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Les Femmes et l'éducation dans le théâtre du Grand Siècle:

Jayson, Hayley E. 21 March 2018 (has links)
Notre thèse vise à analyser la représentation de l'éducation des femmes dans le théâtre français du dix-septième siècle. Dans cette période du théâtre néoclassique, on écrivait des pièces dans le style classique avec des thèmes et des personnages qui reflétaient la société de l'époque. Les dramaturges créaient leurs œuvres afin de divertir le public ainsi que d'instruire aux spectateurs comment on devrait se comporter. Nous avons choisi quatre pièces des genres et des thèmes différents afin d'analyser comment les femmes étaient éduquées ainsi que comment elles s'instruisaient. Nous considérons l'instruction dans un sens formel et académique ainsi que dans un sens informel d'apprendre comment se conduire. En analysant les pièces choisies, deux représentations de l'éducation des femmes se voient : celle du personnage féminin traditionnel dont son amour d'un homme la motive à s'éduquer, et celle du personnage féminin non-traditionnel qui se sert de l'éducation pour un but différent. Les pièces choisies favorisent la représentation de la femme qui est motivée par l'amour, mais les personnages féminins qui sont représentés comme non-traditionnels revendiquent leur propre pouvoir en se servant de l'éducation afin d'atteindre leurs propres buts et désirs.
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Nature Et Fonction Du Portrait Chez Molière : Le Misanthrope Et Le Tartuffe

Calin, Anemarie 30 April 2010 (has links)
Nous nous proposons de suivre l’histoire du portrait littéraire et la place de Molière en tant que portraitiste dans deux de ses piè ces les plus célèbres, Le Tartuffe et Le Misanthrope. Molière déplace l’intérêt de l’action dans ses comédies vers les portraits des personnages. S’appuyant sur les principes des Anciens : « castigat ridendo mores », Molière rév èle à travers les portraits, les vices, surtout l’hypocrisie, et l’importance du masque dans la société du XVIIe siècle. La grande varié ;té des portraits sera illustrée de nombreux exemples. Nous nous intéressons aux diverses fonctions des portraits. Ils dévoilent l’intérêt pour le réalisme psychologique et témoignent d’une mode de divertissement mondain. En mettant l’accent sur les défauts et le ridicule des personnages, avec les portraits, les pièces se chargent d’une dimension satirique.
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Les "Dévotieuses" : dévotion et préciosité à Grenoble au XVIIe siècle : la Congrégation de la Purification / The "Devotieuses" : devotion and preciosity in Grenoble in XVIIth century : the Congregation of Purification

Dennequin, Marjorie 15 December 2015 (has links)
Ces trois dernières décennies, les historien(ne)s se sont attaché(e)s à renouveler l’historiographie des congrégations et des confréries religieuses à l’époque moderne. De nombreux chercheur(e)s ont ainsi mis en lumière l’initiative de plusieurs femmes laïques dans cette reconquête autant spatiale et identitaire, que politique. Nous aimerions ici convier le lecteur à la découverte d’une congrégation féminine sinon inconnue, tout du moins méconnue des historien(ne)s en général et des historien(ne)s du fait religieux en particulier : la Congrégation de la Purification. Peuplée de nombreuses femmes issues de l’aristocratie, de la noblesse et de la roture, cette association laïque du XVIIe siècle amène le chercheur à s’interroger sur l’appréhension de la sainteté par les femmes et sur leur souhait d’atteindre un modèle de piété incarnée par Philothée, héroïne spirituelle salésienne. À Grenoble, les femmes sont en effet particulièrement soucieuses de l’incarner et de répandre le message du fondateur de la Visitation.Les Dames de la Purification sont singulières à de nombreux égards : très différentes les unes des autres, elles arrivent cependant à faire « corps » tout en respectant et en louant les qualités propres à chacune de leurs « sœurs » à travers le prisme de leurs abrégés de vie et de vertus. Attentives à entretenir la mémoire de leur « corps » et la mémoire des congréganistes, elles prennent la plume et écrivent à l’unisson l’histoire de leur Congrégation. Les diverses archives consultées bouleversent les idées préconçues sur les dévotes et permettent de rendre compte de l’importance et de la pérennité des liens entretenus entre ces femmes et les hommes ayant marqué de leur