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Gender and Environmental Legislation : A study on gender’s effect on legislative behaviour in the Swedish parliament

Dahlqvist, Asta January 2023 (has links)
This paper looks at the motions sent into the Swedish government’s Committee on Environment and Agriculture between 2018-2022 to see if gender impacts the environmental content. Much research has been done on the environmental attitudes of representatives; however, little research has been done on environmental legislative behaviour. When it’s been done, there have been varying results Some find that women engage in more pro-environmental legislative behaviour than men, and some find that there is no difference (e.g. Fredriksson & Wang, 2011; Jones, 1997). The hypothesis for this study was that women would show more pro-environmental behaviour in their motions. However, the result from this study shows that there was no significant difference in number of environmental motions sent in by women and men. Nevertheless, the results showed that there is a significant connection between parties and pro- environmental motions, where the more right a party was on the left-right scale, the less pro-environmental motions were sent in. In addition, the results show that right wing parties handed in more anti-environmental motions. These findings could strengthen the research on environmental attitudes and environmental behaviour amongst legislators.
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Politics in extraordinary times : a study of the reaction of political parties and elites to terrorism

Chowanietz, Christophe 06 1900 (has links)
Cette thèse porte sur le comportement des élites politiques durant les périodes de crise nationale et plus particulièrement sur leurs réactions aux attentats terroristes. Elle démontre que les crises terroristes sont tout comme les conflits militaires ou diplomatiques propices aux unions nationales et notamment aux ralliements des partis d’opposition auprès du gouvernement. L’analyse statistique d’actes terroristes s’étant produits dans cinq états démocratiques (Allemagne, Espagne, États-Unis d’Amérique, France et Royaume-Uni) entre 1990 et 2006 révèle que l’ampleur d’un attentat en termes de pertes humaines ainsi que la répétition de ces attentats influencent dans une large mesure la réaction des élites politiques. Ainsi plus l’ampleur d’un attentat est élevée, plus la probabilité d’un ralliement est grande. En revanche, la multiplication des attentats augmente la possibilité de dissension entre l’opposition et le gouvernement. Par ailleurs, l’opposition est plus susceptible de se rallier au gouvernement lorsque l’attentat est perpétré par des terroristes provenant de l’étranger. L’analyse quantitative indique également que l’existence d’un accord formel de coopération dans la lutte antiterroriste entre le gouvernement et l’opposition favorise l’union des élites. Enfin, les données analysées suggèrent que la proportion des ralliements dans les cinq pays est plus importante depuis les attentats du 11 septembre 2001. Une analyse qualitative portant exclusivement sur la France et couvrant la période 1980-2006 confirme la validité des variables identifiées dans la partie quantitative, mais suggère que les élites réagissent au nombre total de victimes (morts mais aussi blessés) et que la répétition des actes terroristes a moins d’impact lors des vagues d’attentats. Par ailleurs, les analyses de cas confirment que les élites politiques françaises sont plus susceptibles de se rallier quand un attentat vise un haut-fonctionnaire de l’État. Il apparaît également que les rivalités et rancœurs politiques propre à la France (notamment suite à l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981) ont parfois empêché le ralliement des élites. Enfin, cette analyse qualitative révèle que si l’extrême gauche française soutient généralement le gouvernement, qu’il soit de gauche ou de droite, en période de crise terroriste, l’extrême droite en revanche saisit quasi systématiquement l’opportunité offerte par l’acte terroriste pour critiquer le gouvernement ainsi que les partis de l’establishment. La thèse est divisée en sept chapitres. Le premier chapitre suggère que le comportement des élites politiques en période de crises internationales graves (guerres et conflits diplomatiques) est souvent influencé par la raison d’État et non par l’intérêt électoral qui prédomine lors des périodes plus paisibles. Le second chapitre discute du phénomène terroriste et de la littérature afférente. Le troisième chapitre analyse les causes du phénomène d’union nationale, soumet un cadre pour l’analyse de la réaction des élites aux actes terroristes, et présente une série d’hypothèses. Le quatrième chapitre détaille la méthodologie utilisée au cours