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Et pourquoi? (Création littéraire) ; suivi de L'autofiction, de Serge Doubrovsku (Essai théorique)

Leclerc, Cécile January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mourning, writing, (self-)transformation : the autofiction of Serge Doubrovsky

Fusaro, Anaïs January 2018 (has links)
This thesis investigates the capacity of mourning to transform one's life into writing. Since mourning impacts each individual in a very unique way, its effect in the field of life-writing is incommensurable. In this respect, the changes brought about in the 20th century by the works of Serge Doubrovsky are remarkable: through the exploration of his eight autofictions (word which he coined in 1977) in addition to his six essays on literature, this study demonstrates how his experience of mourning has challenged and redefined the borders of autobiography. This investigation starts with the observation of the writer-narrator's writing drive, which emerges from a threefold experience of death: the loss of his mother, the trauma of World War II, and the perspective of his own death. The first section argues that writing transforms the private experience of mourning into memory. Since forgetfulness threatens memory, memory must be saved and disseminated; this is why Serge Doubrovsky composes his autofiction as literature which is made of, and which belongs to, memories. The second section observes how mourning transforms the experience of writing and reading: a focus on ‘ressassement' shows the impact of mourning on writing and how the writer-narrator turns this uncontrollable sign of trauma into his own distinct writing style, called ‘écriture consonnantique'. These transformations participate in the mutation of the writer-reader, fiction-reality, and autobiography-autofiction relationships. The last section observes these abnormal alloys through the lens of the monster. Autofiction could be considered as a monstrous genre, insofar as it recognises the work of the writer to fashion a whole new story out of fragmented and repeated memories in a creative process. Overall, this study assesses Serge Doubrovsky's ability to challenge existing literary boundaries, and to create, beyond the breach of mourning and within the splits of language, an interdisciplinary work that deeps on renewing literature.
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Autofiction et culpabilité dans Le livre brisé de Serge Doubrovsky

Thomas, Valérie 09 1900 (has links) (PDF)
Le livre brisé (1989) est le cinquième roman de Serge Doubrovsky et poursuit le projet autofictionnel amorcé dans Fils (1977). L'écriture, le propos, la forme et la lecture de ce livre sont conditionnés par l'exigence de vérité et la fictionnalisation du matériel de l'expérience. Ce mémoire montre comment les modalités et les rouages de l'autofiction constituent un dispositif particulier qui construit le sujet de l'énonciation dans son rapport à une « vérité » dont le texte se fait à la fois la condition et le témoin. Il opte pour une lecture du roman qui montre le fonctionnement interne du texte et son dispositif de lecture, et fait appel à des notions psychanalytiques et narratives. Dans l'introduction, il présente l'autofiction suivant ses diverses définitions (Colonna: 1989, Doubrovsky: 1988, Genette: 1991, Lecarme: 1992, Lejeune: 1975), mais surtout telle que Doubrovsky la définit et la pratique. Dans un premier temps, ce mémoire rend compte des tensions liées au pacte autofictionnel qui animent l'écriture du Livre brisé et qui en caractérisent la lecture. Il s'attache aux tensions qui existent entre Serge et Ilse, qui veulent tous deux être le centre du roman et qui se disputent l'exactitude des faits. Il montre les moments où la narration bascule d'une écriture en prose à des fragments poétiques déliés et où la rédaction de souvenirs alterne avec celle du présent de l'écriture, puis décrit les effets liés à ces déplacements. En relevant et en décrivant les moments du récit où la tension entre expérience vécue et fiction est à son plus fort, ce mémoire montre comment le texte prend à témoin le lecteur, cherche à lui faire reconnaitre et admettre la faute de Serge (celle qui a conduit, pense-t-il, à la mort d'Ilse). Dans un deuxième temps, le mémoire étudie l'enjeu central de cette écriture qui met en acte la culpabilité. Il décrit les lieux où elle se manifeste et fait retour. Il s'intéresse à la représentation du père dans le texte (Freud: 1995) et à celle d'une culpabilité du survivant (Bayle: 2003). Puis, il met en rapport cette culpabilité et la faute que Serge revendique (avoir mené par son écriture sa femme au suicide). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Le livre brisé, Serge Doubrovsky, autofiction, psychanalyse, culpabilité, survivant
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Postmoderne, postkoloniale Konzepte der Autobiographie in der französischen und maghrebinischen Literatur : Autofiction, nouvelle autobiographie, double autobiographie, aventure du texte /