empreinte spirituelle la société de leur temps. Elles nous invitent aussi à nous rendre à Paris, dans le cercle fermé de la régente du Royaume de France et à nous questionner sur l’univers des précieuses et sur le rapport possible existant entre dévotion et préciosité. / During the past three decades, historians focused on renewing historiography on congregations and religious brotherhoods in the modern era. Many researchers have highlighted the initiative of several secular women in this spatial, identity and political reconquest. We would like here to invite the reader to discover a female congregation if not unknown, at least unknown to historians in general and historians of religion in particular: the Congregation of the Purification. Populated by many women from the aristocracy, nobility and commoners, this lay association of the Seventeenth Century leads the researcher to tackle the question of the perception of holiness by women and their desire to reach a model of piety embodied by Philothea, Salesian spiritual heroine. In Grenoble, women are in fact particularly keen to embody and spread the message of the founder of the Visitation.The Ladies of the Purification are unique in many ways: very different from one another, they nevertheless manage to do "body" while respecting and praising the qualities each of their "sisters" through the lens of their Abridged life and virtues. Mindful of keeping the memory of their "body" and the memory of the congregants, they take the pen and write in unison the history of their Congregation. The various archives consulted upset preconceived ideas about the dévotes and help realize the importance and durability of links maintained between these women and men who have left their mark on the spiritual society of their time. They also invite us to go to Paris in the closed circle of the Regent of the Kingdom of France and to question us about the universe of Precious women and about the possible relationship between devotion and preciosity
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Le débat entre le coeur et le devoir dans : La Princesse de Clèves

Lagroix Kronlund, Suzanne January 2016 (has links)
Ce mémoire traite du débat entre le coeur et le devoir et des différentes influences qui ont conduit à la fameuse question : Pourquoi la princesse n’épouse-t-elle pas le duc de Nemours alors que tous les obstacles sont levés ? À défaut de pouvoir répondre définitivement à cette énigme dont seule Madame de La Fayette possède la clé, nous nous sommes concentrée sur les influences qui auraient pu pousser la princesse à sacrifier son coeur pour son devoir. La méthode de recherche utilisée est l’approche de la biographie intellectuelle. Il est évident que le vécu de l'auteure a teinté le contenu de son oeuvre ainsi que l'âme de son héroïne. Nous nous sommes également inspirée de la méthode sociocritique quant aux influences et mouvements de l'époque. Dans le but de simplifier la collecte des sources et l’organisation de la recherche, nous avons regroupé les influences en trois grandes catégories : les influences personnelles, internes et externes. Cette étude a mis en évidence que les moeurs, dans La Princesse de Clèves, sont le miroir de la société du XVIIe siècle. Chaque influence présentée forme le dessin d’une princesse cachant en elle le secret de son renoncement à l'amour. / This work addresses the debate between heart and duty as well as the various influences that led to the famous question : Why doesn't the princess marry the Duke of Nemours when all barriers are removed ? All things considered, we cannot conclusively answer this enigma to which only Madame de La Fayette holds the key, therefore we focused on the influences that urged the princess to sacrifice her heart to her duty. The method of research used is the intellectual biography approach. It is apparent that the life of the author tinged the contents of her work and the soul of her heroine. We were also inspired by the sociological criticism method as to the influences and movements of this particular era. In order to simplify the collection and organization of this research, we combined the influences into three main categories : personal, internal and external. This study has shown that the characteristics in La Princesse de Clèves, mirror the society of the seventeenth century. Each presented influence forms the picture of a princess hiding, within herself, the secret of her renunciation of love.
