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Un orateur de l'école française, saint Jean Eudes (1601-1680)Pioger, André. January 1940 (has links)
Thèse - Caen. / "Bibliographie": p. [439]-450.
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Un orateur de l'école française, saint Jean Eudes (1601-1680)Pioger, André. January 1940 (has links)
Thèse - Caen. / "Bibliographie": p. [439]-450.
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Europeans and Mongols in the middle of the thirteenth century : encountering the other /Ruotsala, Antti, January 2001 (has links)
Texte remanié de: Doct. diss.--University of Helsinski. / Contient le texte en latin d'un sermon d'Eudes de Châteauroux. Bibliogr. p. 136-152. Index.
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L'université, l'Eglise et l'Etat dans les sermons du cardinal Eudes de Châteauroux (1190?-1273)Charansonnet, Alexis Bériou, Nicole. January 2001 (has links)
Thèse de doctorat : Histoire : Lyon 2 : 2001. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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La miséricorde selon Saint Jean EudesGranger, Daniel 12 November 2021 (has links)
Si la miséricorde fut à une certaine époque inspiration profonde de l'agir chrétien, il est malheureux que sa saveur se soit estompée au cours des siècles pour être reléguée aux oubliettes. Cette recherche a pour fin première de faire redécouvrir la valeur de cette vertu qui, au XVIIème siècle, a été à la source de di verses initiatives pastorales, de plusieurs fondations religieuses et même avec les nuances qu'il faudrait apporter, de l'envoi des premiers missionnaires, hommes et femmes, en Amérique. Touché par la décadence du peuple de Dieu rencontrée dans toutes ces couches sociales, y compris le clergé, saint Jean Eudes fut tour à tour fondateur des Congrégations de Notre-Dame de Charité du Refuge (1641) et de Jésus et Marie (1643). Il voulait ainsi proposer des applications concrètes et permanentes de cette miséricorde qui l'habitait au plus profond de son être. La richesse des écrits légués en héritage à ses fils et à ses filles, et rassemblés sous le titre d'Oeuvres Complètes, constitueront l'assise de ce travail qui permettra de reconnaître comment cette vertu de miséricorde demeure encore aujourd'hui source fondamentale d'un agir chrétien authentique.
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Le comté de Bourgogne d'Eudes IV à Philippe de Rouvres (1330-1361) : une principauté en devenir / The county of Burgundy from Eudes IV to Philip of Rouvres (1330-1361) : become a principaltyLe Strat-Lelong, Sylvie 30 June 2015 (has links)
Les ducs-comtes de Bourgogne ont hérité, en 1330, d’un domaine déjà bien constitué, dont les points forts épousent les axes de pénétration du relief, selon une diagonale sud-ouest/nord-est. Bien que partiellement et provisoirement démembré au gré de houleux partages successoraux, il n’a connu que des modifications de détail, ayant pour but de renforcer le maillage du territoire. Il s’appuie sur un réseau administratif ancien constitué de prévôtés, de châtellenies et, accessoirement, de mairies. Son caractère archaïque est compensé par la réorganisation, sous Eudes IV, du ressort des baillis, qui aboutit à une partition entre deux bailliages, d’Amont et d’Aval. Ce prince est également à l’origine de la création de la gruerie, et de la mise en place de structures comptables visant à optimiser le circuit de la production et de la commercialisation du sel.Les ducs-comtes ont utilisé pleinement les ressources de la féodalité pour renforcer et étendre leur réseau vassalique. Ils se heurtent aux intérêts des grandes familles - Faucogney, Montbéliard, Neuchâtel, Chalon-Arlay et Chalon-Auxerre - maîtresses des positions frontalières, dont la puissance leur permet de rivaliser avec le prince. Le principat d’Eudes IV est parcouru de fortes tensions avec la noblesse comtoise, victime de la politique d’affirmation de ce duc-comte. Elles s’expriment régulièrement par le recours aux armes de toute une partie de la haute aristocratie, qui trouve des appuis chez les princes voisins et surtout auprès du roi d’Angleterre. Un apaisement relatif survient avec l’avènement de Philippe de Rouvres : il suscite l’émergence de nouveaux équilibres en proposant aux grands féodaux de participer au gouvernement de la province. Eudes IV a quant à lui joué contre les barons la carte de la petite et moyenne noblesse, qu’il a intégrée aux rouages du pouvoir par le biais des offices et du service armé. Le nombre de ralliements obtenus prouve la réussite de cette politique d’association de la noblesse modeste aux retombées financières des domaines du prince, et notamment des revenus de l’industrie du sel, originalité de la province comtoise.En revanche, le bilan de l’affirmation du pouvoir princier, encore en pleine élaboration en Franche-Comté, est mitigé. Si la souveraineté du prince est clairement affirmée dans son principe, elle n’est pas toujours effective dans les faits, même si les ducs-comtes, et particulièrement Eudes IV, y ont porté tous leurs efforts, en tentant notamment de créer à leur profit l’ébauche d’un espace politique, judiciaire et économique étendu aux fiefs des grands. Ces entreprises se heurtent aux exigences d’un droit féodal toujours vivace, et souffrent de la conjoncture générale de la guerre de Cent ans, qui contraint le roi de France à ménager ses forces en donnant satisfaction aux féodaux contre leur prince. Néanmoins, les institutions se renforcent, particulièrement en ce qui concerne l’exercice de la justice. La guerre pousse à redéfinir les fonctions des officiers et