de cette recherche. Les chapitres cinq et six présentent respectivement les résultats des analyses quantitatives et qualitatives. Enfin, le chapitre sept conclut cette thèse en résumant la contribution de l’auteur et en suggérant des pistes de recherche. / This thesis focuses on the behaviour of political elites during periods of national crisis and particularly on their reactions to acts of terrorism. It demonstrates that terrorist crises, much like military and diplomatic conflicts, represent a fertile ground for rallies around the flag. The statistical analysis of terrorist events that occurred in five democracies (France, Germany, Spain, the United Kingdom and the United States of America) from 1990 to 2006 indicates that the magnitude of the attack in terms of fatalities and the repetition of attacks influence in large measures the reaction of the political elite. The higher the magnitude is, the more likely the rally. However, the repetition of attacks increases the likelihood of dissention between opposition and government. Moreover, the opposition is more likely to support the government when the attack is perpetrated by terrorists originating from abroad. The quantitative analysis also indicates that the existence of a formal antiterrorist pact between government and opposition increases the likelihood of a rally. Finally, the data suggest that elites are more likely to rally around the flag since the events of 9/11. A qualitative analysis focusing solely on France and examining cases from the period 1980-2006 confirms the validity of the variables identified in the quantitative part but suggests that elites react to the total number of victims (including wounded) and that the repetition has less impact during waves of attacks. Furthermore, the case studies confirm that French political elites are particularly prone to rally when high-ranking representatives of the state fall victim to the terrorists. In addition, it appears that political rivalries and resentment (in particular following the Left’s return to power in 1981) have on occasion thwarted the rallying of elites. Finally, this analysis indicates that whereas the far-left generally supports the government (left-wing or right-wing), the far-right uses almost every opportunity to criticize the government and the parties of the establishment. The thesis is divided into seven chapters. Chapter one suggests that during intense foreign policy crises (military and diplomatic) the behaviour of the political elite is often influenced by the national interest, rather than the electoral interest that predominates in quieter periods. Chapter two discusses the terrorist phenomenon and the corresponding literature. Chapter three analyses the rally-around-the-flag phenomenon, lays out a framework for analysing the reaction of elites, and presents a series of hypotheses. Chapter four details the methodology used. Chapters five and six present respectively the results of the quantitative and qualitative analyses. Finally, chapter seven concludes with a summary of the author’s contribution and suggests avenues of research.
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Politics in extraordinary times : a study of the reaction of political parties and elites to terrorism

Chowanietz, Christophe 06 1900 (has links)
Cette thèse porte sur le comportement des élites politiques durant les périodes de crise nationale et plus particulièrement sur leurs réactions aux attentats terroristes. Elle démontre que les crises terroristes sont tout comme les conflits militaires ou diplomatiques propices aux unions nationales et notamment aux ralliements des partis d’opposition auprès du gouvernement. L’analyse statistique d’actes terroristes s’étant produits dans cinq états démocratiques (Allemagne, Espagne, États-Unis d’Amérique, France et Royaume-Uni) entre 1990 et 2006 révèle que l’ampleur d’un attentat en termes de pertes humaines ainsi que la répétition de ces attentats influencent dans une large mesure la réaction des élites politiques. Ainsi plus l’ampleur d’un attentat est élevée, plus la probabilité d’un ralliement est grande. En revanche, la multiplication des attentats augmente la possibilité de dissension entre l’opposition et le gouvernement. Par ailleurs, l’opposition est plus susceptible de se rallier au gouvernement lorsque l’attentat est perpétré par des terroristes provenant de l’étranger. L’analyse quantitative indique également que l’existence d’un accord formel de coopération dans la lutte antiterroriste entre le gouvernement et l’opposition favorise l’union des élites. Enfin, les données analysées suggèrent que la proportion des ralliements dans les cinq pays est plus importante depuis les attentats du 11 septembre 2001. Une analyse qualitative portant exclusivement sur la France et couvrant la