Gronemann, Claudia. January 2002 (has links)
Diss.--Leipzig, 2002. / Bibliogr. p. 204-221. Notes bibliogr.
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L’un contre l’autre : la dialectique de l’auteur et de la lectrice chez Serge Doubrovsky

Abdelmoumen, Mélikah 08 1900 (has links)
Depuis qu’en 1977, en quatrième de couverture de Fils, Serge Doubrovsky employa le mot « autofiction » pour décrire son roman, les études doubrovskiennes ont eu tendance à se focaliser sur les questions génériques que sous-tendait ce néologisme. Ainsi on a écarté un autre aspect, tout aussi important, de l’œuvre de l’auteur : celui du lien avec le lecteur qui, en plus d’être mis en scène dans chacune des autofictions doubrovskiennes, est associé dès Fils au rapport complexe, inextricable et conflictuel entre les sexes. « J’écris mâle, me lis femelle », dit le narrateur-écrivain ‘Serge Doubrovsky’ – lui qui vivra sous nos yeux une série d’histoires passionnelles avec des compagnes qui sont également ses lectrices. Repris d’épisode en épisode, le rapport entre le héros doubrovskien et sa compagne du moment rappelle les hypothèses de Doubrovsky dans Corneille ou la dialectique du héros (1963), inspirées de la dialectique hégélienne du Maître et de l’Esclave. Cette thèse s’attache donc à analyser la relation dialectique auteur-lectrice telle que mise en scène et approfondie dans l’ensemble de l’édifice autofictionnel. Après présentation et étude des mécanismes dont se sert l’auteur pour construire son Lecteur Modèle (Première partie), les trois autres sections principales de la thèse sont consacrées à l’analyse de Fils et Un amour de soi (1977 et 1982 ; Deuxième partie) ; du Livre brisé et de l’Après-vivre (1989 et 1994 ; Troisième partie) ; et enfin de Laissé pour conte (1999 ; Quatrième partie). Il s’agira enfin de montrer la portée non seulement littéraire, mais également sociale (la réflexion s’élargit à chaque épisode pour aborder les questions de la réception contemporaine de l’œuvre littéraire) et historique (le motif Maître-Esclave s’inscrit dans l’Histoire de l’Europe du XXe siècle, plus précisément la Seconde Guerre mondiale et la Shoah) du thème dialectique doubrovskien. / Since Serge Doubrovsky coined the term « autofiction » to describe his own novel on the back cover blurb of Fils (1977), doubrovskian studies have tended to focus on the literary genres issues implied by his neologism. Consequently, another aspect of the writer’s work, and a quite crucial one, was somewhat neglected: the relationship with the reader, which is not only represented and acted out by the characters in doubrovskian autofictions but also linked to a another complex, tempestuous and inextricable relationship, that of man and woman. “I write male, read myself female”, says the doubrovskian narrator, who happens to take part, under our very eyes, in a series of passionate relationships with mates that are also readers of his works. Repeated from novel to novel, the mise en scène of the rapport between the doubrovskian hero and his lady companion of the moment reminds us of Doubrovsky’s hypotheses in Corneille ou la dialectique du héros (1963), which were inspired by the Hegelian master-slave Dialectics. This study thus concentrates on the representation of the dialectical relation between male author and female reader in Doubrovsky’s autofictions. After a brief survey and description of the tools used by the author in order to construct his own Model Reader (First section), our three other principal sections will focus on the analysis of Fils and Un amour de soi (1977 and 1982; Section Two); Le livre brisé and l’Après-vivre (1989 and 1994; Section Three); and finally Laissé pour conte (1999; Section Four). We will ultimately attempt to demonstrate the doubrovskian dialectal theme’s literary richness as well as its social and historical implications – the author’s reflexion widens with each episode, touching on questions of reader-response and reception of the literary work, while the master-slave motif resonates in the History of twentieth century Europe, mainly the Second World War and the Holocaust.
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L’un contre l’autre : la dialectique de l’auteur et de la lectrice chez Serge Doubrovsky