à en créer de nouveaux. Et, fait majeur, le pouvoir législatif et normatif du prince est entré dans les mentalités. Le terrain est donc amplement préparé pour la construction de l’État bourguignon sous les ducs Valois. / The Dukes-Counts of Burgundy inherited in 1330 within a domain already well established, whose strengths espouse the axes of penetration of the relief, according to a diagonal southwest / northeast. Although only partially and temporarily dismembered at the option of boisterous successional divisions, it has had only minor changes, aimed at strengthening the territorial mesh. It relies on a network of former administrative provosts, castellanies and, incidentally, town halls. Its archaic character is offset by the reorganization, under Eudes IV, the competence of bailiffs, which results in a partition between two bailiwicks, Upstream and Downstream. The prince is also responsible for creating the gruerie, and implementation of accounting structures to optimize the circuit for the production and marketing of salt. The Dukes-Counts have fully used the resources of the feudalism to strengthen and expand their network of vassalage. They clash with the interests of large families - Faucogney, Montbéliard, Neuchâtel, Chalon-Arlay and Chalon-Auxerre - mistresses border positions whose power allows them to compete with the prince. The government of Eudes IV is traversed by strong tensions with the nobility of the County, victim of the affirmation of the Duke-Count policy. They are expressed regularly by the use of weapons in any part of the aristocracy, which finds support among neighboring princes and especially to the king of England. A relative easing occurs with the accession of Philip of Rouvres: it raises the emergence of new balances by offering to the great vassals to participate in the government of the province. Eudes IV, meanwhile, played against the barons the card of small and medium nobility, which he included to the machinery of power through the offices and the armed service. The number of rallies proves the achieved success of this modest nobility association policy to the financial impact of the prince’s domain, including income from the salt industry, originality of the province. However, the record of the assertion of princely power, still in full development in the county of Burgundy, is mixed. If the sovereignty of the prince is clearly affirmed in principle, it is not always effective in practice, even if the Dukes-Counts, especially Eudes IV, have focused all their efforts, notably by trying to create for their benefit a draft of political, judicial and economic space, extended to fiefdoms. These enterprises face the demands of a still alive feudal law, and suffer from the general economic conditions of the Hundred Years War, which forced the King of France to spare his strength by giving satisfaction to the great vassals against their prince. However, institutions are strengthened, particularly in relation to the exercise of justice. The war drives to redefine the functions of the officers and to create new ones. And major fact, the legislative and normative power of the prince entered mentalities. The land is fully prepared for the construction of the Burgundian state under the Valois dukes.
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Les intellectuels chrétiens face au Talmud : l’antijudaïsme chez Eudes de Châteauroux lors du procès du Talmud à Paris (1240-1248)Lecousy, Amélia 08 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur l’évolution de l’antijudaïsme chez les intellectuels chrétiens parisiens, particulièrement chez Eudes de Châteauroux, lors du procès du Talmud, c’est-à-dire, entre les années 1240 – année où commence le procès – et 1248, année de la condamnation finale des textes talmudiques. Avec la création des universités au XIIe siècle prend place une curiosité intellectuelle croissante et un désir d’apprendre davantage. Parallèlement à cet essor, l’Église se renforce et une orthodoxie doctrinale commence à s’implanter, avec le désir toujours plus fort de contrôler et d’encadrer les fidèles. Lorsque Nicolas Donin dénonce le Talmud au souverain pontife, en 1239, Grégoire IX demande aux savants chrétiens de l’étudier et de l’analyser. Après examen, ces textes sont condamnés et les juifs accusés de se détourner de l’Ancien Testament pour suivre le Talmud, un livre rempli d’erreurs. Ainsi, ce que nous allons démontrer dans ce travail est que l’antijudaïsme virulent chez Eudes de Châteauroux, lors du procès du Talmud, vient d’une incompréhension des livres talmudiques. / This thesis sheds light on the evolution of antijudaism amongst Christians Parisian intellectuals – such as Odo of Chateauroux – between the first year of the trial of the Talmud (1240) and the year of the final sentence (1248) of Talmudic texts. With the creation of universities in the twelfth century, intellectual curiosity and the thirst of knowledge started to spread. Simultaneously, the church’s presence and its doctrinal orthodoxy strengthens, with an even stronger desire to control its worshipers. When Nicolas Donin reports the Talmud to the Pope in 1239, Gregory IX requested Christian scholars to study and analyze it. Once properly examined, the texts were condemned and Jews were accused of turning away from the Old Testament in order to follow the Talmud, a book full of errors. Thus, what will be brought to light in this work is that the virulent antijudaism of Odo of Chateauroux, exhibited during the trial of the Talmud, stems from a misunderstanding of the Talmudic books.
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