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Les débuts de P. Corneille ...

Rivaille, Louis. January 1936 (has links)
Thèse--Universit́e de Paris. / A critical discussion of the first six dramas of Corneille: Mélite, ou Les fausses lettres; Clitandre, ou L'innocence délivrée; La vefve, ou Le traiste trahy; La gallerie du palais, ou L'amie rivale; La suivante; La place Royale, ou L'amoureux extravagant. cf. Introd. "Errata" (1 leaf) laid in. "Bibliographie": p. [789]-794.
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The influence of Barret H. Clark on American theatre /

Weitzenkamp, Mark Philip. January 2003 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Washington, 2003. / Vita. Includes bibliographical references (leaves 291-300).
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Miscasting the spectator dramaturgs and audiences in transcultural productions /

Beal, Ara Grabaskas. January 2005 (has links)
Thesis (M.A.)--Miami University, Dept. of Theatre, 2005. / Title from first page of PDF document. Document formatted into pages; contains [3], 39 p. Includes bibliographical references (p. 37-39).
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Les pièces rivales des répertoires de l’Hôtel de Bourgogne, du Théâtre du Marais et de l’Illustre Théâtre : deux décennies de concurrence théâtrale parisienne (1629-1647) / Rival plays from the repertoires of the Hôtel de Bourgogne, the Théâtre du Marais and the Illustre Théâtre : two decades of Parisian theatrical competition (1629-1646)

Blondet, Sandrine 07 December 2009 (has links)
L’année 1629 voit la sédentarisation parallèle des deux troupes théâtrales parisiennes, celle du Théâtre du Marais, dirigée par Charles Le Noir, et la Troupe Royale, locataire du prestigieux Hôtel de Bourgogne. Ces deux compagnies – auxquelles se joint ponctuellement, en 1644-1647, l’Illustre Théâtre de Molière et des Béjart – se livrent une concurrence serrée, qui passe notamment par l’usage du doublage dramatique : deux pièces, composées par deux dramaturges différents, mais fondées sur le même sujet, sont présentées, à quelques semaines ou mois d’intervalle, sur deux scènes parisiennes distinctes. Les deux premières décennies de cette Guerre des théâtres présentent quarante et un doublons dramatiques de ce type. L’investigation s’attache d’abord à les replacer dans le contexte de leur création : au carrefour des thèmes dramatiques contemporains et de la rivalité théâtrale, les pièces jumelles épousent les courants du répertoire, qu’elles contribuent simultanément à alimenter, au gré de thématiques prédominantes : l’univers romanesque de la piraterie, la rivalité fraternelle, la thématique de l’Innocence persécutée, la figure de l’Illustre héroïne, parangon de vertu ou odieuse furie, et le théâtre lui-même, que la concurrence prend pour objet au sein de pièces qui figurent ses types (le Capitan), son univers quotidien (le Paris de 1640), ou encore ses plus grands succès (Le Cid, notamment). Cette section historique de l’enquête fait simultanément apparaître les correspondances qui se tissent non seulement entre les pièces jumelles, mais également avec le reste de la production contemporaine : le rival n’est pas toujours celui qu’on croit. La suite de l’étude s’attache aux modalités du fonctionnement de la concurrence. En premier lieu, celle-ci ne peut faire l’économie d’une publicité affichée, qui lui assure l’aura nécessaire à son efficacité et en fait bénéficier les pièces qu’elle soutient. L’investigation prend ensuite pour objet les enjeux dramaturgiques et scénographiques des pièces rivales. Les premiers sont l’affaire stricte des dramaturges, dont le rapport à l’Histoire ou la Fable se complique de celui qu’ils entretiennent avec leur rival. La perspective scénographique tente enfin de déterminer quels aspects du spectacle chaque troupe entend faire valoir, dans l’entreprise toujours éphémère de susciter le plaisir théâtral. / In the year 1629, two Parisian theatre companies settled down at the same time: the company of the Théâtre du Marais, led by Charles Le Noir, and the Troupe Royale, resident of the renowned Hôtel de Bourgogne. These two companies – which were sometimes joined by the Illustre Théâtre de Molière et des Béjart in 1644-1647 – were engaged in a fierce competition, mostly revealed by the common practice of twin plays : two plays, written by two different playwrights, but dealing with the same subject, were presented, at an interval of a few weeks or of a few months in two different Parisian theatres.Over the first two decades of this theatre War, forty-one dramatic twin plays were performed. The study first consists in explaining the context of their creation: with the combination of the theatrical themes of the time and the theatrical rivalry, the twin plays adopted the trends of the repertoire, and enriched them at the same time, through these main themes : the fabulous world of piracy, brotherly rivalry, the recurrent theme of persecuted Innocence, the figure of the Illustrious heroin, either a paragon of virtue or an odious shrew, and theatre itself, a subject chosen by the rivals for the plays which presented its great figures (le Capitan), its surroundings (Paris in 1640), or its greatest achievements (Le Cid, mainly). This historical part of the study simultaneously reveals the similarities between the twin plays and also their link with the other plays of the time : the rivals are not always the ones you would expect.What follows in the study deals with how this competition took place. Primarily, deliberate advertising was a key notion because it gave the prestige it needed to reach its goal and the plays it supported benefited from it. Then, the study focuses on the stakes in the dramatic and scenographic arts in rival plays. Dramaturgy was the business of playwrights only. Their relation to the Story or Fable was also influenced by their relationship with their rival. Finally, scenography was meant to choose the aspect of the show each company would focus on, whose aim always was theatrical enjoyment, short-lived as it may be.
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Le rôle de l’auteur dramatique au sein de collectifs de création : deux études de cas : BUREAUtopsie du Théâtre Niveau parking et Mémoire vive du théâtre les Deux mondes

