La première approche combine l'utilisation de l'analyse MS PAcIFIC avec le calcul spectral et la seconde approche combine l'analyse des données MS de manière indépendante avec un marquage TMT isobarique. Après validation par western blot, quatre protéines ont été validées comme différentiellement exprimées dans le plasma de patients présentant ou non un AAA : l'adiponectine, la superoxide dismutate extracellulaire, la kallistatine et la carboxipeptidase B2. Ces protéines sont impliquées dans la pathologie anévrysmale et peuvent être des potentiels marqueurs biologiques pour le diagnostique de AAA. Des études dans de grandes cohortes seront nécessaires pour valider leur utilisation pour le dépistage des AAA dans la population à risque. Cela permettrait une détection précoce de la maladie et une diminution de la mortalité de la population âgée dans les pays industrialisés.
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Anticorpos anti-DNase I: nova reatividade sorológica na síndrome de Sjogren primária / Anti-DNase I antibody: new serological reactivity in primary Sjögren\'s syndrome

Griffo, Priscilla 12 November 2018 (has links)
INTRODUÇÃO: A síndrome de Sjögren primária (SSp) é uma doença autoimune inflamatória crônica que afeta principalmente as glândulas exócrinas, levando aos sintomas de síndrome sicca. O olho seco é uma das características mais importantes dessa síndrome e um estudo recente relatou redução da atividade da DNase I em lágrimas de pacientes com olho seco de várias etiologias. Portanto, postulamos que pacientes com SSp possam ter anticorpos direcionados à DNase I. MÉTODOS: Avaliamos em um estudo de corte transversal 85 pacientes com SSp (conforme os critérios de classificação do American European Consensus Group Criteria, 2002), 50 pacientes com artrite reumatoide (AR) (American College of Rheumatology Criteria/ 1987) sem sintomas de síndrome sicca e 88 voluntários saudáveis. A reatividade IgG anti-DNase I foi detectada por ELISA utilizando a enzima de pâncreas bovino como antígeno e confirmada por Imunoblotting. RESULTADOS: A idade e sexo foram comparáveis nos três grupos (p > 0,05). A anti-DNase I foi detectada em 43,5% dos pacientes com SSp, conforme determinado por ELISA. Em contraste, essa reatividade estava ausente em todos os pacientes com AR (p= 0,0001). Comparações adicionais dos pacientes com SSp com (n= 37) e sem (n= 48) anti-DNase I revelaram que o primeiro grupo tinha níveis séricos de IgG mais altos (2293,2 ± 666,2 vs. 1483,9 ± 384,6 mg/dL, p= 0,0001) e uma frequência maior de leucopenia não induzida por drogas (43% vs. 19%, p= 0,02). A análise de regressão logística multivariada mostrou que apenas os níveis de IgG foram independentemente associados com o anti-DNase I. CONCLUSÃO: Descrevemos uma alta frequência de anticorpos anti-DNase I em pacientes com SSp associados a níveis séricos de IgG mais elevados. A falta dessa reatividade em pacientes com AR sem sintomas de sicca sugere que esse anticorpo pode ser útil no diagnóstico diferencial dessas doenças / INTRODUCTION: Primary Sjögren\'s syndrome (pSS) is a chronic inflammatory autoimmune disease that mainly affects exocrine glands. Dry eye is one of the most important features of this syndrome and a recent study reported reduced DNase I activity in tears of patients with dry eye of various etiologies. We therefore postulated that patients with pSS may have antibodies targeting DNase I. METHODS: We have evaluated in a cross-sectional study 85 pSS patients (American European Consensus Group Criteria/ 2002), 50 rheumatoid arthritis (RA) patients (American College of Rheumatology Criteria/ 1987) without sicca symptoms and 88 healthy volunteers. The IgG anti-DNase I reactivity was detected by ELISA using bovine pancreas enzyme as antigen and confirmed by Immunoblotting. RESULTS: Age/ gender were comparable in the three groups (p > 0.05). Anti-DNase I was detected in 43.5% of the pSS patients as determined by ELISA. In contrast, this reactivity was absent in all RA patients (p= 0.0001). Further comparison of pSS patients with (n= 37) and without (n= 48) anti-DNase I revealed that the former group had higher IgG serum levels (2293.2 ± 666.2 vs. 1483.9 ± 384.6 mg/dL, p= 0.0001) and a higher frequency of non-drug induced leukopenia (43% vs. 19%, p= 0.02). A multivariate logistic regression analysis identified that only IgG levels were independently associated with anti-DNase I. CONCLUSION: We describe a high frequency of anti-DNase I antibodies in pSS patients associated with higher serum IgG levels. The lack of this reactivity in RA patients without sicca symptoms suggests that this antibody may be helpful in the differential diagnosis of these diseases

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