période 1980-2006 confirme la validité des variables identifiées dans la partie quantitative, mais suggère que les élites réagissent au nombre total de victimes (morts mais aussi blessés) et que la répétition des actes terroristes a moins d’impact lors des vagues d’attentats. Par ailleurs, les analyses de cas confirment que les élites politiques françaises sont plus susceptibles de se rallier quand un attentat vise un haut-fonctionnaire de l’État. Il apparaît également que les rivalités et rancœurs politiques propre à la France (notamment suite à l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981) ont parfois empêché le ralliement des élites. Enfin, cette analyse qualitative révèle que si l’extrême gauche française soutient généralement le gouvernement, qu’il soit de gauche ou de droite, en période de crise terroriste, l’extrême droite en revanche saisit quasi systématiquement l’opportunité offerte par l’acte terroriste pour critiquer le gouvernement ainsi que les partis de l’establishment. La thèse est divisée en sept chapitres. Le premier chapitre suggère que le comportement des élites politiques en période de crises internationales graves (guerres et conflits diplomatiques) est souvent influencé par la raison d’État et non par l’intérêt électoral qui prédomine lors des périodes plus paisibles. Le second chapitre discute du phénomène terroriste et de la littérature afférente. Le troisième chapitre analyse les causes du phénomène d’union nationale, soumet un cadre pour l’analyse de la réaction des élites aux actes terroristes, et présente une série d’hypothèses. Le quatrième chapitre détaille la méthodologie utilisée au cours de cette recherche. Les chapitres cinq et six présentent respectivement les résultats des analyses quantitatives et qualitatives. Enfin, le chapitre sept conclut cette thèse en résumant la contribution de l’auteur et en suggérant des pistes de recherche. / This thesis focuses on the behaviour of political elites during periods of national crisis and particularly on their reactions to acts of terrorism. It demonstrates that terrorist crises, much like military and diplomatic conflicts, represent a fertile ground for rallies around the flag. The statistical analysis of terrorist events that occurred in five democracies (France, Germany, Spain, the United Kingdom and the United States of America) from 1990 to 2006 indicates that the magnitude of the attack in terms of fatalities and the repetition of attacks influence in large measures the reaction of the political elite. The higher the magnitude is, the more likely the rally. However, the repetition of attacks increases the likelihood of dissention between opposition and government. Moreover, the opposition is more likely to support the government when the attack is perpetrated by terrorists originating from abroad. The quantitative analysis also indicates that the existence of a formal antiterrorist pact between government and opposition increases the likelihood of a rally. Finally, the data suggest that elites are more likely to rally around the flag since the events of 9/11. A qualitative analysis focusing solely on France and examining cases from the period 1980-2006 confirms the validity of the variables identified in the quantitative part but suggests that elites react to the total number of victims (including wounded) and that the repetition has less impact during waves of attacks. Furthermore, the case studies confirm that French political elites are particularly prone to rally when high-ranking representatives of the state fall victim to the terrorists. In addition, it appears that political rivalries and resentment (in particular following the Left’s return to power in 1981) have on occasion thwarted the rallying of elites. Finally, this analysis indicates that whereas the far-left generally supports the government (left-wing or right-wing), the far-right uses almost every opportunity to criticize the government and the parties of the establishment. The thesis is divided into seven chapters. Chapter one suggests that during intense foreign policy crises (military and diplomatic) the behaviour of the political elite is often influenced by the national interest, rather than the electoral interest that predominates in quieter periods. Chapter two discusses the terrorist phenomenon and the corresponding literature. Chapter three analyses the rally-around-the-flag phenomenon, lays out a framework for analysing the reaction of elites, and presents a series of hypotheses. Chapter four details the methodology used. Chapters five and six present respectively the results of the quantitative and qualitative analyses. Finally, chapter seven concludes with a summary of the author’s contribution and suggests avenues of research.

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