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Filiation, origine, fantasme : les voies de l'individuation dans "Monsieur Nicolas ou Le coeur humain dévoilé" de Rétif de La Bretonne /

Berkman, Gisèle. January 2006 (has links)
Thèse de doctorat--Lettres--Paris 7, 2000. / Bibliogr. p. 539-556. Index.
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Das Werden der (natur-)wissenschaftlichen Methode: Das Boyle-Mariotte-Gesetz : eine Fallstudie zur Wissenschaftsgeschichte und ein Entwurf für einen forschend-entwickelnden Unterricht zu ... /

Kalkbrenner, Heinrich Josef, January 1991 (has links)
Inaug. - Diss.--Fakultät der Universität zu Köln--Köln--Universität zu Köln. / Bibliogr. pp. 275-291.
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Fiktion und Moral die Vermittlung moralischer Normen im Romanwerk des Rétif de la Bretonne am Beispiel des Paysan Perverti /

Koneffke, Walter. January 1992 (has links)
Diss. : Berlin : 1990. / Bibliogr.: p. 284-295.
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Ludwig Tiecks jugendroman William Lovell und der Paysan perverti des Restif de la Bretonne

Hassler, Karl Friedrich Viktor, January 1902 (has links)
Inaug.-diss.--Greifswald. / Lebenslauf.
5

Contribution a l'histoire de la Faculté de médecine de Paris sous le décant de Bourru de 1787 a 1792 ...

Jarty, Louis. January 1919 (has links)
These - Paris, 1919, no. 106. / "Bibliographie génerale": [1] p. at end.
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Généalogie d'une exhortation : la culture théologique et juridique de Edme Pirot, confesseur de la marquise de Brinvilliers (1676)

Gemme, Karine 05 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise nous amène à Paris, au cœur du XVIIe siècle religieux et judiciaire. À travers La marquise de Brinvilliers. Récit de ses derniers moments, l'abbé Edme Pirot (1631-1713), confesseur de la Sorbonne rapporte comment, le 16 juillet 1676, il assista à la mort la marquise de Brinvilliers; il y raconte les derniers instants passés avec la criminelle et le discours qu'il lui tint et qui transforma, en quelques heures, une horrible criminelle parricide et empoisonneuse en une femme repentie, prête à affronter dignement la mort. Ce document exceptionnel est le rare témoignage que nous possédions d'une exhortation auprès d'un supplicié; il constitue une fenêtre unique sur la culture et le savoir d'un confesseur parisien en plein cœur de la contre-réforme. La marquise de Brinvilliers a été l'objet de plusieurs recherches tandis que son confesseur est demeuré peu connu. Dans cette étude, nous avons tenté de montrer que Pirot avait tenté d'écrire une sorte de modèle de récit de mort destiné aux confesseurs de la Sorbonne qui assistaient à la mort les condamnés. À travers une approche sémantique et sérielle, nous avons effectué une analyse comparée entre le texte de Pirot et d'autres modèles d'écriture profane et religieuse. L'abbé s'est certainement inspiré des ars moriendi, des hagiographies, des idées jansénistes sur la grâce et le salut, de l'idéal de la bonne mort présenté à travers l'écriture du fait divers et des histoires tragiques, puis des textes juridiques. Bien que son œuvre soit unique, la mise en lumière de l'argumentation de Pirot nous démontre l'influence d'une multitude de modèles d'écriture et rend compte, par-là, d'un modèle rhétorique utilisé pour assister à la mort un criminel. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Paris, dix-septième siècle, confession, exécution publique, préparation à la mort.
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La mort du libertin agonie d'une identité romanesque /

Michel, Ludovic January 1993 (has links)
Mémoire de maîtrise : Lettres : Lille III : 1992. / Bibliogr. p. 173-178.
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Deux études sur la préhistoire du réalisme: Diderot, Rétif de La Bretonne.

Joly, Raymond, January 1969 (has links)
Issued also as thesis, Heidelberg, 1966. / Bibliography: p. 185-191.
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Edme Boursault : de la farce à la fable (1661-1701) / Edme Boursault : from the farce to the fable (1661-1701) / Edme Boursault : della farsa alla fabia (1661-1701)