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Edme Boursault : de la farce à la fable (1661-1701) / Edme Boursault : from the farce to the fable (1661-1701) / Edme Boursault : della farsa alla fabia (1661-1701)

Croft, Marie-Ange 01 October 2014 (has links)
Entre la mort de Molière et l’avènement de Marivaux, le théâtre connaît de profondes modifications. S’inscrivant dans le sillage des travaux de François Moureau, Christian Biet et Guy Spielmann sur la dramaturgie fin de règne, cette thèse s’intéresse à la manière dont s’est effectué le passage de la comédie classique à la comédie fin de règne. En prenant l’exemple d’Edme Boursault (1638-1701), écrivain mineur du XVIIe siècle, elle entend mettre en lumière une double trajectoire, celle d’un genre et celle d’un auteur. L’étude repose sur l’hypothèse selon laquelle le corpus comique de Boursault, produit entre 1661 et 1701, conserve les marques des mutations esthétiques qui a mené au théâtre fin de règne. Il s’agit donc de comprendre les enjeux qui ont conduit à un renouvellement de l’écriture dramaturgique, mais aussi d’observer la manière dont pouvait se construire une carrière littéraire chez un écrivain mineur de la seconde moitié du XVIIe siècle. Depuis ses premières comédies et farces (Le médecin volant, Le Mort vivant, Le jaloux endormy) jusqu’à ses comédies moralisantes (Les Fables d’Esope, Esope à la Cour), Boursault a su s’adapter aux changements que connaissent la société française et le théâtre, et a mis en œuvre diverses stratégies, tant sociales que littéraires. Par le moyen de l’histoire littéraire, entre sociologie de la littérature, poétique des genres et théorie de la réception, la thèse se penche sur les réseaux de sociabilité de Boursault (salons précieux, cercles littéraires, mécénat) et analyse son théâtre comique, tout en tenant compte des conditions de représentation et de la réception du public. L’étude tend à démontrer que cette évolution dramaturgique s’est faite graduellement, souvent au prix d’une coexistence de deux esthétiques au sein d’une même œuvre. Cherchant à mesurer l’apport de Boursault à la comédie et au comique du XVIIe siècle, la thèse révèle que le passage du classicisme au fin de règne implique chez le dramaturge un changement de stratégie. Entre 1660 et 1700, l’auteur passe en effet d’une stratégie du cursus où ses tendances polygraphiques le placent, à une stratégie du succès misant sur l’innovation et l’originalité. Ce faisant, l’écrivain explore les limites d’un genre qu’il participe à redéfinir, tant sur le plan de la structure et des thématiques que sur celui des personnages et du comique. L’examen du passage de la farce classique à la comédie moralisante, celui du comique burlesque au rire jaune du XVIIIe siècle positionne donc indéniablement Boursault comme un écrivain de transition. Transition entre l’esthétique classique et l’esthétique fin de règne, on s’en doute, mais aussi, en parallèle, entre la poétique classique-fin de règne, et celle des Lumières. / Entre la mort de Molière et l’avènement de Marivaux, le théâtre connaît de profondes modifications. S’inscrivant dans le sillage des travaux de François Moureau, Christian Biet et Guy Spielmann sur la dramaturgie fin de règne, cette thèse s’intéresse à la manière dont s’est effectué le passage de la comédie classique à la comédie fin de règne. En prenant l’exemple d’Edme Boursault (1638-1701), écrivain mineur du XVIIe siècle, elle entend mettre en lumière une double trajectoire, celle d’un genre et celle d’un auteur. L’étude repose sur l’hypothèse selon laquelle le corpus comique de Boursault, produit entre 1661 et 1701, conserve les marques des mutations esthétiques qui a mené au théâtre fin de règne. Il s’agit donc de comprendre les enjeux qui ont conduit à un renouvellement de l’écriture dramaturgique, mais aussi d’observer la manière dont pouvait se construire une carrière littéraire chez un écrivain mineur de la seconde moitié du XVIIe siècle. Depuis ses premières comédies et farces (Le médecin volant, Le Mort vivant, Le jaloux endormy) jusqu’à ses comédies moralisantes (Les Fables d’Esope, Esope à la Cour), Boursault a su s’adapter aux changements que connaissent la société française et le théâtre, et a mis en œuvre diverses stratégies, tant