Abdelmoumen, Mélikah 08 1900 (has links)
Depuis qu’en 1977, en quatrième de couverture de Fils, Serge Doubrovsky employa le mot « autofiction » pour décrire son roman, les études doubrovskiennes ont eu tendance à se focaliser sur les questions génériques que sous-tendait ce néologisme. Ainsi on a écarté un autre aspect, tout aussi important, de l’œuvre de l’auteur : celui du lien avec le lecteur qui, en plus d’être mis en scène dans chacune des autofictions doubrovskiennes, est associé dès Fils au rapport complexe, inextricable et conflictuel entre les sexes. « J’écris mâle, me lis femelle », dit le narrateur-écrivain ‘Serge Doubrovsky’ – lui qui vivra sous nos yeux une série d’histoires passionnelles avec des compagnes qui sont également ses lectrices. Repris d’épisode en épisode, le rapport entre le héros doubrovskien et sa compagne du moment rappelle les hypothèses de Doubrovsky dans Corneille ou la dialectique du héros (1963), inspirées de la dialectique hégélienne du Maître et de l’Esclave. Cette thèse s’attache donc à analyser la relation dialectique auteur-lectrice telle que mise en scène et approfondie dans l’ensemble de l’édifice autofictionnel. Après présentation et étude des mécanismes dont se sert l’auteur pour construire son Lecteur Modèle (Première partie), les trois autres sections principales de la thèse sont consacrées à l’analyse de Fils et Un amour de soi (1977 et 1982 ; Deuxième partie) ; du Livre brisé et de l’Après-vivre (1989 et 1994 ; Troisième partie) ; et enfin de Laissé pour conte (1999 ; Quatrième partie). Il s’agira enfin de montrer la portée non seulement littéraire, mais également sociale (la réflexion s’élargit à chaque épisode pour aborder les questions de la réception contemporaine de l’œuvre littéraire) et historique (le motif Maître-Esclave s’inscrit dans l’Histoire de l’Europe du XXe siècle, plus précisément la Seconde Guerre mondiale et la Shoah) du thème dialectique doubrovskien. / Since Serge Doubrovsky coined the term « autofiction » to describe his own novel on the back cover blurb of Fils (1977), doubrovskian studies have tended to focus on the literary genres issues implied by his neologism. Consequently, another aspect of the writer’s work, and a quite crucial one, was somewhat neglected: the relationship with the reader, which is not only represented and acted out by the characters in doubrovskian autofictions but also linked to a another complex, tempestuous and inextricable relationship, that of man and woman. “I write male, read myself female”, says the doubrovskian narrator, who happens to take part, under our very eyes, in a series of passionate relationships with mates that are also readers of his works. Repeated from novel to novel, the mise en scène of the rapport between the doubrovskian hero and his lady companion of the moment reminds us of Doubrovsky’s hypotheses in Corneille ou la dialectique du héros (1963), which were inspired by the Hegelian master-slave Dialectics. This study thus concentrates on the representation of the dialectical relation between male author and female reader in Doubrovsky’s autofictions. After a brief survey and description of the tools used by the author in order to construct his own Model Reader (First section), our three other principal sections will focus on the analysis of Fils and Un amour de soi (1977 and 1982; Section Two); Le livre brisé and l’Après-vivre (1989 and 1994; Section Three); and finally Laissé pour conte (1999; Section Four). We will ultimately attempt to demonstrate the doubrovskian dialectal theme’s literary richness as well as its social and historical implications – the author’s reflexion widens with each episode, touching on questions of reader-response and reception of the literary work, while the master-slave motif resonates in the History of twentieth century Europe, mainly the Second World War and the Holocaust.
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Die postmoderne 'neue Autobiographie' oder die Unmöglichkeit einer Ich-Geschichte am Beispiel von Robbe-Grillets 'Le miroir qui revient' und Doubrovskys 'Livre brisé