Croft, Marie-Ange 01 October 2014 (has links)
Entre la mort de Molière et l’avènement de Marivaux, le théâtre connaît de profondes modifications. S’inscrivant dans le sillage des travaux de François Moureau, Christian Biet et Guy Spielmann sur la dramaturgie fin de règne, cette thèse s’intéresse à la manière dont s’est effectué le passage de la comédie classique à la comédie fin de règne. En prenant l’exemple d’Edme Boursault (1638-1701), écrivain mineur du XVIIe siècle, elle entend mettre en lumière une double trajectoire, celle d’un genre et celle d’un auteur. L’étude repose sur l’hypothèse selon laquelle le corpus comique de Boursault, produit entre 1661 et 1701, conserve les marques des mutations esthétiques qui a mené au théâtre fin de règne. Il s’agit donc de comprendre les enjeux qui ont conduit à un renouvellement de l’écriture dramaturgique, mais aussi d’observer la manière dont pouvait se construire une carrière littéraire chez un écrivain mineur de la seconde moitié du XVIIe siècle. Depuis ses premières comédies et farces (Le médecin volant, Le Mort vivant, Le jaloux endormy) jusqu’à ses comédies moralisantes (Les Fables d’Esope, Esope à la Cour), Boursault a su s’adapter aux changements que connaissent la société française et le théâtre, et a mis en œuvre diverses stratégies, tant sociales que littéraires. Par le moyen de l’histoire littéraire, entre sociologie de la littérature, poétique des genres et théorie de la réception, la thèse se penche sur les réseaux de sociabilité de Boursault (salons précieux, cercles littéraires, mécénat) et analyse son théâtre comique, tout en tenant compte des conditions de représentation et de la réception du public. L’étude tend à démontrer que cette évolution dramaturgique s’est faite graduellement, souvent au prix d’une coexistence de deux esthétiques au sein d’une même œuvre. Cherchant à mesurer l’apport de Boursault à la comédie et au comique du XVIIe siècle, la thèse révèle que le passage du classicisme au fin de règne implique chez le dramaturge un changement de stratégie. Entre 1660 et 1700, l’auteur passe en effet d’une stratégie du cursus où ses tendances polygraphiques le placent, à une stratégie du succès misant sur l’innovation et l’originalité. Ce faisant, l’écrivain explore les limites d’un genre qu’il participe à redéfinir, tant sur le plan de la structure et des thématiques que sur celui des personnages et du comique. L’examen du passage de la farce classique à la comédie moralisante, celui du comique burlesque au rire jaune du XVIIIe siècle positionne donc indéniablement Boursault comme un écrivain de transition. Transition entre l’esthétique classique et l’esthétique fin de règne, on s’en doute, mais aussi, en parallèle, entre la poétique classique-fin de règne, et celle des Lumières. / Entre la mort de Molière et l’avènement de Marivaux, le théâtre connaît de profondes modifications. S’inscrivant dans le sillage des travaux de François Moureau, Christian Biet et Guy Spielmann sur la dramaturgie fin de règne, cette thèse s’intéresse à la manière dont s’est effectué le passage de la comédie classique à la comédie fin de règne. En prenant l’exemple d’Edme Boursault (1638-1701), écrivain mineur du XVIIe siècle, elle entend mettre en lumière une double trajectoire, celle d’un genre et celle d’un auteur. L’étude repose sur l’hypothèse selon laquelle le corpus comique de Boursault, produit entre 1661 et 1701, conserve les marques des mutations esthétiques qui a mené au théâtre fin de règne. Il s’agit donc de comprendre les enjeux qui ont conduit à un renouvellement de l’écriture dramaturgique, mais aussi d’observer la manière dont pouvait se construire une carrière littéraire chez un écrivain mineur de la seconde moitié du XVIIe siècle. Depuis ses premières comédies et farces (Le médecin volant, Le Mort vivant, Le jaloux endormy) jusqu’à ses comédies moralisantes (Les Fables d’Esope, Esope à la Cour), Boursault a su s’adapter aux changements que connaissent la société française et le théâtre, et a mis en œuvre diverses stratégies, tant sociales que littéraires. Par le moyen de l’histoire littéraire, entre sociologie de la littérature, poétique des genres et théorie de la réception, la thèse se penche sur les réseaux de sociabilité de Boursault (salons précieux, cercles littéraires, mécénat) et analyse son théâtre comique, tout en tenant compte des conditions de représentation et de la réception du public. L’étude tend à démontrer que cette évolution dramaturgique s’est faite graduellement, souvent au prix d’une coexistence de deux esthétiques au sein d’une même œuvre. Cherchant à mesurer l’apport de Boursault à la comédie et au comique du XVIIe siècle, la thèse révèle que le passage du classicisme au fin de règne implique chez le dramaturge un changement de stratégie. Entre 1660 et 1700, l’auteur passe en effet d’une stratégie du cursus où ses tendances polygraphiques le placent, à une stratégie du succès misant sur l’innovation et l’originalité. Ce faisant, l’écrivain explore les limites d’un genre qu’il participe à redéfinir, tant sur le plan de la structure et des thématiques que sur celui des personnages et du comique. L’examen du passage de la farce classique à la comédie moralisante, celui du comique burlesque au rire jaune du XVIIIe siècle positionne donc indéniablement Boursault comme un écrivain de transition. Transition entre l’esthétique classique et l’esthétique fin de règne, on s’en doute, mais aussi, en parallèle, entre la poétique classique-fin de règne, et celle des Lumières. / Entre la mort de Molière et l’avènement de Marivaux, le théâtre connaît de profondes modifications. S’inscrivant dans le sillage des travaux de François Moureau, Christian Biet et Guy Spielmann sur la dramaturgie fin de règne, cette thèse s’intéresse à la manière dont s’est effectué le passage de la comédie classique à la comédie fin de règne. En prenant l’exemple d’Edme Boursault (1638-1701), écrivain mineur du XVIIe siècle, elle entend mettre en lumière une double trajectoire, celle d’un genre et celle d’un auteur. L’étude repose sur l’hypothèse selon laquelle le corpus comique de Boursault, produit entre 1661 et 1701, conserve les marques des mutations esthétiques qui a mené au théâtre fin de règne. Il s’agit donc de comprendre les enjeux qui ont conduit à un renouvellement de l’écriture dramaturgique, mais aussi d’observer la manière dont pouvait se construire une carrière littéraire chez un écrivain mineur de la seconde moitié du XVIIe siècle. Depuis ses premières comédies et farces (Le médecin volant, Le Mort vivant, Le jaloux endormy) jusqu’à ses comédies moralisantes (Les Fables d’Esope, Esope à la Cour), Boursault a su s’adapter aux changements que connaissent la société française et le théâtre, et a mis en œuvre diverses stratégies, tant sociales que littéraires. Par le moyen de l’histoire littéraire, entre sociologie de la littérature, poétique des genres et théorie de la réception, la thèse se penche sur les réseaux de sociabilité de Boursault (salons précieux, cercles littéraires, mécénat) et analyse son théâtre comique, tout en tenant compte des conditions de représentation et de la réception du public. L’étude tend à démontrer que cette évolution dramaturgique s’est faite graduellement, souvent au prix d’une coexistence de deux esthétiques au sein d’une même œuvre. Cherchant à mesurer l’apport de Boursault à la comédie et au comique du XVIIe siècle, la thèse révèle que le passage du classicisme au fin de règne implique chez le dramaturge un changement de stratégie. Entre 1660 et 1700, l’auteur passe en effet d’une stratégie du cursus où ses tendances polygraphiques le placent, à une stratégie du succès misant sur l’innovation et l’originalité. Ce faisant, l’écrivain explore les limites d’un genre qu’il participe à redéfinir, tant sur le plan de la structure et des thématiques que sur celui des personnages et du comique. L’examen du passage de la farce classique à la comédie moralisante, celui du comique burlesque au rire jaune du XVIIIe siècle positionne donc indéniablement Boursault comme un écrivain de transition. Transition entre l’esthétique classique et l’esthétique fin de règne, on s’en doute, mais aussi, en parallèle, entre la poétique classique-fin de règne, et celle des Lumières.
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La Symphonie française entre 1830 et 1870 / The French Symphony between 1830 and 1870