sociales que littéraires. Par le moyen de l’histoire littéraire, entre sociologie de la littérature, poétique des genres et théorie de la réception, la thèse se penche sur les réseaux de sociabilité de Boursault (salons précieux, cercles littéraires, mécénat) et analyse son théâtre comique, tout en tenant compte des conditions de représentation et de la réception du public. L’étude tend à démontrer que cette évolution dramaturgique s’est faite graduellement, souvent au prix d’une coexistence de deux esthétiques au sein d’une même œuvre. Cherchant à mesurer l’apport de Boursault à la comédie et au comique du XVIIe siècle, la thèse révèle que le passage du classicisme au fin de règne implique chez le dramaturge un changement de stratégie. Entre 1660 et 1700, l’auteur passe en effet d’une stratégie du cursus où ses tendances polygraphiques le placent, à une stratégie du succès misant sur l’innovation et l’originalité. Ce faisant, l’écrivain explore les limites d’un genre qu’il participe à redéfinir, tant sur le plan de la structure et des thématiques que sur celui des personnages et du comique. L’examen du passage de la farce classique à la comédie moralisante, celui du comique burlesque au rire jaune du XVIIIe siècle positionne donc indéniablement Boursault comme un écrivain de transition. Transition entre l’esthétique classique et l’esthétique fin de règne, on s’en doute, mais aussi, en parallèle, entre la poétique classique-fin de règne, et celle des Lumières. / Entre la mort de Molière et l’avènement de Marivaux, le théâtre connaît de profondes modifications. S’inscrivant dans le sillage des travaux de François Moureau, Christian Biet et Guy Spielmann sur la dramaturgie fin de règne, cette thèse s’intéresse à la manière dont s’est effectué le passage de la comédie classique à la comédie fin de règne. En prenant l’exemple d’Edme Boursault (1638-1701), écrivain mineur du XVIIe siècle, elle entend mettre en lumière une double trajectoire, celle d’un genre et celle d’un auteur. L’étude repose sur l’hypothèse selon laquelle le corpus comique de Boursault, produit entre 1661 et 1701, conserve les marques des mutations esthétiques qui a mené au théâtre fin de règne. Il s’agit donc de comprendre les enjeux qui ont conduit à un renouvellement de l’écriture dramaturgique, mais aussi d’observer la manière dont pouvait se construire une carrière littéraire chez un écrivain mineur de la seconde moitié du XVIIe siècle. Depuis ses premières comédies et farces (Le médecin volant, Le Mort vivant, Le jaloux endormy) jusqu’à ses comédies moralisantes (Les Fables d’Esope, Esope à la Cour), Boursault a su s’adapter aux changements que connaissent la société française et le théâtre, et a mis en œuvre diverses stratégies, tant sociales que littéraires. Par le moyen de l’histoire littéraire, entre sociologie de la littérature, poétique des genres et théorie de la réception, la thèse se penche sur les réseaux de sociabilité de Boursault (salons précieux, cercles littéraires, mécénat) et analyse son théâtre comique, tout en tenant compte des conditions de représentation et de la réception du public. L’étude tend à démontrer que cette évolution dramaturgique s’est faite graduellement, souvent au prix d’une coexistence de deux esthétiques au sein d’une même œuvre. Cherchant à mesurer l’apport de Boursault à la comédie et au comique du XVIIe siècle, la thèse révèle que le passage du classicisme au fin de règne implique chez le dramaturge un changement de stratégie. Entre 1660 et 1700, l’auteur passe en effet d’une stratégie du cursus où ses tendances polygraphiques le placent, à une stratégie du succès misant sur l’innovation et l’originalité. Ce faisant, l’écrivain explore les limites d’un genre qu’il participe à redéfinir, tant sur le plan de la structure et des thématiques que sur celui des personnages et du comique. L’examen du passage de la farce classique à la comédie moralisante, celui du comique burlesque au rire jaune du XVIIIe siècle positionne donc indéniablement Boursault comme un écrivain de transition. Transition entre l’esthétique classique et l’esthétique fin de règne, on s’en doute, mais aussi, en parallèle, entre la poétique classique-fin de règne, et celle des Lumières.

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