Toro, Alfonso de 17 August 2022 (has links)
Der Beitrag befasst sich mit der allgemeinen Diskussion zur „neuen Autobiographie“ sowohl historisch als auch theoretisch. Dabei wir Lejeunes Konzept des „autobiographischen Paktes“ einer grundlegenden Kritik unterzogen. Im Anschluss an Robbe-Grillets Le miroir qui revient, Doubrovskys Livre brisé, an Lacan, Derrida, Deleuze, Ricardou, Barthes, an die poststrukturale Theoriebildung und an die neue Geschichtsschreibung wird Lejeunes Theorie durch ein neues Modell ersetzt, in dem die ‚neue Autobiographie’ als eine ‚aventure d’un récit’, als ‘glissement’, ‘série- aléatoire’, als Wider-Wiederserschreiben‘, als einen Prozess eines Werdens von Biographemen, erfasst wird, deren ‚Wirklichkeit’/‚Wahrheit’ sich in der absoluten Augenblicklichkeit der Niederschrift bzw. des Schreibaktes vollzieht. / The article deals with the general discussion on the „new autobiography“ both historically and theoretically. Lejeune’s concept of the „autobiographical pact“ is subjected to a fundamental critique. Following Robbe-Grillet’s Le miroir qui revient, Doubrovsky’s Livre brisé, Lacan, Derrida, Deleuze, Ricardou, Barthes, the poststructural theory and the new historiography, Lejeune’s theory is replaced by a new model, in which the ‘new autobiography’ is grasped as an ‘aventure d’un récit’, as a ‘glissement’, ‘série- aléatoire’, as ‘re-and-re-writing’ as a process of a becoming of biographical themes whose ‘reality’/’truth’ takes place in the absolute instantaneousness of the act of writing. / L’article aborde la discussion générale sur la „nouvelle autobiographie“, tant du point de vue historique que théorique. Le concept de „pacte autobiographique“ de Lejeune y est soumis à une critique fondamentale. Dans le sillage de Miroir qui revient de Robbe-Grillet, de Livre brisé de Doubrovsky, de Lacan, Derrida, Deleuze, Ricardou, Barthes, de la théorie poststructurale et de la nouvelle historiographie, la théorie de Lejeune est remplacée par un nouveau modèle, dans lequel la ‘nouvelle autobiographie’ est saisie comme une ‘aventure du récit’, comme un ‘glissement’, comme une ‘série aléatoire’, comme ‘ré- and ré-écriture’ comme un processus en devenir de biographèmes dont la ‘réalité’/’vérité’ se produit dans l’instantanéité absolue de l’écriture ou de l’acte d’écriture.
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L'autofiction, essai sur la fictionalisation de soi en littérature

colonna, Vincent 20 March 1989 (has links) (PDF)
L'Autofiction et sa réception jusqu'en 1989. La fictionalisation de soi comme phénomène littéraire universel. Les indices de Fiction. L'Auteur et son personnage fictif. Autofiction et roman autobiographique. L'autofiction est-elle un genre ? Mise en abyme. Métalepse. Intrusions d'auteur. Réception. Genre.Hermann Hesse. Dante. Gombrowicz. Doubrovsky. Balzac. Cervantes. Goethe.Barthes.

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