Boulan, Muriel 01 June 2011 (has links)
Lorsque l’on évoque la symphonie en France au milieu du XIXe siècle, on ne retient généralement que le nom de Berlioz et l’on insiste sur une désaffection du genre tant de la part des compositeurs que du public. Pourtant, malgré un recul des créations, malgré le défi posé par l’héritage beethovénien et alors même que le contexte musical favorise principalement la scène lyrique, une soixantaine de compositeurs continuent à s’intéresser au domaine exclusivement instrumental de la symphonie et assurent le maintien d’un genre entre 1830 et la génération franckiste. Au-delà de son aspect historique, cette thèse vise à cerner les caractéristiques stylistiques de tout un ensemble d’œuvres, à les situer dans l’évolution d’un genre en les analysant à la fois par rapport aux normes viennoises, aux productions contemporaines germaniques et aux avancées plus générales du langage. Après une première partie centrée sur le contexte musical qui a vu naître ces symphonies, les enjeux pédagogiques qu’elles suscitent et le rôle décisif des sociétés orchestrales, l’analyse entre au cœur des partitions dans une démarche comparative à la fois quantitative et qualitative, depuis l’agencement interne des plus petits éléments musicaux jusqu’à la réalisation de la grande forme. À travers l’observation des pratiques globales et individuelles qui concourent à une réévaluation des normes, à la refonte ponctuelle mais progressive des cadres, se dégagent l’autonomie d’un genre par rapport à son modèle germanique et la permanence d’une école symphonique française tout au long du XIXe siècle. / When one deals with the symphony in mid-19th century France only the name of Berlioz comes to mind and one emphasizes a disaffection for the genre among composers as well as audiences. However, despite fewer creations, despite the awe-inspiring Beethovenian legacy and despite the overwhelming place held by the operatic scene during those decades, some sixty composers around Hector Berlioz still devoted themselves to the purely instrumental genre and achieved the development of the symphony between 1830 and the Franckist generation. Beyond its historical relevance, this doctoral dissertation aims at defining the stylistic features of a corpus of symphonic works and at placing them in the evolution of the genre by analyzing them in relation to Viennese standards, to contemporary Germanic productions and to the more general innovations in the musical language. After first focusing on the musical context in which these symphonies were composed, on the pedagogic stakes entailed and on the decisive role of orchestral societies, the analysis will then closely examine the scores in a quantitative and qualitative comparative approach moving from the internal construction of the smallest musical elements to the completion of the large form. The autonomy of a genre distinct from its Germanic model and the permanence of a French symphonic school throughout the 19th century will emerge thanks to the observation of collective and individual practices which contributed to a reassessment of norms, to a selective but gradual revision of musical forms.

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