Vaillancourt-Léonard, Sophie 18 April 2018 (has links)
Le théâtre, surtout depuis les années 1970, tend à redéfinir les rôles dévolus à ses artisans. Le Québec ne fait pas exception, et le présent mémoire s'intéresse à l'auteur dramatique qui, suite à l'apparition des collectifs de création, a vu son rôle remis en question et décentralisé. La scène se déclarait soudainement apte à pallier le manque de texte, amenant ainsi la théâtralité à se chercher ailleurs que dans l'écriture dramatique. Or, nous assistons depuis quelques années à un retour de l'auteur au sein des collectifs de création qui font de plus en plus appel à lui et l'invite en salle de répétition. C'est de cet auteur dont il sera question; cet auteur invité à fréquenter la création collective et l'improvisation, qui a dû réinventer sa façon de travailler. Nous proposons deux cas de figure rendant compte de deux types de pratiques. D'abord Michel Nadeau, metteur en scène et auteur s'étant servi de la création collective pour l'écriture de la pièce BUREAUtopsie; puis Daniel Meilleur et Normand Canac-Marquis, qui ont tous deux travaillé sur Mémoire Vive, le premier ayant fait appel à l'autre après plus d'un an d'atelier de création. La réflexion, fondée sur les entretiens réalisés auprès des trois créateurs, fera état d'un auteur dramatique devant faire preuve de souplesse mais surtout, devant se réinventer selon chaque contexte de création.
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The Canada Council, the regional theatre system and the English-Canadian playwright : 1957-1975

Buchanan, Douglas B. 12 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / The role of the Canada Council and the Canadian Regional Theatre System in promoting and fostering English-Canadian playwrights and Canadian drama has been a source of considerable controversy but little sustained study since the middle 1960s. This dissertation examines that role through the crucial years from the creation of the Canada Council in 1957 until 1975 when the Council began to lose any real independence as an agency of cultural policy. It begins by examining the state of Canadian theatre in the postwar years prior to the creation of the Council and adumbrates the cultural/political forces that led to that creation: particularly rising Canadian nationalism and the power of the Canadian cultural elite. The confluence of these two forces in the form of the Massey/Levésque Commission sets the stage for the establishment of the Canada Council and, I will argue, also sets in place the basic philosophy of the Council towards theatre repertoire and the place of the English-Canadian playwright within the regional system. Chapter Three details the founding of the Council and its development of policies and practices that were intended to promote Canadian drama within the newly developing Canadian theatre system and then speculates on their likelihood of success. Chapter Four examines the realities of theatre economics in order to asses the impact of Canada Council (monetary) practices in the creation of the regional system and its use of Canadian plays. Chapter Five examines in detail the activities of the Council from its inception until 1969 and shows the very real gap between enunciated policies and actual practices in the development of the regional system particularly as it. affects the use of indigenous artistic material. I will contend that the result of Canada Council approaches and practices (intentional or not) in scholarship and funding, and particularly in the area of direct commissions, was the neglect of the Canadian dramatist in favour of a repertoire of foreign material. Furthermore, the focus of the Canada Council on two conflicting goals, the growth of regional theatres and a conservative fiscal policy aimed at reducing or controlling deficits, exacerbated this neglect. The consequences of this neglect are dealt with in Chapter Six with a discussion of the reaction of cultural nationalists, increasingly dissatisfied with Council practices, that led to the creation and promotion of the alternative theatre movement which produced the first concrete steps in the development of an indigenous drama. Since the alternative theatre movement, in its advocacy and encouragement of Canadian playwrights, occupied the role that the Canada Council was intended to fill, Chapter Six compares the funding patterns that helped set it in place (specifically the Local Initiatives Programs and Opportunities for Youth) with the funding patterns of the Council. I will suggest that these two programs (although not designed for that purpose) were much more successful than the policies and practices of the Canada Council in promoting English-Canadian plays, and specify the reasons why this was so. The dissertation concludes with some speculation on future possibilities in the study of Canadian plays based on their origin within an 'alternative' theatre structure rather than within the mainstream regional system and sums up how the development of the Canadian regional system was, in many ways, accomplished at the expense of the Canadian dramatist. / Le rôle du Conseil des Arts du Canada et du Réseau canadien du théâtre régional de promouvoir et d'encourager les dramaturges canadiens-anglais et le théâtre canadien a été une source de controverse considérable mais pas une source d'études depuis le milieu des années 1960. Cette dissertation examine ce rôle à travers les années cruciales à partir de la création du Conseil des Arts du Canada en 1957 jusqu'en 1975 lorsque le Conseil commence à perdre toute véritable indépendance en tant qu'agence de politique culturelle. Je débute en examinant l'état du théâtre canadien dans les années d'après-guerre avant la création du Conseil et je discute des forces culturelles/politiques qui ont conduit à cette création : surtout le nationalisme canadien montant et le pouvoir de l'élite culturelle canadienne. La confluence de ces deux forces sous la forme de la Commission Massey/Lévesque met en scène l'établissement du Conseil des Arts du Canada et met aussi en place la philosophie de base du Conseil envers le répertoire théâtral et la place du dramaturge canadien à l'intérieur du réseau régional. Le troisième chapitre raconte en détail la fondation du Conseil et le développement de ses politiques et pratiques prévues pour promouvoir le théâtre canadien à l'intérieur du nouveau T- réseau de théâtre canadien et ensuite s'interroge sur leur chance de réussite. Le quatrième chapitre examine les réalités financières du théâtre afin d’évaluer l'impact des pratiques (monétaires) du Conseil des Arts du Canada dans la création du 'réseau régional et son usage des pièces de théâtre canadiennes. Le cinquième chapitre examine en détail les activités du Conseil à partir de sa création jusqu'en 1969 et démontre l'écart réel entre les politiques énoncées et les pratiques réelles dans le développement du réseau régional, particulièrement lorsque cet écart touche l'utilisation de matériau artistique indigène. Je vais soutenir que le résultat des approches et des pratiques (intentionnelles ou non) du Conseil des Arts du Canada en bourse et en financement, et plus particulièrement dans le domaine des commissions directes, se traduit en une négligence du dramaturge canadien en faveur d'un répertoire étranger. De plus, l'intérêt du Conseil des Arts du Canada pour deux objectifs conflictuels, la croissance des théâtres régionaux et la politique fiscale conservatrice visant à réduire ou à contrôler les déficits, aggrave cette négligence. Les conséquences de cette négligence sont étudiées dans le sixième chapitre avec une discussion de la réaction des nationalistes culturels, de plus en plus insatisfaits avec les pratiques du Conseil, qui a conduit à la création et la promotion d'un mouvement de théâtre alternatif qui fit les premiers pas concrets vers le développement d'un théâtre indigène canadien. Puisque le mouvement de théâtre alternatif, dans son soutien et son encouragement des dramaturges canadiens-anglais, a occupé le rôle que le Conseil devait remplir, le sixième chapitre compare le modèle de financement qui a aidé à son établissement (plus spécifiquement l'établissement des Programmes d'initiatives locales (Local Initiatives Programs) et Opportunités pour les jeunes (Opportunities for Youth)) aux modèles de financement du Conseil. De plus, je vais suggérer que ces deux programmes (même s'ils ne sont pas créés dans ce but) ont eu beaucoup plus de succès que les politiques et les pratiques du Conseil des Arts du Canada dans la promotion des pièces de théâtre canadiennes et je vais spécifier les raisons de ce succès. Je conclu la dissertation avec une hypothèse sur les possibilités futures dans l'étude des pièces de théâtre canadiennes basée sur leur origine à travers une structure théâtrale 'alternative plutôt qu'à travers un système régional de la culture prédominante et je résume comment le développement du Réseau régional canadien a été, de plusieurs façons, accompli au détriment du dramaturge canadien.

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